Archive pour avril, 2007

Vendredi 5 mai j’accomplis 65 ans et…

30 avril, 2007

Vendredi 5 mai j’accomplis 65 ans, 65!!!!!

(je m’excuse pour mon français, il est encore plus difficile de parler de soi mêmes)  Je voudrais participer avec vous de cette « fête » spéciale, dans le sens qui arrive d’accomplir 65 ans seulement autrefois dans la vie. Me direz-vous il arrive pour tous les anniversaires ! », il est vrai, cependant celle-ci est une étape importante, un instant où – d’une partie – tu fais le budget de la vie, un premier budget, de l’autre sais qu’il en commence une nouvelle de vie qui ancre ne connais pas, mais qu’il est sûrement différent, certes pendant les ans précédents il y a des prémisses, mais elle reste une étape ;  Comment la vis-je ? Je crois que ceux-ci derniers ans de ma vie – qui ont été pleins de souffrance (et de persécutions) – me poussent fortement à chercher Dieu, mais cette fois « vraiment » comme le premier, le seul qui te reste ami et fidèle pour toute la vie, le seul, comme il disait Saint Teresa D’Avila, « qu’il suffit » ;  C’est-à-dire –  peut-être psychologiquement  -  anticipe des temps et des pensées qu’ils devraient venir successivement, mais ma vie a été une série impressionnant de tentés d’être fidèle aux Seigneur, d’’être honnête sur le travail, d’être d’aide aux autres, d’avoir des amis qui te veulent bien (c’est-à-dire en Italie, ou tout au moins l’Italie que je connais j’il ne connaît pas le mot « amis » peut-être frères, mais amis non, je vois, lis ce que vous vous écrivez me chère français et je m’aperçois d’une gentillesse, d’une courtoisie, d’une douceur,  votre mode de vous comporter et de parler qu’il n’existe ici pas) ;  Les amis souvent sont les collègues que se trouvent de toute façon ensemble ; peut-être il y à des amitiés, peut-être, ne m’appelez pas pessimiste, mais l’Italie est une nation dure, parfois mauvaise, ne crois pas que vous plus ne puissiez l’imaginer comme dans les vieux films avec Totò et Anne Magnani, comme dans le film de « Rome ville ouverte » ; cette guerre nous a marqués et toutes les divisions politiques suivantes nous ont faites devenir sceptiques et arides. Pas tous, pas toujours, mais vraiment tous nous tentons de reconstruire ou de construire de nouveau quelque chose de beau, mais toujours de plus on détruit la famille, les femmes ne font plus de fils, et ensuite… il suffit ; 

J’ai été, et suis consacré dans ce monde, l’ai toujours vécu, ai cherché de le vivre toujours avec plénitude, mais il a été, et est, difficile.  Je ai cherché – je ai cherché toujours – , la face des Seigneur, comme il dirait le Pape et souvent je dois dire que je l’ai trouvée, et peux dire que dans ma vie Il a fait des miracles pour moi, des choses extraordinaires que avec mes mains ne pouvais pas faire ; je dois remercier les Seigneur, mais de tout vraiment, sa Croix glorieuse il est perpétuellement devant moi et Lui, les Seigneur dans mon cœur ; De l’enfant j’ai promis ma vie à Dieu, ensuite, lorsque il a été élu Papa Benoît, je l’ai offert en particulier pour Lui, pour « ce qui vit dans son ministère et ce qui porte dans le cœur ». Comme toutes les promesses à Dieu il m’a porté la joie qui Dieu offre et… persécutions. Le Blog italien je l’avais de deux ans sur un serveur italien, mais sans faute de le Server, surtouts dernièrement, à chaque post ils m’arrivaient des commentaires obscènes, mauvais, plus que mauvais, pour ceci je « me suis réfugiée » en France où j’ai tous et les deux les Blog maintenant sur le même serveur : ceci, et j’ai trouvé toujours courtoisie ; On ne peut pas recompter une vie, et il n’est facile recompter les sentiments de ce temps ; j’ai été toujours beaucoup radical dans les choses, n’ai pas jamais émousser l’angle, dans le sens que je n’ai pas fait compromis avec les choses que je retenais trompées et je me suis retrouvée presque seule ; peut-être dans ces jours je réussirai à vous dire quelque chose de plus que ce que je vis, peut-être l’expérience de l’amour de Dieu et avec Dieu ; Sa constante présence dans le temps.  A moi sont morts les parents, tous les proches. Quelques « moines » prêtres auxquels je voulais bien, l’unique cousin, j’ai une sœur et un chat ; ceux-ci derniers temps ont été fatigants même pour raisons extérieures à ma volonté, refont le comble d’une cette partie du palais où je habite, ils ont mis des structures qui à moi semblent trop grand  pour un temps qui dépasse chaque prévision, de ma chambre, de la maison je vois pas le ciel. Encor je vais au dentiste parce que les molaires sont des carié, la dent du jugement (qu’étrange qui me soit venu !) .  Peut-être il semble être l’entame de discours triste, mais il n’est pas ainsi. 

Je suis réaliste, pour l’instant me vient de recompter vous ce que je vis ainsi comme vient, ensuite peut-être pourrai, avec un peu de prière, réfléchir mieux sur ce temps, laisser que Dieu harmonise les divers faits et me les rende aimables même si humainement beaucoup ne sont pas.  Une chose j’ai demandé à Dieu, dernièrement et une seule : de pouvoir amères comme Il nous a aimés ; pour aujourd’hui je vous laisse, vous confirme mon affection pour vous, si vous ne l’aviez pas déjà compris, j’écris ce soit aux français soit aux italiens, certes l’Italie l’aimons et
la France, de moi, s’est toujours faite amères ; sur le « Pages » : 
«Je suis » je mets même mon e.mail si tournées m’écrire quelque chose, me donner quelque suggestion, j’avant de poster quelque chose fais beaucoup de recherches et ensuite entre ce que je trouve dois faire un choix, si tournées me donner des conseils ils sont bien accueillis, vous embrasse, Gabriella 

Le pape ordonne prêtres 22 diacres de Rome

30 avril, 2007

s’il n’arrive pas demain au moins la traduction de Zenith de l’original, je nous essaie, du site:

http://www.zenit.org/french/

2007-04-29

Le pape ordonne prêtres 22 diacres de Rome

Servir dans la « joie » : homélie pour une messe d’ordinationROME, Dimanche 29 avril 2007 (ZENIT.org) – Servir dans la « joie » : c’est ce que recommande Benoît XVI aux 22 diacres de son diocèse de Rome qu’il a ordonnés prêtres ce matin en la basilique Saint-Pierre. IL a également rappelé que toute vocation dans l’Eglise doit être orientée par la communion.

En ce dimanche du « Bon pasteur », également dimanche de prière pour les vocations, Benoît XVI a exhorté les nouveaux prêtres à imiter le Christ. Le pape était entouré du cardinal vicaire, Camillo Ruini, et des diocèses d’origine des vingt-deux ordinands. La célébration qui a commencé à 9 h s’est achevée vers 11 h 30.

« Jésus parle de lui-même comme du Bon Pasteur qui donne la vie éternelle à ses brebis », soulignait le pape dans son homélie.

« Il connaît ses brebis et ses brebis le connaissent, comme le Père le connaît et il connaît le père », continuait le pape.

« Il ne s’agit pas d’une simple connaissance intellectuelle, mais d’une relation personnelle profonde ; une connaissance du cœur, propre à qui aime, et à qui est aimé ; à qui est fidèle et de qui on sait pouvoir à son tour se fier ; une connaissance d’amour en vertu de laquelle le Pasteur invite les siens à le suivre et qui se manifeste pleinement dans le don qu’il leur fait de la vie éternelle ».

Cette intimité spirituelle profonde avec le Christ, le pouvoir d’entrer « dans ses sentiments » doivent avant tout être nourris, a expliqué le pape, par « l’école de sainteté » quotidienne de l’autel, de l’Eucharistie. C’est de là, précisait Benoît XVI, que jaillit le service de la Parole, de la réconciliation.

Benoît XVI a alors insisté sur la « joie » qui doit accompagner la façon sont les nouveaux prêtres exprimeront leur ministère.

Que la « certitude que le Christ ne nous abandonne pas, et qu’aucun obstacle ne pourra empêcher la réalisation de son dessein de salut universel, soit pour vous, disait le pape, un constant motif de consolation ».

Evoquant la Journée mondiale de prière pour les Vocations, Benoît XVI ajoutait : « Nous prions afin que ceux qui sont choisis pour une si haute mission, soient accompagnés par la communion orante de tous les fidèles. Prions pour que grandisse dans chaque paroisse et dans chaque communauté chrétienne, l’attention pour les vocations et pour la formation des prêtres : elle commence en famille, se poursuit au séminaire, et elle implique tous ceux qui ont à cœur le salut des âmes (…). Entourons-les, ces frères dans le Seigneur, de notre solidarité spirituelle. Prions afin qu’ils soient fidèles à la mission à laquelle le Seigneur les appelle, et qu’ils soient prêts à renouveler chaque jourd leur « oui » à Dieu, leur « me voici », sans réserve ».

« Et, en cette Journée des vocations, demandons au Maître de la moisson, a conclu Benoît XVI, de continuer à susciter de nombreux et saints prêtres, totalement dévoués au service du Peuple chrétien ».

Le pape a demandé aux 22 nouveaux prêtres de rester « fidèles à la prière » et de célébrer « la messe avec une dévotion toujours nouvelle ».

Benoît XVI – Regina Cæli – Dimanche de Pâques, 29 avril 2007

30 avril, 2007

Du site Vatican (traduction) : 

Benoît XVI  Regina Cæli 

Dimanche de Pâques, 29 avril 2007 

Chers frères et sœurs ! Aujourd’hui, IV Dimanche de Pâques, de Dimanche des « Bonnes Bergères », recourt
la Journée Mondiale de Prière pour les Vocations. Tous les fidèles sont exhortés à prier particulièrement pour les vocations au sacerdoce et à la vie consacrée. Ce matin, dans
la Basilique de San Pierre, j’ai eu la joie de commander 22 nouveaux Prêtres : en nous sommes heureux. Pendant qu’il salue avec affection cette néo- presbytères ensemble avec leurs membres de la famille et amis, vous invitation à se rappeler combien les Seigneur continue à appeler pour nom, comme il fit un jour avec les Apôtres sur le rivage du Lac de Galilée, parce qu’ils deviennent des « pêcheurs d’hommes », c’est-à-dire son plus dirigé collaborateur dans l’annonce de l’Évangile et dans le service du Règne de Dieu dans notre temps. Nous demandons pour tous les prêtres le don de la persévérance : qu’on maintienne des fidèles à la prière, célèbre le saint Messe avec des dévotions toujours rénovée, vive dans écoute du Parole de Dieu et assimilent jour après jour les mêmes sentiments et les attitudes de Jésus Christ, les Bonnes Bergères. Nous prions, ensuite, pour qui il se prépare au ministère sacerdotal et pour les formateurs dans les Séminaires de Rome, d’Italie et du monde entier ; nous prions pour les familles, parce que dans il elle continue à éclore et de mûrir la « graine » de l’appel au ministère presbytérale. 
Cet an, thème de
la Journée Mondiale de Prière pour les Vocations est : « La vocation au service de l’Église communion ». Le Concilie Œcuménique Vatican II, pour présenter le mystère de l’Église dans notre temps, a privilégié la catégorie de la « communion ». Dans cette perspectif elle assume grand relief la riche variété de dons et de ministères dans Peuple de Dieu. Tous les baptisés sont appelés à contribuer à l’œuvre du salut. Dans l’Église il y a cependant quelques vocations spécialement dédiées au service de la communion. Premier responsable de la communion catholique est
la Papa, le Successeur de Pietro et Evêque de Rome ; avec des gardiens et des maîtres d’unité ils sont les Évêques
, successifs des Apôtres, les assisté des presbytères. Mais al service de la communion est même les personnes consacrées et tous les fidèles. Dans le cœur de l’Église communion il y a l’Eucharistie : les différents vocations puisent de ceci somme Sacramento la force spirituelle pour édifier constamment dans la charité l’unique Corps ecclésiale. On tourne maintenant Marie, Mère des Bonnes Bergères. Elle, qu’il a répondu prestement à l’appel de Dieu en disant : « Eccomi, je suis l’esclave des Seigneur »
[1] (Luc 1,38), nous les aides tous à accueillir avec joie et disponibilité l’invitation de Christ à être ses disciples, toujours animés du désir de former « un cœur seule et âme seul » (cf. At. 4,32). 



[1]  je suis en difficulté à traduire le « eccomi » italien qu’il signifie littéralement : « voilà je suis ici », et qu’il fait référence à la réponse de Maria à l’ange, en français je ne trouve pas ce Parole, en latin il est : « Ecce » 

« Je suis venu pour que les hommes aient la vie, pour qu’ils l’aient en abondance »

29 avril, 2007

du site EAQ:

Le Pédagogue, 9,83s ; (trad. SC 70, p. 258 ; cf Delhougne, p.63)

« Je suis venu pour que les hommes aient la vie, pour qu’ils l’aient en abondance »

Malades, nous avons besoin du Sauveur ; égarés, de celui qui nous conduira ; assoiffés, de la source d’eau vive ; morts, nous avons besoin de la vie ; brebis, du berger ; enfants, de l’éducateur ; et toute l’humanité a besoin de Jésus…

Si vous le voulez, nous pouvons comprendre la suprême sagesse du très saint pasteur et éducateur, qui est le Tout-Puissant et le Verbe du Père, lorsqu’il se sert d’une allégorie et se dit le pasteur des brebis ; mais il est aussi l’éducateur des tout-petits. C’est ainsi qu’il s’adresse longuement aux anciens, par l’intermédiaire d’Ezéchiel, et qu’il leur donne l’exemple de sa sollicitude : « Je soignerai celui qui est boiteux, et je guérirai celui qui est accablé ; je ramènerai celui qui s’est égaré, et je les ferai paître sur ma montagne sainte » (Ez 34,16). Oui, maître, conduis-nous vers les gras pâturages de ta justice. Oui, toi notre éducateur, sois notre pasteur jusqu’à ta montagne sainte, jusqu’à l’Eglise qui s’élève au-dessus des nuages, qui touche aux cieux. « Et je serai leur pasteur, dit-il, et je serai près d’eux » (Ez 34,12). Il veut sauver ma chair en la revêtant de la tunique d’incorruptibilité… « Ils m’appelleront, dit-il, et je dirai : Me voici » (Is 58,9)…

Tel est notre éducateur ; il est bon avec justice. « Je ne suis pas venu pour être servi, dit-il, mais pour servir » (Mt 20,28). C’est pourquoi, dans l’Évangile, on nous le montre fatigué (Jn 4,5), lui qui se fatigue pour nous, et qui promet de « donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mt 20,28). Il affirme que seul le bon pasteur agit ainsi. Quel donateur magnifique, qui donne pour nous ce qu’il a de plus grand : sa vie! Quel bienfaiteur, l’ami des hommes, qui a voulu être leur frère plutôt que leur Seigneur ! Et il a poussé la bonté jusqu’à mourir pour nous.

BRUNO FORTE – Lettre sulla prière – Message pour la Carême 2007

29 avril, 2007

je mets une brève biographie de Bruno Forte à laquelle je voudrais ajouter celui-là qui rappelle de lui: il était encore professeur à Naples et il déroulait activité pastorale dans la ville dans le quartier dit « espagnol » le plus malfamé et dangereux de Naples, il est un grand théologien mais, aussi, un grand berger, et Pape Bendetto le sait, du site:

http://www.novena.it/confessarsi/biografia.htm

Archevêque S.E. Mons. BRUNO FORTE

Né le: 01-08-1949, ordonné Prêtre le: 18-04-1973 né à Naples le 1° août 1949, Prêtre il a été ordonné à Naples le 18 avril 1973, où il a déroulé le ministère en différentes Paroisses. En 1974 il a obtenu le doctorat en Théologie près de l’Université Théologique de Naples-Capodimonte. Il a approfondi les études au Tubinga et à Paris et il a passé la maîtrise en Philosophie à Naples. Professeur de Théologie dogmatique près de l’Université Théologique de l’Italie dont a été Proviseur, Membre de la Commission Théologique Internationale est Consultore du Pontifical Conseil de la Culture et de ce pour l’unité des chrétiens. Auteur de nombreuses publications de théologie, philosophie et spiritualité, caractéristiques beaucoup d’aussi au niveau international, il a présidé la commission préparatoire au document – Mémoire et réconciliation -, qu’il a accompagné la demande de pardon de Giovanni Paolo II dans le Jubilé de 2000. Nommé Archevêque Metropolita de Chieti-Vasto le 26 juin 2004, il a été ordonné par le Card. Joseph Ratzinger le 8 septembre du même an, et il a reçu le Pallium de Benedetto XVI le 28 juin 2005. Il est Président de la Commission Épiscopale pour la Doctrine de la Foi, l’annonce et le Catechesi du CEI.

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du site:

http://www.webdiocesi.chiesacattolica.it/pls/cci_dioc_new/bd_edit_doc_dioc.edit_documento?p_id=912904

BRUNO FORTE – Archevêque Metropolita de Chiesti-Vasto –

Lettre sulla prière – Message pour la Carême 2007

La prière, l’ aumône, le jeûne : voilà les trois piliers du chemin de conversion de la Carême. Au jeûne j’ai dédié le message pour la Carême de 2005, à l’amour qu’il est effuse dans nous au moyen de la contemplation de la Face de Jésus et l’accueil de Sa miséricorde le message de carême de 2006. Je dédie à la prière le message de cette Carême, en reprenant une lettre que j’ai écrit quelque an il fait pendant rallongée expérience de prière, teste bref, déjà très diffus, traduit même dans des diverses langues, que maintenant je voudrais vous proposer à tous, mes Fils de l’Église de Chieti-Vasto, même pour nous préparer à l’École de la prière auxquels nous voudrions donner j’entame dans l’Venue prochaine. Qu’il puisse l’Esprit nous enseigner à prier et nous tu accompagnes dans ce chemin les Vierge Orante, la Marie, la Mère du Seigneur et Madre la nôtre. Tu me demandes : pourquoi prier ? Je te réponds : pour vivre.

Oui : pour vivre vraiment, il faut prier. Pourquoi ? Parce que des vies est : amères une vie sans amour n’est pas vie. Il est solitude vide, est prison et tristesse. Il vit vraiment seulement qui aime : et il aime seul qui se sent aimé, rejoint et transformé de l’amour. Comme la plante qui ne fait pas éclore son fruit si elle n’est pas atteinte par les rayons du soleil, ainsi le cœur humain pas il desserre à la vie vraie et pleine s’il n’est pas touché de l’amour. Maintenant, l’amour il naît de la rencontre et vit de la rencontre avec l’amour de Dieu, les plus grands et vrai de tous amours possibles, au contraire l’amour au-delà de chaque notre définition et de chaque notre possibilité. En priant, on nous laisse amères de Dieu et on naît à l’amour, toujours de nouveau. Donc, qui prie vit, dans le temps et pour l’éternité. Et qui ne prie pas ? Qui ne prie pas est à risque de mourir dans, parce qu’il lui manquera tôt ou tard l’air pour respirer, la chaleur pour vivre, la lumière pour voir, la nourriture pour croître et la joie pour donner un sens à la vie. Tu me dis : mais je ne sais pas prier ! Tu me demandes : comment prier ? Je te réponds : il commence à donner un peu de ton temps à Dieu. Au debout, l’important ne sera pas que ce temps soit beaucoup, mais que Tu le lui donnes fidèlement. Il te fixe même un temps à donner chaque jour au Seigneur et donne lui fidèlement, chaque jour, lorsque tu sens de le faire et lorsque tu ne le sens pas. Il cherche un lieu tranquille, où si possible il y ait quelque marque qu’il rappelle la présence de Dieu (une croix, une icone, la Bible, le Tabernacle avec la Présence eucharistique…). Recueille-toi dans silence : invoque-toi l’Esprit Saint, parce que soit Lui à crier dans toi « Abbà, le Père ! ». Porte à Dieu ton cœur, même si il est en tumulte : ne pas avoir de la peur de lui dire tout, pas seulement tes difficultés et ton douleur, ton péché et ton incrédulité, mais même ta rébellion et ta protestation, si tu les sens dans. Tout ceci, mets-le dans les mains de Dieu : il se rappelle de que Dieu est Père – Mère dans le amour, que tout accueille, tout pardonne, tout éclaire, tout sauve. Il écoute Le sien Silence : ne pas prétendre d’avoir vite les réponses. Persévère. Comme le prophète Elia, il se promène dans le désert vers le monte de Dieu : et lorsque tu te seras approché à Lui, ne pas le chercher dans le vent, dans le tremblement de terre ou dans le feu, en les signes de force ou de grandeur, mais dans la voix du silence subtil (cf. 1 Roi 19,12). Ne pas prétendre de saisir Dieu, mais laisse qu’il passe dans ta vie et dans ton cœur, il te touche l’âme, et on tu fais contempler de toi même seulement d’épaules. Ecoute-toi la voix de Le sien Silence. Ecoute-toi Son Parole de vie : tu ouvres la Bible, médite-la avec amour, laisse que la Parole de Jésus parle au cœur de ton cœur ; tu lis les Psaume, où tu trouveras exprimé tout ce que tu voudrais dire à Dieu ; il écoute les apôtres et les prophètes ; tombés amoureux des histoires des Patriarches et de le peuple élu et de l’église naissante, où tu rencontreras l’expérience de la vie vécue dans l’horizon de l’alliance avec Dieu. Et lorsque tu auras écouté la Parole de Dieu promène encore à long dans les sentiers de silence, en laissant que soit l’Esprit à t’unir à Christ, Parole eternel du Père. Il laisse que soit Dieu Père à modeler t’avec toutes et deux les Ses mains, Verbe et Esprit Saint. Au debout, il pourra te sembler que le temps pour tout ceci soit trop long, que passes jamais : persévère avec humilité, en donnant à Dieu tout le temps que tu réussis à donné Lui, jamais moins, cependant, de ce que tu as établi de pouvoir donner Lui chaque jour. Tu verras que de rendez-vous en rendez-vous ta fidélité sera récompensée, et tu t’apercevras que tout doucement, doucement le goûte de la prière croîtra dans toi, et ce qui au debout te semblait impossible à atteindre, deviendra toujours plus facile et beau. Alors tu comprendras que ce que comptine n’est pas avoir répondu, mais se mettre à disposition de Dieu : et tu verras que tout ce que tu porteras dans la prière il sera transfiguré peu à peu. Ainsi, quand tu viendras prier avec le cœur en tumulte, si tu persévères, tu t’apercevras qu’après avoir prié n’aura pas longtemps trouvé réponses à tes questions, mais les mêmes questions se seront dissoutes comme neige au soleil et dans ton cœur une grande paix il entrera : la paix d’être dans les mains de Dieu et de laisser se conduire docilement, où Il a préparé pour toi. Alors, ton cœur nouveau fait pourra chanter le nouveau cantique, et le « Magnificat » de Marie sortira de tes lèvres spontanément et il sera chanté

de l’éloquence silencieuse de tes œuvres.

Sache, cependant, qu’ils ne manqueront pas en tout ceci les difficultés : parfois tu ne réussiras pas à faire silence le vacarme qui est à toi et en toi autour,; parfois tu entendras la fatigue ou même le dégoût de te mettre à prier; parfois, ta sensibilité piaffera, et n’importe quel acte tu il semblera préférable au rester en prière devant Dieu, à temps « perdu. » Tu entendras, finalement, les tentations du Méchant qui te cherchera de toutes les manières de séparer du Seigneur, en t’éloignant de la prière. Ne pas craindre : les mêmes preuves. Ne pas craindre : les mêmes épreuves que tu vis les ont vécues les saints avant toi, et souvent beaucoup plus lourds de tien. Tu il continue seulement à avoir à foi. Persévère-toi, tu résistes et se rappelle de que l’unique chose que nous pouvons vraiment donner à Dieu est l’épreuve de notre fidélité. Avec la persévérance tu sauveras ta prière, et ta vie. Il viendra maintenant de la « nuit obscure », où tout te semblera aride et même absurde dans les choses de Dieu : ne pas craindre. Elle est cela maintenant dans laquelle à lutter avec il est Dieu même : tu ôtes de toi chaque péché, avec l’aveu humble et sincère de tes fautes et je pardonne sacramental ; il offre à Dieu encor plus de ton temps ; et il laisse que la nuit des sens et de l’esprit devient pour toi le maintenant de la participation à la passion des Seigneur. À ce point, il sera Jésus même à porter ta croix et à des conduire-toi avec elle vers la joie de Pâques. Tu ne t’étonneras pas, alors, de considérer même aimable cette nuit, parce que tu la verras transformée pour toi en nuit de amour, inondée de la joie de la présence d’Aimé, saturée de parfume de Christ, lumineuse de la lumière de Pâques. Ne pas avoir de la peur, donc, des épreuves et des difficultés dans la prière : il se rappelle seulement de que Dieu est fidèle et il ne te donnera jamais une épreuve sans te donner de sortie et n’exposera jamais une tentation sans te donner la force pour la supporter et la vaincre. Laissés amères de Dieu : comme une goute d’eau qui évapore sous les rayons des soleil et sel en haut et il revient à la terre comme pluie féconde ou rosée consolatrice, ainsi laisse que tout ton être soit travaillée de Dieu, modelé de l’amour des Trois, absorbé dans Eux et rendu à l’histoire comme don féconde. Il laisse que la prière fait la croître dans toi liberté de toute peur, le courage et l’audace de l’amour, la fidélité aux personnes qui Dieu t’a confié et aux situations dans lequel il t’a mis, sans chercher des évasions ou des consolations bon marché. Il apprend, en priant, à vivre la patience d’attendre les temps de Dieu, qui ne sont pas nos temps, et à suivre les voies de Dieu, qui ne sont très souvent pas nos voies. Un don détail que la fidélité dans la prière te donnera est le amour aux autres et sens de l’église : plus tu pries, plus sentiras miséricorde pour tous, plus tu voudras aider qui souffre, plus auras de la faim et soies de justice pour tous, surtout pour les plus pauvres et faibles, plus tu accepteras de te faire chargé du péché d’autrui pour compléter dans toi ce qui manque à la passion de Christ à avantage de Son corps, l’église. En priant, tu sentiras comme il est beau être dans le bateau de Pierre, solidaire avec tous, docile à la guide des bergers, soutenu de la prière de tous, prêt à servir les autres avec gratuité, sans rien demander en change. En priant tu sentiras croître dans toi la passion pour l’unité du corps de Christ et de toute la famille humaine. La prière est l’école de l’amour, parce qu’il est dans elle que tu peux te reconnaître infiniment aimé et naître toujours de nouveau à la générosité qui prend l’initiative de le pardonne et du don sans le calcule, au-delà de chaque mesure de fatigue. En priant, il s’apprend à prier, et on goûte les fruits de l’Esprit qu’ils font vrais et belle la vie : « amour, joie, paix, patience, bienveillance, bonté, fidélité, douceur, domination d’elle » (Gal 5,22). En priant, se devient amour, et la vie acquiert le sens et la beauté pour laquelle elle a été voulue de Dieu. En priant, on avertit toujours plus l’urgence de porter l’Évangile à tous, jusqu’aux extrêmes frontières de la terre. En priant, on découvre les infinis dons d’Aimé et il s’apprend toujours plus de rendre des mercis à Lui dans chaque chose. En priant, on vit. En priant, il s’aime. En priant, il se loue. Et l’éloge est la joie et la paix plus grande de notre cœur inquiet, dans le temps et pour l’éternité. Si je devais, alors, te souhaiter le don plus beau, si je voulais le demander pour toi à Dieu, je n’hésiterais pas à lui demander le don de la prière. Je le lui demande : et tu ne pas hésiter à le demander à Dieu pour moi. Et pour toi. La paix des Seigneur notre Jésus Christ, le amour de Dieu Père et la communion de l’Esprit Saint soient avec toi. Et tu dans eux : parce qu’en priant tu entreras dans le cœur de Dieu, caché avec Christ dans Lui, enveloppé de Leurs amour eternel, fidèle et toujours nouveau. Maintenant tu le sais : qui prie avec Jésus et dans Lui, qui prie Jésus ou le Père de Jésus ou l’invoqua Son Esprit, il ne prie pas un Dieu générique et lointain, mais il prie en Dieu, dans l’Esprit, pour le Fils, le Père. Et du Père, au moyen de Jésus, dans le souffle divin de l’Esprit, il recevra chaque cadeau parfait, à lui j’adapte et pour lui depuis toujours prêt et désiré. Le cadeau qui nous attends. Que tu t’attends.

MESSAGE DE SA SAINTETÉ BENOÎT XVI POUR LA XLIV JOURNÉE MONDIALE DE PRIÈRE POUR LES VOCATIONS

29 avril, 2007

du site Vatican:

MESSAGE DE SA SAINTETÉ BENOÎT XVI
POUR LA XLIV JOURNÉE MONDIALE DE PRIÈRE
POUR LES VOCATIONS
29 AVRIL 2007 – IV DIMANCHE DE PÂQUES

Thème : «  La vocation au service de l’Église-communion « 

Vénérés Frères dans l’Épiscopat,
Chers frères et sœurs !

La Journée mondiale annuelle de Prière pour les Vocations est une occasion opportune pour mettre en lumière l’importance des vocations dans la vie et la mission de l’Église et pour intensifier notre prière afin qu’elles croissent en nombre et en qualité. Pour la prochaine journée, je voudrais proposer à l’attention de tout le Peuple de Dieu le thème suivant, particulièrement actuel : la vocation au service de l’Église-communion.

L’an dernier, en débutant dans les Audiences générales du mercredi un nouveau cycle de catéchèses, consacrées au rapport entre le Christ et l’Église, je faisais remarquer que la première communauté chrétienne commença à se constituer, en son noyau originaire, lorsque quelques pêcheurs de Galilée rencontrèrent Jésus, se laissèrent conquérir par son regard, par sa voix, et accueillirent son invitation pressante : « Venez à ma suite et je ferai de vous des pêcheurs d’hommes » (Mc 1, 17 ; cf. Mt 4, 19). En vérité, Dieu a toujours choisi quelques personnes pour collaborer plus directement avec Lui à la réalisation de son dessein de salut. Dans l’Ancien Testament, il appela d’abord Abraham pour former « un grand peuple » (Gn 12, 2), puis Moïse pour libérer Israël de l’esclavage de l’Égypte (cf. Ex 3, 10). Il désigna ensuite d’autres personnages, spécialement les prophètes, pour défendre et garder vivante l’alliance avec son peuple. Dans le Nouveau Testament, Jésus, le Messie promis, invita personnellement les Apôtres à être avec Lui (cf. Mc 3, 14) et à partager sa mission. À la dernière Cène, en leur confiant la charge de perpétuer le mémorial de sa mort et de sa résurrection jusqu’à son retour glorieux à la fin des temps, Il adressa pour eux au Père cette invocation en l’implorant : « Je leur ai révélé ton nom et le leur révélerai, pour que l’amour dont tu m’as aimé soit en eux et moi en eux » (Jn 17, 26). La mission de l’Église se fonde donc sur une communion intime et fidèle avec Dieu.La Constitution

Lumen gentium du Concile Vatican II décrit l’Église comme « un peuple qui tire son unité de l’unité du Père et du Fils et de l’Esprit Saint » (n. 4), un peuple dans lequel se reflète le mystère même de Dieu. Cela implique que l’amour trinitaire se réfléchit en lui et que, grâce à l’action de l’Esprit Saint, tous ses membres forment « un seul corps et un seul esprit » dans le Christ. C’est surtout en se rassemblant pour l’Eucharistie que ce peuple, structuré organiquement sous la conduite de ses Pasteurs, vit le mystère de la communion avec Dieu et avec les frères. L’Eucharistie est la source de cette unité ecclésiale pour laquelle Jésus a prié la veille de sa passion : « Père qu’eux aussi soient un en nous, afin que le monde croie que tu m’as envoyé » (Jn 17, 21). Cette communion intense favorise la floraison de vocations généreuses au service de l’Église : le cœur du croyant, rempli de l’amour divin, est poussé à se consacrer totalement à la cause du Royaume. La promotion des vocations requiert donc une pastorale attentive au mystère de l’Église-communion, parce que, assurément, celui qui vit dans une communauté ecclésiale unie, coresponsable et active, apprend plus facilement à discerner l’appel du Seigneur. Le souci des vocations exige donc une « éducation » constante à l’écoute de la voix de Dieu, comme le fit Éli en aidant le jeune Samuel à comprendre ce que Dieu lui demandait et à le réaliser rapidement (cf. 1 S 3, 9). Or, il ne peut y avoir d’écoute docile et fidèle que dans un climat de communion intime avec Dieu. Et cela se réalise surtout dans la prière. Selon le commandement explicite du Seigneur, nous devons tout d’abord implorer le don des vocations en priant inlassablement et ensemble le « maître de la moisson ». L’invitation est au pluriel : « Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers à sa moisson » (Mt 9, 38). Cette invitation du Seigneur correspond bien au style du « Notre Père » (Mt 6, 9), prière qu’Il nous a enseignée et qui constitue une « synthèse de tout l’Évangile », selon l’expression célèbre de Tertullien (cf. De Oratione, 1,6 : CCL 1, 258). De ce point de vue, une autre expression de Jésus est aussi éclairante : « Si deux d’entre vous, sur la terre, unissent leurs voix pour demander quoi que ce soit, cela leur sera accordé par mon Père qui est aux cieux » (Mt 18, 19). Le Bon Pasteur nous invite donc à prier le Père céleste, à prier en étant unis et avec insistance, pour qu’Il envoie des vocations au service de l’Église-communion.

Recueillant l’expérience pastorale des siècles passés, le Concile Vatican II a mis en évidence l’importance d’éduquer les futurs prêtres à une authentique communion ecclésiale. Nous lisons à ce sujet dans Presbyterorum ordinis : « Exerçant, pour la part d’autorité qui est la leur, la charge du Christ Chef et Pasteur, les prêtres, au nom de l’Évêque, rassemblent la famille de Dieu, fraternité qui n’a qu’une âme, et par le Christ dans l’Esprit, ils la conduisent à Dieu le Père » (n. 6). À cette affirmation du Concile fait écho l’Exhortation apostolique post-synodale Presbyterorum ordinis, en soulignant que le prêtre « est serviteur de l’Église-communion parce que en unité avec l’Évêque et en lien étroit avec le presbyterium il construit l’unité de la communauté ecclésiale dans l’harmonie des diverses vocations, des charismes et des services » (n. 16). À l’intérieur du peuple chrétien, il est indispensable que chaque ministère et chaque charisme soient orientés vers la pleine communion, et c’est la tâche de l’Évêque et des prêtres de la favoriser en l’harmonisant avec toute autre vocation et service ecclésiaux. Même la vie consacrée, par exemple, a en propre le service de cette communion, comme cela est mis en lumière dans l’Exhortation apostolique post-synodale Vita consecrata de mon vénéré Prédécesseur, Jean-Paul II : « La vie consacrée a certainement le mérite d’avoir contribué efficacement à maintenir dans l’Église l’exigence de la fraternité comme confession de la Trinité. En favorisant constamment l’amour fraternel, notamment sous la forme de la vie commune, elle a montré que la participation à la communion trinitaire peut changer les rapports humains et créer un nouveau type de solidarité » (n. 41).Au centre de toute communaut

é chrétienne, il y a l’Eucharistie, source et sommet de la vie de l’Église. S’il vit de l’Eucharistie, celui qui se met au service de l’Évangile avance dans l’amour vers Dieu et vers le prochain, et il contribue ainsi à construire l’Église comme communion. Nous avons pu affirmer que « l’amour eucharistique » motive et fonde l’activité vocationnelle de toute l’Église. En effet, comme je l’ai écrit dans l’Encyclique Deus caritas est, les vocations au sacerdoce et aux autres ministères et services fleurissent à l’intérieur du peuple de Dieu là où il y a des hommes dans lesquels le Christ transparaît par sa Parole, dans les sacrements, spécialement dans l’Eucharistie. Et cela parce que « dans la liturgie de l’Église, dans sa prière, dans la communauté vivante des croyants, nous faisons l’expérience de l’amour de Dieu, nous percevons sa présence et nous apprenons aussi de cette façon à la reconnaître dans notre vie quotidienne. Le premier, Il nous a aimés et Il continue à nous aimer le premier ; cest pourquoi, nous aussi, nous pouvons répondre par l’amour » (n. 17).

Nous nous tournons enfin vers Marie, qui a soutenu la première communauté dans laquelle « tous d’un même cœur étaient assidus à la prière » (cf. Ac 1, 14), afin qu’elle aide l’Église à être dans le monde d’aujourd’hui une icône de la Trinité, un signe éloquent de l’amour de Dieu pour tous les hommes. La Vierge a répondu promptement à l’appel du Père en disant : « Je suis la servante du Seigneur » (Lc 1, 38). Qu’elle intercède afin qu’au sein du peuple chrétien ne manquent pas les serviteurs de la joie divine : des prêtres qui, en communion avec leurs Évêques, annoncent fidèlement l’Évangile et célèbrent les sacrements, prennent soin du peuple de Dieu et soient prêts à évangéliser l’humanité entière ! Qu’elle accorde à notre temps une augmentation du nombre des personnes consacrées, qui aillent à contre courant en vivant les conseils évangéliques de pauvreté, de chasteté d’obéissance, et témoignent prophétiquement du Christ et de son libérant message de salut ! Chers frères et sœurs appelés par le Seigneur à des vocations particulières dans l’Église, je voudrais vous confier tout spécialement à Marie. En effet, plus que tous, elle a compris le sens des paroles de Jésus : « Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui écoutent la parole de Dieu et la mettent en pratique » (Lc 8, 21). Qu’elle vous enseigne à écouter son divin Fils ! Qu’elle vous aide à dire par votre vie : « Me voici, ô Dieu, je viens pour faire ta volonté » (cf. He 10, 7) ! Avec ces souhaits, j’assure chacun d’entre vous de ma prière et je vous bénis de tout cœur.

Du Vatican, le 10 février 2007

BENEDICTUS PP. XVI

« Je leur donne la vie éternelle »

28 avril, 2007

du site EAQ

Saint Grégoire le Grand (vers 540-604), pape, docteur de l’Église
Homélie 14 sur l’Evangile ; PL 76, 1129-1130 (trad. Brésard, 2000 ans C, p 136)

« Je leur donne la vie éternelle »

Voici que celui qui est bon, non par un don reçu, mais par nature, dit : « Je suis le bon Pasteur ». Et il poursuit, pour que nous imitions le modèle qu’il nous a donné de sa bonté : « Le bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis » (Jn 10,11). Lui, il a réalisé ce qu’il a enseigné ; il a montré ce qu’il a ordonné. Bon Pasteur, il a donné sa vie pour ses brebis, pour changer son corps et son sang en notre sacrement, et rassasier de l’aliment de sa chair les brebis qu’il avait rachetées. La route à suivre est montrée : c’est le mépris qu’il a fait de la mort. Voici placé devant nous le modèle sur lequel nous avons à nous conformer. D’abord nous dépenser extérieurement avec tendresse pour ses brebis ; mais ensuite, si c’est nécessaire, leur offrir même notre mort.

Il ajoute : « Je connais — c’est-à-dire j’aime — mes brebis et mes brebis me connaissent ». C’est comme s’il disait en clair : « Qui m’aime, me suive ! », car celui qui n’aime pas la vérité ne la connaît pas encore. Voyez, frères très chers, si vous êtes vraiment les brebis du bon Pasteur, voyez si vous le connaissez, voyez si vous percevez la lumière de la vérité. Je parle non de la perception de la foi mais de celle de l’amour ; vous percevez non par votre foi, mais par votre comportement. Car le même évangéliste Jean, de qui vient cette parole, affirme encore : « Celui qui dit qu’il connaît Dieu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur » (1Jn 2,4). C’est pourquoi, dans notre texte, le Seigneur ajoute aussitôt : « De même que le Père me connaît et que je connais le Père, et je donne ma vie pour mes brebis », ce qui revient à dire clairement : Le fait que je connais mon Père et que je suis connu de mon Père, consiste en ce que je donne ma vie pour mes brebis. En d’autres termes : Cet amour par lequel je vais jusqu’à mourir pour mes brebis montre combien j’aime le Père.

Une madone

28 avril, 2007

du site: 

http://www.biblisem.net/indexgen.htm

Une madone

À Bologne, au Musée, au-dessus d’une porte,
On peut voir un tableau non signé, de n’importe
Quel vieux maître naïf dont les noms sont perdus.
C’est simplement la Vierge avec l’enfant Jésus,
Mais regardez ! Marie a de grands yeux célestes,
Lourds d’amour. Dans la paix du site aux plans agrestes,
Sa tête fine et calme est d’un contour si pur,
Que des anges ailés descendent de l’azur
Pour la voir et la mettre à l’ombre de leurs ailes.
Elle doit ressembler aux jeunes demoiselles
Qui venaient, vers l’an mille ou douze cent, s’asseoir
À leur balcon doré, sous l’étoile du soir,
Tandis qu’on leur chantait sur des airs de cantique.
Des vers très amoureux, très doux et très mystiques.
Jésus est blond, frisé, souriant et tout nu.
Il vous regarde ainsi qu’un visage connu,
Et de sa lèvre rose il cherche la mamelle.
Une grâce un peu roide, où la bonté se mêle,
Sort de ce vieux tableau tout jauni par les ans ;
Il s’harmonise en tons fanés, mais caressants,
Comme une fleur qu’on trouve en un vieil Évangile,
Toute pâle et charmante en sa pâleur fragile.
À contempler ses traits chastement familiers,
On sent ce qu’éprouvaient jadis les chevaliers
Et les pages rêveurs. Sous le regard limpide
De cette Vierge au front maternel et candide,
Le coeur, divinement ému, n’est pas troublé ;
Mais il aspire au grand amour immaculé,
Idéal, éternel, dont conservent la marque
Les extatiques chants de Dante et de Pétrarque.

Émile BLÉMONT, Poèmes d’Italie.

Père Cantalamessa – Je suis le bon pasteur

28 avril, 2007

du site:

http://www.cantalamessa.org/fr/omelieView.php?id=56

Je suis le bon pasteur

Dimanche 29 avril -Jean 10, 27-30.

Dans les trois cycles liturgiques, le quatri
ème dimanche de Pâques présente un passage de lEvangile de Jean sur le bon pasteur. Après nous avoir conduits, dimanche dernier, parmi les pêcheurs, lEvangile nous conduit parmi les pasteurs. Deux catégories dimportance égale dans les Evangiles. De lune dérive le titre de « pêcheurs dhommes », de lautre celui de « pasteurs d’âmes », donné aux apôtres.

La plus grande partie du territoire de Galilée était un haut plateau au sol rude et rocailleux, plus adapté à l’élevage de brebis qu’à lagriculture. Lherbe était rare et le troupeau devait se déplacer en permanence ; il nexistait pas de murs de protection et pour cette raison, la présence constante du pasteur au milieu de son troupeau était nécessaire. Un voyageur du siècle dernier nous a laissé un portrait du pasteur palestinien de l’époque : « Quand je le vis, sur un pâturage des hauteurs, fatigué, le regard scrutant au loin, exposé aux intempéries, appuyé sur son bâton, toujours attentif aux mouvements du troupeau, je compris pourquoi le pasteur a acquis une telle importance dans lhistoire dIsraël, au point quils ont donné ce titre à leur roi, et que le Christ la choisi comme emblème du sacrifice de soi ».

Dans lAncien Testament, Dieu lui-même est représenté comme pasteur de son peuple. « Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien » (Ps 22 [23], 1). « Il est notre Dieu ; nous sommes le peuple qu’il conduit, le troupeau guidé par sa main » (Ps 94 [95], 7). Le futur Messie est lui aussi décrit avec limage du pasteur : « Comme un berger, il conduit son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son coeur, et il prend soin des brebis qui allaitent leurs petits » (Is 40, 11). Cette image idéale du pasteur est pleinement réalisée dans le Christ. Il est le bon pasteur qui va à la recherche de la brebis perdue ; il a pitié du peuple car il le voit « comme des brebis sans berger » (Mt 9, 36) ; il appelle ses disciples « le petit troupeau » (Lc 12, 32). Pierre appelle Jésus « le pasteur de nos âmes » ( cf. 1P 2, 25) et la Lettre aux Hébreux « le berger des brebis, Pasteur par excellence » (He, 13, 20).

Le passage de lEvangile de ce dimanche souligne quelques caractéristiques de Jésus bon pasteur. La première concerne la connaissance mutuelle entre la brebis et le berger : « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent ». Dans certains pays dEurope les ovins sont élevés principalement pour la viande ; en Israël ils sont élevés essentiellement pour la laine et le lait. Celles-ci demeuraient par conséquent pendant de longues années en compagnie du berger qui finissait par connaître le caractère de chacune et par leur donner un nom affectueux.

Ce que veut dire Jésus à travers ces images est clair. Il connaît ses disciples (et, en tant que Dieu, tous les hommes), il les connaît par « leurs noms », ce qui, pour la Bible, signifie dans leur moi le plus intime. Il les aime dun amour personnel qui atteint chacun comme sil était le seul à exister devant lui. Le Christ ne sait compter que jusqu’à un : et ce « un » cest chacun de nous.

L’évangile daujourdhui nous dit une autre chose du bon pasteur. Il donne sa vie aux brebis et pour les brebis et personne ne pourra les lui enlever. Le cauchemar des bergers dIsraël étaient les bêtes sauvages les loups et les hyènes et les bandits. Dans des lieux aussi isolés ils constituaient une menace permanente. Cest là que lon voyait la différence entre le véritable pasteur celui qui pais les brebis de la famille, qui a la vocation de pasteur et lemployé qui se met au service de quelque berger uniquement pour le salaire quil reçoit en retour, mais naime pas, et souvent hait même les brebis. Face au danger, le mercenaire fuit et abandonne les brebis à la merci du loup ou des bandits ; le véritable pasteur affronte courageusement le danger pour sauver son troupeau. Cela explique la raison pour laquelle la liturgie nous propose lEvangile du bon pasteur pendant le temps pascal : A Pâques, le Christ a montré quil était le bon pasteur qui donne sa vie pour ses brebis.

BENOÎT XVI – Mercredi, 25 avril 2007 – Origène

28 avril, 2007

Du site Vatican (traduction),  j’avais dit que je n’aurais pas fait la traduction pour le danger d’altérer le texte, mais je ne trouve pas encore traductions en français, j’espère parce qu’en Italie il y a le « pont » soi-disant ou en étant nous différentes fêtes un derrière l’autre les gens ils vont en congés; de toute façon le texte, comme je l’ai traduit, il est très semblable à l’Italien, 

BENOÎT XVI AUDIENCE GÉNÉRALE  -  Place San Pietro Mercredi, 25 avril 2007 

Origène d’Alexandrie 

Chers frères et sœurs, dans nos méditations sur les grandes personnalités de l’Église ancienne, nous en connaissons aujourd’hui à une de plus considérables. Origène d’Alexandrie est réellement une des personnalités déterminantes pour tout développe de la pensée chrétienne. Il ramasse l’héritage de Clément d’Alexandrie, sur lequel nous avons médité mercredi passé, et elle la relance vers le futur en manière tellement innovatrice, graver d’une déroulée irréversible à développe de la pensée chrétienne. Il fut un vrai « maestro », et ainsi de ils lui se rappelaient avec nostalgie et commotion ses élèves : pas seulement un brillant théologien, mais des témoin exemplaire de la doctrine qui transmettait. « Il enseigna », écrit Eusèbe de Césarienne, son biographe enthousiaste, « que la conduite doit correspondre exactement au mot, et fut surtout pour ceci qui, aidé de la grâce de Dieu, induisit beaucoup à lui imiter » (Hist. Eccl. 6,3,7). Toute sa vie fut parcourue d’un incessant halètent au martyre. Il avait dix-sept ans lorsque, dans le dixième an de l’empereur Septimo Sévère, elle éclata à Alessandria la persécution contre les chrétiens. Clément, son maître, abandonna la ville, et le père d’Origène, de Léonide, fut jeté en prison. Son fils désirait ardemment le martyre, mais il ne put pas réaliser ce désir. Alors il écrivit le père, en l’exhortant pas démordre du suprême témoignage de la foi. Et lorsque Léonide fut décapitées, les petit Origène sentit qu’il devait accueillir l’exemple de sa vie. Quarante ans plus tard, pendant qu’il prêchait à Césarienne, il sortit dans cet aveu : « À rien le vaut avoir eu un père martyre, si je ne tiens pas une bonne conduite et ne me fais pas honneur à la noblesse de mienne souche, c’est-à-dire au martyre de mon père et au témoignage qui l’a rendu illustre en Christ » (Hom. Ez. 4,8). Dans une homélie suivante – lorsque, merci à l’extrême tolérance de l’empereur Filippo l’Arabo, semblait maintenant évanoui l’éventualité d’un témoignage sanglante  - Origène exclame : « Si Dieu me concédait d’être lavé dans mon sang, ainsi à recevoir le second baptême en ayant accepté les mortes pour Christ, je m’éloignerais sûr de ce monde… Mais ils sont bienheureux qui méritent ces choses « (Hom. Iud. 7,12). Ces expressions révèlent à toute la nostalgie d’Origène pour le baptême de sang. Et finalement cette irrésistible halètement vint, au moins en partie, exaucé. Dans le 250, pendant la persécution de Decio, d’Origène il fut arrêté et torturé cruellement. Affaibli des souffrances subies, mourut quelque an après. Il n’avait pas encore soixante-dix ans. Nous avons fait signe à celle « déroulée irréversible » que Origène il gravée à l’histoire de la théologie et de la pensée chrétienne. Mais dans que elle consiste celle « déroulée », cette nouveauté ainsi gravide de conséquences ? Elle correspond en somme à la fondation de la théologie dans l’explication des Écritures. Faire théologie était pour lui essentiellement expliquer, comprendre l’Écriture ; ou nous pourrions même dire que sa théologie est les parfaite symbiose entre théologie et exégèse. En vérité, le sigle son de la doctrine d’Origène semble résider justement dans l’incessante invitation à passer de la lettre à l’esprit des Écritures, pour progresser dans la connaissance de Dieu. Et cet soi-disant « allégorisme », a écrit von Balthasar, coïncide précisément « avec développe du dogme chrétien actionné de l’enseignement des docteurs de l’Église », qui – dans une mode ou dans l’autre – ont accueilli la « leçon » d’Origène. Ainsi la tradition et le magistère, la fondation et la garantie de la recherche théologique, arrivent à se configurer comme « Écriture en acte » (cfr Origène : le monde, Christ et l’Église, tr. it., Milan 1972, p. 43). Nous pouvons affirmer donc que le noyau central de l’immense œuvre littéraire d’Origène consiste dans sa « triple lecture » de
la Bible. Mais avant d’illustrer cette « lecture » il convient donner un regard global à la production littéraire de Origène. San Girolamo dans son Épître 33 énumère les titres de 320 livres et de 310 homélie d’Origène. Malheureusement la plupart de cette œuvre est allée perdue, mais même le peu qui en reste fait d’lui l’auteur plus prolifique des premiers trois siècles chrétiens. Son rayon d’intérêts s’étend des exégèse au dogme, à la philosophie, à l’apologétique, à l’ascétique et à la mystique. Elle est une vision fondamentale et globale de la vie chrétienne. Le noyau
inspirateur
de cette œuvre est, comme avons fait signe, la « triple lecture » des Écritures développée d’Origène dans l’arc de sa vie. Avec cette expression nous entendons faire allusion aux trois modalités plus importantes – entre elles pas suivantes, au contraire plus souvent superposées – avec lesquelles Origène s’est dédié à étudie des Écritures. D’abord il lut
la Bible avec le but d’en vérifier au mieux teste et d’en offrir l’édition plus fiable. Celui-ci, par exemple, est le premier pas : connaître réellement ce qu’il a été écrit et connaître ce qui cette écriture voulait intentionnellement et initialement dire. Il a fait un grand étudie à ce fin et a rédigé une édition de
la Bible avec six colonnes parallèles, de gauche à droite, avec teste du hébreu en caractères
hébraïques –
il a eu même des contacts avec les rabbins pour comprendre bien teste de l’original hébreu de
la Bible -, ensuite teste hébreu translittéré en caractères grecs et ensuite quatre traductions divergées en langue grecque, qu’ils lui permettaient de comparer les différentes possibilités de traduction. D’ici le titre d’ « Esapla » (« six colonnes ») attribué à celle-ci immense
synopsis.
Celui-ci est le premier point : connaître exactement ce qu’il a été écrit, je teste comme tel. En deuxième lieu Origène lut systématiquement
la Bible avec le sien célèbres des Commentaires. Ils reproduisent fidèlement les explications qui le maestro offraient pendant l’école, à Alessandria comme à Césarienne. Origène il procède presque verset pour verset, en forme minutieuse, vaste et approfondie, avec des notes de caractère
philologique et doctrinale. Il travaille avec grande exactitude pour connaître bien ce qu’ils voulaient dire philologique les sacrés auteurs. Finalement, même avant ses ordination presbytérale, Origène se dédia très beaucoup d’à la prédication de
la Bible, en s’adaptant à un public d’une manière différente composite. En tout cas, on avertit même dans ses Homélie le
maître
, tout adonné aux interprétation systématique du péricope en examen, au fur et à mesure fractionnée dans les suivants versets. Même dans les homélie Origène il cueille toutes les occasions pour rappeler les différentes dimensions du sens de
la Sacrée Écriture, qui aident ou expriment un chemin dans la croissance de la foi : il y a le sens « littéral », mais il cache des profondeurs qui n’apparaissent pas dans un premier temps ; la seconde dimension est le sens « moral »
:
ce que nous devons faire en vivant le mot ; et finalement le sens « spirituel », c’est-à-dire l’unité de l’Écriture, que dans tout le sien je développe parle de Christ. Il est l’Esprit Saint qui nous fait comprendre le contenu christologique et ainsi l’unité de l’Écriture dans sa diversité. Il serait intéressant montrer ceci. Un peu j’ai tenté, dans mon livre « Jésus de Nazareth », de montrer dans la situation d’aujourd’hui ces multiples dimensions du Parole, de
la Sacrée Écriture, qui d’abord doit être respectée vraiment dans le sens historique. Mais ce sens nous dépasse vers Christ, dans la lumière de l’Esprit Saint, et il nous montre, comme vies. On en trouve signe, par exemple, dans la neuvième homélie sur les Nombres, où Origène compare l’Écriture aux noix : « Ainsi elle est la doctrine de
la Loi et des Prophètes à l’école de Christ », il affirme Origène ; « amère elle est la lettre, qui est comme l’écorce ; en deuxième lieu tu parviendras à la coque, qui est la doctrine morale ; en troisième lieu tu trouveras le sens dont des mystères,
ils nourrissent les âmes des saints dans la vie présent et dans le futur « (Hom. Num. 9,7). Surtout pour ces Origène il arrive y à promouvoir efficacement la « lecture chrétienne » de l’Ancien Testament, en repoussant en manière brillante le défi de ces hérétiques – surtout gnostique et marcionite qui opposaient entre eux les deux Testaments jusqu’à rejeter l’Ancien. À cette intention, dans la même homélie sur les Nombres Origène affirme : « Je ne appelle pas
la Loi un ` Ancien Testament’, si je la comprends dans l’Esprit.
La Loi devient un ` Ancien Testament ‘seulement pour ceux qui veulent la comprendre charnellement « , c’est-à-dire en s’arrêtant à la lettre de teste. Mais « pour nous, que nous la comprenons et nous l’appliquons dans l’Esprit et dans le sens de l’Évangile,
la Loi est toujours nouvelle, et les deux Testaments sont pour nous un nouveau Testament, à cause de la non donnée temporelle, mais de la nouveauté du sens… Par contre, pour le pécheur et pour ceux qui ne
respectent pas la patte de la charité, même les Évangiles vieillissent « (Hom. Num. 9,4). Vous invitation – et ainsi je conclus – à accueillir dans votre cœur l’enseignement de ce grand maestro dans la foi. Il nous rappelle avec intime transport qui, dans la lecture orante de l’Écriture et dans le cohérent engagement de la vie, l’Église toujours se rénove et
il rajeunit.
La Parole de Dieu, qui ne vieillit jamais, né jamais s’épuise, est à moitié privilégié à tel balai. Il est en effet
la Parole de Dieu que, pour œuvre de l’Esprit Saint, nous de la guide toujours nouveaux à la vérité de tout entière (cfr.  Benoît XVI, aux participants au Congrès International pour XL anniversaire de
la Constitution dogmatique « Dei Verbum », dans : Enseignements, vol. I, 2005, pp. 552-553). Et nous prions les Seigneur nous donnent aujourd’hui des penseurs, théologien, exégète qui trouvent cette multi dimension, cette actualité permanente de
la Sacrée Écriture, sa nouveauté pour aujourd’hui. Nous prions que les Seigneur nous aides légères en mode orante à
la Sacrée Écriture, à nous nourrir réellement du vrai pain de la vie, de son Parole. 

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