Vendredi 5 mai j’accomplis 65 ans et…
30 avril, 2007Vendredi 5 mai j’accomplis 65 ans, 65!!!!!
(je m’excuse pour mon français, il est encore plus difficile de parler de soi mêmes) Je voudrais participer avec vous de cette « fête » spéciale, dans le sens qui arrive d’accomplir 65 ans seulement autrefois dans la vie. Me direz-vous il arrive pour tous les anniversaires ! », il est vrai, cependant celle-ci est une étape importante, un instant où – d’une partie – tu fais le budget de la vie, un premier budget, de l’autre sais qu’il en commence une nouvelle de vie qui ancre ne connais pas, mais qu’il est sûrement différent, certes pendant les ans précédents il y a des prémisses, mais elle reste une étape ; Comment la vis-je ? Je crois que ceux-ci derniers ans de ma vie – qui ont été pleins de souffrance (et de persécutions) – me poussent fortement à chercher Dieu, mais cette fois « vraiment » comme le premier, le seul qui te reste ami et fidèle pour toute la vie, le seul, comme il disait Saint Teresa D’Avila, « qu’il suffit » ; C’est-à-dire – peut-être psychologiquement - anticipe des temps et des pensées qu’ils devraient venir successivement, mais ma vie a été une série impressionnant de tentés d’être fidèle aux Seigneur, d’’être honnête sur le travail, d’être d’aide aux autres, d’avoir des amis qui te veulent bien (c’est-à-dire en Italie, ou tout au moins l’Italie que je connais j’il ne connaît pas le mot « amis » peut-être frères, mais amis non, je vois, lis ce que vous vous écrivez me chère français et je m’aperçois d’une gentillesse, d’une courtoisie, d’une douceur, votre mode de vous comporter et de parler qu’il n’existe ici pas) ; Les amis souvent sont les collègues que se trouvent de toute façon ensemble ; peut-être il y à des amitiés, peut-être, ne m’appelez pas pessimiste, mais l’Italie est une nation dure, parfois mauvaise, ne crois pas que vous plus ne puissiez l’imaginer comme dans les vieux films avec Totò et Anne Magnani, comme dans le film de « Rome ville ouverte » ; cette guerre nous a marqués et toutes les divisions politiques suivantes nous ont faites devenir sceptiques et arides. Pas tous, pas toujours, mais vraiment tous nous tentons de reconstruire ou de construire de nouveau quelque chose de beau, mais toujours de plus on détruit la famille, les femmes ne font plus de fils, et ensuite… il suffit ;
J’ai été, et suis consacré dans ce monde, l’ai toujours vécu, ai cherché de le vivre toujours avec plénitude, mais il a été, et est, difficile. Je ai cherché – je ai cherché toujours – , la face des Seigneur, comme il dirait le Pape et souvent je dois dire que je l’ai trouvée, et peux dire que dans ma vie Il a fait des miracles pour moi, des choses extraordinaires que avec mes mains ne pouvais pas faire ; je dois remercier les Seigneur, mais de tout vraiment, sa Croix glorieuse il est perpétuellement devant moi et Lui, les Seigneur dans mon cœur ; De l’enfant j’ai promis ma vie à Dieu, ensuite, lorsque il a été élu Papa Benoît, je l’ai offert en particulier pour Lui, pour « ce qui vit dans son ministère et ce qui porte dans le cœur ». Comme toutes les promesses à Dieu il m’a porté la joie qui Dieu offre et… persécutions. Le Blog italien je l’avais de deux ans sur un serveur italien, mais sans faute de le Server, surtouts dernièrement, à chaque post ils m’arrivaient des commentaires obscènes, mauvais, plus que mauvais, pour ceci je « me suis réfugiée » en France où j’ai tous et les deux les Blog maintenant sur le même serveur : ceci, et j’ai trouvé toujours courtoisie ; On ne peut pas recompter une vie, et il n’est facile recompter les sentiments de ce temps ; j’ai été toujours beaucoup radical dans les choses, n’ai pas jamais émousser l’angle, dans le sens que je n’ai pas fait compromis avec les choses que je retenais trompées et je me suis retrouvée presque seule ; peut-être dans ces jours je réussirai à vous dire quelque chose de plus que ce que je vis, peut-être l’expérience de l’amour de Dieu et avec Dieu ; Sa constante présence dans le temps. A moi sont morts les parents, tous les proches. Quelques « moines » prêtres auxquels je voulais bien, l’unique cousin, j’ai une sœur et un chat ; ceux-ci derniers temps ont été fatigants même pour raisons extérieures à ma volonté, refont le comble d’une cette partie du palais où je habite, ils ont mis des structures qui à moi semblent trop grand pour un temps qui dépasse chaque prévision, de ma chambre, de la maison je vois pas le ciel. Encor je vais au dentiste parce que les molaires sont des carié, la dent du jugement (qu’étrange qui me soit venu !) . Peut-être il semble être l’entame de discours triste, mais il n’est pas ainsi.
Je suis réaliste, pour l’instant me vient de recompter vous ce que je vis ainsi comme vient, ensuite peut-être pourrai, avec un peu de prière, réfléchir mieux sur ce temps, laisser que Dieu harmonise les divers faits et me les rende aimables même si humainement beaucoup ne sont pas. Une chose j’ai demandé à Dieu, dernièrement et une seule : de pouvoir amères comme Il nous a aimés ; pour aujourd’hui je vous laisse, vous confirme mon affection pour vous, si vous ne l’aviez pas déjà compris, j’écris ce soit aux français soit aux italiens, certes l’Italie l’aimons et
la France, de moi, s’est toujours faite amères ; sur le « Pages » : «Je suis » je mets même mon e.mail si tournées m’écrire quelque chose, me donner quelque suggestion, j’avant de poster quelque chose fais beaucoup de recherches et ensuite entre ce que je trouve dois faire un choix, si tournées me donner des conseils ils sont bien accueillis, vous embrasse, Gabriella