Archive pour le 28 avril, 2007

« Je leur donne la vie éternelle »

28 avril, 2007

du site EAQ

Saint Grégoire le Grand (vers 540-604), pape, docteur de l’Église
Homélie 14 sur l’Evangile ; PL 76, 1129-1130 (trad. Brésard, 2000 ans C, p 136)

« Je leur donne la vie éternelle »

Voici que celui qui est bon, non par un don reçu, mais par nature, dit : « Je suis le bon Pasteur ». Et il poursuit, pour que nous imitions le modèle qu’il nous a donné de sa bonté : « Le bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis » (Jn 10,11). Lui, il a réalisé ce qu’il a enseigné ; il a montré ce qu’il a ordonné. Bon Pasteur, il a donné sa vie pour ses brebis, pour changer son corps et son sang en notre sacrement, et rassasier de l’aliment de sa chair les brebis qu’il avait rachetées. La route à suivre est montrée : c’est le mépris qu’il a fait de la mort. Voici placé devant nous le modèle sur lequel nous avons à nous conformer. D’abord nous dépenser extérieurement avec tendresse pour ses brebis ; mais ensuite, si c’est nécessaire, leur offrir même notre mort.

Il ajoute : « Je connais — c’est-à-dire j’aime — mes brebis et mes brebis me connaissent ». C’est comme s’il disait en clair : « Qui m’aime, me suive ! », car celui qui n’aime pas la vérité ne la connaît pas encore. Voyez, frères très chers, si vous êtes vraiment les brebis du bon Pasteur, voyez si vous le connaissez, voyez si vous percevez la lumière de la vérité. Je parle non de la perception de la foi mais de celle de l’amour ; vous percevez non par votre foi, mais par votre comportement. Car le même évangéliste Jean, de qui vient cette parole, affirme encore : « Celui qui dit qu’il connaît Dieu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur » (1Jn 2,4). C’est pourquoi, dans notre texte, le Seigneur ajoute aussitôt : « De même que le Père me connaît et que je connais le Père, et je donne ma vie pour mes brebis », ce qui revient à dire clairement : Le fait que je connais mon Père et que je suis connu de mon Père, consiste en ce que je donne ma vie pour mes brebis. En d’autres termes : Cet amour par lequel je vais jusqu’à mourir pour mes brebis montre combien j’aime le Père.

Une madone

28 avril, 2007

du site: 

http://www.biblisem.net/indexgen.htm

Une madone

À Bologne, au Musée, au-dessus d’une porte,
On peut voir un tableau non signé, de n’importe
Quel vieux maître naïf dont les noms sont perdus.
C’est simplement la Vierge avec l’enfant Jésus,
Mais regardez ! Marie a de grands yeux célestes,
Lourds d’amour. Dans la paix du site aux plans agrestes,
Sa tête fine et calme est d’un contour si pur,
Que des anges ailés descendent de l’azur
Pour la voir et la mettre à l’ombre de leurs ailes.
Elle doit ressembler aux jeunes demoiselles
Qui venaient, vers l’an mille ou douze cent, s’asseoir
À leur balcon doré, sous l’étoile du soir,
Tandis qu’on leur chantait sur des airs de cantique.
Des vers très amoureux, très doux et très mystiques.
Jésus est blond, frisé, souriant et tout nu.
Il vous regarde ainsi qu’un visage connu,
Et de sa lèvre rose il cherche la mamelle.
Une grâce un peu roide, où la bonté se mêle,
Sort de ce vieux tableau tout jauni par les ans ;
Il s’harmonise en tons fanés, mais caressants,
Comme une fleur qu’on trouve en un vieil Évangile,
Toute pâle et charmante en sa pâleur fragile.
À contempler ses traits chastement familiers,
On sent ce qu’éprouvaient jadis les chevaliers
Et les pages rêveurs. Sous le regard limpide
De cette Vierge au front maternel et candide,
Le coeur, divinement ému, n’est pas troublé ;
Mais il aspire au grand amour immaculé,
Idéal, éternel, dont conservent la marque
Les extatiques chants de Dante et de Pétrarque.

Émile BLÉMONT, Poèmes d’Italie.

Père Cantalamessa – Je suis le bon pasteur

28 avril, 2007

du site:

http://www.cantalamessa.org/fr/omelieView.php?id=56

Je suis le bon pasteur

Dimanche 29 avril -Jean 10, 27-30.

Dans les trois cycles liturgiques, le quatri
ème dimanche de Pâques présente un passage de lEvangile de Jean sur le bon pasteur. Après nous avoir conduits, dimanche dernier, parmi les pêcheurs, lEvangile nous conduit parmi les pasteurs. Deux catégories dimportance égale dans les Evangiles. De lune dérive le titre de « pêcheurs dhommes », de lautre celui de « pasteurs d’âmes », donné aux apôtres.

La plus grande partie du territoire de Galilée était un haut plateau au sol rude et rocailleux, plus adapté à l’élevage de brebis qu’à lagriculture. Lherbe était rare et le troupeau devait se déplacer en permanence ; il nexistait pas de murs de protection et pour cette raison, la présence constante du pasteur au milieu de son troupeau était nécessaire. Un voyageur du siècle dernier nous a laissé un portrait du pasteur palestinien de l’époque : « Quand je le vis, sur un pâturage des hauteurs, fatigué, le regard scrutant au loin, exposé aux intempéries, appuyé sur son bâton, toujours attentif aux mouvements du troupeau, je compris pourquoi le pasteur a acquis une telle importance dans lhistoire dIsraël, au point quils ont donné ce titre à leur roi, et que le Christ la choisi comme emblème du sacrifice de soi ».

Dans lAncien Testament, Dieu lui-même est représenté comme pasteur de son peuple. « Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien » (Ps 22 [23], 1). « Il est notre Dieu ; nous sommes le peuple qu’il conduit, le troupeau guidé par sa main » (Ps 94 [95], 7). Le futur Messie est lui aussi décrit avec limage du pasteur : « Comme un berger, il conduit son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son coeur, et il prend soin des brebis qui allaitent leurs petits » (Is 40, 11). Cette image idéale du pasteur est pleinement réalisée dans le Christ. Il est le bon pasteur qui va à la recherche de la brebis perdue ; il a pitié du peuple car il le voit « comme des brebis sans berger » (Mt 9, 36) ; il appelle ses disciples « le petit troupeau » (Lc 12, 32). Pierre appelle Jésus « le pasteur de nos âmes » ( cf. 1P 2, 25) et la Lettre aux Hébreux « le berger des brebis, Pasteur par excellence » (He, 13, 20).

Le passage de lEvangile de ce dimanche souligne quelques caractéristiques de Jésus bon pasteur. La première concerne la connaissance mutuelle entre la brebis et le berger : « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent ». Dans certains pays dEurope les ovins sont élevés principalement pour la viande ; en Israël ils sont élevés essentiellement pour la laine et le lait. Celles-ci demeuraient par conséquent pendant de longues années en compagnie du berger qui finissait par connaître le caractère de chacune et par leur donner un nom affectueux.

Ce que veut dire Jésus à travers ces images est clair. Il connaît ses disciples (et, en tant que Dieu, tous les hommes), il les connaît par « leurs noms », ce qui, pour la Bible, signifie dans leur moi le plus intime. Il les aime dun amour personnel qui atteint chacun comme sil était le seul à exister devant lui. Le Christ ne sait compter que jusqu’à un : et ce « un » cest chacun de nous.

L’évangile daujourdhui nous dit une autre chose du bon pasteur. Il donne sa vie aux brebis et pour les brebis et personne ne pourra les lui enlever. Le cauchemar des bergers dIsraël étaient les bêtes sauvages les loups et les hyènes et les bandits. Dans des lieux aussi isolés ils constituaient une menace permanente. Cest là que lon voyait la différence entre le véritable pasteur celui qui pais les brebis de la famille, qui a la vocation de pasteur et lemployé qui se met au service de quelque berger uniquement pour le salaire quil reçoit en retour, mais naime pas, et souvent hait même les brebis. Face au danger, le mercenaire fuit et abandonne les brebis à la merci du loup ou des bandits ; le véritable pasteur affronte courageusement le danger pour sauver son troupeau. Cela explique la raison pour laquelle la liturgie nous propose lEvangile du bon pasteur pendant le temps pascal : A Pâques, le Christ a montré quil était le bon pasteur qui donne sa vie pour ses brebis.

BENOÎT XVI – Mercredi, 25 avril 2007 – Origène

28 avril, 2007

Du site Vatican (traduction),  j’avais dit que je n’aurais pas fait la traduction pour le danger d’altérer le texte, mais je ne trouve pas encore traductions en français, j’espère parce qu’en Italie il y a le « pont » soi-disant ou en étant nous différentes fêtes un derrière l’autre les gens ils vont en congés; de toute façon le texte, comme je l’ai traduit, il est très semblable à l’Italien, 

BENOÎT XVI AUDIENCE GÉNÉRALE  -  Place San Pietro Mercredi, 25 avril 2007 

Origène d’Alexandrie 

Chers frères et sœurs, dans nos méditations sur les grandes personnalités de l’Église ancienne, nous en connaissons aujourd’hui à une de plus considérables. Origène d’Alexandrie est réellement une des personnalités déterminantes pour tout développe de la pensée chrétienne. Il ramasse l’héritage de Clément d’Alexandrie, sur lequel nous avons médité mercredi passé, et elle la relance vers le futur en manière tellement innovatrice, graver d’une déroulée irréversible à développe de la pensée chrétienne. Il fut un vrai « maestro », et ainsi de ils lui se rappelaient avec nostalgie et commotion ses élèves : pas seulement un brillant théologien, mais des témoin exemplaire de la doctrine qui transmettait. « Il enseigna », écrit Eusèbe de Césarienne, son biographe enthousiaste, « que la conduite doit correspondre exactement au mot, et fut surtout pour ceci qui, aidé de la grâce de Dieu, induisit beaucoup à lui imiter » (Hist. Eccl. 6,3,7). Toute sa vie fut parcourue d’un incessant halètent au martyre. Il avait dix-sept ans lorsque, dans le dixième an de l’empereur Septimo Sévère, elle éclata à Alessandria la persécution contre les chrétiens. Clément, son maître, abandonna la ville, et le père d’Origène, de Léonide, fut jeté en prison. Son fils désirait ardemment le martyre, mais il ne put pas réaliser ce désir. Alors il écrivit le père, en l’exhortant pas démordre du suprême témoignage de la foi. Et lorsque Léonide fut décapitées, les petit Origène sentit qu’il devait accueillir l’exemple de sa vie. Quarante ans plus tard, pendant qu’il prêchait à Césarienne, il sortit dans cet aveu : « À rien le vaut avoir eu un père martyre, si je ne tiens pas une bonne conduite et ne me fais pas honneur à la noblesse de mienne souche, c’est-à-dire au martyre de mon père et au témoignage qui l’a rendu illustre en Christ » (Hom. Ez. 4,8). Dans une homélie suivante – lorsque, merci à l’extrême tolérance de l’empereur Filippo l’Arabo, semblait maintenant évanoui l’éventualité d’un témoignage sanglante  - Origène exclame : « Si Dieu me concédait d’être lavé dans mon sang, ainsi à recevoir le second baptême en ayant accepté les mortes pour Christ, je m’éloignerais sûr de ce monde… Mais ils sont bienheureux qui méritent ces choses « (Hom. Iud. 7,12). Ces expressions révèlent à toute la nostalgie d’Origène pour le baptême de sang. Et finalement cette irrésistible halètement vint, au moins en partie, exaucé. Dans le 250, pendant la persécution de Decio, d’Origène il fut arrêté et torturé cruellement. Affaibli des souffrances subies, mourut quelque an après. Il n’avait pas encore soixante-dix ans. Nous avons fait signe à celle « déroulée irréversible » que Origène il gravée à l’histoire de la théologie et de la pensée chrétienne. Mais dans que elle consiste celle « déroulée », cette nouveauté ainsi gravide de conséquences ? Elle correspond en somme à la fondation de la théologie dans l’explication des Écritures. Faire théologie était pour lui essentiellement expliquer, comprendre l’Écriture ; ou nous pourrions même dire que sa théologie est les parfaite symbiose entre théologie et exégèse. En vérité, le sigle son de la doctrine d’Origène semble résider justement dans l’incessante invitation à passer de la lettre à l’esprit des Écritures, pour progresser dans la connaissance de Dieu. Et cet soi-disant « allégorisme », a écrit von Balthasar, coïncide précisément « avec développe du dogme chrétien actionné de l’enseignement des docteurs de l’Église », qui – dans une mode ou dans l’autre – ont accueilli la « leçon » d’Origène. Ainsi la tradition et le magistère, la fondation et la garantie de la recherche théologique, arrivent à se configurer comme « Écriture en acte » (cfr Origène : le monde, Christ et l’Église, tr. it., Milan 1972, p. 43). Nous pouvons affirmer donc que le noyau central de l’immense œuvre littéraire d’Origène consiste dans sa « triple lecture » de
la Bible. Mais avant d’illustrer cette « lecture » il convient donner un regard global à la production littéraire de Origène. San Girolamo dans son Épître 33 énumère les titres de 320 livres et de 310 homélie d’Origène. Malheureusement la plupart de cette œuvre est allée perdue, mais même le peu qui en reste fait d’lui l’auteur plus prolifique des premiers trois siècles chrétiens. Son rayon d’intérêts s’étend des exégèse au dogme, à la philosophie, à l’apologétique, à l’ascétique et à la mystique. Elle est une vision fondamentale et globale de la vie chrétienne. Le noyau
inspirateur
de cette œuvre est, comme avons fait signe, la « triple lecture » des Écritures développée d’Origène dans l’arc de sa vie. Avec cette expression nous entendons faire allusion aux trois modalités plus importantes – entre elles pas suivantes, au contraire plus souvent superposées – avec lesquelles Origène s’est dédié à étudie des Écritures. D’abord il lut
la Bible avec le but d’en vérifier au mieux teste et d’en offrir l’édition plus fiable. Celui-ci, par exemple, est le premier pas : connaître réellement ce qu’il a été écrit et connaître ce qui cette écriture voulait intentionnellement et initialement dire. Il a fait un grand étudie à ce fin et a rédigé une édition de
la Bible avec six colonnes parallèles, de gauche à droite, avec teste du hébreu en caractères
hébraïques –
il a eu même des contacts avec les rabbins pour comprendre bien teste de l’original hébreu de
la Bible -, ensuite teste hébreu translittéré en caractères grecs et ensuite quatre traductions divergées en langue grecque, qu’ils lui permettaient de comparer les différentes possibilités de traduction. D’ici le titre d’ « Esapla » (« six colonnes ») attribué à celle-ci immense
synopsis.
Celui-ci est le premier point : connaître exactement ce qu’il a été écrit, je teste comme tel. En deuxième lieu Origène lut systématiquement
la Bible avec le sien célèbres des Commentaires. Ils reproduisent fidèlement les explications qui le maestro offraient pendant l’école, à Alessandria comme à Césarienne. Origène il procède presque verset pour verset, en forme minutieuse, vaste et approfondie, avec des notes de caractère
philologique et doctrinale. Il travaille avec grande exactitude pour connaître bien ce qu’ils voulaient dire philologique les sacrés auteurs. Finalement, même avant ses ordination presbytérale, Origène se dédia très beaucoup d’à la prédication de
la Bible, en s’adaptant à un public d’une manière différente composite. En tout cas, on avertit même dans ses Homélie le
maître
, tout adonné aux interprétation systématique du péricope en examen, au fur et à mesure fractionnée dans les suivants versets. Même dans les homélie Origène il cueille toutes les occasions pour rappeler les différentes dimensions du sens de
la Sacrée Écriture, qui aident ou expriment un chemin dans la croissance de la foi : il y a le sens « littéral », mais il cache des profondeurs qui n’apparaissent pas dans un premier temps ; la seconde dimension est le sens « moral »
:
ce que nous devons faire en vivant le mot ; et finalement le sens « spirituel », c’est-à-dire l’unité de l’Écriture, que dans tout le sien je développe parle de Christ. Il est l’Esprit Saint qui nous fait comprendre le contenu christologique et ainsi l’unité de l’Écriture dans sa diversité. Il serait intéressant montrer ceci. Un peu j’ai tenté, dans mon livre « Jésus de Nazareth », de montrer dans la situation d’aujourd’hui ces multiples dimensions du Parole, de
la Sacrée Écriture, qui d’abord doit être respectée vraiment dans le sens historique. Mais ce sens nous dépasse vers Christ, dans la lumière de l’Esprit Saint, et il nous montre, comme vies. On en trouve signe, par exemple, dans la neuvième homélie sur les Nombres, où Origène compare l’Écriture aux noix : « Ainsi elle est la doctrine de
la Loi et des Prophètes à l’école de Christ », il affirme Origène ; « amère elle est la lettre, qui est comme l’écorce ; en deuxième lieu tu parviendras à la coque, qui est la doctrine morale ; en troisième lieu tu trouveras le sens dont des mystères,
ils nourrissent les âmes des saints dans la vie présent et dans le futur « (Hom. Num. 9,7). Surtout pour ces Origène il arrive y à promouvoir efficacement la « lecture chrétienne » de l’Ancien Testament, en repoussant en manière brillante le défi de ces hérétiques – surtout gnostique et marcionite qui opposaient entre eux les deux Testaments jusqu’à rejeter l’Ancien. À cette intention, dans la même homélie sur les Nombres Origène affirme : « Je ne appelle pas
la Loi un ` Ancien Testament’, si je la comprends dans l’Esprit.
La Loi devient un ` Ancien Testament ‘seulement pour ceux qui veulent la comprendre charnellement « , c’est-à-dire en s’arrêtant à la lettre de teste. Mais « pour nous, que nous la comprenons et nous l’appliquons dans l’Esprit et dans le sens de l’Évangile,
la Loi est toujours nouvelle, et les deux Testaments sont pour nous un nouveau Testament, à cause de la non donnée temporelle, mais de la nouveauté du sens… Par contre, pour le pécheur et pour ceux qui ne
respectent pas la patte de la charité, même les Évangiles vieillissent « (Hom. Num. 9,4). Vous invitation – et ainsi je conclus – à accueillir dans votre cœur l’enseignement de ce grand maestro dans la foi. Il nous rappelle avec intime transport qui, dans la lecture orante de l’Écriture et dans le cohérent engagement de la vie, l’Église toujours se rénove et
il rajeunit.
La Parole de Dieu, qui ne vieillit jamais, né jamais s’épuise, est à moitié privilégié à tel balai. Il est en effet
la Parole de Dieu que, pour œuvre de l’Esprit Saint, nous de la guide toujours nouveaux à la vérité de tout entière (cfr.  Benoît XVI, aux participants au Congrès International pour XL anniversaire de
la Constitution dogmatique « Dei Verbum », dans : Enseignements, vol. I, 2005, pp. 552-553). Et nous prions les Seigneur nous donnent aujourd’hui des penseurs, théologien, exégète qui trouvent cette multi dimension, cette actualité permanente de
la Sacrée Écriture, sa nouveauté pour aujourd’hui. Nous prions que les Seigneur nous aides légères en mode orante à
la Sacrée Écriture, à nous nourrir réellement du vrai pain de la vie, de son Parole.