Archive pour février, 2009

excusez se je ne reponds pas à les commentaires, je ne me porte pas bien encore

28 février, 2009

excusez se je ne reponds pas à les commentaires, je ne me porte pas bien encore dans ciao 6t1mbsjw

http://alyson842007.unblog.fr/

Rubens Temptation of Christ – I carême 2009

28 février, 2009

Rubens Temptation of Christ - I carême 2009 dans images sacrée 17%20RUBENS%20TEMPTATION%20OF%20CHRIST%20BB

Rubens Temptation of Christ

http://www.artbible.net/3JC/-Mat-04,01-Temptation_and_freedom_Tentation_et_%20liberte/slides/17%20RUBENS%20TEMPTATION%20OF%20CHRIST%20BB.html

1er dimanche de Carême (1er mars 2009)

28 février, 2009

du site:

http://www.bible-service.net/site/434.html

1er dimanche de Carême (1er mars 2009)

COMMENTAIRE AUX LECTURES

“ Rappelle-toi, Seigneur ta tendresse, ton amour qui est de toujours. ”    La phrase du psaume introduit à l’important hème de l’Alliance qui est présent dans les textes de ce jour.

Après son baptême, Jésus vit dans le désert parmi les bêtes sauvages. Rappel de Noé qui sort de l’arche après le déluge avec tous les animaux de la création et avec qui Dieu fait alliance.

Avec Jésus Christ, cette alliance s’accomplit en plénitude. Elle est valable pour les hommes de tous les temps, même pour ceux qui sont morts dans le déluge, rappelle Paul. Jésus est le Sauveur universel qui inaugure sa vie publique par un triomphe sur les forces du mal.
 
Genèse 9,8-15
 

Dès le départ, l’humanité se libère de la volonté de Dieu et sombre dans la violence. Caïn ne peut maîtriser le péché tapi à sa porte et se comporte en bête féroce avec son frère Abel. Lameck, un de ses descendants, chante : “ J’ai tué un homme pour une blessure, un enfant pour une meurtrissure. Oui, Caïn sera vengé sept fois, mais Lameck soixante-dix-sept fois ”. L’humanité s’enferme dans le cycle infernal de la violence. Dieu est obligé d’intervenir par un déluge pour effacer son œuvre première. Mais il ne peut se résoudre à en finir une fois pour toute avec l’humanité. En demandant à Noé et aux siens de construire une arche, il les sauve.

Après le déluge, Dieu conclut avec Noé une alliance de paix. Elle est universelle, unilatérale et sans conditions. Dieu s’engage à ne plus ravager la terre. Il raccroche son arc de guerre dans le ciel pour en faire un signe de paix. Visible après chaque orage, l’arc-en-ciel est le signe de l’Alliance entre Dieu et l’humanité. Il est l’anneau nuptial qui relie le ciel à la terre.
 
Psaume 24  

“ Rappelle-toi, Seigneur ta tendresse, ton amour est de toujours ”. Cette expression est au coeur de la théologie de l’Alliance. Israël se souvient de l’Alliance conclue entre Dieu et Abraham, mais également entre Dieu et Noé, en d’autres termes, de l’Alliance entre Dieu et son peuple choisi mais également entre Dieu et l’humanité tout entière. C’est Dieu qui a l’initiative de ces Alliances où il s’engage de manière unilatérale sans exigences à priori mais en attendant un amour en retour. Avec audace, le psaume invite Dieu à se rappeler sa propre parole et à oublier le comportement lamentable du peuple. Au lieu de répondre avec ferveur à son Dieu, le peuple s’est égaré sur le chemin du mal. Il en a conscience et il plaide sa cause en disant que c’étaient des péchés de jeunesse. Il ne le refera plus. Il abandonnera son orgueil pour se laisser conduire par Dieu. Cette prière fervente et humble trouve bien sa place dans notre coeur et dans notre bouche en ce début du Carême.

 • 1 Pierre 3,18-22

Lettre écrite vers les années 75-80 par une personnalité de l’Église de Rome qui emprunte le nom de Pierre, mort martyr dix ans auparavant, lettre adressée à des chrétiens d’Asie Mineure. Ceux-ci étaient païens jusqu’à l’arrivée de Paul et restent entourés de païens qui trouvent  » étrange  » que ces chrétiens ne se joignent plus à eux pour les débauches, les passions et le culte des idoles. Les jeunes chrétiens sont sinon persécutés, du moins outragés et inquiétés.

C’est pourquoi notre auteur commence par rappeler que la souffrance et la mort du Christ ont été condition de sa gloire ; puis pour parler de la totalité du mystère pascal – Jésus est allé porter la bonne nouvelle de la résurrection même aux morts d’autrefois – il remonte au déluge, c’est-à-dire au temps de la génération la plus incrédule qui soit. De là, notre auteur passe à Noé, au baptême, et à la responsabilité qui revient à ceux qui font partie du petit nombre que Dieu sauve.


Marc 1,12-15 

Marc raconte très sobrement les tentations de Jésus.  Il n’y a ni jeûne ni déplacements de Jésus dans différents endroits, comme en Matthieu et Luc. Mais cette apparente simplicité, le texte est d’une grande richesse théologique.

Tout démarre par une initiative divine : l’Esprit “ pousse ” Jésus au désert. La traduction littérale dit : l’Esprit “ projette ” Jésus au désert. Le lecteur de la Bible se rappelle l’irruption de l’Esprit sur des hommes de l’Ancien Testament. Il s’en empare pour en faire des prophètes et il les expédie vers le peuple d’Israël pour lui délivrer un message de conversion, souvent assez rude.

Le désert et la durée du séjour évoquent les quarante ans d’errance du peuple avant l’entrée en terre promise mais aussi le temps d’épreuves et de révoltes contre Dieu. Au début de son activité publique, Jésus récapitule l’histoire de son peuple, mais au lieu de succomber devant les tentations diaboliques, il en triomphe avec l’aide de Dieu : des anges viennent le servir.  Le mot employé ici évoque la diaconie, le service des tables. On se souvient du livre de l’Exode et à la manne, ce pain du ciel qui a permis aux Hébreux de traverser le désert. On pense également au premier livre des Rois et au pain apporté par un ange au prophète Élie lors de sa traversée du désert pendant 40 jours.

La vie paisible de Jésus parmi les bêtes sauvages renvoie à nos premiers parents dans le jardin des origines et à l’ordre de Dieu : “ Soyez les maîtres des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, et de tous les animaux qui vont et viennent sur la terre. ” (Gn 1,28) On pense également au texte présenté dans la première lecture. Noé est au milieu des animaux qui sortent de l’arche. Dieu fait Alliance avec lui pour un nouveau départ de l’humanité.

moi! a demain ou après-demain…….ciao

26 février, 2009

moi! a demain ou après-demain.......ciao dans ciao raffreddore

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bonne nuit

26 février, 2009

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Bienheureuse Teresa de Calcutta: « Qu’il prenne sa croix chaque jour, et qu’il me suive »

26 février, 2009

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=readings&localdate=20090226

Le jeudi après les Cendres : Lc 9,22-25
Commentaire du jour
Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Soeurs Missionnaires de la Charité
Something Beautiful for God (trad. La Joie du don, p.64 rev.)

« Qu’il prenne sa croix chaque jour, et qu’il me suive »

      Seigneur, que ta crucifixion et ta résurrection nous apprennent à affronter les luttes de la vie quotidienne et à y traverser l’angoisse de la mort, afin que nous vivions dans une plénitude plus grande et plus créatrice. Humblement et patiemment, tu as accepté les échecs de la vie humaine, comme les souffrances de ta crucifixion. Aide-nous à accepter les peines et les luttes que nous apporte chaque journée, comme des occasions de croître et de mieux te ressembler. Rends-nous capables de les affronter patiemment et avec courage, avec une pleine confiance dans ta protection. Fais-nous comprendre que nous n’arriverons à la plénitude de la vie que par une mort incessante à nous-mêmes et à nos désirs égoïstes, car c’est seulement en mourant avec toi que nous pouvons ressusciter avec toi.

bonne nuit

25 février, 2009

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. 03-north-seymour-blue-footed-boobie

Blue-Footed Boobie

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Pape Benoît XVI : « Au nom du Christ, nous vous le demandons, laissez-vous réconcilier avec Dieu » (2 Co 5,20)

25 février, 2009

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20090225

Commentaire du jour

Pape Benoît XVI
Audience générale du 06/02/08 (trad. DC 2398, p. 260 © copyright Libreria Editrice Vaticana)

« Au nom du Christ, nous vous le demandons, laissez-vous réconcilier avec Dieu » (2 Co 5,20)

      À l’origine, dans l’Église primitive, le carême était le temps privilégié de la préparation des catéchumènes aux sacrements du baptême et de l’eucharistie qui allaient être célébrés au cours de la veillée pascale. Le carême était considéré comme le temps du devenir chrétien, lequel ne se réalise pas en un unique moment mais exige un long parcours de conversion et de renouvellement. Ceux qui étaient déjà baptisés s’unissaient à cette préparation en réveillant le souvenir du sacrement reçu et en se disposant à une communion renouvelée au Christ lors de la joyeuse célébration de Pâques. Ainsi, le carême avait, et conserve jusqu’à aujourd’hui, un caractère baptismal, dans ce sens qu’il aide à maintenir éveillée la conscience que l’être chrétien se réalise toujours comme un nouveau devenir chrétien : ce n’est jamais un fait accompli qui se trouverait derrière nous, mais un cheminement, exigeant toujours une nouvelle mise en oeuvre.

      En nous imposant les cendres sur le front, le célébrant nous dit « Souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras en poussière » (Gn 3,19), ou bien, répétant l’exhortation de Jésus, « Convertissez-vous et croyez à l’Évangile » (Mt 1,15). Les deux formulations constituent un unique rappel à la vérité de l’existence humaine : nous sommes des créatures limitées, des pécheurs toujours en besoin de pénitence et de conversion. Qu’il est important en notre temps d’écouter et d’accueillir ce rappel ! Lorsqu’il proclame sa complète autonomie à l’égard de Dieu, notre contemporain devient esclave de lui-même et souvent se retrouve dans une solitude désolée. L’invitation à la conversion est alors une invitation à revenir entre les bras de Dieu, Père tendre et miséricordieux, à mettre en lui notre confiance comme des enfants adoptifs régénérés par son amour… « Se convertir » veut donc dire se laisser conquérir par Jésus (Ph 3,12) et, avec lui, « retourner » au Père. La conversion implique ainsi de se mettre humblement à l’école de Jésus, et de marcher docilement sur ses traces.

Mercredi des cendres

24 février, 2009

Mercredi des cendres dans images sacrée 21%20EV%20ET%20PEINTURE%20QUE%20VOTRE%20AUMONE%20SOIT%20DISCRETE

Mt 6,1ss – Pière du Nôtre Pere, prier en secret, l’image semble rappeller l’obole de la veuve du Mc 12 et Lc 21

http://www.artbible.net/3JC/-Mat-06,01-Prayer%20Our%20Father_Priere%20Notre%20Pere/slides/21%20EV%20ET%20PEINTURE%20QUE%20VOTRE%20AUMONE%20SOIT%20DISCRETE.html

Mercredi des Cendres : Le signe de l’imposition des cendres …

24 février, 2009

du site:

http://jerusalem.cef.fr/index.php/fraternites/vivre-la-liturgie/temps-liturgique/careme/mercredi-des-cendres

Mercredi des Cendres

Le signe de l’imposition des cendres marque la liturgie de ce jour. La signification de ce geste rejoint celle de la métanie (ce grand signe de croix plongeant jusqu’à toucher le sol) : nous ne sommes que poussière mais, par sa mort et sa résurrection, le Christ nous ouvre les portes de son Royaume. Lui qui a remporté la victoire, nous assiste dans notre combat «contre l’esprit du mal» (oraison du jour), pour que nous puissions vivre une «vie nouvelle». Le signe de la mort (les cendres proviennent des rameaux de l’année précédente) devient celui de la vie. C’est pourquoi, en bénissant les cendres, le célébrant dit : «Seigneur notre Dieu, toi qui ne veux pas la mort du pécheur mais sa conversion, dans ta bonté, exauce notre prière ; bénis les cendres dont nous serons marqués, nous qui venons de la terre et devons retourner à la terre. En nous appliquant à observer le Carême, puissions-nous obtenir le pardon de nos péchés et vivre de la vie nouvelle à l’image de ton Fils ressuscité».

La liturgie de ce jour est comme un long signal — «Et c’est Dieu lui-même qui, en fait, vous adresse un appel» (2 Co 5,20). Par la voix du prophète Joël, Dieu presse les hommes : «Revenez à moi de tout votre cœur dans le jeûne, les larmes et le deuil !» (Jl 2,12), car «c’est maintenant le moment favorable, c’est maintenant le jour du salut», dit l’apôtre (2 Co 6,2). Le temps du Carême s’ouvre dans une sorte d’urgence : «Que le jeune époux sorte de sa maison, que la jeune mariée quitte sa chambre» (Jl 2,16). Urgence et gravité, car c’est l’heure du Seigneur : «Nous vous en supplions, au nom du Christ : Laissez-vous réconcilier avec Dieu !» (2 Co 5,20).

C’est l’heure de se tourner vers le Créateur dans l’oubli de tout le créé : «Regarde, Seigneur, j’oublie de manger mon pain, la cendre est ma nourriture, et mes larmes ma boisson» (antienne du psaume responsorial). Les lectures de la messe s’en font largement l’écho. C’est l’heure du grand repentir qui fait se «déchirer le cœur» (Joël 2,13). L’heure de s’engager de tout son être dans la conversion «car le Royaume des cieux est proche» (Mt 4,17 : verset d’acclamation de l’évangile) — l’évangile trace pour cela trois chemins : la prière, l’aumône et le jeûne, «dans le secret». Chemins de pénitence, mais plus encore de renaissance et de salut, comme le dit le psaume : «Rends-moi la joie d’être sauvé, que l’esprit généreux me soutienne. Seigneur, ouvre mes lèvres et ma bouche publiera ta louange» (Psaume 50,14.17).

En entrant dans le Carême, c’est donc tout autant au repentir et à la pénitence que nous sommes conviés, qu’à la joie et la confiance, comme le signifie l’antienne d’ouverture de la messe :

«Seigneur, tu aimes tout ce qui existe et tu n’as de répulsion pour aucune de tes œuvres ; tu fermes les yeux sur les péchés des hommes, tu les invites à la pénitence et tu leur pardonnes car tu es le Seigneur notre Dieu» (Sg 11,24-27).

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