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LA BIBLE ET LE RESPECT DU MONDE ANIMAL

27 novembre, 2014

http://www.francelecture.net/article_19_bible_et_animal_francelecture_esoterisme_voyance_spiritualite.htm

LA BIBLE ET LE RESPECT DU MONDE ANIMAL

La lecture de la bible nous apprend que Dieu forma les animaux et les fit venir vers l’homme afin que ce dernier ne soit pas seul. Genèse 2,18-19. Cela montre bien qu’à partir de l’instant où Adam donne un nom à chaque espèce animale il se crée entre elle et lui une cohésion si profonde que l’Eternel englobera désormais l’homme et l’animal dans un même jugement…

Je te salue mon frère le chien, je te salue mon frère le loup. Saint François
Au moment du Déluge, l’Eternel dit: « J’exterminerai de la face de la Terre l’être humain que j’ai créé depuis l’homme jusqu’au bétail » (Genèse 6,7) et plus loin, nous lisons que : « Dieu se souvint de Noé, de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l’Arche ».
Plus explicitement encore, après le Déluge, Dieu dit qu’il établit son alliance avec Noé et les siens et avec tous les êtres vivants « tant les oiseaux que le bétail, que tous les animaux de la terre » (Genèse 9,10).
Tout au long de la Bible, l’Eternel considère le monde animal comme un interlocuteur valable:
« En ces jours là, je traiterai pour eux une alliance avec les bêtes des champs, les oiseaux du ciel et les reptiles de la terre », dit-il au prophète Osée (2,20) et il dicte à Moise des préceptes interdisant de maltraiter les animaux dont le peuple hébreux a la charge :
« Ne pas faire travailler aucune de ses bêtes le jour du repos » (Deutéronome 5,12-14).
« Ne pas mettre de muselière au boeuf quand il foule le grain » (Deutéronome 25,4).
Certains préceptes ont même pour fondement le respect de l’affectivité animale :
« Tu ne feras pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère » (Deutéronome 14,15).
Entre l’homme et l’animal Dieu établit un code qui lui permettra au jour du jugement de demander au premier des comptes de son attitude envers le second:
« Vous n’avez pas fait paître les brebis, vous n’avez pas fortifié celles qui étaient faibles, guéri celles qui étaient malades, pansé celles qui étaient blessées; vous n’avez pas ramené celles qui s’égaraient, cherché celles qui étaient perdues, mais vous les avez dominées avec violence et dureté » (Ezechiel 34,4).
La vanité de l’homme est de se considérer comme isolé de l’animal dans l’équilibre cosmique en vertu de son intellect plus développé ou des vues particulières que Dieu a sur lui; pourtant Dieu s’insurge contre cette optique: –  » Voici l’hippopotame à qui j’ai donné la vie comme toi ».
L’Ecclésiaste, méditant sur cette vanité de l’homme à l’égard de l’animal écrit:
« J’ai dit en mon coeur, au sujet des fils de l’homme, que Dieu les éprouverait, et qu’eux-mêmes verraient qu’ils ne sont que bêtes, car le sort des fils de l’homme et celui de la bête sont pour eux un même sort; comme meurt l’un, ainsi meurt l’autre, ils ont tous un même souffle, et la supériorité de l’homme sur la bête est nulle car tout est vanité »… (Ecclésiaste 3,18-19).
Ce n’est pas pour l’homme se ravaler aux rangs inférieurs que de réaliser que, pièce maîtresse sur l’échiquier de la vie, il ne peut gagner la partie qu’en union fraternelle avec les autres pièces; il tire de la contemplation de l’animal des clichés qui imprègnent son psychisme, éveillant en lui les archétypes de la beauté, de l’harmonie, des arts et de la philosophie.
Et la civilisation sera à l’échelle même du respect de la vie et du bonheur animal.
« Maudit soit l’homme qui n’écoute pas les paroles de cette alliance » (Deutéronome 27,26).
L’Eternel ne veut donc pas de sacrifices d’animaux:
« Je déteste et méprise vos fêtes, je ne puis sentir vos assemblées. Quand vous me présentez des sacrifices et des offrandes, je n’y prends aucun plaisir et les veaux engraissés que vous sacrifiez en actions de grâces, je ne les regarde pas » (Amos 5,21).
« Car je n’ai pas parlé avec vos Pères, je ne leur ai donné aucun ordre le jour où je les ai fait sortir du pays d’Egypte, au sujet des holocaustes et des sacrifices » (Jérémie 7,21).
« Je ne prendrai pas un taureau dans ta maison, ni des boucs dans tes bergeries car tous les animaux des forêts sont à moi, toutes les bêtes des montagnes par milliers; je connais tous les animaux des montagnes et tout ce qui se meut dans les champs m’appartient » (Psaume 50,9),
et plus loin :
« Si j’avais faim, je ne te le dirai pas car le monde est à moi et tout ce qu’il renferme. Est-ce que je mange la chair des taureaux. est-ce que je bois le sang des boucs ?  » (Psaume 50-12).
Peut-on de façon plus complète, plus totale, faire connaître sa volonté :
« Je ne puis voir le crime s’associer aux solennités… Quand vous multipliez vos prières, je n’écoute pas: vos mains sont pleines de sang » (Isaie 1,15).
Et refuser un culte de cette sorte:
« Lavez-vous, purifiez-vous, ôtez de devant mes yeux la méchanceté de vos actions, apprenez à faire le bien, recherchez la justice, protégez l’opprimé, faites droit à l’orphelin, défendez la veuve » (Isaie 1,17).
Concernant les hommes, nous savons de façon très claire que la volonté divine réside dans le commandement: « Aimez-vous les uns les autres « . L’animal est-il exclu de ce commandement ?Comment l’Eternel l’aurait-il oublié lui qui annonce pour les temps futurs:
« En ce temps là, je traiterai pour eux une alliance avec les bêtes des champs, les oiseaux du ciel et les reptiles de la terre, je briserai dans le pays l’arc, l’épée et la guerre, et je les ferai reposer avec sécurité » (Osée 3,20).
Alors, la chasse cessant, l’homme retrouvera la compréhension de l’animal, par ce langage des oiseaux que parlait le Roi Salomon; télépathie rendue possible par le rayonnement de la bonté et les animaux eux-mêmes cesseront de se craindre et de se combattre:
« Le loup et l’agneau paîtront ensemble, le lion comme le boeuf mangera des herbages » (Isaie 65,25).
Là se déroulera une oeuvre de pleine croissance spirituelle de l’homme et même de l’animal dont l’intellect s’ouvrira à la connaissance de l’être suprême:
« Les bêtes des champs me glorifieront, les chacals et les autruches » (Isaie 43,20).
Voici ce que dit la Bible des rapports entre l’humanité et l’animalité; bien des points seraient à examiner plus profondément, à approfondir en fonction de l’évolution du peuple biblique. Mais de ce court examen, nous pouvons facilement constater:
1) Le sort de l’homme et de l’animal sont liés aux yeux de la Providence.
2) Toute attitude de non-assistance ou de cruauté de l’homme envers l’animal est un péché dont la gravité est équivalente à l’homicide dans certains cas.
3) Tout acte de bonté envers l’animal est béni de l’Eternel et sera récompensé.
Il est à noter également que la forme animale ne doit pas être dédaignée et qu’elle semble parfaitement apte, d’après la Bible, à abriter des intelligences supérieures. L’Esprit-Saint affectionne de revêtir la forme de la colombe et le Christ est présent dans l’Apocalypse sous les apparences de l’agneau. De même, dans la vision d’Ezechiel, les êtres étrangers à la terre qui se présentent à lui ont des corps composés d’éléments humains et d’éléments animaux et quatre faces: l’une d’homme, l’autre de lion, l’autre de taureau, l’autre d’aigle, comme si à un niveau supérieur d’évolution les structures animales et humaines s’étaient fondues

FRATERNITE SACERDOTALE INTERNATIONALE – POUR LE RESPECT DE L’ANIMAL

12 août, 2013

http://animal-respect-catholique.org/bible.htm

FRATERNITE SACERDOTALE INTERNATIONALE – POUR LE RESPECT DE L’ANIMAL

RICHESSES DE LA BIBLE

(images sur le site)

 Qoh 3,19 : Car le sort des fils d’Adam, c’est le sort de la bête, c’est un sort identique : telle la mort de celle-ci, telle la mort de ceux-là, ils ont un souffle identique : la supériorité de l’homme sur la bête est nulle, car tout est vanité.
Dn 8,20 : Le bélier à deux cornes que tu as vu : ce sont les rois de Médie et de Perse.
Gn 9,9 –11 : « Je vais établir mon alliance avec vous, avec votre descendance après vous et avec tous les êtres vivants qui sont avec vous : oiseaux, bestiaux, toutes les bêtes sauvages qui sont avec vous, bref tout ce qui est sorti de l’arche avec vous : aucune chair ne sera plus exterminée par les eaux du Déluge, il n’y aura plus de Déluge pour ravager la terre. »
Gn 1,20-30 : Dieu dit : « Que les eaux grouillent de bestioles vivantes et que l’oiseau vole au-dessus de la terre face au firmament du ciel. » Dieu créa les grands monstres marins, tous les êtres vivants et remuants selon leur espèce, dont grouillèrent les eaux , et tout oiseau ailé selon son espèce. dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit en disant : « Soyez féconds et prolifiques, remplissez les eaux dans les mers, et que l’oiseau prolifère sur la terre ! » Il y eut un soir, il y eut un matin : cinquième jour.
Dieu dit : « Que la terre produise des êtres vivants selon leur espèce : bestiaux, petites bêtes , et bêtes sauvages selon leur espèce ! »

Le paradis terrestre
Il en fut ainsi. Dieu fit les bêtes sauvages selon leur espèce, les bestiaux selon leur espèce et toutes les petites bêtes du sol selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon.
Dieu le Père
Dieu dit : « Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance et qu’il soumette les poisons de la mer , les oiseaux du ciel, les bestiaux, toute la terre et toutes les petites bêtes qui remuent sur la terre ! »
Dieu créa l’homme à son image,
à l’image de Dieu, il le créa ;
mâle et femelle, il les créa.
Dieu les bénit et Dieu leur dit : « Soyez féconds et prolifiques , remplissez la terre et dominez-là. Soumettez les poissons de la mer, les oiseaux du ciel et toute bête qui remue sur la terre ! »
Dieu dit : « Voici, je vous donne toute herbe qui porte sa semence sur toute la surface de la terre et tout arbre dont le fruit porte sa semence ; ce sera votre nourriture.
A toute bête de la terre, à tout oiseau du ciel, à tout ce qui remue sur la terre et qui a souffle de vie, je donne pour nourriture toute herbe mûrissante. » Dieu vit tout ce qu’il avait fait. Voilà, c’était très bon. il y eut un soir, il y eut un matin : sixième jour.
Gn 2,15-22 : « Le SEIGNEUR Dieu prit l’homme et l’établit dans le jardin d’Eden pour cultiver le sol et le garder. Le SEIGNEUR Dieu prescrivit à l’homme : « Tu pourras manger de tout arbre du jardin, mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance de ce qui est bon ou mauvais, car du jour où tu en mangeras, tu devras mourir. »

Adam et Eve au paradis
Le SEIGNEUR Dieu dit : « Il n’est pas bon pour l’homme d’être seul. Je veux faire une aide qui lui soit accordée. » Le SEIGNEUR Dieu modela
du sol toute bête des champs et tout oiseau du ciel qu’il amena à l’homme pour voir comment il les désignerait. Tout ce que désigna l’homme avait pour nom « être vivant » ; l’homme désigna par leur nom tout bétail, tout oiseau du ciel et toute bête des champs, mais pour lui-même, l’homme ne trouva pas l’aide qui lui soit accordée. Le SEIGNEUR Dieu fit tomber l’homme dans une torpeur l’homme qui s’endormit ; il prit l’une de ses côtes et referma les chairs à sa place. Le SEIGNEUR Dieu transforma la côte qu’il avait prise à l’homme en une femme qu’il lui amena. »
Gn 6 ,18-22 : J’établirai mon alliance avec toi.
« Entre dans l’arche, toi, et avec toi, tes fils, ta femme, et les femmes de tes fils.
De tout être vivant, de toute chair, tu introduiras un couple dans l’arche pour les faire survivre avec toi ; qu’il y ait un mâle et une femelle ! De chaque espèce d’oiseaux, de chaque espèce de bestiaux, de chaque espèce de petites bêtes du sol, un couple de chaque espèce viendra à toit pour survivre. Et toi, prends de tout ce qui se mange et fais-en une réserve ; ce sera ta nourriture et la leur.
C’est ce que fit Noé : il fit exactement ce que Dieu lui avait prescrit. 

 Es 1, 2-3 : « Ecoutez, cieux ! Terre, prête l’oreille !
C’est le Seigneur qui parle :
J’ai fait grandir des fils, je les ai élevés,
eux, ils se sont révoltés contre moi.
un bœuf connaît son propriétaire
et un âne la mangeoire chez son maître :
Israël ne connaît pas,
mon peuple ne comprend pas.

Ps 104 , 21-28 : Les lions rugissent après leur proie
et réclament à Dieu leur nourriture.
Au lever du soleil, ils se retirent,
se couchent dans leurs tanières ,
et l’homme s’en va à son travail
à ses cultures jusqu’au soir.

Que tes œuvres sont nombreuses, SEIGNEUR !
Tu les as toutes faites avec sagesse,
la terre est remplie de tes créatures.

Voici la mer, grande et vaste de tous côtés ,
ou remuent, innombrables,
des animaux petits et grands.
Là vont et viennent les bateaux,
et le Léviathan que tu as formé pour jouer avec lui.

Tous comptent sur toi
pour leur donner en temps voulu la nourriture :
tu donnes, ils ramassent ;
tu ouvres ta main, ils se rassasient.

1 Daniel 8-20 : « Or Daniel prit à cœur de ne pas se souiller avec le menu du roi et le vin de sa boisson. Il fit une requête au prévôt du personnel pour n’avoir pas à se souiller, et Dieu accorda à Daniel la grâce et faveur devant le prévôt du personnel. Le prévôt du personnel dit à Daniel : « Je crains, que Monseigneur le Roi, qui a fixé votre nourriture et votre boisson, ne vous voie des visages plus abattus que ceux des garçons de votre âge, et que vous ne me rendiez coupable au prix de ma tête envers le roi.» Daniel dit au garde que le chef du personnel avait charge de Daniel, Hananya, Mishaël et Azarya. : « Mets donc tes serviteurs à l’épreuve pendant dix jours. Qu’on nous donne des légumes à manger et de l’eau à boire. Puis tu regarderas notre mine et la mine de ces garçons qui mangent au menu du roi ; et selon ce que tu verras, agis envers tes serviteurs ! » Au terme des dix jours, on vit qu’ils avaient meilleure mine et plus d’embonpoint que tous les garçons qui menaient au menu du roi. Le garde enlevait donc leur menu et le vin qu’ils avaient à boire, et il leur donnait des légumes. Or à ces quatre garçons, Dieu donna la science et il les instruisit en toute littérature et sagesse. Quant à Daniel, il comprenait toute vision et tous songes. Au terme des dix jours fixés par le roi pour les lui amener, le prévôt du personnel les emmena en présence de Nabuchodonosor. le roi parla avec eux, et parmi tous il ne s’en trouva pas comme Daniel Hananya, Mishaël et Azarya. Ils se tinrent donc en présence du roi ; et en toute affaire de sagesse et de discernement dont le roi s’enquit auprès d’eux, il les trouva dix fois supérieurs à tous les magiciens et conjureurs qu’il y avait dans tout son royaume.

LES « ANIMAUX DU PAPE » À LA UNE DE L’OSSERVATORE ROMANO

31 août, 2011

du site:

http://www.zenit.org/article-28791?l=french

LES « ANIMAUX DU PAPE » À LA UNE DE L’OSSERVATORE ROMANO

Des vaches dont le lait n’a pas souffert de Tchernobyl

ROME, Mardi 30 août 2011 (ZENIT.org)– Un renard, des petits faucons, mais aussi 25 vaches frisones, 300 poules, 60 poulets, des abeilles et des poissons : les « animaux du pape » coulent des jours prospères à Castel Gandolfo et ils font la Une de L’Osseratore Romano en italien du 31 août, sous la plume de Mario Ponzi.
Les oliviers centenaires donnent suffisamment d’huile – par pression à froid – pour les besoins du Vatican et le surplus est vendu au supermarché interne, accessible aux employés de la Cité du Vatican, tout comme les fruits du verger et du potager, le lait de ces bonnes vaches qui donnent chacune 50 litres par jour, les oeufs, le miel des ruches du pape, et les poissons de ses bassins. La pépinière fournit la Cité du Vatican et notamment le palais apostolique. Les poules, libres, élevées entre terre et ciel, produisent quelque 200 oeufs par jour.
Les jeunes faucons préservent les abricots et les pêches des pillards ailés. Le braque de garde dissuade le renard de s’approcher du poulailler pontifical, dans le domaine de Castel Gandolfo, les « Villas pontificales », « Ville pontificie », fameuses aussi pour leur roseraie et la floriculture, sur les ruines d’un domaine impérial planté d’arbres aux nombreuses essences.
Le directeur des Ville, M. Saverio Petrillo, rappelle que le domaine a aussi accueilli des hôtes assez remuants comme ces deux sangliers, cadeau du Père Zénon de Nomadelfia au pape Paul VI, ou ces gazelles offertes au pape Pie XI par le délégué apostolique en Egype. Le pape y était très attaché : lorsqu’il se trouvait à Castel Gandolfo, Pie XI allait les voir tous les jours, et jamais les mains vides, prenant la plus petite dans ses bras.
Ce même pape Pie XI voulait que « sa » ferme répondît aux exigences de l’agriculture moderne, tout en gardant un aspect rustique, champêtre. Elle possède aujourd’hui une « pasteurisatrice » dernier cri, explique le responsable de la ferme, Giuseppe Bellapadrona : le lait est pasteurisé à 75°, ce qui préserve ses qualités nutritives et donne un lait de grande qualité, riche en protéines.
Ces vaches de haut lignage – enregistrées sur le « Livre de la frisonne italienne » – jouissent d’appartements modernes rénovés en 2008, ce qui en fait un milieu de vie salubre et confortable, avec un maximum de liberté sous ce cabanon ouvert sur quatre côtés. Leur table aussi est très riche et inspirée par les traditions locales : leur foin est saupoudré de fromage parmesan ! Le maïs provoquerait des fermentations anormales du fromage. Modernissime, le système de nettoyage des zones de nuit et de jour et celle de la traite, mais la production est soumise au quota de 600 litres par jour.
Leur lait a été particulièrement utile et apprécié à l’époque du désastre de Tchernobyl : le nuage de celsium avait pollué une grande partie de la campagne italienne. Or les « vaches du Vatican » mangeaient depuis des années déjà du foin conservé à l’abri sous des toiles imperméables. Lorsque les techniciens sont venus contrôler le lait, ils ne trouvèrent aucune trace des radiations ! Les autorités sanitaires conseillèrent donc aux mamans de jeunes enfants et des personnes ayant d’urgence besoin de lait de s’adresser à la ferme du vatican.
Anita S. Bourdin