Archive pour le 23 avril, 2007

je désire encore faire une intervention, dans le sens qui voudrais vous dire en que direction je suis en train de tâcher d’aller avec ce Blog…

23 avril, 2007

comme j’ai dit autres fois je suis en train de tâcher de suivre Pape Benedetto, mais dans le sens qui cherche de vous suivez son parcours de foi;dimanche qui en le regarde en télévision pendant le voyage à Pavie, je voyais ses yeux changer expression selon l’événements: intéressés qui en écoutent les autres, silencieux, si on peut dire ainsi des yeux, et finalement, ou pour cette présentation…doux, gâteaux sont devenus particulièrement et de manière profonde, j’il semblait que ripercorressero l’histoire de l’Église et son histoire en même temps, devant les reliqui d’Augustin;moi pour la fête de Sant’Agostino suis décennie maintenant que je vais à l’Église du Saint à Rome et le jour avant qu’on fête Sainte Monica, et, j’essaie toujours une émotion riasscoltando profond les mots du Saint souvent prises par les Aveux, qul tu t’entretiens avec la Mère mourante à l’Hostie, le port de Rome ancienne, où elle se trouvait, livre « Confession » livre 9, XI,XII,XI; dans les yeux du Pape j’il semble de retrouver cette émotion immense d’Augustin devant la maman, devant Dieu en l’eux tempérer cet amour de Dieu que il l’étonnait toujours de plus;

c’est une bonne chose, excellente, reporter les mots du Pape, ses discours, cependant regarder ses yeux qu’ils changent expression et en qui peut retrouver toujours Dieu, et comme chercher Dieu, comme: « isegni » de lequel parlait, il les signes de Dieu dans ce monde peuvent les trouver dapertutto mais dimanche dans l’église augustinienne, j’ai trouvé Dieu dans les yeux du Pape metre il regardait les reliques de Sant’Agostino;

« Actualité der la louange »

23 avril, 2007

du site « Ministére de Louange »:

http://louange.org/html/index.php?name=News&file=article&sid=410

« Actualité der la louange »

Par Mme Judith Ann Robinson Il y a quelques semaines, je parlais à un conducteur de louange dont les chants ont touché le monde entier. Curieuse de savoir quel était son point de vue sur ce qu’on peut appeler “ l’actualité de la louange ”, je lui ai posé la question. Après quelques secondes de réflexion, il m’a dit la chose suivante : “ Je crois qu’en ce moment, on a vraiment besoin de chants qui nous rappellent, objectivement, qui est Dieu. Des chants qui expriment qui est Jésus. Nous avons bénéficié d’une multitude de chants qui ont permis à cette génération d’exprimer ses émotions et les choses qu’elle vit personnellement avec le Seigneur, et c’était important. Mais maintenant nous avons besoin d’un complément, de chants qui redressent l’équilibre. ”
Sa réponse m’a poussée à la réflexion et la prière. Je partage ici les quelques éléments qui sont sortis de ce moment, car je pense qu’il a touché quelque chose de très profond. Ceci a des conséquences pour tous ceux qui sont impliqués dans la conduite de la louange.
Notre Dieu, l’objet de notre louange, est toujours :

Transcendant et immanentDans le langage des théologiens, Dieu est transcendant, c’est-à-dire au-dessus de toute matière, de toute créature, et Il existe avant et indépendamment de tout. Il ne dépend pas de nous pour son existence. À ce Dieu transcendant, on peut adresser des prières et des louanges qui élèvent Sa grandeur, Sa magnificence, Sa toute-puissance, Sa nature de Créateur, Son Omniscience. C’est cette transcendance qui est la base de notre foi en la puissance de Dieu. Elle nous permet aussi d’avoir un regard juste sur ce Dieu qui, tout en nous aimant passionnément, n’est pas un distributeur automatique de bénédictions et n’est surtout pas sujet à notre volonté humaine.Mais Dieu est aussi immanent, c’est-à-dire qu’il est tout près de nous. Il n’est pas tout simplement à côté de nous, mais il habite en nous. Il nous touche au plus profond de notre être et nous restaure corps, âme et esprit. Le Père désire l’intimité avec Ses enfants. Jésus est notre Bien-aimé. Il est l’époux, nous sommes l’épouse. Le Saint-Esprit est le Consolateur qui ne nous quitte jamais.Dieu est en même temps justice et miséricordeNotre Seigneur s’est donné sur la croix pour payer le prix de nos péchés afin de nous pardonner. Il nous aime d’un amour infini. Il est aussi le juste juge, qui séparera tous ceux qui ne le connaissent pas à la fin des temps et qui les enverra vers le châtiment éternel. Il nous touche au plus profond de notre être afin de nous guérir de toutes nos craintes et de nos mauvaises images de Lui-même, mais Il nous appelle aussi à la crainte de Son nom et à une vie de sainteté.La grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ (Jean 1 :17)Dieu nous aime. Il nous pardonne. Il déverse librement sur nous Son Saint-Esprit. Il oublie nos péchés pardonnés. Il nous permet de vivre sous la grâce, sans aucune condamnation. Mais Il est aussi concerné par la vérité. Si nous perdons le réflexe de vérifier nos “ inspirations ”, nos charismes, nos paroles et les directions que nous pensons recevoir, en nous référant à la Bible, des erreurs et des fausses directions peuvent s’installer de manière très subtile. À force de nous référer constamment à des choses que nous croyons “ recevoir ”, nous pouvons en arriver à un point où nous dépendons entièrement de notre révélation “ directe ” et subjective. À ce moment-là nous sommes en danger. Nous sommes, précisément, ouverts “ à tout vent de doctrine ” et “ à la tromperie des hommes ” ou pire. (Éphésiens 4 : 14) Mais si nous gardons le réflexe de rester fidèle à la Bible, tout en étant libre dans l’exercice des dons inspirationnels et autres du Saint-Esprit, “ sous l’inspiration de la grâce ” nous restons aussi fidèles à ce Dieu qui a permis que la grâce et la vérité soient venues par le même Sauveur.Les implications pour la louange

Qu’est-ce que tout cela a à faire avec la louange?

  • D’abord, cela affecte le contenu de nos compositions en matière de chants de louange. Mon ami conducteur de louange a soulevé un point important. Si nous voulons louer et adorer le vrai Dieu et ne pas mettre à Sa place une image de notre création, il vaut mieux que la gamme de nos chants reflète fidèlement Sa nature. Cela n’empêche pas qu’il y aura des périodes où certains aspects seront mis en avant plus que d’autres, mais à long terme on gardera l’équilibre.
  • Deuxièmement, si, en ce qui concerne la conduite de la louange, nous avons compris ces choses, nous serons capables de conduire les différentes étapes ou les différentes saisons de la louange. Sans vouloir être rigide, il faut avouer que le Psaume 100 nous exhorte à entrer dans Ses portes avec des louanges et dans Ses parvis avec des chants de reconnaissance. Pour ce faire nous avons besoin de chants qui élèvent le nom de Dieu et nous rappellent Sa bonté, Sa puissance et Sa merveilleuse nature, indépendamment de notre situation ou de nos émotions. Mais à d’autres moments, nous entrons dans une communion très personnelle, très intime, où nous avons besoin d’exprimer nos émotions, et notre amour pour le Dieu qui est aussi notre époux. Pour ce faire, un autre style de chant est plus approprié.

Le besoin actuelPlusieurs ont constaté, depuis quelques mois, une lourdeur qui veut s’installer sur certaines assemblées où on loue Dieu. Une des raisons pour cela peut être que nous nous sommes depuis longtemps concentrés sur des chants qui parlaient de manière très subjective de notre relation avec le Seigneur. Tout en avouant que ces chants sont vraiment nécessaires et que cette période l’était aussi, ne pouvons-nous pas nous poser la question, peut-être c’est maintenant le moment de nous tourner de nouveau sur des chants qui élèvent les aspects transcendants de Dieu. Car des chants qui parlent de l’intimité nous aident à la vivre, mais ne nous exhortent pas forcément à lever les yeux vers ce Dieu tout-puissant et d’entrer dans Sa présence avec reconnaissance et la foi qui ne dépend pas de nos circonstances.De plus, nous avons entamé une période de jeûne et d’intercession pour la France (nous sommes le 14 mars 2001). N’est-il pas juste de se dire que si c’est, selon Jacques 5, la prière de foi des justes qui sauvera les individus, c’est aussi les prières de foi de plusieurs qui agiront en faveur de notre pays? N’avons-nous pas d’autant plus besoin de chants qui élèvent, non seulement la toute-puissance de Dieu, mais aussi les projets bienveillants qu’il a pour la France, malgré nos péchés et la situation humaine actuelle?J’aimerais dire pour conclure, que je crois qu’en tant que responsables ou équipiers de louange, nous avons une grande responsabilité d’être sensibles aux temps de Dieu. chaque fois que nous conduisons un moment de louange nous transmettons aussi un message sur notre Seigneur. Si nous Lui sommes sensibles, et si nous reflétons fidèlement son caractère dans tous Ses aspects, les personnes présentes seront édifiées dans leur marche avec Lui et peut-être d’autres auront une première révélation de Lui. Exerçons cette responsabilité avec confiance mais en même temps avec un saint respect de Dieu et de Son peuple, qui nous permettra de refléter Son image de manière juste et de Lui être sensibles nous-mêmes.

Devant la tombe de saint Augustin le pape rappelle que « Dieu est amour »

23 avril, 2007

dal sito Zenith.org.

2007-04-22

Devant la tombe de saint Augustin le pape rappelle que « Dieu est amour »

Le message central de son pontificat, explique-t-il

ROME, Vendredi 20 avril 2007 (ZENIT.org) – A l’occasion de sa visite sur la tombe de saint Augustin, ce dimanche après-midi, le pape Benoît XVI a rappelé le message central de son pontificat : « Dieu est amour ».« L’humanité contemporaine a besoin de ce message essentiel, incarné en Jésus Christ », a-t-il affirmé en concluant sa visite pastorale dans la ville de Pavie, en Lombardie, dans le nord de l’Italie.

« Tout doit partir de là et tout doit y conduire : toute action pastorale, tout exposé théologique » a-t-il affirmé au cours de l’homélie prononcée lors de la célébration des vêpres en la Basilique Saint-Pierre « in Ciel d’Oro » en présence de nombreux prêtres, religieux (de nombreux augustiniens), religieuses et séminaristes du diocèse.

Le pape a expliqué qu’il a voulu « venir vénérer la dépouille mortelle de saint Augustin, pour exprimer à la fois l’hommage de toute l’Eglise catholique à l’un de ses plus grands ‘pères’, ainsi que (sa) dévotion personnelle et (sa) reconnaissance envers celui qui a joué un si grand rôle dans (sa) vie de théologien et de pasteur », mais « avant encore, d’homme et de prêtre ».

Les écrits de saint Augustin, évêque d’Hippone (354-430), docteur de l’Eglise, ont exercé une influence importance sur Joseph Ratzinger qui lui consacra sa thèse doctorale en 1953.

« Devant la tombe de saint Augustin je voudrais redonner idéalement à l’Eglise et au monde ma première Encyclique, qui contient précisément ce message central de l’Evangile : ‘Deus caritas est’, Dieu est amour », a-t-il affirmé.

Voilà « le message que saint Augustin répète encore aujourd’hui à toute l’Eglise » : « l’Amour est l’âme de la vie de l’Eglise et de son action pastorale », a poursuivi le pape.

« Seul celui qui vit dans l’expérience personnelle de l’amour du Seigneur est en mesure d’exercer la tâche de guider et accompagner les autres sur la route à la suite du Christ », a déclaré le pape.

« A l’école de saint Augustin je répète pour vous cette vérité comme Evêque de Rome tout en l’accueillant avec vous comme chrétien, avec une joie toujours nouvelle », a-t-il ajouté.

« Servir le Christ est avant tout une question d’amour », a-t-il expliqué. « L’Eglise n’est pas une simple organisation de manifestations collectives ni, à l’opposé, une somme d’individus vivant une religiosité privée ».

« L’Eglise est une communauté de personnes qui croient au Dieu de Jésus Christ et s’engagent à vivre dans le monde le commandement de la charité qu’Il a laissé », a affirmé Benoît XVI. « Il s’agit donc d’une communauté dans laquelle on est éduqué à l’amour et cette éducation se déroule non pas malgré, mais à travers les événements de la vie ».

Le pape a conclu en lançant un appel à vivre pleinement la vie chrétienne « qui trouve dans la charité le lien de la perfection et qui doit se traduire également par un style de vie morale inspiré de l’Evangile, qui va inévitablement à contre-courant par rapport aux critères du monde, mais duquel on doit toujours témoigner avec un style humble, respectueux et cordial ».

Après sa visite sur la tombe de saint Augustin, et après avoir pris congé de la Communauté des augustiniens, le pape s’est rendu en hélicoptère jusqu’à l’aéroport de Milan-Linate où l’attendait un avion pour rentrer à Rome.

C’était la troisième visite pastorale de Benoît XVI. Hier, le pape était à Vigevano (où il a célébré la messe) et ce dimanche il était à Pavie où il a présidé plusieurs rencontres publiques.

Benoît XVI présente saint Augustin comme un modèle de conversion

23 avril, 2007

du Zenith.org:

2007-04-22

Benoît XVI présente saint Augustin comme un modèle de conversion

Il célèbre la messe à Pavie, où se trouve la tombe du saint

ROME, Vendredi 20 avril 2007 (ZENIT.org) – Le pape Benoît XVI a présenté ce dimanche saint Augustin d’Hippone comme un modèle de conversion à notre époque. Le pape était en visite pastorale à Pavie (Lombardie), dans le nord de l’Italie, où se trouve la tombe du saint.

C’est à saint Augustin, évêque et docteur de l’Eglise (354-430) que le pape a consacré son homélie au cours de la messe qu’il a présidée dans les Jardins du Collège Borromée à Pavie. Benoît XVI connaît bien saint Augustin à qui il a consacré sa thèse de doctorat et qu’il considère comme un maître.

« Jésus, le Ressuscité, vit aujourd’hui encore », a déclaré le pape.

« Conversion » et « pardon des péchés », sont « des mots clés de la catéchèse de Pierre », a-t-il ajouté, en faisant référence à la première lecture de la messe de ce dimanche.

« Le chemin que nous devons faire, le chemin que Jésus nous indique s’appelle ‘conversion’. Mais de quoi s’agit-il ? Que faut-il faire ? » s’est interrogé le pape, devant une foule de quelque 20.000 personnes.

Le pape a présenté le chemin de conversion de saint Augustin en expliquant ses « trois conversions » qui « en réalité ont été une unique grande conversion à la recherche du Visage du Christ puis en cheminant avec Lui ».

« La première conversion fondamentale a été le cheminement intérieur vers le christianisme, vers le ‘oui’ de la foi et du Baptême », a-t-il expliqué. Selon certains historiens, cette première conversion aurait eu lieu à Pâques, en l’an 387.

Saint Augustin « était toujours tourmenté par la question de la vérité. Il voulait trouver la vérité », a-t-il poursuivi.

« Il avait toujours cru – parfois vaguement, parfois plus clairement – que Dieu existait et qu’Il prenait soin de nous. Mais le grand combat intérieur de ses années de jeunesse avait été de connaître vraiment ce Dieu, de se familiariser vraiment avec ce Jésus Christ et d’arriver à Lui dire ‘oui’ avec toutes les conséquences », a expliqué le pape.

« Il nous raconte que, à travers la philosophique platonique il avait appris et reconnu que ‘au commencement était le Verbe’ – le Logos, la raison créatrice. Mais la philosophie ne lui indiquait aucune voie pour l’atteindre ; ce Logos demeurait lointain et intangible », a poursuivi Benoît XVI.

« C’est seulement dans la foi de l’Eglise qu’il a ensuite trouvé la deuxième vérité essentielle : le Verbe s’est fait chair. Et ainsi le Verbe nous touche, nous le touchons », a expliqué le pape.

La « deuxième conversion » de saint Augustin a eu lieu après son baptême, à Hippone, en Afrique alors qu’il avait fondé un petit monastère et fut consacré prêtre, de force, à la demande populaire.

« Le beau rêve de la vie contemplative s’était évanoui, la vie d’Augustin s’en trouvait fondamentalement changée. Il devait maintenant vivre avec le Christ pour tous », a expliqué Benoît XVI.

« Il devait traduire ses connaissances et ses pensées sublimes dans la pensée et le langage des gens simples de sa ville », a-t-il ajouté.

« La grande œuvre philosophique de toute une vie, dont il avait rêvé, demeura non écrite. Une chose plus précieuse nous fut donnée à la place : l’Evangile traduit dans le langage de la vie quotidienne », a poursuivi le pape.

« Voilà la deuxième conversion que cet homme, luttant et souffrant, dût réaliser continuellement : être toujours à nouveau là pour tous ; donner sa vie, sans cesse à nouveau, avec le Christ, afin que les autres puissent Le trouver, puissent trouver la vraie Vie », a-t-il expliqué.

Enfin, la troisième conversion de saint Augustin a eu lieu lorsqu’il découvrit que « un seul est vraiment parfait et que les paroles du Discours de la montagne sont entièrement réalisées en un seul : en Jésus Christ lui-même ».

« Toute l’Eglise en revanche – nous tous, y compris les Apôtres – doit prier chaque jour : ‘pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés’ » écrivait saint Augustin (cf. Retract. I 19, 1-3).

« Augustin avait appris un dernier degré d’humilité – non seulement l’humilité d’insérer sa grande pensée dans la foi de l’Eglise, non seulement l’humilité de traduire ses grandes connaissances dans la simplicité de l’annonce, mais également l’humilité de reconnaître qu’il avait lui-même, ainsi que toute l’Eglise pèlerine, continuellement besoin de la bonté miséricordieuse d’un Dieu qui pardonne ».

« Et nous – ajoutait-il – nous nous rendons semblables au Christ, le Parfait, dans la mesure la plus grande possible, lorsque nous devenons comme Lui des personnes de miséricorde », a-t-il précisé.

Le pape a conclu par cette exhortation : « Remercions Dieu pour la grande lumière qui rayonne de la sagesse et de l’humilité de saint Augustin et prions le Seigneur afin qu’il donne à chacun de nous, jour après jour, la conversion nécessaire, et nous conduise ainsi vers la vraie vie ».

 

« L’oeuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé »

23 avril, 2007

du site EAQ: 

Saint Thomas More (1478-1535), homme d’Etat anglais, martyr
Dialogue du r
éconfort dans les tribulations (trad. É
crits des saints, Soleil Levant, p.23-24)

« L’oeuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé »

La fondation sur laquelle nous nous appuyons, c’est la foi. Sans la foi, inutile d’espérer apporter quelque réconfort spirituel… Quel soutien la Sainte Écriture pourrait-elle procurer à quelqu’un qui ne croirait pas qu’elle est la Parole de Dieu et que sa Parole est vraie ? On doit y trouver bien peu de profit si on ne croit pas que c’est la Parole de Dieu ou si, admettant même qu’elle l’est, on croit qu’elle peut contenir des erreurs ! Suivant que la foi est plus ou moins forte, les paroles de réconfort de la Sainte Écriture feront plus ou moins de bien.

Cette vertu de la foi, aucun homme ne peut l’acquérir par lui-même, ni non plus la donner à un autre… La foi est un don gratuit de Dieu, et comme le dit saint Jacques : « Tout bien, toute perfection nous vient d’en haut, du Père des lumières. » (Jc 1,17) C’est pourquoi nous qui, à beaucoup de signes, sentons que notre foi est faible, prions-le pour qu’il la fortifie.