Archive pour novembre, 2006

un « clip » du voyage du Pape sur: « Le monde »

30 novembre, 2006

un « clip » du voyage du Pape sur:

 http://www.lemonde.fr/web/panorama/0,11-0@2-3214,32-839775@51-833953,0.html

Le service d’amour du successeur de Pierre au monde orthodoxe

30 novembre, 2006

sur le site « Generation Benoît » (autre article, voir):

http://www.generation-benoitxvi.com/Le-service-d-amour-du-successeur.html

Le service d’amour du successeur de Pierre au monde orthodoxe

30 novembre 2006

Ce matin, 30 novembre, Benoît XVI a assisté à la divine liturgie célébrée dans l’église patriarcale St-Georges du patriarcat oecuménique de Constantinople. SS Barthélémy Ier, patriarche œcuménique, a accueilli le Pape puis a prononcé un discours auquel à répondu le Saint-Père.

discour du Pape

« Aujourd’hui en cette cathédrale patriarcale – a dit le Pape – nous vivons une fois encore la communion et l’appel des deux frères, Simon-Pierre et André, dans la rencontre entre le Successeur de Pierre et son Frère dans le ministère épiscopal, le chef de cette Eglise, fondée selon la tradition par l’apôtre André. Notre rencontre fraternelle démontre la relation particulière qui unit les Eglises de Rome et de Constantinople comme des Eglises jumelles ».

Le Saint-Père a ensuite remercié Dieu pour « la nouvelle vitalité des relations qui se sont développées depuis la mémorable rencontre de décembre 1964, entre Paul VI et Athénagoras qui, la veille de la session finale du Concile Vatican II… ont accompli un geste unique et inoubliable en effaçant de la mémoire de l’Eglise les tragiques excommunications de 1054. Ainsi, ont-ils imposé un changement décisif dans nos relations ».

Vers la pleine communion

« C’est dans le même esprit que ma venue est destinée à renouveler l’engagement commun pour poursuivre la route vers le rétablissement… de la pleine communion entre l’Eglise de Rome et l’Eglise de Constantinople. Je peux vous assurer que l’Eglise catholique est prête à faire tous les efforts possibles pour surmonter les obstacles et rechercher, avec nos frères et sœurs orthodoxes, les moyens toujours plus efficaces de collaboration pastorale pour atteindre ce but ».

Jésus a confié aux Apôtres Pierre et André « la mission de faire que toutes les nations soient disciples en les baptisant et en proclamant son enseignement », a expliqué le Pape tout en rappelant que cette mission est « encore plus urgente et nécessaire aujourd’hui. En effet elle concerne non seulement les cultures touchées marginalement par le message de l’Evangile mais aussi les cultures européennes qui sont profondément enracinées dans la tradition chrétienne depuis très longtemps. »

« Le processus de sécularisation a affaibli le maintien de cette tradition, elle est même remise en jeu sinon rejetée. Face à cette réalité, nous sommes appelés, avec toutes les communautés chrétiennes, à renouveler la prise de conscience de l’Europe de ses propres racines, ses traditions et valeurs chrétiennes en leur redonnant vitalité. Nos efforts pour renforcer les liens qui unissent l’Eglise catholique et les Eglises orthodoxes font partie de ce devoir missionnaire. Les divisions entre chrétiens sont un scandale pour le monde et un obstacle pour la proclamation de l’Evangile. »

Puis Benoît XVI a répété que Simon-Pierre et André ont été appelé à être pêcheurs d’homme, mais que cette mission « s’est exprimée différemment pour chacun des deux frères. Simon… a été appelé Pierre, la pierre sur laquelle sera construite l’Eglise ; les clefs du Royaume des Cieux lui ont été plus particulièrement confiées. Son itinéraire l’a conduit de Jérusalem… à Rome afin qu’en cette ville il puisse exercer une responsabilité universelle ».

« Le thème du service universel de Pierre et de ses successeurs – a expliqué le Pape – a malheureusement donné naissance à nos différences d’opinion, que nous souhaitons surmonter, grâce au dialogue théologique qui a repris depuis peu ». Benoît XVI a alors rappelé les paroles de Jean-Paul II sur « la miséricorde qui caractérise le service à l’unité de Pierre [...] invitant sur cette base à entrer dans un dialogue fraternel afin d’identifier sous quelles formes le ministère pétrinien pourrait s’exercer aujourd’hui, respectant sa nature et son essence pour accomplir un service d’amour reconnu par les uns et les autres ».

Quant à André qui parlait le grec, sa mission a été d’être « l’Apôtre de la rencontre avec les Grecs ». Il représente ainsi ’la rencontre de la christianité primitive avec la culture grecque. Cette rencontre, particulièrement en Asie Mineure, est devenue possible grâce aux grands Pères de la Cappadoce qui ont enrichi la liturgie, la théologie et la spiritualité des Eglises orientales comme occidentale ».

L’heureuse rencontre entre message chrétien et culture hellénique

« Le message chrétien, tel un grain de blé, est tombé sur cette terre et a donné beaucoup de fruits. Nous devons être profondément reconnaissants de l’hérédité issue de la fructueuse rencontre entre le message chrétien et la culture hellénique qui a eu de longues répercussions » pour les deux églises.

« Au cours de l’histoire, l’Eglise de Rome comme l’Eglise de Constantinople ont souvent vécu la leçon du grain de blé. Ensemble, nous vénérons nombre de martyres communs… Nous partageons le même espoir qui oblige l’Eglise à poursuivre son pèlerinage parmi les persécutions du monde et les consolations de Dieu… Le siècle à peine achevé a également connu de courageux témoins de la foi en Orient comme en Occident. Aujourd’hui encore [...] nous prions pour eux et nous leur offrons tout notre soutient possible alors que nous demandons avec insistance à tous les responsables mondiaux de respecter la liberté religieuse comme droit de l’homme fondamental ».

« La divine liturgie à laquelle nous avons participé a été célébrée selon le rite de saint Jean Chrysostome. La croix et la résurrection de Jésus-Christ sont restées mystiquement présents… Nous partageons tous, orthodoxes et catholiques, cette foi dans la mort rédemptrice de Jésus sur la croix et l’espérance que le Christ ressuscité offre à la famille humaine. Que notre prière et engagement quotidien soient inspirés du fervent désir d’être non seulement présents à la divine liturgie mais aussi d’être capable de la célébrer ensemble pour prendre part à l’unique table du Seigneur, partageant le même pain et le même calice ».

A la fin de la cérémonie solennelle, le Pape et le Patriarche oecuménique ont donné ensemble la bénédiction conclusive.

Source : VIS

« Comme il est bon pour des frères » : gratitude de Benoît XVI -

30 novembre, 2006

le 29.11.06, du Zenith:

« Comme il est bon pour des frères » :

gratitude de Benoît XVI -

L’accueil et les vêpres au patriarcat œcuménique

ROME, Mercredi 29 novembre 2006 (ZENIT.org) – « Comme il est bon pour des frères » : le pape Benoît XVI a cité d’emblée le psaume pour évoquer cette rencontre, au Phanar, avec le patriarche Bartholomeo et le saint synode. La célébration a commencé vers 18 heures (heure de Rome).D’emblée, Benoît XVI remerciait le patriarche et le saint synode de leur « accueil fraternel » déclarant qu’il en garderait toujours la mémoire « dans son cœur ».

Le pape disait sa gratitude au Seigneur pour « la bonne volonté » manifestée, et la« signification ecclésiale », la « grande joie » de se trouver « dans cette église cathédrale » qui a été le témoin « d’importants événements » et de « l’engagement pour la pleine unité des catholiques et des orthodoxes ».

Benoît XVI se réjouissait spécialement de la levée des anathèmes de 1054, comme une « courageuse décison » et de la déclaration de Paul VI et d’Athénagoras dans « l’amour redécouvert », et la cérémonie qui a eu lieu simultanément à Saint-Pierre de Rome et au Phanar.

Le « tome » du patriarche Athénagoras avait pour thème, rappelait Benoît XVI, le verset de saint Jean : « Deus Caritas est ». Paul VI avait choisi pour sa lettre cette exhortation de saint Paul « Ambulate in dilectione » (« Marchez dans l’amour »). Benoît XVI soulignait combien cet événement avait été le « fondement dans l’amour de nouvelles relations entre les deux Eglises ».

Depuis, le pape mentionnait les déclarations nombreuses et les « gestes pleins de signification », comme les visites de Paul VI et de Jean-Paul II reçus au Phanar « avec chaleur » et s’associant aux patriarches dans ce nouvel élan « vers la compréhension réciproque ».

Et le pape s’est réjoui de sa visite dans cette « terre si liée à la foi chrétienne des Eglises antiques », évoquées par saint Pierre, dans toute l’Asie mineure, les « martyrs, théologiens, moines, pasteurs, engendrés au cours des siècles ».

Evoquant spécialement les pasteurs Grégoire de Nazianze et Jean Chrysostome dont des reliques conservées à Saint-Pierre ont été données au patriarche par Jean-Paul II en « signe de communion » pour qu’elles soient « vénérées dans cette cathédrale », il a précisé qu’ils sont vraiment des « intercesseurs devant le Seigneur ». Le pape citait aussi les 7 conciles œcuméniques.

Enfin, la célébration s’est conclue par la bénédiction du pape et du patriarche.

Le chant final souhaitait à « Sa Sainteté le pape de Rome » que « le Seigneur le garde de nombreuses années », et de même pour le patriarche œcuménique.

Le pape a eu ensuite une rencontre privée avec le patriarche et les membres du synode, saluant chacun et présentant les membres de sa suite au patriarche. Les observateurs soulignaient aujourd’hui dans les media italiens la salutation cordiale entre le patriarche et le cardinal Ignace Moussa Daoud, préfet de la congrégation romaine pour les Eglises orientales catholiques.
« Comme il est bon pour des frères » : gratitude de Benoît XVI - 2006-11-30T142110Z_01_NOOTR_RTRIDSP_3_OFRTP-PAPE-TURQUIE-20061130

imege du site:

http://www.lexpress.fr/info/infojour/zoom.asp?id=32322

bonsoir, j’ai vu jusqu’à cet après-midi le voyage de le Pape

30 novembre, 2006

bonsoir, j’ai vu jusqu’à cet après-midi le voyage de le Pape, j’ai presque tous les discours en italien et en angles, mais pas en français, j’ai regardé en tour pour voir des traductions ou des interprétation, l’ impression comme que j’ avais été  du directe c’est fort; hier je vous ai mis le discours du Pape à Efeso, un discours important, un rendez vous important avec la petite  mais fort  communauté chrétienne en Turquie, ensuite il y a eu la première rencontre avec Bartolomeo I ; ce matin  la « Divine Liturgie » c’est-à-dire cette de San Crisostomo, en partie je la connaissais pour être allé différentes fois en Églises catholiques de rite byzantino, le rite fondamentalement est le même pour l’occident et pour l’orient avec diversité de quelques prières, de ce que j’ai pu comprendre, très beaux et caractérisant à réciproque désir de rencontre et d’unité les deux discours, Bartolomeo a fait signe à la « Tunique indivise » c’est-à-dire, pour qui ne il rappelle pas, à la tunique de Jésus qui ne fut pas divisé sous la croix et qu’il est resté un symbole de l’unité de l’ Église ; le Pape a récité le Notre Père cependant dans grec moderne, à la fin les prières pour tous les deux ; en suite ils sont sortis de l’Église dans une petite place interne au dessous; ils ont bénit tous les deux la petite foule et, ensuite, en saluant, Bartolomeo, a pris la main de le Pape et elle l’a élevée un peu comme ils font les modernes vainqueur de quelque sport ; aujourd’hui après-midi j’ai vu la visite à l’ex Église de Saint Sofia et ensuite à la mosquée Bleue qui est voisines et de front, loin à pied peu plus que 5 minutes, ainsi ont dit ; la Mosquée Bleue est vraiment très belle, les Mufti (espère écrire bien) a expliqué tout en détail à le Pape soit de l’ex Église de Saint Sofia soit des Mosquée Bleue; le Pape était beaucoup intéressé et content, ont dialogué à le long de et, ensuite, une chose inattendue : la papa et les Mufti ont prié ensemble pour quelque minuits, chacun silencieusement mais certes l’unique Dieu ; il y a eu beaucoup de cordialité touts les deux des parties et semblaient contents ; échange de dons (beaux, peut-être se trouveront le photo sur le site Yahoo) je les ai laissés ainsi ; l’impression, spécialement d’aujourd’hui est que les discours ont été plus, comme peux dire, souriant, plus sereins, c’est-à-dire me semble que le Pape il est et le Mufti ils sont réciproquement restés bien impressionné l’un de l’autre : cette Papa, sa présence humble et simple doit avoir fait effet au moins combien les discours, ainsi m’a semblé ; pour les traductions des témoins je m’espère que demain ils arrivent quelque chose de le traduction, de toute façon au moins un discours je le traduis, ainsi comme je peux, ensuite ai trouvé quelque nouvelle en français, et je la mets, ils regrettent ces retards sur la langue française, mais un ami, un professeur, il m’a dit qu’il y a beaucoup de difficulté trouver des excellents traducteurs en considérant qu’il doit traduire en français de l’allemand et pas de l’italien ; ce tout pour le moment, c’est difficile faire un récit de tout le chose vois et écouter parce que il y a la difficulté di traduire le sentiment que se déchiffres da le parole ; 

bonsoir, j'ai vu jusqu'à cet après-midi le voyage de le Pape

Le Pape aux Mosque Blue

Pope Benedict XVI (C) talks to Muslim clerics as he visits the Sultanahmet, or Blue Mosque, in Istanbul November 30, 2006. (Damir Sagolj/Reuters)

bonne nuit

30 novembre, 2006

ce soir (c’est-à-dire nuit) je suis un peu plus serein pour le Pape, son ministère est vraiment un ministère de amour, pastorale comme lui dit, mais si « Dieu est Amour », il se trouve sur la percours juste, je voulais vous donner ce achève ma pensée et la bonne nuit

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des photo du Pape Benoît

30 novembre, 2006

sur mon photoBlog italien j’ai recueilli qualche photo du Pape Benoît; aussi de le voiage en Turchie; si vous désire le voir il y a le lien sur ce Blog; le photo sont toute prise du site americain Yahoo; 

Le Pape priès dans la chapelle de Marie a Epheso

30 novembre, 2006

Le Pape priès dans la chapelle de Marie a Epheso

Le Pape priès dans la chapelle de Marie a Epheso

In this picture released by the Vatican newspaper l’Osservatore Romano, Pope Benedict XVI kneels in prayer in the Chapel of the Capuchins’s convent at the House of the Virgin Mary is Selcuk, near Ephesus in western Turkey, Wednesday, Nov. 29, 2009. The pontiff celebrated an open air Mass in the House of the Virgin Mary sanctuary believed to be the last residence of the Virgin Mary. The pope is in Selcuk on the second day of his four-day visit to Turkey (AP Photo/L’Osservatore Romano)

La Turquie salue le ton conciliant adopté par Benoît XVI à l’occasion de sa visite de quatre jours dans ce pays à majorité musulmane,

30 novembre, 2006

du site:

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=27160

mercredi 29 novembre 2006,

Stéphane/armenews

La Turquie salue le ton conciliant adopté par Benoît XVI à l’occasion de sa visite de quatre jours dans ce pays à majorité musulmane,

ainsi que son soutien apparent aux efforts d’Ankara pour adhérer à l’Union européenne.

En célébrant une messe à Ephèse, sur la côte d’Asie mineure où la Vierge Marie aurait passé les dernières années de sa vie, le pape a déclaré qu’une dévotion commune à la mère de Jésus Christ constituait l’un des liens entre chrétiens et musulmans.

Au deuxième jour de cette visite, les commentateurs turcs se concentraient sur les gestes esquissés par le pape à son arrivée mardi : son appel au dialogue et à la tolérance, ses paroles favorables à la candidature turque à l’UE et son éloge de la religion musulmane après la récente polémique suscitée par son discours de Ratisbonne (Allemagne) sur l’islam et la violence.

« C’est un grand avertissement aux responsables politiques qui prennent l’UE pour un club chrétien », écrit l’éditorialiste Guneri Civaoglu dans le quotidien Milliyet.

Au sommet de l’Otan organisé à Riga, le président du Conseil italien Romano Prodi a dit que son homologue turc Tayyip Erdogan s’était montré « très satisfait » du début de la visite du pape.

La « Maison de Marie » a été découverte au XIXe siècle par des archéologues effectuant des recherches à partir des écrits de la mystique allemande Anne Catherine Emmerich.

Dans son sermon, le pape a déclaré : « D’ici, à Ephèse, ville bénie par la présence de la Très Sainte Marie – que nous savons aimée et vénérée aussi par les musulmans -, élevons vers le Seigneur une prière spéciale pour la paix entre les peuples. »

Le Coran reconnaît la Vierge Marie comme la mère de Jésus, en qui les musulmans voient le plus grand des prophètes après Mahomet. Certains d’entre eux, avant tout des femmes, se rendent aux sanctuaires qui lui sont dédiés.

La simple maison de pierre où elle serait morte est située dans un décor d’oliviers et de pins à proximité de l’antique ville grecque d’Ephèse, aujourd’hui réduite à un ensemble de ruines portant le nom d’Efes en turc.

Après avoir été à l’époque gréco-romaine le centre du culte de Diane (ou Artémis), déesse de la chasse, Ephèse était devenue un pôle du christianisme primitif vers la fin du Ier siècle ap. J-C. L’apôtre Paul y avait accompli son plus long voyage missionnaire et, selon une légende tardive, la Vierge Marie y aurait rejoint l’apôtre Jean après la crucifixion du Christ.

Le déplacement de Benoît XVI devait se limiter initialement à une visite au patriarche oecuménique de Constantinople (Istanbul), Bartholomé Ier, primat d’honneur des orthodoxes, en vue d’un rapprochement entre les Eglises catholique et orthodoxe. Quelque 100.000 chrétiens vivent en Turquie.

Mais son discours de septembre à l’université de Ratisbonne a paru souligner les différences entre christianisme et islam en établissant un lien entre ce dernier et la violence – ce que le pape a démenti face aux réactions de colère des musulmans.

Ce développement a fait de son voyage une visite symbolique dans le monde musulman, d’une importance certaine pour l’avenir des relations entre le Vatican et l’islam.

Les déclarations faites par le souverain pontife pour sa première visite officielle dans un pays musulman semblent propres à corriger les effets de son discours en Allemagne, qui avait provoqué des attaques contre des églises dans le monde musulman et le meurtre d’une religieuse italienne en Somalie.

Le pape, que l’on dit entouré d’un dispositif de sécurité encore plus strict que celui dont avait bénéficié le président américain George Bush lors de sa venue dans le pays en 2004, a aussi opéré ce qui ressemble à une volte-face au sujet de la demande d’adhésion d’Ankara à l’UE.

Un porte-parole du Vatican a minimisé la portée de ce geste, mais sans la nier.

Les Turcs avaient espéré que la visite du pape persuaderait les Européens sceptiques que leur pays méritait d’être accueilli dans l’UE.

Cet espoir s’est refroidi mercredi, la Commission européenne ayant décidé de recommander une suspension partielle des pourparlers d’adhésion avec la Turquie en l’absence d’accord sur l’ouverture des ports turcs aux navires chypriotes

aux revoir comme je peux, ciao,

29 novembre, 2006

J’ai réussi à mettre quelque chose sur le Blog, ensuite aux 18.30 me suis interrompue pour suivre la rencontre de la Papa avec Bartolomeo I ; aux revoir comme je peux, ciao,

Benoît XVI célèbre la messe en plein air à Ephèse, sanctuaire chrétien le plus sacré de Turquie –Par Victor Simpson–

29 novembre, 2006

du site:

http://permanent.nouvelobs.com/

Benoît XVI célèbre la messe en plein air à Ephèse, sanctuaire chrétien le plus sacré de Turquie –Par Victor Simpson–
Benoît XVI célèbre la messe en plein air à Ephèse, sanctuaire chrétien le plus sacré de Turquie --Par Victor Simpson-- dans FRANCE trans
AP | 29.11.06 | 14:12
trans dans FRANCE

KNO114-1129062055
SELCUK (AP) — Au deuxième jour de sa visite en Turquie, le pape Benoît XVI a célébré mercredi matin une messe en plein air à Ephèse, dans l’Ouest du pays, où la Vierge Marie aurait passé les dernières années de sa vie. Il a rendu hommage à un prêtre catholique tué en février à Trébizonde au moment des manifestations contre les caricatures de Mahomet.
En raison du dispositif de sécurité renforcée autour du souverain pontife, seulement 250 personnes ont été autorisées à assister à la cérémonie près de la « Maison de Marie », sanctuaire chrétien le plus sacré du pays.
Durant son homélie, Benoît XVI a salué la mémoire d’un prêtre catholique assassiné en février par un adolescent à Trébizonde, dans le Nord du pays, apparemment en réaction à la publication des caricatures du prophète de l’islam Mahomet.
« Chantons joyeusement, même lorsque nous sommes mis à l’épreuve par les difficultés et les dangers, comme nous l’avons appris du beau témoignage du prêtre Andrea Santoro, dont j’ai le plaisir d’évoquer le souvenir lors de cette messe », a déclaré le souverain pontife.
Mardi, à son arrivée en Turquie, Benoît XVI avait commencé sa visite en lançant un appel au dialogue et à la « fraternité » entre chrétiens et musulmans, afin d’apaiser les tensions nées de ses déclarations controversées sur l’Islam.
Mercredi, dans le droit fil de cet appel, il a cité mercredi un de ses prédécesseurs, Jean XIII, qui a représenté le Vatican entre 1934 et 1944 comme délégué apostolique: « J’aime les Turcs. J’apprécie les qualités naturelles de ce peuple, qui a sa place réservée dans la marche de la civilisation. »
Il s’est également adressé aux catholiques de Turquie, « petit troupeau de fidèles » dans un pays à majorité musulmane. Le pape est venu leur « offrir une parole d’encouragement et manifester l’affection de toute l’Eglise ». « J’ai souhaité transmettre mon amour personnel et ma proximité spirituelle, avec celle de l’église universelle, à la communauté chrétienne ici en Turquie, une petite minorité confrontée quotidiennement à de nombreux défis et difficultés », a ajouté Benoît XVI.
Les pèlerins ont agité des drapeaux aux couleurs jaune et blanc du Vatican à l’arrivée du chef de l’église catholique, protégé par un important dispositif de sécurité, avec notamment le survol d’un hélicoptère de l’armée. Benoît XVI est le troisième pape à visiter la Maison de Marie, après Paul VI en 1967 et Jean Paul II en 1979.
Les vestiges de cette petite maison de pierre, dont les fondations les plus anciennes remontent au premier siècle de l’ère chrétienne, sont devenus un lieu de pèlerinage populaire depuis les années 50, visité tant par les chrétiens que les musulmans.
Après la messe, le pape devait gagner Istanbul pour y rencontrer mercredi le patriarche Bartholomée Ier, chef spirituel de 300 millions de chrétiens orthodoxes.
Les deux branches majeures de la chrétienté, l’Eglise catholique romaine héritière de l’Eglise d’Occident et les églises orthodoxes issues de l’Eglise d’Orient sont séparées depuis le schisme de 1054, dû à un conflit sur les pouvoirs du pape et des divergences liturgiques. Les chefs spirituels des deux églises s’efforcent depuis plusieurs années d’oeuvrer à un difficile rapprochement. AP

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