Archive pour le 2 décembre, 2014

Mary and Child Jesus

2 décembre, 2014

Mary and Child Jesus dans images sacrée Mary_Mother_of_God
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MARY DID YOU KNOW

2 décembre, 2014
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JEAN-PAUL II : ROYAUME DE PAIX ET DE BÉNÉDICTION PS 71, 12-13.17-19

2 décembre, 2014

http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/audiences/2004/documents/hf_jp-ii_aud_20041215_fr.html

JEAN-PAUL II

AUDIENCE GÉNÉRALE

Mercredi 15 décembre 2004

ROYAUME DE PAIX ET DE BÉNÉDICTION

LECTURE: PS 71, 12-13.17-19

1. La Liturgie des Vêpres, que nous suivons à travers la série de ses Psaumes, nous propose en deux étapes distinctes le Psaume 71, un hymne royal et messianique. Alors que nous avons déjà médité sur la première partie (cf. vv. 1-11), se trouve à présent devant nous le deuxième mouvement poétique et spirituel de ce chant consacré à la figure glorieuse du roi Messie (cf. vv. 12-19). Nous devons cependant immédiatement signaler que le finale des deux derniers versets (cf. vv. 18-19) est en réalité un ajout liturgique successif au Psaume.
Il s’agit, en effet, d’une brève mais intense bénédiction, qui devait sceller le deuxième des cinq livres dans lesquels la tradition hébraïque avait divisé le recueil des 150 Psaumes: ce deuxième livre avait commencé par le Psaume 41, celui de la biche assoiffée, symbole lumineux de la soif spirituelle de Dieu. C’est à présent un chant d’espérance dans une ère de paix et de justice qui conclut cette séquence de Psaumes et les paroles de la bénédiction finale sont une exaltation de la présence efficace du Seigneur dans l’histoire de l’humanité, où « il accomplit des merveilles » (Ps 71, 18), ainsi que dans l’univers créé comblé de sa gloire (cf. v. 19).
2. Comme il apparaissait déjà dans la première partie du Psaume, l’élément décisif pour reconnaître la figure du roi messianique est surtout la justice et son amour pour les pauvres (cf. vv. 12-14). Ces derniers n’ont que lui comme point de référence et source d’espérance, dans la mesure où il est le représentant visible de leur unique défenseur et patron, Dieu. L’histoire de l’Ancien Testament enseigne qu’en réalité, les souverains d’Israël n’ont que trop souvent oublié cet engagement, opprimant les faibles, les humbles et les pauvres.
C’est pourquoi le regard du Psalmiste se pose à présent sur un roi juste, parfait, incarné par le Messie, l’unique souverain prêt à racheter « de l’oppression, de la violence » les opprimés (cf. v. 14). Le verbe hébreu utilisé est le terme juridique du protecteur des derniers et des victimes, également appliqué à Israël « racheté » de l’esclavage lorsqu’il était opprimé par la puissance du pharaon.
Le Seigneur est le « racheteur-rédempteur » primordial qui oeuvre de façon visible à travers le roi-Messie, en protégeant « la vie et le sang des pauvres », ses protégés. Or, « vie » et « sang » sont la réalité fondamentale de la personne, il s’agit de la représentation des droits et de la dignité de chaque être humain, des droits souvent violés par les puissants et les violents de ce monde.
3. Le Psaume 71 se termine, dans sa version originale, avant l’antienne finale que l’on a déjà mentionnée, par une acclamation en l’honneur du roi-Messie (cf. vv. 15-17). Celle-ci est semblable à un son de trompette qui accompagne un choeur de voeux et de souhaits adressés au souverain, pour sa vie, pour son bien-être, pour sa bénédiction, pour la permanence de son souvenir au cours des siècles.
Nous nous trouvons naturellement en présence d’éléments qui appartiennent au style des poésies de cour, avec l’emphase qui leur est propre. Mais ces paroles acquièrent désormais leur vérité dans l’action du roi parfait, attendu et espéré, le Messie.
Selon une caractéristique des poésies messianiques, toute la nature est concernée par une transformation qui est tout d’abord sociale: le froment des moissons sera tellement abondant qu’il deviendra comme une mer d’épis qui ondoient jusqu’au sommet des montagnes (cf. v. 16). Tel est le signe de la bénédiction divine qui se répand en plénitude sur une terre pacifiée et sereine. Toute l’humanité, oubliant et effaçant même chaque division, convergera vers ce souverain de justice, accomplissant ainsi la grande promesse faite par le Seigneur à Abraham: « Bénies seront en lui toutes les races de la terre » (v. 17; cf. Gn 12, 3).
4. Dans la figure de ce roi-Messie, la tradition chrétienne a perçu le portrait de Jésus Christ. Saint Augustin, dans son Commentaire sur le Psaume 71, relisant précisément le chant dans une optique christologique, explique que les humbles et les pauvres, au secours desquels le Christ vient, sont « le peuple des croyants en lui ». Rappelant les rois que le Psaume avait auparavant mentionnés, il précise même que « dans ce peuple sont aussi compris les rois qui l’adorent. Ils n’ont pas, en effet, dédaigné être humbles et pauvres, c’est-à-dire confesser humblement leurs propres péchés et reconnaître qu’ils ont besoin de la gloire et de la grâce de Dieu, afin que ce roi, fils du roi, les libérât du puissant », c’est-à-dire de Satan, le « calomniateur », le « puissant ». « Mais notre Sauveur a humilié le calomniateur, et il est entré dans la maison du puissant, en emportant ses vases après l’avoir enchaîné; il « a libéré le petit du puissant, et le pauvre qui n’avait personne pour le secourir ». En effet, aucune puissance créée n’aurait été capable d’accomplir cela: ni celle de quelque homme juste, ni même celle de l’ange. Il n’y avait personne en mesure de nous sauver; voilà alors qu’il est venu lui-même, en personne, et qu’il nous a sauvés » (71, 14: Nuova Biblioteca Agostiniana, XXVI, Roma 1970, pp. 809-811).

ATTENDRE DIEU – TEMPS DE L’AVENT

2 décembre, 2014

http://www.abbaye-echourgnac.org/-prier-avec-nous/un-texte-pour-prier/47-temps-de-lavent/123-attendre-dieu.html

ATTENDRE DIEU – TEMPS DE L’AVENT

Écrit par Paul TILLICH

Attendre signifie n’avoir pas et avoir au même moment. Car nous n’avons pas ce que nous attendons ; ou, comme dit l’Apôtre, espérant ce que nous ne voyons pas, alors nous l’attendons. La condition de l’homme dans sa relation avec Dieu, c’est avant tout la condition de quelqu’un qui n’a pas, qui ne voit pas, qui ne sait pas et ne prend pas. Puisque Dieu est infiniment caché, libre et imprévisible, nous devons l’attendre de la façon la plus absolue et la plus radicale. Pour nous, il est Dieu, précisément dans la mesure où nous ne le possédons pas. Le psalmiste dit que son être tout entier attend le Seigneur. Il indique ainsi que l’attente de Dieu ne fait pas seulement partie de notre relation à Dieu, mais qu’elle en est la condition. Le moyen d’avoir Dieu, c’est de ne pas l’avoir.Mais bien qu’attendre soit n’avoir pas, c’est aussi avoir. Le fait que nous attendions quelque chose montre que de quelque manière nous la possédons déjà. L’attente anticipe ce qui n’est pas encore réel. Si nous attendons dans l’espérance et dans la patience, le pouvoir de ce que nous attendons agit en nous. Celui qui attend, dans le sens le plus élevé, n’est pas loin de ce qu’il attend. Celui qui attend avec un sérieux absolu est déjà saisi par ce qu’il attend. Celui qui attend dans la patience a déjà reçu la puissance de ce qu’il attend. Celui qui attend passionnément est déjà puissance d’action, il a la plus grande puissance de transformation possible dans sa vie intérieure et extérieure. Nous sommes plus forts dans l’attente que dans la possession. Lorsque nous possédons Dieu, nous le réduisons à cette petite parcelle de lui que nous avons cru connaître et saisir, et nous en faisons une idole. C’est seulement en servant des idoles que l’on peut croire à la possession de Dieu. Il y a beaucoup d’idolâtrie de cette sorte parmi les chrétiens. Mais, si nous savons que nous ne connaissons pas Dieu et si nous attendons qu’il se fasse connaître à nous, alors nous avons réellement quelque connaissance de lui, alors nous sommes connus, saisis et possédés pas lui.N’oublions pas néanmoins que l’attente est une énorme tension. Elle exclut toute satisfaction qu’on tirerait de ne posséder rien, toute indifférence ou tout mépris à l’égard de ceux qui possèdent quelque chose, tout abandon au doute ou au désespoir. Que notre fierté de ne rien posséder ne devienne pas une nouvelle possession ! Là se trouve une des grandes tentations de notre temps, car il reste peu de chose dont nous puissions revendiquer la possession. Nous cédons à la même tentation lorsque, dans notre effort pour posséder Dieu, nous nous vantons de ne pas le posséder. La réponse divine à cet effort est le vide absolu. L’attente n’est pas le désespoir. Attendre c’est accepter de n’avoir point, au nom de ce que nous avons déjà.

 

MARY DID YOU KNOW – TEXTE ANGLAIS ET FRANÇAIS

2 décembre, 2014

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MARY DID YOU KNOW – TEXTE ANGLAIS ET FRANÇAIS

Mary, did you know
that your Baby Boy would one day walk on water?
Mary, did you know
that your Baby Boy would save our sons and daughters?
Did you know
that your Baby Boy has come to make you new?
This Child that you delivered will soon deliver you.

Mary, did you know
that your Baby Boy will give sight to a blind man?
Mary, did you know
that your Baby Boy will calm the storm with His hand?
Did you know
that your Baby Boy has walked where angels trod?
When you kiss your little Baby you kissed the face of God?

Mary did you know.. Ooo Ooo Ooo

The blind will see.
The deaf will hear.
The dead will live again.
The lame will leap.
The dumb will speak
The praises of The Lamb.

Mary, did you know
that your Baby Boy is Lord of all creation?
Mary, did you know
that your Baby Boy would one day rule the nations?
Did you know
that your Baby Boy is heaven’s perfect Lamb?
The sleeping Child you’re holding is the Great, I Am.

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FRENCH

MARIE,SAVAIS-TU?

Marie,savais-tu
Que ton bébé ira sur l’eau,dans un jour?
Marie,savais-tu
Que ton bébé sauvera notre fils et filles?
Savais-tu
Que ton bébé venis de te faire nouvelle?
Ce enfant que tu l’es livré,il te va livré.

Marie,savais-tu
Que ton bébé donnera vue à un aveugle?
Marie,savais-tu
Que ton bébé calmera le tempête avec sa main?
Savais-tu
Que ton bébé est allé là où les anges va?
Quand tu baises ton bébé,tu baises le visage de Dieu?

Marie,savais-tu…?

L’aveugle verra.
Le sourd entendrera.
Le mort vivra encore.
Le boiteux ira.
Le muet parlera
Louanges d’agneau.

Marie,savais-tu
Que ton bébé est Seigneu de fondation?
Marie,savais-tu
Que ton bébé va conduire les nations,dans un jour?
Savais-tu
Que ton bébé este l’agneau parfait de Ciel?
L’enfant endormi que tu gardes est Formidable,Je suis.