Archive pour mai, 2008

bonne nuit

31 mai, 2008

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. filchner-mountains-519193-ga

Filchner Mountains, Antarctica, 1997
Photograph by Gordon Wiltsie

The jagged peaks of Antarctica’s Filchner Mountains rise in the distance as an intrepid mountaineering team makes camp on an ice field.

(Text adapted from and photograph shot on assignment for, but not published in, « On the Edge of Antarctica: Queen Maud Land, » February 1998, National Geographic magazine)

http://photography.nationalgeographic.com/photography/photo-of-the-day/filchner-mountains.html

« Mon âme exalte le Seigneur »

31 mai, 2008

du site: 

http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&localTime=05/31/2008#

Paul VI, pape de 1963-1978
Exhortation apostolique sur la joie chrétienne « Gaudete in Domino » (trad. DC n° 1677, 1/6/1975, p. 505

« Mon âme exalte le Seigneur »

Depuis vingt siècles, la source de la joie chrétienne n’a cessé de jaillir dans l’Église, et spécialement au coeur des saints… Au premier rang vient la Vierge Marie, pleine de grâces, la Mère du Sauveur. Accueillante à l’annonce d’en haut, servante du Seigneur, épouse de l’Esprit Saint, mère du Fils éternel, elle laisse éclater sa joie devant sa cousine Elisabeth qui célèbre sa foi : « Mon âme exalte le Seigneur, et mon esprit exulte de joie en Dieu mon Sauveur… Désormais, toutes les générations me diront bienheureuse ».

Elle a saisi, mieux que toutes les autres créatures, que Dieu fait des merveilles : son nom est saint, il montre sa miséricorde, il élève les humbles, il est fidèle à ses promesses. Non que pour Marie le déroulement apparent de sa vie sorte de la trame ordinaire, mais elle médite les moindres signes de Dieu, les repassant en son coeur (Lc 2,19.51). Non point que les souffrances lui soient épargnées : elle est debout au pied de la croix, associée éminemment au sacrifice du Serviteur innocent, Mère des douleurs. Mais elle est aussi ouverte sans mesure à la joie de la résurrection ; elle est aussi élevée, corps et âme, dans la gloire du ciel. Première rachetée, immaculée dès le moment de sa conception, incomparable demeure de l’Esprit, habitacle très pur du Rédempteur des hommes, elle est en même temps la Fille bien-aimée de Dieu et, dans le Christ, la Mère universelle. Elle est le symbole parfait de l’Eglise terrestre et glorifiée.

En son existence singulière de Vierge d’Israël, quelle résonance merveilleuse acquièrent les paroles prophétiques concernant la nouvelle Jérusalem : « J’exulte de joie dans le Seigneur, mon âme jubile en mon Dieu, car il m’a revêtu des vêtements du salut, il m’a drapée dans le manteau de justice, comme un jeune époux se met un diadème, comme une mariée se pare de ses bijoux » (Is 61,10).

Visitation of Mary

30 mai, 2008

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Visitation of Mary Images of Religious and Theological Iconography Vanderbilt University, Divinity Library Nashville,

http://www.artbible.net/3JC/-Luk-01,39_Mary%20visits%20Elizabeth_La%20visitation/index.html

fête liturgique du Sacré-Coeur de Jésus – nouveaux « Pages »

30 mai, 2008

j’ai mis un nouveaux « Pages », avec le lien à un site, sur : L’institution de la fête liturgique du Sacré-Coeur de Jésus :

http://gabriellaroma.unblog.fr/sacre-coeur-de-jesus-institution-de-la-fete-liturgique-lien/

La Visitation, « première procession eucharistique » de l’histoire

30 mai, 2008

du site Zenith:

La Visitation, « première procession eucharistique » de l’histoire

ROME, Mardi 31 mai 2005 (ZENIT.org) – Pour le pape Benoît XVI, la Visitation de Marie à Elisabeth a constitué en quelque sorte la « première procession eucharistique » de lhistoire.

Benoît XVI sest rendu à la grotte de Lourdes du Vatican ce mardi soir en la fête de la Visitation de la Vierge Marie, au terme de la prière du chapelet dans les jardins du Vatican, sous la conduite de Mgr Angelo Comastri, et promue par le vicariat de la Cité du Vatican.

« La Vierge Marie nous accompagne chaque jour dans notre prière, disait le pape. Dans cette année spéciale de leucharistie que nous sommes en train de vivre, Marie nous aide surtout à découvrir toujours davantage le grand sacrement de leucharistie. Dans sa dernière encyclique – Ecclesia de Eucharistia – le bien-aimé pape Jean-Paul II nous la présentée comme la femme eucharistique dans toute sa vie (cf. n. 53). Femme eucharistique en profondeur, à partir de son attitude intérieure, à partir de lAnnonciation, lorsquelle sest offerte elle-même pour lIncarnation du Verbe de Dieu, jusqu’à la Croix et la Résurrection ; femme eucharistique dans le temps après la Pentecôte, lorsquelle a reçu le sacrement du Corps quelle avait conçu et porté en son sein ».

A propos du mystère de la Visitation, le pape expliquait : « Marie, qui porte en son sein Jésus à peine conçu, se rend chez sa vieille cousine Elisabeth que tous disaient stérile et qui en était au contraire au sixième mois dune grossesse donnée par Dieu (cf. Luc 1, 36). Cest une jeune fille, mais elle na pas peur, parce que Dieu est avec elle, en elle. Dune certaine façon, nous pouvons dire que son voyage a été – il nous plaît de le souligner en cette année de lEucharistie – la première procession eucharistique de lhistoire ».Et de pr

éciser : « Tabernacle vivant du Dieu fait chair, Marie est lArche dAlliance dans laquelle le Seigneur a visité et racheté son Peuple. La présence de Jésus la remplit de lEsprit Saint. Lorsquelle entre dans la maison dElisabeth, sa salutation déborde de grâce : Jean tressaille de joie dans le sein de sa mère, comme sil sentait la venue de Celui quil devra un jour annoncer à Israël. Les fils exultent, exultent les mères. Cette rencontre envahie par la joie de lEsprit trouve son expression dans le cantique du Magnificat ».

Le pape concluait : « Nest-ce pas là la joie de lEglise qui accueille sans cesse le Christ dans la sainte eucharistie et lapporte au monde avec le témoignage de sa charité active, imprégnée de foi et despérance ? Oui, accueillir Jésus et lapporter aux autres, telle est la vraie joie du chrétien ! Chers frères et soeurs, suivons et imitons Marie, âme profondément eucharistique, et toute notre vie deviendra un Magnificat (cf. Ecclesia de Eucaristia, 58). Que ce soit la grâce que nous demandons ce soir ensemble à la Vierge Très Sainte, en conclusion de ce mois de mai. A vous tous ma bénédiction ».

Entre musique et espérance, une « parenté mystérieuse

30 mai, 2008

je voulais mettre quelque chose sur la musique sacrée, mais pour l’instant j’ai trouvé seulement ceci, du site:

http://www.zenit.org/article-17825?l=french

Entre musique et espérance, une « parenté mystérieuse

Concert au Vatican

ROME, Vendredi 25 avril 2008 (ZENIT.org) – Il existe, entre musique et espérance, une « parenté mystérieuse et profonde », a fait observer Benoît XVI, jeudi soir, à l’issue d’un concert en son honneur au Vatican.

Le pape a assisté à un concert offert à l’occasion du 3e anniversaire de son pontificat, par le président de la République italienne, Giorgio Napolitano, en compagnie de son frère, Mgr Georg Ratzinger, mais aussi de différentes autorités ecclésiastiques, comme le président de la conférence épiscopale italienne, le cardinal Angelo Bagnasco, archevêque de Gênes, en la salle Paul VI du Vatican (cf. Zenit du 23 avril 2008). Benoît XVI a en effet inauguré son pontificat le 24 avril 2005.

« Il y a une parenté mystérieuse et profonde entre musique et espérance, ente chant et vie éternelle », a déclaré le pape à l’issue du concert.

« Les interprétations magistrales que nous avons entendues nous rappellent, en outre, la valeur et l’importance universelle du patrimoine artistique pour construire le monde selon des projets de justice et de solidarité, en mettant en valeur au service de l’homme les expressions multiformes de la culture mondiale, » a fait observer Benoît XVI.

Benoît XVI a salué le talent des jeunes musiciens de l’orchestre Verdi de Milan qui sont aussi engagés pour soulager, par la musique, les situations de souffrance dans les hôpitaux et dans les prisons.

Le pape a dit avoir particulièrement apprécié le choix des œuvres exécutées, notammment le « Chant du destin » de Brahms, et la VIIe symphonie de Beethoven.

« Il me plaît de souligner, disait le pape, comment la musique de Brahms a enrichi d’une confiance religieuse ce « Chant du destin » de Hölderlin. Ce fait introduit à la considération de la valeur spirituelle de l’art musical, appelé de façon singulière à infuser l’espérance dans l’esprit humain, si marqué et souvent blessé par la condition terrestre. Merci, Monsieur le Président, pour cet acte de déférence et de sollicitude, que j’ai accueilli avec plaisir. J’y vois en outre un nouveau signe de cette affection que le peuple italien nourrit envers le pape ».

Pour sa part, le président Giorgio Napolitano, a salué le récent message du pape à l’ONU en disant : « Sainteté, permettez-moi de vous dire combien votre message adressé au monde depuis la haute tribune des Nations Unies, sur les droits humains comme expression de la justice, sur la personne humaine comme sujet de ces droits, et sur la promotion des droits humains comme stratégie la plus efficace pour éliminer les inégalités et pour accroître la sécurité, a suscité en nous des sentiments de vivante consonnance ».

Anita S. Bourdin

bonne nuit

30 mai, 2008

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Stewartia pseudocamellia Autumn colouring

http://www.mygarden.me.uk/october.htm

« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau »

30 mai, 2008

du site: 

http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&localTime=05/30/2008#

Sainte Gertrude d’Helfta (1256-1301), moniale bénédictine
Les Exercices, 7 (trad. SC 127, p. 285 rev.)

« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau »

Toi qui as fait pour moi de si grandes et si belles choses que tu m’as obligée à ton service pour toujours, que te rendrai-je pour tant de bienfaits ? Quelles louanges et quelles actions de grâces pourrais-je t’offrir, même si je m’y dépensais mille fois ? Que suis-je moi, pauvre créature, en comparaison de toi, toi ma rédemption abondante ? Donc, mon âme que tu as rachetée, je te l’offrirai tout entière, je te ferai hommage de l’amour de mon coeur. Oui, transporte ma vie en toi, emporte-moi tout entière en toi et, m’enfermant en toi, fais que je ne sois qu’une même chose avec toi.

Ô Amour, ton ardeur divine m’a ouvert le coeur très doux de mon Jésus. Ô coeur source de douceur, coeur débordant de bonté, coeur surabondant de charité, coeur d’où coule goutte à goutte la bienveillance, coeur plein de miséricorde…, coeur très cher, je te prie d’absorber mon coeur tout entier en toi. Perle très chère de mon coeur, invite-moi à tes festins qui donnent la vie ; verse pour moi les vins de ta consolation…afin que la ruine de mon esprit soit remplie de ta charité divine, et que l’abondance de ton amour supplée à la pauvreté et à la misère de mon âme.

Ô coeur aimé par-dessus tout…, aie pitié de moi. Je t’en supplie, que la douceur de ta charité rende le courage à mon coeur. De grâce, que les entrailles de ta miséricorde s’émeuvent en ma faveur, car hélas, mes démérites sont nombreux, mes mérites sont nuls. Mon Jésus, que le mérite de ta mort précieuse, qui seul a eu le pouvoir d’acquitter la dette universelle, me remette tout ce que j’ai fait de mal…; qu’il m’attire à toi si puissamment que, transformée totalement par la force de ton amour divin, je trouve grâce à tes yeux… Et donne-moi, ô cher Jésus, de t’aimer, toi seul en toutes choses et par-dessus toutes choses, de m’attacher à toi avec ferveur, d’espérer en toi, et de ne mettre à mon espérance aucune limite.

Solemnité du Sacre Coeur de Jesus

29 mai, 2008

Solemnité du Sacre Coeur de Jesus dans images sacrée

http://santiebeati.it/ 

 

Solemnité du Sacre Coeur du Jesus – 30 mai

29 mai, 2008

sur ce site il y encore plusieure texte sur le Sacré-Coeur, du site:

http://spiritualite-chretienne.com/s_coeur/resume_e.html

Introduction

« Je souhaite vivement que l’on continue à diffuser avec persévérance le véritable culte du Cœur du Christ et que l’on s’efforce de trouver les moyens les plus aptes à sa présentation et à son application afin que l’homme d’aujourd’hui – avec la mentalité et la sensibilité qui lui sont propres – découvre en lui la véritable réponse à ses interrogations »

Jean-Paul II, 5 octobre 1986

A l’occasion de recherches entreprises pour mieux comprendre l’origine et le développement de la dévotion rendue au Sacré-Cœur, nous avons été frappé par l’immense travail théologique et historique accompli sur ce sujet depuis bientôt deux siècles par de nombreux religieux (essentiellement Jésuites) et ecclésiastiques – le premier théologien à s’être penché sur cette question étant reconnu pour être le Père Jean Perrone S.J. (1794-1846), dans son ouvrage De Verbo incarnato.
Mais il manquait, nous a-t-il sembl
é, une vue d’ensemble, qui aurait permis de mieux situer la formidable percée de cette dévotion dans l’histoire de notre pays – qui en a été le berceau – et dans l’histoire de l’Eglise – qui en est aujourd’hui son plus fidèle soutien. Une frise chronologique en quelque sorte, comparable à celles que l’on peut dérouler de nos jours grâce aux encyclopédies informatisées, et sur laquelle le lecteur aurait eu la possibilité de consulter en parallèle non seulement l’ensemble des événements essentiels qui ont forgé le ciment de ce culte, mais également les étapes les plus marquantes de l’histoire de la France et de l’Eglise. C’est cette lacune que nous avons souhaité
combler.

En nous attaquant à cette entreprise, nous nous sommes rapidement heurté à deux difficultés.
La premi
ère concerne essentiellement le premier millénaire, mais aussi la première moitié du second. Les dates des événements relatifs à l’histoire de la chrétienté en France et dans le monde pour cette période sont peu ou pas connues, et prêtent souvent à discussion. Seuls peuvent être mis en valeur les hommes et les femmes eux-mêmes qui ont œuvré pour répandre la Bonne Nouvelle, sans qu’il soit toujours possible de situer avec précision les moments clé
s de leur vie.
La deuxi
ème difficulté concerne la deuxième moitié de ce deuxième millénaire. A l’opposé du premier, il y a là abondance de faits, d’événements datés avec précision, et cette abondance aurait pu nuire à la clarté de l’ensemble. Il a fallu choisir, opérer un tri. Hormis les dates clés concernant la dévotion au Sacré-Cœur pour lesquelles nous avons visé l’exhaustivité, nous avons donc placé ici les repères qui nous semblaient être les plus importants ou les plus caractéristiques de l’histoire politique et religieuse de la France, espérant en cela offrir une vision la plus globale possible de l’enracinement et de l’expansion de cette dé
votion.

Compte tenu de ce qui précède, nous avons opté pour une division de cet ouvrage en trois parties principales :
- La premi
ère couvre le premier millénaire, et la première moitié du second, les auteurs qui se sont tournés vers le Cœur de Jésus étant regroupés, autant que faire se peut, par famille religieuse, accompagnés de courts extraits de leurs œuvres. Il était impossible ici de les citer tous, mais les noms que nous avons retenus donneront un aperçu assez large du regard porté vers le divin Cœur au cours de ces premiers siècles. Nous avons prolongé cette première partie jusqu’à nos jours, sous la forme d’un résumé qui prépare à
la lecture du chapitre suivant.
- La seconde partie commence
à l’an mille, et se présente sous la forme d’une chronologie qui permet de situer tous les événements et textes essentiels relatifs à la dévotion, et ceci jusqu’au XX° siècle. Pour ne pas faire doublon avec la première partie, seuls les auteurs les plus importants ou les plus connus ont été mentionnés ici concernant la période 1000-1700. Par ailleurs, les événements qui auraient alourdis inutilement cette chronologie ont été placés en plusieurs Annexes, selon le thème abordé : l’histoire de la Compagnie de Jésus, de Port-Royal, les événements relatifs à la Révolution franç
aise, etc..
- enfin la troisi
ème partie contient toutes les biographies des auteurs dont les noms figurent en caractère gras dans les deux premiè
res parties.

Nous avons joint en fin de volume un grand nombre de prières et de cantiques écrits sur ce thème au cours des derniers siècles, ainsi que la liste des Confréries et Associations qui ont été créées relatives au divin Cœur. Enfin, le lecteur trouvera quelques pages consacrées aux premières représentations imagées du Sacré Cœur à l’époque de Marguerite-Marie Alacoque, ainsi qu’une bibliographie qui lui permettra de poursuivre ses recherches en d’autres volumes traitant de ce sujet. Pour ce qui est de notre travail, un index alphabétique facilitera l’accès direct à tel ou tel auteur, présenté dans le recueil.

On l’aura compris, il ne s’agit donc ni d’une étude théologique, ni d’une nouvelle approche doctrinale de la dévotion au Cœur du Christ. Nous avons rassemblé, sous une forme qui se veut la plus lisible possible, les données scripturaires, événementielles et textuelles qui permettront à chacun de situer cette dévotion dans l’histoire du christianisme de notre pays.

« L’autorité ecclésiastique […] attribue au culte du Cœur Sacré une place très particulière dans la vie spirituelle de ses fils, et dépassant de loin tout caractère accidentel. Personne ne peut la comparer à une dévotion quelconque née des besoins particuliers d’une époque et destinée à s’étioler et à disparaître comme une fleur éphémère… Cette dévotion est indispensable à l’épanouissement spirituel des âmes, précisément parce qu’elle est liée et engagée dans les faits rédempteurs les plus fondamentaux et dans les dogmes. »
G. de Gier, in Rapports du Congrès sur le Sacré-Cœur (Tilburg, 3-5 juin 1955), publiés sous la direction de J. Nouwens, M.S.C., Tilburg (Hollande), Edit. Missionnaires du Sacré-Cœur, s.d. (1957)

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Et comme le rappelle Jean Hani en son livre sur les Mythes, Rites et Symboles :

« Cette dévotion authentique au Sacré-Cœur est toujours à la disposition du chrétien comme l’une des voies spirituelles les plus élevées et, sans doute, la plus simple et la plus directe : la contemplation assidue du Cœur rayonnant, Soleil spirituel, rend le contemplatif peu à peu apte à recevoir la révélation de la Lumière transcendante qui arrache au psalmiste ce cri étonnant : « Dans Ta Lumière nous voyons la Lumière » (Ps. 35, 10). »
Jean Hani, Mythes, Rites & Symboles – Les chemins de l’invisible, Paris, Trédaniel, 1992.

Puissent les pages qui suivent vous faire découvrir ou redécouvrir cette voie, avec l’espoir formidable qu’elle devienne vôtre, pèlerins cheminant en Celui qui a dit « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie » !

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