GRÂCE AU LASER, L’INATTENDU EST APPARU (…LE VISAGE ÉMACIÉ DE L’APÔTRE PAUL)
25 janvier, 2018http://www.internetica.it/IconaPaolo-Osservatore.htm
(Traduction Google d’italien)
GRÂCE AU LASER, L’INATTENDU EST APPARU (…LE VISAGE ÉMACIÉ DE L’APÔTRE PAUL)
par Barbara Mazzei
Il y a quelques jours, sous une concrétion calcaire épaisse qui cachait la décoration du plafond de la cellule des catacombes de Santa Tecla, il est apparu le visage émacié de l’apôtre Paul. La physionomie caractéristique assignée Apôtre des Gentils du paléochrétien, qui lui a décerné les caractéristiques idéales du penseur, avec de grands yeux regardent loin dans l’espace, les joues creuses, les cheveux dégarni et barbe longue se terminant dans une pointe, ne laissait aucun doute sur l’identification. Sa présence a suscité une profonde émotion, impressionnant les restaurateurs et imposant une accélération soudaine à la restauration.
Bien qu’il ait travaillé pendant plus d’un an dans la cabine, atteignant seulement la dernière période des résultats inattendus en raison de la technique laser – ici appliquée pour la première fois dans un environnement souterrain – les conditions déplorables du plafond des restaurateurs fait peu disposés à les traiter. Des formes géométriques vagues émergeaient de l’épais calcaire, un clipeo central et au moins deux tours angulaires. Le schéma de décoration est pas rare que les temps des chambres de catacombs, qui prennent généralement la figure du Bon Pasteur, entouré par les personnifications des saisons, pour représenter le passage du temps gouverné par Christ.
C’était également prévu dans cette cabine, mais la découverte du visage de Paolo dans l’un des coins de la voûte a bouleversé toutes les attentes. Il est ainsi dédié au dévoilement des trois autres médaillons, qui à leur tour ont tourné les visages de deux autres apôtres, particulièrement jeune et l’autre par des traits marqués (peut-être John et James), à savoir dans la troisième face du cheveux blancs Pierre. Pour la première fois dans l’art chrétien primitif aux apôtres, et parmi eux, en premier lieu, les deux principes des apôtres, un lieu d’une si grande importance est assigné; pas les escortes des morts, comme dans beaucoup de sarcophages du quatrième siècle, ou les participants au collège liturgique présidé par le Christ, mais les personnalités individuelles qui supervisent toute la création.
La découverte inattendue a eu lieu au cours d’une longue campagne de restauration entreprise par la Commission Pontificale d’Archéologie Sacrée dans la seule cabine décorée de la catacombe de Santa Tecla sur la Via Ostiense. L’état de conservation de la décoration a été particulièrement compromise depuis la première découverte, qui a eu lieu dans la période antérieure à 1720. Il a été le travail de Marco Antonio Boldetti qui, dans les remarques sur cimiterj de « saints martyrs et anciens chrétiens romains, des rapports: « Nous avons observé différentes peintures, mais si mauvaises à l’époque, que nous ne pouvons pas voir ce qu’elles représentaient ».
La cabine, est resté enseveli pendant des siècles, il a été largement répandue, en particulier le long de l’extrémité inférieure des murs et le long de la bouche du puits de lumière, d’une couche de boue épaisse couche d’argile, qui avec le temps est devenu dur à assumer un véritable état concretional; dans la partie supérieure des murs et surtout sur la surface plane du plafond étaient concentrées d’épaisses couches de dissimulation qui, comme nous l’avons dit, obscurcissaient totalement la partie décorative originale.
L’intervention a débuté selon les techniques de nettoyage consolidées typiques des environnements hypogéaux, se limitant à des opérations mécaniques délicates et difficiles, de manière à ne produire qu’un amincissement des couches de béton. Avec la progression du nettoyage, une première difficulté. Ci-dessous, les incrustations calcaires, il était en effet trouvé une fine patine noire confondue avec une deuxième couche sombre qui était apparente au niveau du film de peinture: de façon inattendue les représentations ne sont pas placées sur la couleur blanche habituelle du plâtre, selon le répertoire catacombale plus canonique, mais sur un fond sombre avec des nuances verdâtres rappelant les plus anciens exemples de Pompéi.
Le dévoilement partiel des surfaces a entre-temps émergé une gamme de couleurs tout aussi inhabituelle, montrant une peinture corsée riche en voiles et en nuances qui suggéraient un haut niveau de qualité des artifices antiques.
À un certain point, cependant, les systèmes de nettoyage mécanique traditionnels ont dû se rendre avant la ténacité de certaines incrustations; et le danger de causer des dommages à la peinture; en particulier, le plafond de l’environnement, à partir duquel un tissage géométrique complexe a commencé à se révéler, a été saisi par une couche si adhérente de la matière étrangère qu’il était impossible de l’enlever partiellement. Nous étions déjà conscients des qualités techniques exceptionnelles du complexe décoratif et les résultats obtenus jusqu’alors ne pouvaient être considérés comme satisfaisants. Il a donc été décidé d’expérimenter la technique d’ablation laser innovante. Un choix qui s’est avéré très rentable. La technique laser, qui se distingue par des inva limitée sività et un plus grand contrôle, démontre une réponse optimale dans le traitement des surfaces décorées de l’environnement souterrain, également grâce aux particularités techniques de la peinture de paleocristiana exécutif et les conditions microclimatiques particulières des environnements. Le voile vivace de condensat aqueux qui saisit les fresques des catacombes semble en effet d’exercer une fonction de protection contre le faisceau puissant de lumière, conférant inaltérabilité aux couleurs et en exerçant un adjuvant dans les substances sovrammesse à la procédure de détachement peinture. Les résultats obtenus, comme le démontrent les visages des apôtres, sont d’une qualité inattendue, et l’utilisation de cette technique de restauration révolutionnaire dans les catacombes de Rome promet de nouvelles surprises. (© L’Osservatore Romano – le 28 Juin 2009)