Archive pour le 15 avril, 2007

j’ai cherché le texte de l’homélie de Pape Benedetto de ce matin, mais…

15 avril, 2007

j’ai cherché le texte de l’homélie de Pape Benedetto de ce matin, je n’ai pas encore trouvé de texte intégral, comme il disait Sandro Magister aussi dans l’interview à la Radio Vaticana que j’ai dessous publié ici, il est difficile – synthétiser ou reporter avec autres mots ce qui dit le propre Pape parce que sa pensée, qu’il propose l’amour de Dieu, il est déjà simple en si et il est déjà sage à la limite degré, il y a le risque, dans une synthèse, de déformer sa pensée, nous aurons peut-être demain le texte, au moins en italien,

Une hymne ambrosienne qui souligne son amour du Christ : Ta lumière a chassé la nuit

15 avril, 2007

du site: 

http://www.inxl6.org/article1893.php

Une hymne ambrosienne qui souligne son amour du Christ :

Ta lumière a chassé la nuit

Comme le soleil est une joie
pour ceux qui aspirent à sa lumière,
ainsi le Seigneur est ma joie,
car il est mon soleil :
ses rayons m’ont éveillé,
et sa lumière a chassé de moi la nuit.
Il m’a donné des yeux,
et j’ai pu voir le jour de sa gloire.
Il m’a donné des oreilles,
et j’ai pu recevoir sa vérité.
Il m’a donné l’intelligence,
Et je me suis épris de Lui…

Ce qui meurt
ne compte plus devant mes yeux.
Sa parole a ôté sa puissance à l’enfer.
Et la vie éternelle a fleuri
dans le pays du Seigneur,
elle a été annoncée à ses fidèles,
et donnée sans partage
à ceux qui se confient en Lui.

Benoît XVI fête ses 80 ans

15 avril, 2007

du site:

http://www.cyberpresse.ca/article/20070415/CPMONDE/70415012/1014/CPMONDE

Le dimanche 15 avril 2007

Benoît XVI fête ses 80 ans

Associated Press

Vatican

Avec un jour d’avance, Benoît XVI a fêté dimanche ses 80 ans lors d’une messe célébrée en son honneur place Saint Pierre de Rome, sur les marches de la basilique décorées de fleurs jaunes et blanches.

Cardinaux, prêtres et plusieurs dizaines de milliers de fidèles se sont joints au pape qui a rendu grâce à Dieu pour sa longue vie et son élection à la tête de l’Eglise catholique le 19 avril 2005.

Dans la foule des fidèles massés place Saint Pierre, certains avaient revêtu le costume traditionnel de la Bavière natale de Benoît XVI, né Joseph Ratzinger le 16 avril 1927, à Marktl Am Inn. Les pèlerins allemands ont agité le drapeau national quand le pape les a salués dans leur langue.

Benoît XVI a exprimé dimanche ses remerciements à ceux qui étaient venus et du «fond du coeur, à l’Eglise entière, qui, comme une vraie famille, particulièrement en ces jours, (l)’entoure de son affection». Le pape est apparu réjoui par l’enthousiasme de la foule et a applaudi alors qu’il traversait la place en voiture.


«Qu’elle soit à Rome ou ailleurs de par le monde, l’Eglise est invitée à s’unir à Benoît XVI pour élever à Dieu une action de grâce pour ce 80e anniversaire et ces deux années de pontificat», avait souhaité le Vatican en annonçant cette messe.

Lundi, jour de son anniversaire, sortira en librairie le premier livre de Benoît XVI en tant que pape, «Jésus de Nazareth». L’ouvrage de 448 pages sera disponible en allemand, italien, et polonais. L’édition anglaise doit paraître le 15 mai et des traductions sont prévues dans 16 autres langues.

L’anniversaire du souverain pontife coïncide quasiment avec celui de son pontificat. Le pape fête le 19 avril le deuxième anniversaire de son élection à la tête de l’Eglise catholique pour succéder au défunt Jean Paul II.

En cette semaine d’anniversaires, le pape recevra mercredi le nouveau secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon au Vatican et effectuera un pèlerinage dans le nord de l’Italie au cours du week-end. Début mai, il doit se rendre au Brésil, où l’Eglise catholique traditionnellement forte perd des fidèles au profit des évangélistes protestants.

À Berlin, une messe en l’honneur de Benoît XVI a été célébrée dimanche en la cathédrale Sainte Hedwige en présence de la chancelière allemande Angela Merkel. L’archevêque de Cologne Joachim Meisner a rendu hommage au «Mozart des théologiens». Avant de devenir pape, le cardinal Joseph Ratzinger s’était distingué comme patron de la puissante congrégation de la doctrine de la foi.

Un évêque de l’archidiocèse de Munich-Freising et un groupe de pèlerins allemands avaient quitté Munich en train samedi pour venir offrir au pape 80 bouteilles d’une bière brune spécialement brassée en Bavière pour son anniversaire.

L’anniversaire de Benoît XVI dans les mots du secrétaire, mons. Gaenswein, de la vaticaniste Magister et du mons. Frisina

15 avril, 2007

Du site on line de la « Radio Vaticana » italienne (traduction...difficile):

http://www.oecumene.radiovaticana.org/it1/Articolo.asp?c=128476  

L’anniversaire de Benoît XVI dans les mots du secrétaire, mons. Gaenswein, de la vaticaniste Magister et du mons. Frisina – 

Avec l’intensité qui caractérise dans ces heures la vague d’affection des fidèles vers le Pape s’expriment même ceux qui plus donner voisin suivent, à divers titre, la mission mais même la vie quotidienne des Pontife. À commencer de son secrétaire mons. Georg Gaenswein, au microphone de Gudrun Sailer :    ********** (D= demande ; R= réponse, est-ce qu’il est égal en français?)

 D. – Dans un anniversaire qu’on tu y respectes ils sont même les cadeaux : j’imagine que beaucoup qu’ils voudraient faire un cadeau à le Pape, l’aient déjà fait. Veut-il nous recompter ce qui dons sont déjà arrivés ? R. – Es sind natürlich unzählig viele Briefe eingetroffen und sehr viele kleinere Geschenke… Évidemment, très beaucoup de lettres et beaucoup de petits dons : CD, fleurs, livres, écrits et sûrement arriveront encore beaucoup, tant de choses. En ce qui concerne les dons, le Pape a dit explicitement qu’il préfère ne pas accepter de dons personnels : qui veut lui faire un cadeau peut faire à offerte qu’il ensuite utilisera pour un but qui rendra connu : par exemple pour la Terre Sainte, ou pour autres aires de crise du monde ou pour l’Afrique. D. – Quel est-il le cadeau plus « curieux » qui lui a arrivé entre les mains jusqu’à présent ?

R. – Das kurioseste war ein riesen Bär… Le cadeau plus curieux a été un ours énorme. Il s’agit d’un animal d’étoffe, venu de l’Italie, d’un exemplaire très beau qui le Saint Père a destiné à l’hôpital pédiatrique Bambin Jésus, avec très grand enthousiasme des petits : ceux qu’ils savent écrire, ont remercié avec très belle lettre, pendant que pour des plus petits il a répondu le président de l’hôpital.   D. – Ce qui sont les choses qu’elles font vraiment plaisent à le Pape ? Quelles sont les choses qu’il qu’il reçoit (dans le sens de comprendre, accueillir) comme « cadeau » ? R. – Der Heilige Vater freut sich vor allem darüber, wenn er sieht, dass Menschen… Joie grand pour Saint Père est lorsque il voit que y ils sont personnes qu’ils acceptent le Mot de Dieu, qui l’Église annonce, et que ce Mot n’est pas considéré un fardeau mais une aide, comme ailes qui portent le fardeau de la vie, et que cette foi ensuite racine dans la vie personnelle de l’individuel. On rencontre des personnes qui de la foi tirent grand avantage. Celle-ci est une expérience qui donne grande joie à le Pape.  D. – Il y a, cependant, même un don qui la Papa fait aux fidèles, dans la forme de son nouveau livre, « Jésus de Nazareth ». J’imagine que – comme son secrétaire – elle l’ait déjà lue. Que dit ce livre ? 

R. – Ich kenne das Buch, en der Tat…. Effectivement, je l’ai lu. Ce que je peux me dire, aujourd’hui, est qu’ils sont beaucoup, très reconnaissant pour ce livre. Elle est une lecture qui enrichit et que il nourrit. Je peux sûrement inviter n’importe qui à le lire.   **********  Connu partout pour ses livres, déjà beaucoup d’ans avant être élu au Bureau de Pietro, Benoît XVI a mis à centre même de son Pontificat la parole. Il en est auto convaincu la vaticaniste de l’Express, Sandro Magister, qui dans celle-ci interviewe d’Alexandre Gisotti s’arrête même sur le rapport entre le Pape et les moyens de communication : 

 **********  R. – Benoît XVI a une extraordinaire capacité de communiquer en directe. Lorsque les places sont pleines devant lui, Benoît XVI a une capacité extraordinaire de se faire écouter, de se faire écouter avec attention d’un public simple. Il qu’il semblerait fait guette pour parler à des académies, en réalité sait parler avec beaucoup d’efficacité aux personnes pas particulièrement préparées. On fait écouter, mais on fait écouter en arguant, en déroulant un discours en mode organique et, donc, difficilement ce discours peut être synthétisé. Le résultat est que les media ont difficulté à synthétiser le discours de fond qui cette Pape fait. En réalité, les media limitent à se cueillir des passages, souvent très marginaux, qui sont retransmis sans qu’on comprenne quel est le fond dont ils naissent ces passages marginaux.  (est difficile de synthétiser les mots du Pape, parce que selon moi, il parle, il avec de la simplicité, mais de l’essentiel, des fondements, Gabriella) D. – Benoît XVI accomplit 80 ans et au moins de 40, si nous prenons comme donnée la publication de son oeuvre de l’ « Introduction au christianisme », il est connu pour ses livres, qui ont fasciné des croyants et pas. On peut dire que le mot soit chiffre même de son Pontificat ?  R. – Ils disaient qu’il y a du vrai. J’ai cueilli en Benoît XVI même volontariement l’intention d’une partie son élaguer de tout ce qu’il fait pour laisser le mot à centre. Le mot est vraiment centre de l’oeuvre de cette Pape, de son magistère. Mais elle est même son essence en somme. 

D. – Qu’est-ce que elle la frappe de la personnalité de Joseph Ratzinger, peut-être même en pensant à un souvenir personnel ?  R. – de Joseph Ratzinger, il me marque l’extraordinaire équilibre. Lorsque en parlant si de même il a uni ces deux adjectifs, « doux » et « …(la fermeté) », en invoquant de Dieu ces qualités, je dois dire qu’il a cueilli dans marque, parce que ceux-ci effectivement sont les « endiadi », le binôme, qui le caractérise. Le Pape ait une exceptionnel cohérence dans déroulement de message qui expose au monde, qui est un message extraordinairement centré sur la vraie essence du christianisme, sur le coeur du christianisme : « Deus caritas est », Jésus de Nazareth vrai Dieu, vrai homme. Celle-ci est l’essence de son message. Au même temps, ce message aussi ainsi linéaire, aussi ainsi je prive d’affaissements, de compromis, d’apprivoisements, est exprimé en forme douce, c’est-à-dire en forme raisonnable. L’autre grand binôme « foi » et « raison » qui caractérise le magistère de cette Pape est, en second lieu, caractérisant même sa personnalité.  **********  Une passion cultivée sin d’enfant : Joseph Ratzinger a toujours aimé la musique. Chaque « musique de qualité », a affirmé pendant son voyage apostolique en Bavière de 2006, dépasse « la sphère simplement humaine » et « il renvoie au divin ». Le 80.mo anniversaire de Benoît XVI donne donc même l’occasion pour approfondir celui amour du Pape pour la musique. Alexandre Gisotti a ramassé la réflexion de mons. Marc Frisina, directeur du Bureau Liturgique du Vicariat de Rome : 

 **********  R. – Avant tout, elle est une fortune pour l’Église. Ceci signifie que le Saint Père ait une grande sensibilité artistique au-delà de qu’une profondeur théologique, et ceci se perçoit vraiment de son mot, de ses attitudes. Il signifie même, à mon avertis, qu’une sensibilité de ce genre est de grande aide même pour attends liturgique auquel la musique donne une grosse contribution. Le Saint Père étonnement toujours pour cette capacité synthétique de mettre ensemble théologie, spiritualité liturgique, culture, poésie et musique. D. – D’autre part, à le Pape ne plaît pas seulement écouter la musique, mais même sonner…  R. – Certes. Je crois que ceci soit vraiment proportion de sa préparation juvénile. De garçon il a reçu une préparation musicale sérieuse. Donc, il a eu mode de fréquenter la musique en manière directe. Il a appris à chanter et à sonner. Il est toujours très beau sentir chanter à le Pape les parties de la Messe, dans cette manière toujours entonnée (juste), toujours parfaite. J’imagine que pour lui la musique soit même une mode pour se reposer, pour réfléchir et soit une aide pour contempler. 

D. – Il y a un anecdote qui peut nous recompter sur celui amour de le Pape pour la musique, qui peut-être la concerne même personnellement…  R. – l’an passé, pour la visite traditionnelle de la Papa au Séminaire, j’écrivis un oratoire même pour lui, comme j’ai fait toujours pour Jean Paul II, sur San Joseph. Elle est une chose simple, parce qu’elle est une chose brève qu’on fait dans une occasion de ce genre. Je me rappelle de que le Pape observait et écoutait tout avec attention incroyable. On sentais analysé et à la fin, lorsque je suis allé à le saluer, il m’a dit des merci, parce qu’elle avait été un beau méditation. Ceci aussi bien m’a frappé, parce que penser à la musique, à notre service musical comme un service pour le méditation, pour la contemplation, est important. Et j’ai arrive même qu’est-ce que signifie la musique pour le Pape : il signifie justement une possibilité dans plus pour approfondir le mystère de la foi, de ce point de vue poétique. D. – Ce qui musique dédierait à le Pape pour son anniversaire ? Que, en second lieu elle, représente mieux l’humanité de Joseph Ratzinger ?   R. – je ne sais pas, peut-être lui dédierais quelqu’un des morceaux très beaux de Bach, pris de quelqu’un de chantées, peut-être d’une de ces chantées pascales, qui sont pleins de cet enthousiasme, de cette lumière, qui seulement Bach savait donner à sa musique. Et ensuite, même parce que je crois que Bach se dédie beaucoup à le Pape, pour sa lucidité de pensée, qui ressemble beaucoup à cette lucidité d’écriture musicale, typique de Bach. 

La faiblesse de la foi de Thomas, source de grâce pour l’Eglise

15 avril, 2007

commentaire du site EAQ:

Cardinal John Henry Newman (1801-1890), prêtre, fondateur de communauté religieuse, théologien
PPS, vol. 2, n° 2, « Faith without Sight »

La faiblesse de la foi de Thomas, source de grâce pour l’EgliseIl ne faut pas croire que saint Thomas était très différent des autres apôtres. Tous, plus ou moins, ils ont perdu confiance dans les promesses du Christ quand ils l’ont vu emmené pour être crucifié. Quand il a été mis au tombeau, leur espérance a été ensevelie avec lui, et quand on leur a apporté la nouvelle qu’il était ressuscité, aucun n’y a cru. Quand il leur est apparu, « il leur reprocha leur incrédulité et leur endurcissement » (Mc 16,14)… Thomas a été convaincu en dernier, parce qu’il a vu le Christ en dernier. Par contre, il est certain que ce n’était pas un disciple réservé et froid : auparavant, il avait exprimé le désir de partager le danger de son Maître et de souffrir avec lui…: « Allons-y nous aussi, pour mourir avec lui ! » (Jn 11,16) C’est à cause de Thomas que les apôtres ont risqué leur vie avec leur Maître.

Saint Thomas aimait donc son Maître, comme un vrai apôtre, et s’est mis à son service. Mais quand il l’a vu crucifié, il a faibli en sa foi pour un temps, comme les autres…et plus que les autres. Il s’était isolé, refusant le témoignage non d’une seule personne, mais des dix autres, de Marie Madeleine et des autres femmes… Il lui fallait, semble-t-il, une preuve visible de ce qui est invisible, un signe infaillible venu du ciel, comme l’échelle des anges de Jacob (Gn 28,12), pour calmer son angoisse en lui montrant le but du chemin au moment de se mettre en route. Un désir secret de certitude l’habitait et ce désir s’est réveillé à la nouvelle de la résurrection du Christ.

Notre Sauveur consent à sa faiblesse, répond a son désir, mais lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu ». C’est ainsi que tous ses disciples le servent, même dans leur faiblesse, pour qu’il la transforme en paroles d’enseignement et de réconfort pour son Eglise.