je mets une brève biographie de Bruno Forte à laquelle je voudrais ajouter celui-là qui rappelle de lui: il était encore professeur à Naples et il déroulait activité pastorale dans la ville dans le quartier dit « espagnol » le plus malfamé et dangereux de Naples, il est un grand théologien mais, aussi, un grand berger, et Pape Bendetto le sait, du site:
http://www.novena.it/confessarsi/biografia.htm
Archevêque S.E. Mons. BRUNO FORTE
Né le: 01-08-1949, ordonné Prêtre le: 18-04-1973 né à Naples le 1° août 1949, Prêtre il a été ordonné à Naples le 18 avril 1973, où il a déroulé le ministère en différentes Paroisses. En 1974 il a obtenu le doctorat en Théologie près de l’Université Théologique de Naples-Capodimonte. Il a approfondi les études au Tubinga et à Paris et il a passé la maîtrise en Philosophie à Naples. Professeur de Théologie dogmatique près de l’Université Théologique de l’Italie dont a été Proviseur, Membre de la Commission Théologique Internationale est Consultore du Pontifical Conseil de la Culture et de ce pour l’unité des chrétiens. Auteur de nombreuses publications de théologie, philosophie et spiritualité, caractéristiques beaucoup d’aussi au niveau international, il a présidé la commission préparatoire au document – Mémoire et réconciliation -, qu’il a accompagné la demande de pardon de Giovanni Paolo II dans le Jubilé de 2000. Nommé Archevêque Metropolita de Chieti-Vasto le 26 juin 2004, il a été ordonné par le Card. Joseph Ratzinger le 8 septembre du même an, et il a reçu le Pallium de Benedetto XVI le 28 juin 2005. Il est Président de la Commission Épiscopale pour la Doctrine de la Foi, l’annonce et le Catechesi du CEI.
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du site:
http://www.webdiocesi.chiesacattolica.it/pls/cci_dioc_new/bd_edit_doc_dioc.edit_documento?p_id=912904
BRUNO FORTE – Archevêque Metropolita de Chiesti-Vasto –
Lettre sulla prière – Message pour la Carême 2007
La prière, l’ aumône, le jeûne : voilà les trois piliers du chemin de conversion de la Carême. Au jeûne j’ai dédié le message pour la Carême de 2005, à l’amour qu’il est effuse dans nous au moyen de la contemplation de la Face de Jésus et l’accueil de Sa miséricorde le message de carême de 2006. Je dédie à la prière le message de cette Carême, en reprenant une lettre que j’ai écrit quelque an il fait pendant rallongée expérience de prière, teste bref, déjà très diffus, traduit même dans des diverses langues, que maintenant je voudrais vous proposer à tous, mes Fils de l’Église de Chieti-Vasto, même pour nous préparer à l’École de la prière auxquels nous voudrions donner j’entame dans l’Venue prochaine. Qu’il puisse l’Esprit nous enseigner à prier et nous tu accompagnes dans ce chemin les Vierge Orante, la Marie, la Mère du Seigneur et Madre la nôtre. Tu me demandes : pourquoi prier ? Je te réponds : pour vivre.
Oui : pour vivre vraiment, il faut prier. Pourquoi ? Parce que des vies est : amères une vie sans amour n’est pas vie. Il est solitude vide, est prison et tristesse. Il vit vraiment seulement qui aime : et il aime seul qui se sent aimé, rejoint et transformé de l’amour. Comme la plante qui ne fait pas éclore son fruit si elle n’est pas atteinte par les rayons du soleil, ainsi le cœur humain pas il desserre à la vie vraie et pleine s’il n’est pas touché de l’amour. Maintenant, l’amour il naît de la rencontre et vit de la rencontre avec l’amour de Dieu, les plus grands et vrai de tous amours possibles, au contraire l’amour au-delà de chaque notre définition et de chaque notre possibilité. En priant, on nous laisse amères de Dieu et on naît à l’amour, toujours de nouveau. Donc, qui prie vit, dans le temps et pour l’éternité. Et qui ne prie pas ? Qui ne prie pas est à risque de mourir dans, parce qu’il lui manquera tôt ou tard l’air pour respirer, la chaleur pour vivre, la lumière pour voir, la nourriture pour croître et la joie pour donner un sens à la vie. Tu me dis : mais je ne sais pas prier ! Tu me demandes : comment prier ? Je te réponds : il commence à donner un peu de ton temps à Dieu. Au debout, l’important ne sera pas que ce temps soit beaucoup, mais que Tu le lui donnes fidèlement. Il te fixe même un temps à donner chaque jour au Seigneur et donne lui fidèlement, chaque jour, lorsque tu sens de le faire et lorsque tu ne le sens pas. Il cherche un lieu tranquille, où si possible il y ait quelque marque qu’il rappelle la présence de Dieu (une croix, une icone, la Bible, le Tabernacle avec la Présence eucharistique…). Recueille-toi dans silence : invoque-toi l’Esprit Saint, parce que soit Lui à crier dans toi « Abbà, le Père ! ». Porte à Dieu ton cœur, même si il est en tumulte : ne pas avoir de la peur de lui dire tout, pas seulement tes difficultés et ton douleur, ton péché et ton incrédulité, mais même ta rébellion et ta protestation, si tu les sens dans. Tout ceci, mets-le dans les mains de Dieu : il se rappelle de que Dieu est Père – Mère dans le amour, que tout accueille, tout pardonne, tout éclaire, tout sauve. Il écoute Le sien Silence : ne pas prétendre d’avoir vite les réponses. Persévère. Comme le prophète Elia, il se promène dans le désert vers le monte de Dieu : et lorsque tu te seras approché à Lui, ne pas le chercher dans le vent, dans le tremblement de terre ou dans le feu, en les signes de force ou de grandeur, mais dans la voix du silence subtil (cf. 1 Roi 19,12). Ne pas prétendre de saisir Dieu, mais laisse qu’il passe dans ta vie et dans ton cœur, il te touche l’âme, et on tu fais contempler de toi même seulement d’épaules. Ecoute-toi la voix de Le sien Silence. Ecoute-toi Son Parole de vie : tu ouvres la Bible, médite-la avec amour, laisse que la Parole de Jésus parle au cœur de ton cœur ; tu lis les Psaume, où tu trouveras exprimé tout ce que tu voudrais dire à Dieu ; il écoute les apôtres et les prophètes ; tombés amoureux des histoires des Patriarches et de le peuple élu et de l’église naissante, où tu rencontreras l’expérience de la vie vécue dans l’horizon de l’alliance avec Dieu. Et lorsque tu auras écouté la Parole de Dieu promène encore à long dans les sentiers de silence, en laissant que soit l’Esprit à t’unir à Christ, Parole eternel du Père. Il laisse que soit Dieu Père à modeler t’avec toutes et deux les Ses mains, Verbe et Esprit Saint. Au debout, il pourra te sembler que le temps pour tout ceci soit trop long, que passes jamais : persévère avec humilité, en donnant à Dieu tout le temps que tu réussis à donné Lui, jamais moins, cependant, de ce que tu as établi de pouvoir donner Lui chaque jour. Tu verras que de rendez-vous en rendez-vous ta fidélité sera récompensée, et tu t’apercevras que tout doucement, doucement le goûte de la prière croîtra dans toi, et ce qui au debout te semblait impossible à atteindre, deviendra toujours plus facile et beau. Alors tu comprendras que ce que comptine n’est pas avoir répondu, mais se mettre à disposition de Dieu : et tu verras que tout ce que tu porteras dans la prière il sera transfiguré peu à peu. Ainsi, quand tu viendras prier avec le cœur en tumulte, si tu persévères, tu t’apercevras qu’après avoir prié n’aura pas longtemps trouvé réponses à tes questions, mais les mêmes questions se seront dissoutes comme neige au soleil et dans ton cœur une grande paix il entrera : la paix d’être dans les mains de Dieu et de laisser se conduire docilement, où Il a préparé pour toi. Alors, ton cœur nouveau fait pourra chanter le nouveau cantique, et le « Magnificat » de Marie sortira de tes lèvres spontanément et il sera chanté
de l’éloquence silencieuse de tes œuvres.
Sache, cependant, qu’ils ne manqueront pas en tout ceci les difficultés : parfois tu ne réussiras pas à faire silence le vacarme qui est à toi et en toi autour,; parfois tu entendras la fatigue ou même le dégoût de te mettre à prier; parfois, ta sensibilité piaffera, et n’importe quel acte tu il semblera préférable au rester en prière devant Dieu, à temps « perdu. » Tu entendras, finalement, les tentations du Méchant qui te cherchera de toutes les manières de séparer du Seigneur, en t’éloignant de la prière. Ne pas craindre : les mêmes preuves. Ne pas craindre : les mêmes épreuves que tu vis les ont vécues les saints avant toi, et souvent beaucoup plus lourds de tien. Tu il continue seulement à avoir à foi. Persévère-toi, tu résistes et se rappelle de que l’unique chose que nous pouvons vraiment donner à Dieu est l’épreuve de notre fidélité. Avec la persévérance tu sauveras ta prière, et ta vie. Il viendra maintenant de la « nuit obscure », où tout te semblera aride et même absurde dans les choses de Dieu : ne pas craindre. Elle est cela maintenant dans laquelle à lutter avec il est Dieu même : tu ôtes de toi chaque péché, avec l’aveu humble et sincère de tes fautes et je pardonne sacramental ; il offre à Dieu encor plus de ton temps ; et il laisse que la nuit des sens et de l’esprit devient pour toi le maintenant de la participation à la passion des Seigneur. À ce point, il sera Jésus même à porter ta croix et à des conduire-toi avec elle vers la joie de Pâques. Tu ne t’étonneras pas, alors, de considérer même aimable cette nuit, parce que tu la verras transformée pour toi en nuit de amour, inondée de la joie de la présence d’Aimé, saturée de parfume de Christ, lumineuse de la lumière de Pâques. Ne pas avoir de la peur, donc, des épreuves et des difficultés dans la prière : il se rappelle seulement de que Dieu est fidèle et il ne te donnera jamais une épreuve sans te donner de sortie et n’exposera jamais une tentation sans te donner la force pour la supporter et la vaincre. Laissés amères de Dieu : comme une goute d’eau qui évapore sous les rayons des soleil et sel en haut et il revient à la terre comme pluie féconde ou rosée consolatrice, ainsi laisse que tout ton être soit travaillée de Dieu, modelé de l’amour des Trois, absorbé dans Eux et rendu à l’histoire comme don féconde. Il laisse que la prière fait la croître dans toi liberté de toute peur, le courage et l’audace de l’amour, la fidélité aux personnes qui Dieu t’a confié et aux situations dans lequel il t’a mis, sans chercher des évasions ou des consolations bon marché. Il apprend, en priant, à vivre la patience d’attendre les temps de Dieu, qui ne sont pas nos temps, et à suivre les voies de Dieu, qui ne sont très souvent pas nos voies. Un don détail que la fidélité dans la prière te donnera est le amour aux autres et sens de l’église : plus tu pries, plus sentiras miséricorde pour tous, plus tu voudras aider qui souffre, plus auras de la faim et soies de justice pour tous, surtout pour les plus pauvres et faibles, plus tu accepteras de te faire chargé du péché d’autrui pour compléter dans toi ce qui manque à la passion de Christ à avantage de Son corps, l’église. En priant, tu sentiras comme il est beau être dans le bateau de Pierre, solidaire avec tous, docile à la guide des bergers, soutenu de la prière de tous, prêt à servir les autres avec gratuité, sans rien demander en change. En priant tu sentiras croître dans toi la passion pour l’unité du corps de Christ et de toute la famille humaine. La prière est l’école de l’amour, parce qu’il est dans elle que tu peux te reconnaître infiniment aimé et naître toujours de nouveau à la générosité qui prend l’initiative de le pardonne et du don sans le calcule, au-delà de chaque mesure de fatigue. En priant, il s’apprend à prier, et on goûte les fruits de l’Esprit qu’ils font vrais et belle la vie : « amour, joie, paix, patience, bienveillance, bonté, fidélité, douceur, domination d’elle » (Gal 5,22). En priant, se devient amour, et la vie acquiert le sens et la beauté pour laquelle elle a été voulue de Dieu. En priant, on avertit toujours plus l’urgence de porter l’Évangile à tous, jusqu’aux extrêmes frontières de la terre. En priant, on découvre les infinis dons d’Aimé et il s’apprend toujours plus de rendre des mercis à Lui dans chaque chose. En priant, on vit. En priant, il s’aime. En priant, il se loue. Et l’éloge est la joie et la paix plus grande de notre cœur inquiet, dans le temps et pour l’éternité. Si je devais, alors, te souhaiter le don plus beau, si je voulais le demander pour toi à Dieu, je n’hésiterais pas à lui demander le don de la prière. Je le lui demande : et tu ne pas hésiter à le demander à Dieu pour moi. Et pour toi. La paix des Seigneur notre Jésus Christ, le amour de Dieu Père et la communion de l’Esprit Saint soient avec toi. Et tu dans eux : parce qu’en priant tu entreras dans le cœur de Dieu, caché avec Christ dans Lui, enveloppé de Leurs amour eternel, fidèle et toujours nouveau. Maintenant tu le sais : qui prie avec Jésus et dans Lui, qui prie Jésus ou le Père de Jésus ou l’invoqua Son Esprit, il ne prie pas un Dieu générique et lointain, mais il prie en Dieu, dans l’Esprit, pour le Fils, le Père. Et du Père, au moyen de Jésus, dans le souffle divin de l’Esprit, il recevra chaque cadeau parfait, à lui j’adapte et pour lui depuis toujours prêt et désiré. Le cadeau qui nous attends. Que tu t’attends.