Archive pour décembre, 2006

Le nouvelle de ce jour porte notice du mort

30 décembre, 2006

Le nouvelle de ce jour porte notice du mort, je n’ai pas écrit de ce parce que le journal quotidienne déjà ont donné la notice, je ne désire pas ajouter rien ; toutes le existence sont da respecter, mais beaucoup – trop – ne sont pas d’accord ; Je désire mettre toutes le vies humaine dans la main de le créateur, ce du ceux qui tuent, ce que sont tué ; la vie, celle du monde, de la création entière est don de Dieu, il est bon, très bon, respecter touts ce que Dieu ait crée ; et encor plus la vie de l’Homme à tout les ages et dans le sein du mère da le moment de la conception ; Je pense que nous – pouvons et devon – prier et remercier Dieu pour touts son don, et parce que Il pense a nous toujours avec amour – mon coeur ne veut pas juger - à Dieu le jugement et la miséricorde .

Gabriella 

Le nouvelle de ce jour porte notice du mort michelangelocreazionediadamo

du site Vatican l’Homélie du Pape Benoît du 31.12.2005

30 décembre, 2006

du site Vatican l’Homélie du Pape Benoît du 31.12.2005 

CÉLÉBRATION DES VÊPRES ET DU TE DEUM D’ACTION DE GRÂCE
POUR LA FIN DE L’ANNÉE 2005

HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI

Samedi 31 décembre 2005

Chers frères et soeurs!

Au terme d’une année qui pour l’Eglise et le monde a été plus riche que jamais en événements, faisant mémoire du commandement de l’Apôtre:  « il vous faut marcher… appuyés sur la foi… débordant d’action de grâces » (Col 2, 6-7), nous nous retrouvons ce soir ensemble pour élever un hymne d’action de grâce à Dieu, Seigneur du temps et de l’histoire. Ma pensée remonte, avec un sentiment profond et spirituel, douze mois en arrière, lorsque, comme ce soir, le bien-aimé Pape Jean-Paul II, pour la dernière fois, s’est fait la voix du Peuple de Dieu pour rendre grâce au Seigneur des nombreux bienfaits accordés à l’Eglise et à l’humanité. Dans le même cadre suggestif de la Basilique vaticane, c’est à présent à moi qu’il revient de recueillir en esprit, de chaque lieu de la terre, le cantique de louange et d’action de grâce qui s’élève vers Dieu, à la fin de 2005 et à la veille de 2006. Oui, cela est notre devoir, en plus d’être un besoin du coeur, de louer et de rendre grâce à Celui qui, éternel, nous accompagne dans le temps sans jamais nous abandonner et qui veille toujours sur l’humanité avec la fidélité de son amour miséricordieux.

Nous pourrions bien dire que l’Eglise vit pour louer et rendre grâce à Dieu. Elle est elle-même « action de grâce », au cours des siècles, témoin fidèle d’un amour qui ne meurt pas, d’un amour qui embrasse les hommes de chaque race et culture, répandant de manière féconde les principes de vie véritable. Comme le rappelle le Concile Vatican II, « l’Eglise unit prière et travail pour que le monde entier dans tout son être soit transformé en peuple de Dieu, en Corps du Seigneur et temple du Saint-Esprit, et que soient rendus dans le Christ, Chef de tous, au Créateur et Père de l’univers, tout honneur et toute gloire » (Lumen gentium, n. 17). Soutenue par l’Esprit Saint, celle-ci « poursuit son pèlerinage à travers les persécutions du monde et les consolations de Dieu » (Saint Augustin, De Civitate Dei, XVIII, 51, 2), tirant sa force de l’aide du Seigneur. De cette manière, avec patience et avec amour, elle surmonte « les afflictions et les difficultés qui lui viennent à la fois du dehors et du dedans », et révèle « fidèlement au milieu du monde le mystère du Seigneur, encore enveloppé d’ombre, jusqu’au jour où, finalement, il éclatera dans la pleine lumière » (Lumen gentium, n. 8). L’Eglise vit du Christ et avec le Christ. Il lui offre son amour sponsal en la guidant au cours des siècles; et celle-ci, avec l’abondance de ses dons, accompagne le chemin de l’homme, afin que ceux qui accueillent le Christ aient la vie et l’aient en abondance.

Ce soir, je me fais tout d’abord la voix de l’Eglise de Rome, pour élever vers le Ciel le cantique commun de louange et d’action de grâce. Cette dernière, notre Eglise de Rome, au cours des douze mois écoulés, a été l’objet de la visite de nombreuses autres Eglises et Communautés ecclésiales, venues pour approfondir le dialogue de la vérité dans la charité, qui unit tous les baptisés, et pour éprouver ensemble de manière plus vive le désir de la pleine communion. Mais de nombreux croyants d’autres religions ont également voulu témoigner  leur  propre  estime  cordiale et fraternelle à cette Eglise et à son Evêque, conscients que dans la rencontre sereine et respectueuse se trouve l’âme d’une action unanime en faveur de l’humanité tout entière. Et que dire des nombreuses personnes de bonne volonté, qui ont tourné leur regard vers ce Siège pour établir un dialogue fructueux sur les grandes valeurs concernant la vérité de l’homme et de la vie, que l’on doit défendre et promouvoir? L’Eglise veut toujours être accueillante, dans la vérité et dans la charité.

En ce qui concerne le chemin du diocèse de Rome, j’ai plaisir à m’arrêter brièvement sur le programme pastoral diocésain, qui cette année a fixé son attention sur la famille, en choisissant pour thème:  « La famille et la communauté chrétienne:  formation de la personne et transmission de la foi ». La famille a toujours été au centre de l’attention de mes vénérés Prédécesseurs, en  particulier de Jean-Paul II, qui a consacré à son sujet de multiples interventions. Il était persuadé, et il l’a répété en plusieurs occasions, que la crise de la famille constitue un grave préjudice pour notre civilisation elle-même. Pour souligner précisément l’importance dans la vie de l’Eglise et de la société de la famille fondée sur le mariage, j’ai moi aussi voulu offrir ma contribution en intervenant, le soir du 6 juin dernier, au Congrès diocésain à Saint-Jean-de-Latran. Je suis heureux de constater que le programme du diocèse se déroule de manière positive à travers une action apostolique diffuse, qui est accomplie dans les paroisses, dans les préfectures et dans les divers groupes ecclésiaux. Que le Seigneur veuille que l’effort commun conduise à un authentique renouveau des familles chrétiennes. Je saisis ici l’occasion de saluer les représentants de la communauté religieuse et civile de Rome présents à cette célébration de fin d’année. Je salue tout d’abord le Cardinal-Vicaire, les Evêques auxiliaires, les prêtres, les religieux et les fidèles laïcs venus de diverses paroisses; je salue en outre le Maire de la ville et les autres Autorités. J’étends ma pensée à toute la communauté romaine, dont le Seigneur m’a appelé à être le pasteur, et je renouvelle à tous l’expression de ma proximité spirituelle.

Au début de cette célébration, éclairés par la Parole de Dieu, nous avons chanté ensemble avec foi le « Te Deum ». De nombreux motifs rendent intense notre action de grâce, la transformant en prière chorale. Alors que nous considérons les multiples événements qui ont marqué le passage des mois en cette année qui touche à son terme, je désire rappeler de manière particulière ceux qui sont en difficulté:  les personnes les plus pauvres et abandonnées, ceux qui ont perdu l’espérance de trouver un fondement à leur existence, ou qui sont les victimes involontaires d’intérêts égoïstes,  sans  qu’on  leur  demande leur adhésion ou leur opinion. En faisant nôtres leurs souffrances, nous les confions tous à Dieu, qui sait conduire toute chose vers le bien; c’est à Lui que nous remettons notre désir que chaque personne voit accueillie sa dignité de fils de Dieu. Nous demandons au Seigneur de la vie de soulager par sa grâce les peines provoquées par le mal, et de continuer à soutenir notre existence terrestre, en nous donnant le Pain et le Vin du salut, pour accompagner notre chemin vers la patrie du Ciel.

Alors que nous prenons congé de l’année qui se conclut et que nous nous dirigeons vers l’année nouvelle, la liturgie de ces premières Vêpres nous introduit dans la fête de Marie, Mère de Dieu, Theotókos. A huit jours de la naissance de Jésus, nous célébrons Celle qui « lorsque vint la plénitude des temps » (Ga 4, 4) fut choisie par Dieu pour être la Mère du Sauveur. La Mère est celle qui donne la vie, mais également celle qui aide et qui enseigne à vivre. Marie est Mère, la Mère de Jésus à qui elle a donné son sang, son corps. Et c’est Elle qui nous présente le Verbe éternel du Père, venu habiter parmi nous. Nous demandons à Marie d’intercéder pour nous. Que sa protection maternelle nous accompagne aujourd’hui et toujours, pour que le Christ nous accueille un jour dans sa gloire, dans l’assemblée des saints:  Aeterna fac cum sanctis tuis in gloria numerari.

Amen!

Te Deum laudamus

30 décembre, 2006

le « Te Deum » en deux version latin-français, par le site:

http://www.cef.fr/catho/prier/prieres/tedeum.php

Te Deum
Te Deum laudamus :
A Dieu, notre louange 
Te Dominum confitemur .
Seigneur, nous te glorifions
Te aeternum Patrem omnis terra veneratu.
A toi, Père éternel la terre entière te vénère.
Tibi omnes Angeli, tibi Caeli et universae Potestates
A toi les anges et toutes les puissances d’en -haut
Tibi Cherubim et Seraphim incessabili voce proclamant :
A toi tous les esprits bienheureux redisent sans cesse :
Sanctus ! Sanctus ! Sanctus ! Dominus Deus Sabaoth
Saint ! Saint ! Saint ! Le Seigneur Dieu de l’univers
Pleni sunt caeli et terra majestatis gloriae tuae. Le ciel et la terre sont remplis de ta gloire.
Te gloriosus Apostolorum chorus : te Prophetarum laudabilis numerus  
Le chœur glorieux des apôtres, les prophètes
te Martyrum candidatus
laudat exercitus ;
L’armée des martyrs, chante ta gloire 
Te per orbem terrarum sancta confitetur Ecclesia :
Par toute la terre la Sainte Eglise confesse
Patrem , immensae majestatis , venerandum tuum verum et unicum Filium 
O Père, ton infinie majesté, ton adorable et unique vrai Fils,
Sanctum quoque Paraclitum Spiritum.
Avec le Saint Esprit consolateur.
Tu Rex gloriae,Christe  ,
tu Patris sempiternus es Filius.
O Christ, tu es le Roi de gloire, tu es le Fils éternel du Père
Tu, ad liberandum suscepturus hominem non horruisti Virginis uterum
Pour libérer l’humanité tu t’es fait homme, ne dédaignant pas le corps de la Vierge.
Tu, devicto mortis aculeo, aperuisti credentibus regna caelorum
Vainqueur de la mort, tu ouvres aux croyants le royaume des cieux.
Tu ad dextera Dei sedes in gloria Patris.
Tu sièges à la droite de Dieu dans la gloire du Père
Judex crederis esse venturus.
Nous croyons que tu es le juge qui doit venir
Te ergo quaesumus, tuis famulis subveni quos pretioso sanguine redemisti,
Daigne alors secourir tes serviteurs que tu as rachetés par ton sang précieux.
Aeterna fac cum Sanctis tuis In gloria numerari.
Faits qu’ils soient au nombre de tes saints, dans ta gloire éternelle
Salvum fac populumtuum Domine, et benedic lhaeriditati tuae
Sauve ton peuple Seigneur et bénis ton héritage.
Et rege eos et extolle illos usque in aeternum
Sois leur guide et conduis-les sur le chemin d’éternité
Per singulos dies, benedicimus te
Chaque jour nous te bénissons
Et laudamus nomen tuum in seculum, et in seculum saeculi
Nous te louons à jamais dans les siècles des siècles.
Dignare, Domine, die isto sine peccato nos custodire.
Daigne veiller sur nous et nous garder de toute faute
Miserere nostri, Domine, miserere nostri,
Aie pitié de nous Seigneur
Fiat misericordia tua, Domine, super nos quemadmodum speravimus in te.
Que ta miséricorde soit sur nous puisque tu es notre espoir.
In te, Domine, speravi : non confundar in aeternum
Tu es, Seigneur, mon espérance jamais je ne serai déçu.
Te Deum laudamus dans liturgie pix_trans
 

F3 dans liturgie

lecture de la messe d’aujourd’hui 29.12.06

29 décembre, 2006

lecture de la messe d’aujourd’hui par le site: « Chemin d’amour vers le Père », lien sous: Site à regardez: 

Première lettre de saint Jean 2,3-11.

Et voici comment nous pouvons savoir que nous le connaissons : c’est en gardant ses commandements.
Celui qui dit : « Je le connais », et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur : la vérité n’est pas en lui.
Mais en celui qui garde fidèlement sa parole, l’amour de Dieu atteint vraiment la perfection : voilà comment nous reconnaissons que nous sommes en lui.
Celui qui déclare demeurer en lui doit marcher lui-même dans la voie où lui, Jésus, a marché.
Mes bien aimés, ce que je vous écris n’est pas un commandement nouveau, mais un commandement ancien que vous aviez dès le début. Ce commandement ancien, c’est la parole que vous avez entendue.
Et pourtant, ce commandement que je vous écris est nouveau, il l’est vraiment en Jésus et en vous, puisque les ténèbres sont en train de disparaître, et que déjà brille la vraie lumière.
Celui qui déclare être dans la lumière et qui a de la haine contre son frère est encore maintenant dans les ténèbres.
Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et il n’y a pour lui aucune occasion de chute.
Mais celui qui a de la haine contre son frère est dans les ténèbres : il marche dans les ténèbres sans savoir où il va, parce que les ténèbres l’ont rendu aveugle.


Psaume 96(95),1-3.5-6.

Chantez au Seigneur un chant nouveau, chantez au Seigneur, terre entière,
chantez au Seigneur et bénissez son nom ! De jour en jour, proclamez son salut,
racontez à tous les peuples sa gloire, à toutes les nations ses merveilles !
néant, tous les dieux des nations ! Lui, le Seigneur, a fait les cieux :
devant lui, splendeur et majesté, dans son sanctuaire, puissance et beauté.


Evangile de Jésus-Christ selon saint Luc 2,22-35.

Quand arriva le jour fixé par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus le portèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi présenter en offrande le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
L’Esprit lui avait révélé qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Messie du Seigneur.
Poussé par l’Esprit, Syméon vint au Temple. Les parents y entraient avec l’enfant Jésus pour accomplir les rites de la Loi qui le concernaient.
Syméon prit l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant :
« Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s’en aller dans la paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu ton salut,
que tu as préparé à la face de tous les peuples :
lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d’Israël ton peuple. »
Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qu’on disait de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division.
- Et toi-même, ton coeur sera transpercé par une épée. – Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d’un grand nombre. »
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris
presentazionealtempiogiovannilanfrancodalquirinalke.jpg 

Presentazione al tempio – Giovanni Lanfranco – du Palais du Président de la République  »Quirinale »

un commentaire de l’Église Orthodoxe pour l’évangile d’aujourd’hui

29 décembre, 2006

Présentation ou Temple – commentaire de l’Église Orthodoxe – le commentaire est écrit pour la fête de 2 Février, il s’accorde, toutefois, avec la liturgie d’aujourd’hui et explique tout l’histoire de ce moment du petit enfant Jésus ; ce commentaire renvoi a l’évangile d’aujourd’hui mais il est important rappeler que la 1er lecture c’est de la 1er lettre de Jean que nous avons déjà vous : 1Gv2-3-11, et je vous rappelle, encore un fois, que c’est la lettre que inspire l’Encyclique « Deus Caritas est » ;

du site de l’Église Orthodoxe:

http://www.orthodoxworld.ru/french/feasts/6/index.htm

D’après la loi de Moïse (Lv 12, 2-8), la mère d’un enfant mâle devait, quarante jours après la naissance, présenter l’enfant devant le tabernacle et offrir en holocauste, comme purification  » de son flux de sang « , soit un agneau soit une paire de colombes ou de pigeons. La présentation d’un enfant premier-né avait aussi le sens d’un rachat, car tout premier-né, aussi bien animal qu’humain, était considéré comme appartenant à Dieu (Nb 18, 14-18). Marie et Joseph obéirent à ce précepte de la loi. Ils apportèrent au Temple Jésus qui fut béni par le vieillard Siméon et reconnu comme sauveur par la prophétesse Anne. C’est cet événement que nous célébrons dans la fête du 2 février.
Aux vêpres de la fête, le soir du 1er février, on lit trois leçons de l’Ancien Testament. La première (Ex 13, 1-16) formule les préceptes relatifs à la circoncision et à la purification, mis dans la bouche de Dieu parlant à Moïse. La deuxième (Is 6, 1-12) décrit la vision des séraphins aux six ailes par Isaïe et la manière dont un des séraphins, avec un chardon ardent, purifia les lèvres du prophète ; ce passage a vraisemblablement été choisi à cause de quelques paroles qui pourraient symboliquement préfigurer la venue du Christ dans le Temple :  » Les gonds du seuil vibraient… et le Temple se remplissait de fumée… et mes yeux ont vu le Roi, le Seigneur des Armées « . La troisième leçon (fragments du chapitre 19 d’Isaïe) ne se comprend bien que si on lit le chapitre tout entier : on voit alors que la venue du Seigneur en Égypte, la destruction des idoles égyptiennes en sa présence, et son adoration pas les Égyptiens peuvent s’appliquer à la révélation que le Christ a faite de lui-même aux païens, ( » lumière pour éclairer les nations « , comme dit le cantique de Siméon.) L’évangile lu à matines (Lc 2, 25-32) est un abrégé de celui qui est lu à la liturgie (Lc 2, 22-40) et qui relate la présentation de Jésus au Temple. L’épître de la liturgie (He 7, 7-17), parle de Melchisedek rencontrant Abraham ; déjà Lévi a payé la dîme à Melchisedek  » en la personne d’Abraham… car il était dans les reins de son aïeul…  » ; le sacerdoce aaronique rendait ainsi hommage au sacerdoce éternel ; de même, pouvons-nous inférer de ce texte, que le Temple de Jérusalem, en la personne de Siméon qui accueille et bénit Jésus, rend hommage au sacerdoce du Christ. On sait que le cantique de Siméon,  » Laisse maintenant, Seigneur, ton serviteur s’en aller en paix « , est devenu un élément de l’office divin quotidien, à Rome comme à Byzance. La phrase de Siméon à Marie,  » un glaive te transpercera l’âme… « , jette un rayon de lumière sur le mystère de la participation de la Très Sainte Vierge à la Passion de son Fils.
 » Allons, nous aussi… à la rencontre du Christ et accueillons-le, ornez votre chambre… et recevez le Christ Roi… Et accueillez Marie la porte du ciel « . Ces chants de la fête de la Présentation s’appliquent aussi à notre âme. Chaque âme devrait être un Temple de Dieu, où Marie apporte Jésus. Et chacun de nous, comme Siméon, devrait prendre l’enfant dans ses bras et dire au Père :  » Mes yeux ont vu ton salut. La prière de Siméon,  » laisse ton serviteur s’en aller en paix « , ne signifie pas seulement que celui qui a vu Jésus et l’a tenu dans ses bras peut maintenant quitter cette vie, mourir en paix. Elle signifie encore pour nous que, ayant vu et touché le Sauveur, nous sommes délivrés de la servitude du péché et nous pouvons nous éloigner en paix du royaume du mal.

un commentaire de l'Église Orthodoxe pour l'évangile d'aujourd'hui dans commentaire à la Sacrée Écriture pour le jour courant sretenie1

photo du même site

hier soir j’ai écrit une poésie pour mes amis français…

28 décembre, 2006

je ne sais pas si moi a réussi à exprimer ce qui pensais et j’entendais, mais Dieu, que tout comprend, il peut ajouter avec son Esprit celui-là qui n’ai pas su mettre : 

Une prière pour mes amis français (27.12.06) 

Je désire écrire une prière,  Ce que j’ai déjà dans mon coeur 

Pour mes amis français 

°°°

Que toi, mon Dieu  Donne un chemin, un parcours, 

Tous particulier pour eux, 

°°°

Qu’ils s’approchent a toi  D’un façon tous particulière, 

Tendrement, silencieusement, 

°°°

Comme ceux qui tout ait connu  Et, néanmoins, ils veulent 

Connaître encore touts de nouveaux, 

°°°

Comme qu’il sait de non savoir,  Comme qui ait connu la faiblesse 

De la nature humaine et, ensemble 

°°°

La poésie du ciel plein du signe de toi,  Et le firmament des étoile : 

Domicile des anges devient le subitement 

°°°

Donne aux amis français une parcours  Seulement pour eux et ensemble 

Qui est amplification pour tous et avec tous. 

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Le jours des Saint Innocents du 2005 il fut mercredì, je mets la catéchèse du Pape Benoît

28 décembre, 2006

Le jours des Saint Innocents du 2005 il fut mercredì, je mets la catéchèse du Pape Benoît:

BENOÎT XVI

AUDIENCE GÉNÉRALE

Mercredi 28 décembre 2005

O Dieu, tu me scrutes et me connais
LecturePs 138, 13-16.23-24

1. En cette Audience générale du mercredi de l’Octave de Noël, fête liturgique des Saints Innocents, nous reprenons notre méditation sur le Psaume 138, dont la lecture est proposée comme prière par la Liturgie des Vêpres en deux étapes distinctes. Après avoir contemplé  dans  la  première  partie (cf. vv. 1-12) le Dieu omniscient et omniprésent, Seigneur de l’être et de l’histoire, cet hymne sapientiel d’intense beauté et passion se tourne à présent vers la réalité la plus élevée et admirable de tout l’univers, l’homme, défini comme le « prodige » de Dieu (cf. v. 14). Il s’agit en réalité d’un thème profondément en harmonie avec l’atmosphère de Noël que nous vivons en ces journées, au cours desquelles nous célébrons le grand mystère du Fils de Dieu qui s’est fait homme, ou plutôt qui s’est fait enfant, pour notre salut.

Après avoir considéré le regard et la présence du Créateur qui embrassent tout  l’horizon  cosmique,  dans   la deuxième partie du Psaume que nous méditons aujourd’hui, les yeux pleins d’amour de Dieu se tournent vers l’être humain, considéré dans son début plein et complet. Il est encore « informe » dans l’utérus maternel:  le terme hébreu utilisé a été entendu par certains experts bibliques comme un renvoi à l’ »embryon », décrit dans ce terme comme une petite réalité ovale, lovée, mais sur laquelle se pose déjà le regard bienveillant et plein d’amour des yeux de Dieu (cf. v. 16).

2. Le Psalmiste, pour définir l’action divine à l’intérieur du sein maternel, a recours aux images bibliques classiques, alors que la cavité génératrice de la mère est comparée aux « profondeurs de la terre », c’est-à-dire à la vitalité constante de la grande mère terre (cf. v. 15).

Il y a tout d’abord le Symbole du potier et du sculpteur qui « forme », modèle sa création artistique, son chef-d’oeuvre, précisément comme on le disait dans le livre de la Genèse à propos de  la  création  de  l’homme:   « Alors Yahvé Dieu modela l’homme avec la glaise du sol » (Gn 2, 7). Il y a ensuite le symbole du « tissu », qui évoque la délicatesse  de la peau, de la chair, des nerfs « tissés » sur le squelette osseux. Job réévoquait lui aussi avec force ces images, ainsi que d’autres, pour exalter ce chef-d’oeuvre qu’est la personne humaine, bien que frappée et blessée par la souffrance:  « Tes mains m’ont façonné, créé;… Souviens-toi :  tu m’as fait comme on pétrit l’argile… Ne m’as-tu pas coulé comme du lait et fait cailler comme du laitage, vêtu de peau et de chair, tissé en os et en nerfs? » (Jb 10, 8-11).

3. Dans notre Psaume, l’idée que Dieu voit déjà tout l’avenir de cet embryon encore « informe » est extrêmemnt puissante:  dans le livre de la vie du Seigneur sont déjà inscrits les jours que cette créature vivra et remplira d’oeuvres au cours de son existence terrestre. C’est ainsi que réapparaît la grandeur transcendante de la connaissance divine, qui n’embrasse pas seulement le passé et le présent de l’humanité, mais également la perspective encore cachée de l’avenir. Mais apparaît ici également la grandeur de cette petite créature humaine non née, formée par les mains de Dieu et entourée de son amour:  un éloge biblique de l’être humain dès le premier moment de son existence.

Nous voudrions à présent nous remettre à la réflexion que saint Grégoire le Grand, dans ses Homélies sur Ezéchiel, a élaborée sur la phrase du Psaume que nous avons commenté plus haut:  « Mon embryon, tes yeux le voyaient:  sur ton livre, ils sont tous inscrits les jours qui ont été fixés » (v. 16). Sur ces mots, le Pontife et Père de l’Eglise a construit une méditation originale et délicate, concernant ceux qui dans la communauté chrétienne sont les plus faibles dans leur démarche spirituelle.

Et il dit que même les plus faibles dans la foi et dans la vie chrétienne font partie de l’architecture de l’Eglise, ils s’y « trouvent toutefois comptés… en vertu de son bon vouloir. C’est vrai, ils sont imparfaits et petits, cependant pour autant qu’ils réussissent à comprendre, ils aiment Dieu et leur prochain et ne négligent pas d’accomplir le bien qu’ils peuvent. Même s’ils n’arrivent pas encore aux dons spirituels, au point d’ouvrir l’âme à l’action parfaite et à la contemplation ardente, ils ne refusent toutefois pas l’amour de Dieu et du prochain, dans la mesure où ils sont capables de le comprendre. C’est pourquoi, il arrive qu’eux aussi contribuent, tout en étant situés à une place moins importante, à l’édification de l’Eglise, car, bien qu’inférieurs du point de vue de la doctrine, de la prophétie, de la grâce des miracles et du complet détachement du monde, ils reposent toutefois sur le fondement de la crainte et de l’amour, dans lequel ils trouvent leur solidité » (2, 3, 12-13, OEuvres de Grégoire le Grand, III/2, Rome 1993, pp. 79.81).

Le message de saint Grégoire devient un grand réconfort pour nous tous qui avançons souvent avec difficulté sur le chemin de la vie spirituelle et ecclésiale. Le Seigneur nous connaît et nous entoure tous de son amour.

***

Je salue cordialement les pèlerins francophones, notamment les membres du Conseil général élargi de la Congrégation de Jésus et Marie, et le groupe de la paroisse Saint-Victor de Meylan. À tous, je souhaite une heureuse et sainte année 2006, avec la Bénédiction apostolique.

Audience du 27 décembre -Texte intégral de la catéchèse de Benoît XVI

28 décembre, 2006

du Zenith (il arrive peux de photo du site Yahoo aussi d’où je prend les image du Pape Benoît): 

Audience du 27 décembre : Pour construire la paix, accueillir le don de Noël qui est l’amour

Texte intégral de la catéchèse de Benoît XVI

ROME, Jeudi 28 décembre 2006 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous le texte intégral de la catéchèse que le pape Benoît XVI a prononcée au cours de l’audience générale de ce mercredi.

* * *

Chers frères et sœurs, La rencontre d’aujourd’hui se déroule dans l’atmosphère de Noël imprégnée de la joie profonde de la naissance du Sauveur. Nous avons célébré avant-hier ce mystère, dont l’écho se répand dans la liturgie au cours de toutes ces journées. C’est un mystère de lumière que les hommes de chaque époque peuvent revivre dans la foi. Dans notre âme retentissent les paroles de l’évangéliste Jean, dont nous célébrons la fête précisément aujourd’hui : « Et Verbum caro factum est — Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous » (Jn 1, 14). A Noël, donc, Dieu est venu habiter parmi nous ; il est venu pour nous, pour demeurer parmi nous. Une question traverse ces deux mille ans d’histoire chrétienne : « Mais pourquoi l’a-t-il fait, pourquoi Dieu s’est-il fait homme ? ». Le chant que les anges entonnèrent au-dessus de la grotte de Bethléem nous aide à répondre à cette interrogation : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes qu’il aime » (Lc 2, 14). Le cantique de la nuit de Noël, entré dans le Gloria, fait désormais partie de la liturgie comme les trois autres cantiques du Nouveau Testament, qui se réfèrent à la naissance et à l’enfance de Jésus, le Benedictus, le Magnificat et le Nunc dimittis. Alors que ces derniers sont respectivement insérés dans les Laudes du matin, dans la prière du soir des Vêpres et dans la prière nocturne de Complies, le Gloria a trouvé sa place précisément dans la Messe. Dès le IIe siècle, plusieurs exclamations furent ajoutées aux paroles des anges : « Nous te louons, nous te bénissons, nous t’adorons, nous te glorifions, nous te rendons grâce pour ton immense gloire » ; et plus tard d’autres invocations : « Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, Fils du Père, qui enlève les péchés du monde…», jusqu’à formuler un air de louange harmonieux qui fut chanté pour la première fois au cours de la Messe de Noël et ensuite tous les jours de fête. Inséré au début de la célébration eucharistique, le Gloria sert à souligner le continuité qui existe entre la naissance et la mort du Christ, entre Noël et Pâques, des aspects inséparables de l’unique et même mystère de salut.L’Evangile rapporte que la multitude des anges chantait : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes qu’il aime ». Les anges annonçaient aux pasteurs que la naissance de Jésus « es » gloire pour Dieu au plus haut des cieux ; et « est » paix sur la terre pour les hommes qu’il aime. C’est pourquoi on a l’habitude, de manière opportune, de placer ces paroles des anges au-dessus de la grotte pour expliquer le mystère de Noël, qui s’est accompli dans la crèche. Le terme « gloire » (doxa) indique la splendeur de Dieu qui suscite la louange reconnaissante des créatures. Saint Paul dirait : c’est « la connaissance de la gloire de Dieu qui est sur la face du Christ » (2 Co 4, 6). « Paix » (eirene) sert à synthétiser la plénitude des dons messianiques, c’est-à-dire le salut qui, comme le remarque toujours l’Apôtre, s’identifie avec le Christ lui-même : « C’est lui, le Christ, qui est notre paix » (Ep 2, 14). L’on trouve enfin une référence aux hommes « de bonne volonté ». Dans le langage courant, « bonne volonté » (eudokia) fait penser à la « bonne volonté » des hommes, mais ici est plutôt indiqué le « bon vouloir » de Dieu envers les hommes, qui ne connaît pas de limites. Et voilà alors le message de Noël : avec la naissance de Jésus, Dieu a manifesté son bon vouloir envers tous.Revenons à la question : « Pourquoi Dieu s’est-il fait homme ? ». Saint Irénée écrit : « Le Verbe s’est fait dispensateur de la gloire du Père au bénéfice des hommes… L’homme qui vit — vivens homo — est gloire de Dieu et sa vie consiste dans la vision de Dieu » (Adv. Haer. IV, 20, 5.7). La gloire de Dieu se manifeste donc dans le salut de l’homme, que Dieu a tant aimé « qu’il a donné — comme l’affirme l’évangéliste Jean — son Fils unique, ainsi tout homme qui croit en lui ne périra pas, mais il obtiendra la vie éternelle » (Jn 3, 16). C’est donc l’amour la raison ultime de l’incarnation du Christ. La réflexion du théologien Hans Urs von Balthasar est éloquente à ce propos. Il a écrit : Dieu « n’est pas, en premier lieu, une puissance absolue, mais un amour absolu dont la souveraineté ne se manifeste pas dans le fait de garder pour soi ce qui lui appartient, mais dans son abandon » (Mysterium paschale, I, 4). Le Dieu que nous contemplons dans la crèche est Dieu-Amour.L’annonce des anges retentit alors pour nous également comme une invitation : que « soit » rendue gloire à Dieu au plus haut des cieux, que « soit » édifiée la paix sur la terre parmi les hommes qu’Il aime. La seule façon de glorifier Dieu et de construire la paix dans le monde consiste dans l’humble accueil confiant du don de Noël : l’amour. Le chant des anges peut alors devenir une prière à répéter souvent, pas seulement en ce temps de Noël. Un hymne de louange à Dieu au plus haut des cieux et une fervente invocation de paix sur la terre, qui doit se traduire par un engagement concret à la construire à travers notre vie. Tel est l’engagement que Noël nous confie.© Copyright du texte original en italien : Libreria Editrice Vaticana

Traduction réalisée par Zenit

Voici le résumé en français de la catéchèse, lu par le pape: 

 Chers Frères et Sœurs, Dans l’atmosphère joyeuse du temps de Noël, résonnent dans nos cœurs les paroles de l’évangéliste Jean, dont nous célébrons aujourd’hui la fête: « Le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous » (Jn 1, 14). Dieu est venu pour nous, pour demeurer avec nous. Mais pourquoi l’a-t-il fait ? Pourquoi Dieu s’est-il fait homme ? Le chant des anges au-dessus de la grotte de Bethléem nous éclaire. Ils annoncent aux bergers que la naissance de Jésus « est » gloire pour Dieu au plus haut des cieux et qu’elle « est » paix sur la terre aux hommes, qu’il aime. Jésus est Celui sur le visage de qui a rayonné la connaissance de la gloire de Dieu, cette splendeur de Dieu qui suscite la louange reconnaissante des créatures. Et Jésus est notre paix, la plénitude des dons messianiques, le salut qui s’identifie avec le Christ lui-même. Dieu s’est fait homme parce que l’amour de Dieu pour l’homme est la raison ultime de l’incarnation du Christ. La gloire de Dieu se manifeste dans le salut de l’homme. Comme le dira le théologien Hans Urs von Balthasar: Dieu « n’est pas en premier lieu une puissance absolue, mais un amour absolu dont la souveraineté ne se manifeste pas dans le fait de garder pour soi ce qui lui appartient, mais dans son abandon » (Mysterium paschale I, 4). Le Dieu que nous contemplons dans la crèche est le Dieu-Amour. Je salue cordialement les pèlerins francophones présents ce matin. Puissiez-vous faire vôtre le chant des anges et accueillir humblement dans la confiance le don de Noël, glorifiant Dieu chaque jour de votre vie et vous engageant concrètement à être d’audacieux bâtisseurs de paix. [Texte original: Français]
© Copyright : Libreria Editrice Vaticana

Avis…

27 décembre, 2006

j’avais mis, sous Pages, le texte de le discous di Pape Benoît a la curie romaine: sous « C’est la synthese… »

Le texte de le deux lecture de la « l’Office des lectures »

27 décembre, 2006

 Le texte de le deux lecture de la « Office des Lectures »

1 Jean. Chapitre 1,1-2,3 

1 Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché, concernant la parole de vie, -
2 car la vie a été manifestée, et nous l’avons vue et nous lui rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle, qui était auprès du Père et qui nous a été manifestée, -
3 ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons, à vous aussi, afin que vous aussi vous soyez en communion avec nous. Or, notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ.
4 Et nous écrivons ces choses, afin que notre joie soit parfaite.
5 La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c’est que Dieu est lumière, et qu’il n’y a point en lui de ténèbres.
6 Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité.
7 Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché.
8 Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous.
9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.
10 Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n’est point en nous. 
Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste.
2
Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier.
3 Si nous gardons ses commandements, par là nous savons que nous l’avons connu. 

Le texte 2eme, du Saint Augustin, l’original est un peu longe, si vous voulez le lire le lien est : 

 http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/augustin/jean/parthes/index.htm#_Toc6821330  

1,2,3 chapitre, mais sur le Bréviaire c’est composée en coupant une partie, chose que je ne me sens pas faire, en n’ayant pas un déjà texte prêt; 

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