Archive pour juillet, 2006

Je desire parler vous de ce Blog

5 juillet, 2006

Je désire parler vous de ce Blog : je suis Pape Bénoit, parfois suis bien suivre quelque teste du alors Cardinal Ratzinger, je les ai tous, quelque il tourne, et maintenant elles sont beaucoup de fois, est bien suivre ce qui la Papa fait ou est en train de faire, je dans ces cas, comme dans ces jours comme j’attends l’évènement auquel il manque peu c’est-à-dire la vie à Valencia, elle est très important parce qu’il concerne la famille et est bien léger les témoins, même si il ne les a pas alignés, de ce qu’le Pape a dit ; je ne sais pas ce qu’on attendez d’un Blog sur la Pape, mais je critiques n’en fais pas parce que je l’aime et parce que je suis certain de ce qui fait Lui, de ce qui Lui dit, de son humilité et de sa foi ; et, surtout je suis certain qu’Il est le Pietro d’aujourd’hui ; il n’est peut-être pas très intéressant suivre la Pape, toutefois elle est la route qui est servie à moi pour me sauver de persécutions de personnes, de la méchanceté d’autres, de mes erreurs, de mon incapacité de suivre un chemin derrière les Signore sans une personne dont j’ai confiance totale ; à moi Pape Ratzinger sauve la vie ; si fois que je continue à écrire sur ce Blog écrivez-moi votre pensée, je ne retiens autrement pas de pouvoir continuer, une embrasse,

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Benoit XVI à Valence

4 juillet, 2006

Benoît XVI à Valence : de la visite à la cathédrale à la rencontre des familles

Vénération du « Saint Calice de Valencia »

ROME, Lundi 3 juillet 2006 (ZENIT.org) – Benoît XVI arrivera à Valence samedi 8 juillet vers 11 h 30 et repartira dimanche 9 juillet. Le 8 juillet, il vénérera le « Saint Calice » conservé en la cathédrale.

Après la cérémonie de bienvenue et le discours de Benoît XVI à l’aéroport de Valencia-Manises, le pape rejoindra la cathédrale de Valence, dans le centre de la ville, dans une « papamobile » panoramique depuis l’aéroport.

La cathédrale est d’un style gothique, avec trois portails respectivement roman, gothique et baroque, la chapelle principale est baroque alors que les deux latérales sont néo-classiques. Elle conserve un calice vénéré comme étant celui de la dernière Cène de Jésus et des apôtres. Le clocher octogonal, appelé « Miguelete » est doté de près de 300 cloches.

Le pape visitera la cathédrale et la chapelle du « Saint Calice ». L’épouse du maire de Valence, Rita Barbera, remettra les clés de la ville à Benoît XVI, et celui-ci se dirigera ensuite à pied à la basilique Notre-Dame des « Desamparados ».

Les prêtres de Valence (environ 800), les religieuses contemplatives, et des représentants des communautés apostoliques, accueilleront le pape dans la cathédrale, autour de Mgr García Gasco.

Le pape rencontrera également les évêques de la conférence épiscopale espagnole dans la chapelle du « Saint Calice de la Dernière Cène », abritée dans la Cathédrale.

Le pape vénèrera la relique comme Jean-Paul II lors de sa visite, en 1982.

Après cette visite, le pape récitera la prière mariale de l’Angélus, sur le parvis de la basilique, avec des séminaristes de toute l’Espagne et leurs familles, avant d’être reçu par Mgr García Gasco au palais archiépiscopal, sa résidence pendant son séjour à Valence.

Le pape doit ensuite se rendre au palais de la « Généralité », siège du gouvernement autonome de Valence, pour y rencontrer la famille royale espagnole.

A son retour au palais archiépiscopal, le pape recevra la visite du Premier ministre, M. José Luis Rodriguez Zapatero.

Dans la soirée, le pape présidera la veillée de la rencontre mondiale des Familles, à Monteolivete. Elle se conclura par un spectacle pyrotechnique, typique de cette région.

Le lendemain matin, le pape reviendra à Monteolivete, pour la messe de clôture de la rencontre des Familles, à 9 h 30. Au cours de la célébration, des couples qui fêtent leurs 50 ans de mariage, renouvelleront leurs promesses matrimoniales. Le pape présidera la prière de l’angélus avant de quitter le lieu de la célébration.

Pour la famillie

4 juillet, 2006

DISCOURS DU PAPE BENOÎT XVI
AUX PARTICIPANTS À L’ASSEMBLÉE PLENIÈRE
DU CONSEIL PONTIFICAL POUR LA FAMILLE

Salle Clémentine
Samedi 13 mai 2006

 

 

Monsieur le Cardinal,
Vénérés frères dans l’épiscopat et dans le sacerdoce,
chers frères et soeurs!

C’est pour moi un motif de joie de vous rencontrer au terme de l’Assemblée plénière du Conseil pontifical pour la Famille, créé par mon vénéré Prédécesseur le Pape Jean-Paul II le 9 mai 1981, et qui célèbre ces jours-ci son 25 anniversaire. J’adresse à chacun de vous un salut cordial, avec une pensée  particulière  pour le Cardinal Alfonso López Trujillo, que je remercie de s’être fait l’interprète de vos sentiments communs. Votre réunion vous a donné l’occasion d’examiner les défis et les projets pastoraux concernant la famille, considérée à juste titre comme Eglise domestique et sanctuaire de la vie. Il s’agit d’un domaine apostolique vaste, complexe et délicat, auquel vous consacrez de l’énergie et de l’enthousiasme, dans l’intention de promouvoir l’ »Evangile de la famille et de la vie ». Comment ne pas rappeler, à ce propos, la vision ample et clairvoyante de mes prédécesseurs, et de manière particulière de Jean-Paul II, qui ont promu, avec courage, la cause de la famille, la considérant comme une réalité décisive et irremplaçable pour le bien commun des peuples?

La  famille  fondée  sur  le mariage constitue un « patrimoine de l’humanité », une institution sociale fondamentale; elle est la cellule vitale et le pilier de la société et cela concerne les croyants et les non-croyants. Elle est une réalité pour laquelle tous les Etats doivent avoir la plus haute considération, car, comme aimait à le répéter Jean-Paul II, « l’avenir de l’humanité passe par la famille » (Familiaris consortio, n. 86). En outre, dans la vision chrétienne, le mariage, élevé par le Christ à la très haute dignité de sacrement, confère une plus grande splendeur et profondeur au lien conjugal, et engage plus profondément les époux qui, bénis par le Seigneur de l’Alliance, se promettent fidélité jusqu’à la mort dans l’amour ouvert à la vie. Pour eux, le centre et le coeur de la famille est le Seigneur, qui les accompagne dans leur union et les soutient dans la mission d’éduquer les enfants vers l’âge mûr. De cette manière, la famille chrétienne coopère avec Dieu non seulement en  engendrant  la  vie naturelle, mais également en cultivant les germes de la vie divine donnée dans le Baptême. Tels sont les principes bien connus de la vision chrétienne du mariage et de la famille. Je les ai rappelés encore une fois jeudi dernier, en m’adressant aux membres de l’Institut Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille.

Dans le monde actuel, dans lequel se répandent certaines conceptions équivoques sur l’homme, sur la liberté, sur l’amour humain, nous ne devons jamais nous lasser de présenter à nouveau la vérité sur l’institution familiale, telle qu’elle a été voulue par Dieu dès la création. Malheureusement, le nombre des séparations et des divorces s’accroît, rompant l’unité familiale et créant de nombreux problèmes aux enfants, victimes innocentes de ces situations. La stabilité de la famille est aujourd’hui particulièrement menacée; pour  la  sauvegarder, il faut souvent aller à contre-courant de la culture dominante, et cela exige de la patience, des efforts, des sacrifices et une recherche incessante de la compréhension mutuelle. Mais aujourd’hui aussi, il est possible aux conjoints de surmonter les difficultés et de rester fidèles à leur vocation, en ayant recours au soutien de Dieu à travers la prière et en participant assidûment aux sacrements, en particulier à l’Eucharistie. L’unité et la solidité de la famille aide la société à respirer les valeurs humaines authentiques et à s’ouvrir à l’Evangile. C’est à cela que contribue l’apostolat de nombreux Mouvements, appelés à oeuvrer dans ce domaine dans une entente harmonieuse avec les diocèses et les paroisses.

Ensuite, un thème plus que jamais délicat de nos jours est le respect dû à l’embryon humain, qui devrait toujours naître d’un acte d’amour et être déjà traité comme une personne (cf. Evangelium vitae, n. 60). Les progrès de la science et de la technique dans le domaine de la bioéthique se transforment en menace lorsque l’homme perd le sens de ses limites et, en pratique, prétend se substituer à Dieu créateur. L’Encyclique Humanae vitae réaffirme avec clarté que la procréation humaine doit toujours être le fruit de l’acte conjugal, avec sa double signification unitive et procréative (cf. n. 12). C’est ce qu’exige la grandeur de l’amour conjugal selon le projet divin, comme je l’ai rappelé dans l’Encyclique Deus caritas est:   « L’eros rabaissé simplement au « sexe » devient une marchandise, une simple « chose » que l’on peut acheter et vendre; plus encore, l’homme devient une marchandise… En réalité, nous nous trouvons devant une dégradation du corps humain » (n. 5). Grâce à Dieu, de nombreuses personnes, en particulier parmi les jeunes, redécouvrent la valeur de la chasteté, qui apparaît toujours davantage comme la garantie sûre de l’amour authentique. Le moment historique que nous vivons demande aux familles chrétiennes de témoigner avec une cohérence courageuse que la procréation est le fruit de l’amour. Un tel témoignage ne manquera pas d’encourager les hommes politiques et les législateurs à sauvegarder les droits de la  famille. En effet, on voit que l’on accorde toujours plus de crédit aux solutions juridiques pour ce qu’on appelle les « unions libres » qui, bien que refusant les obligations du mariage, prétendent jouir de droits équivalents. En outre, on veut parfois parvenir à une nouvelle définition du mariage pour légaliser des unions homosexuelles, en leur attribuant également le droit d’adopter des enfants.

De vastes zones du monde subissent ce qu’on appelle l’ »hiver démographique », avec le vieillissement progressif de la population qui s’ensuit; les familles apparaissent parfois menacées par la peur de la vie, de la paternité et de la maternité. Il faut leur redonner confiance, pour qu’elles puissent continuer à accomplir leur noble mission de procréer dans l’amour. Je suis reconnaissant à votre Conseil pontifical car, lors de diverses rencontres continentales et nationales, il cherche à dialoguer avec ceux qui ont des responsabilités politiques et législatives à ce propos, de même qu’il s’efforce de tisser un vaste réseau de dialogue avec les Evêques, en offrant aux Eglises locales l’opportunité de cours ouverts aux responsables de la pastorale. Je profite ensuite de l’occasion pour réitérer l’invitation faite à toutes les communautés diocésaines de participer avec leurs délégations à la V Rencontre mondiale des Familles, qui aura lieu en juillet prochain à Valence, en Espagne, et à laquelle, si Dieu le veut, j’aurai la joie de participer en personne.

Merci encore pour le travail que vous accomplissez; que le Seigneur continue à le rendre fécond! Je vous assure pour cela de mon souvenir dans la prière, alors que, en invoquant la protection maternelle de Marie, je vous donne à tous ma Bénédiction, que j’étends volontiers aux familles, afin qu’elles continuent à construire leur foyer sur l’exemple de la Sainte Famille de Nazareth.

 

de « virelange »

3 juillet, 2006

 en etudiant le français on line j’ai trové de « virelange »:

« Je dis que tu l’as dit à Didi ce que j’ai dit jeudi.
Zazie causait avec sa cousine en cousant.
Je veux et j’exige du jasmin et des jonquilles.
La jolie rose jaune de Josette jaunit dans le jardin.
Pas de dessert dans le désert.
J’ai la bouche rouge et sèche.
Kiki la cocotte aimait Koko le concasseur de cacao.
Natacha n’attacha pas son chat qui s’échappa.
Les soldats se désolidarisèrent-ils ?
Dinon dîna dit-on du dos dodu d’un dodu dindon.
Un dragon gradé dégrade un gradé dragon.
Vous qui macadamisez cette route, quand la démacadamiserez-vous ?
Je suis un original qui ne se désoriginalisera jamais.
Tas de riz, tas de rats
Tas de riz tenta tas de rats
Tas de rats, tenté par tas de riz tentant, tâta tas de riz tentant!

Sur la musique sacré, le Pape Benoit a écrit plusieurs texte

3 juillet, 2006

Sur la musique sacré, le Pape Benoit a écrit plusieurs texte avant de devenir Pape et de parlé diversement, je vous écris quelque chose seulement:

du livre. « Un Chant nouveau pour le Seigneur » du 1995

Chapitre II,2,2

titre:

Une phrase d’un psaume, miroir des présupposés bibliques concernant la musique dans le service divin

Souvenons-nous d’abord que la Bible a son propre recueil de chant, le psautier, qui non seulement est né de la pratique du chant et de la musique liturgique, mais qui, dans cette pratique, dans sa mise en oeuvre vivante, nous apporte aussi des éléments essentiels pour une théorie de la musique dans la foi et pou la foi. Pour apprécier à sa juste valeur la signification de ce livre, il faut tenir compte de sa place dans le canon biblique. Á l’intérieur de l’Ancient Testament, le psautier fait pour ainsi dire le pont entre la Loi et les prophètes. Il est né des nécessités du culte au Temple, de la Loi, mais s’appropriant ainsi la Loi dans la prière et dans le chant il a de plus en plus mis à- jour le noyau prophétique de cette Loi, conduisant, par-delà le rite et sa réglementation, jusque dans le , le , grâce auquel l’homme s’ouvre au Logos, devenant ainsi, avec lui, adoration. Mais de la sorte le psautier est aussi devenu un pont reliant les deux Testament si dans l’ancienne alliance ce chants étaient considérés comme chants de David, le chrétiens en concluent que ces chants ont pris naissance dans le coeur du véritable David, le Christ. Quand l’Église primitive fait siens les psaumes dans sa prière, elle les chante comme hymnes du Christ. Le Christ lui-même devient ainsi le chef de choeur, qui nous apprend le chant nouveau, qui donne a l’Église le ton et la manière dont elle pourra louer adéquatement Dieu et s’unir à la liturgie céleste. »

pour aujourd’hui c’est tout, peut-être je continuerà à écrire da ce livre quelque passage;

 

 

B R A V I

2 juillet, 2006

B R A V I dans nous 6208_a12638

http://italy.peacelink.org/ecologia/articles/art_12638.html

BRAVI!!!!!!!!

2965967634 dans nous

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Met moi avec les Humble – Siméon le Nouveau Théologien

1 juillet, 2006

Met moi avec les Humble 

Ne me donne pas, ô Maître, la gloire en ce monde,

La gloire vaine,

Ne me donne pas la richesse qui passe,

Ni des talents d’or,

Ni un trône sublime, ni le pouvoir sur ces réalités

Périssables !

Mets-moi avec les humbles, avec les pauvres

Et les doux,

Que je devienne, moi aussi, et humble et doux ;

Ne T’irrite pas, ne détourne pas de moiTon visage,

Mais enseigne-moi à accomplir Ta volonté,

Car je ne cherche pas à ce que ma volonté à moi

Se fasse,

Mais la Tienne, afin de Te servir,

Miséricordieux !

Je T’en conjure, aie pitié, Toi qui es

Naturellement pitoyable,

Et fais ce qui est utile à mon âme misérable,

Parce que Toi, Toi seul es le Dieu ami

De l’homme,

Incréé, sans fin, tout-puissant, véritablement,

Vie et lumière de ceux qui T’aiment

Et sont par Toi, Ami de l’homme,

Tellement Aimés ! 

Siméon Le Nouveau Théologien

du site :

http://www.haflinger.it/cavallo_haflinger/haflinger_i.html

Met moi avec les Humble - Siméon le Nouveau Théologien contadini