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L’anniversaire de Benoît XVI dans les mots du secrétaire, mons. Gaenswein, de la vaticaniste Magister et du mons. Frisina

15 avril, 2007

Du site on line de la « Radio Vaticana » italienne (traduction...difficile):

http://www.oecumene.radiovaticana.org/it1/Articolo.asp?c=128476  

L’anniversaire de Benoît XVI dans les mots du secrétaire, mons. Gaenswein, de la vaticaniste Magister et du mons. Frisina – 

Avec l’intensité qui caractérise dans ces heures la vague d’affection des fidèles vers le Pape s’expriment même ceux qui plus donner voisin suivent, à divers titre, la mission mais même la vie quotidienne des Pontife. À commencer de son secrétaire mons. Georg Gaenswein, au microphone de Gudrun Sailer :    ********** (D= demande ; R= réponse, est-ce qu’il est égal en français?)

 D. – Dans un anniversaire qu’on tu y respectes ils sont même les cadeaux : j’imagine que beaucoup qu’ils voudraient faire un cadeau à le Pape, l’aient déjà fait. Veut-il nous recompter ce qui dons sont déjà arrivés ? R. – Es sind natürlich unzählig viele Briefe eingetroffen und sehr viele kleinere Geschenke… Évidemment, très beaucoup de lettres et beaucoup de petits dons : CD, fleurs, livres, écrits et sûrement arriveront encore beaucoup, tant de choses. En ce qui concerne les dons, le Pape a dit explicitement qu’il préfère ne pas accepter de dons personnels : qui veut lui faire un cadeau peut faire à offerte qu’il ensuite utilisera pour un but qui rendra connu : par exemple pour la Terre Sainte, ou pour autres aires de crise du monde ou pour l’Afrique. D. – Quel est-il le cadeau plus « curieux » qui lui a arrivé entre les mains jusqu’à présent ?

R. – Das kurioseste war ein riesen Bär… Le cadeau plus curieux a été un ours énorme. Il s’agit d’un animal d’étoffe, venu de l’Italie, d’un exemplaire très beau qui le Saint Père a destiné à l’hôpital pédiatrique Bambin Jésus, avec très grand enthousiasme des petits : ceux qu’ils savent écrire, ont remercié avec très belle lettre, pendant que pour des plus petits il a répondu le président de l’hôpital.   D. – Ce qui sont les choses qu’elles font vraiment plaisent à le Pape ? Quelles sont les choses qu’il qu’il reçoit (dans le sens de comprendre, accueillir) comme « cadeau » ? R. – Der Heilige Vater freut sich vor allem darüber, wenn er sieht, dass Menschen… Joie grand pour Saint Père est lorsque il voit que y ils sont personnes qu’ils acceptent le Mot de Dieu, qui l’Église annonce, et que ce Mot n’est pas considéré un fardeau mais une aide, comme ailes qui portent le fardeau de la vie, et que cette foi ensuite racine dans la vie personnelle de l’individuel. On rencontre des personnes qui de la foi tirent grand avantage. Celle-ci est une expérience qui donne grande joie à le Pape.  D. – Il y a, cependant, même un don qui la Papa fait aux fidèles, dans la forme de son nouveau livre, « Jésus de Nazareth ». J’imagine que – comme son secrétaire – elle l’ait déjà lue. Que dit ce livre ? 

R. – Ich kenne das Buch, en der Tat…. Effectivement, je l’ai lu. Ce que je peux me dire, aujourd’hui, est qu’ils sont beaucoup, très reconnaissant pour ce livre. Elle est une lecture qui enrichit et que il nourrit. Je peux sûrement inviter n’importe qui à le lire.   **********  Connu partout pour ses livres, déjà beaucoup d’ans avant être élu au Bureau de Pietro, Benoît XVI a mis à centre même de son Pontificat la parole. Il en est auto convaincu la vaticaniste de l’Express, Sandro Magister, qui dans celle-ci interviewe d’Alexandre Gisotti s’arrête même sur le rapport entre le Pape et les moyens de communication : 

 **********  R. – Benoît XVI a une extraordinaire capacité de communiquer en directe. Lorsque les places sont pleines devant lui, Benoît XVI a une capacité extraordinaire de se faire écouter, de se faire écouter avec attention d’un public simple. Il qu’il semblerait fait guette pour parler à des académies, en réalité sait parler avec beaucoup d’efficacité aux personnes pas particulièrement préparées. On fait écouter, mais on fait écouter en arguant, en déroulant un discours en mode organique et, donc, difficilement ce discours peut être synthétisé. Le résultat est que les media ont difficulté à synthétiser le discours de fond qui cette Pape fait. En réalité, les media limitent à se cueillir des passages, souvent très marginaux, qui sont retransmis sans qu’on comprenne quel est le fond dont ils naissent ces passages marginaux.  (est difficile de synthétiser les mots du Pape, parce que selon moi, il parle, il avec de la simplicité, mais de l’essentiel, des fondements, Gabriella) D. – Benoît XVI accomplit 80 ans et au moins de 40, si nous prenons comme donnée la publication de son oeuvre de l’ « Introduction au christianisme », il est connu pour ses livres, qui ont fasciné des croyants et pas. On peut dire que le mot soit chiffre même de son Pontificat ?  R. – Ils disaient qu’il y a du vrai. J’ai cueilli en Benoît XVI même volontariement l’intention d’une partie son élaguer de tout ce qu’il fait pour laisser le mot à centre. Le mot est vraiment centre de l’oeuvre de cette Pape, de son magistère. Mais elle est même son essence en somme. 

D. – Qu’est-ce que elle la frappe de la personnalité de Joseph Ratzinger, peut-être même en pensant à un souvenir personnel ?  R. – de Joseph Ratzinger, il me marque l’extraordinaire équilibre. Lorsque en parlant si de même il a uni ces deux adjectifs, « doux » et « …(la fermeté) », en invoquant de Dieu ces qualités, je dois dire qu’il a cueilli dans marque, parce que ceux-ci effectivement sont les « endiadi », le binôme, qui le caractérise. Le Pape ait une exceptionnel cohérence dans déroulement de message qui expose au monde, qui est un message extraordinairement centré sur la vraie essence du christianisme, sur le coeur du christianisme : « Deus caritas est », Jésus de Nazareth vrai Dieu, vrai homme. Celle-ci est l’essence de son message. Au même temps, ce message aussi ainsi linéaire, aussi ainsi je prive d’affaissements, de compromis, d’apprivoisements, est exprimé en forme douce, c’est-à-dire en forme raisonnable. L’autre grand binôme « foi » et « raison » qui caractérise le magistère de cette Pape est, en second lieu, caractérisant même sa personnalité.  **********  Une passion cultivée sin d’enfant : Joseph Ratzinger a toujours aimé la musique. Chaque « musique de qualité », a affirmé pendant son voyage apostolique en Bavière de 2006, dépasse « la sphère simplement humaine » et « il renvoie au divin ». Le 80.mo anniversaire de Benoît XVI donne donc même l’occasion pour approfondir celui amour du Pape pour la musique. Alexandre Gisotti a ramassé la réflexion de mons. Marc Frisina, directeur du Bureau Liturgique du Vicariat de Rome : 

 **********  R. – Avant tout, elle est une fortune pour l’Église. Ceci signifie que le Saint Père ait une grande sensibilité artistique au-delà de qu’une profondeur théologique, et ceci se perçoit vraiment de son mot, de ses attitudes. Il signifie même, à mon avertis, qu’une sensibilité de ce genre est de grande aide même pour attends liturgique auquel la musique donne une grosse contribution. Le Saint Père étonnement toujours pour cette capacité synthétique de mettre ensemble théologie, spiritualité liturgique, culture, poésie et musique. D. – D’autre part, à le Pape ne plaît pas seulement écouter la musique, mais même sonner…  R. – Certes. Je crois que ceci soit vraiment proportion de sa préparation juvénile. De garçon il a reçu une préparation musicale sérieuse. Donc, il a eu mode de fréquenter la musique en manière directe. Il a appris à chanter et à sonner. Il est toujours très beau sentir chanter à le Pape les parties de la Messe, dans cette manière toujours entonnée (juste), toujours parfaite. J’imagine que pour lui la musique soit même une mode pour se reposer, pour réfléchir et soit une aide pour contempler. 

D. – Il y a un anecdote qui peut nous recompter sur celui amour de le Pape pour la musique, qui peut-être la concerne même personnellement…  R. – l’an passé, pour la visite traditionnelle de la Papa au Séminaire, j’écrivis un oratoire même pour lui, comme j’ai fait toujours pour Jean Paul II, sur San Joseph. Elle est une chose simple, parce qu’elle est une chose brève qu’on fait dans une occasion de ce genre. Je me rappelle de que le Pape observait et écoutait tout avec attention incroyable. On sentais analysé et à la fin, lorsque je suis allé à le saluer, il m’a dit des merci, parce qu’elle avait été un beau méditation. Ceci aussi bien m’a frappé, parce que penser à la musique, à notre service musical comme un service pour le méditation, pour la contemplation, est important. Et j’ai arrive même qu’est-ce que signifie la musique pour le Pape : il signifie justement une possibilité dans plus pour approfondir le mystère de la foi, de ce point de vue poétique. D. – Ce qui musique dédierait à le Pape pour son anniversaire ? Que, en second lieu elle, représente mieux l’humanité de Joseph Ratzinger ?   R. – je ne sais pas, peut-être lui dédierais quelqu’un des morceaux très beaux de Bach, pris de quelqu’un de chantées, peut-être d’une de ces chantées pascales, qui sont pleins de cet enthousiasme, de cette lumière, qui seulement Bach savait donner à sa musique. Et ensuite, même parce que je crois que Bach se dédie beaucoup à le Pape, pour sa lucidité de pensée, qui ressemble beaucoup à cette lucidité d’écriture musicale, typique de Bach. 

La mission des enfants selon le pape : Etre des « amis et témoins de Jésus venu parmi nous »

22 décembre, 2006

du Zenith:  

La mission des enfants selon le pape : Etre des « amis et témoins de Jésus venu parmi nous » 

Audience à l’Action catholique de l’enfance 

ROME, Jeudi 21 décembre 2006 (ZENIT.org) –

Insistant sur le fait que la Nativité n’est pas une « fable », mais un événement réel, Benoît XVI invite à reconnaître l’Enfant Jésus dans tout nouveau né, et « l’enchantement de Noël » qui se reflète dans « le miracle de toute naissance », et il confie aux enfants la mission d’être des « amis » et des « témoins de Jésus venu parmi nous ». Benoît XVI a en reçu ce matin, au Vatican, des représentants de l’Action catholique italienne de l’Enfance. Il a demandé aux enfants d’être des « amis » et des « témoins de Jésus venu parmi nous ».

« Il est bon, insistait le pape, de le faire connaître autour de vous, en ville, en paroisse et en famille. L’Eglise a besoin de vous afin d’être proche de tous les enfants d’Italie. Témoigner de Jésus vous rendra plus humains, plus vrais, plus beaux ».

« L’enchantement de Noël », disait encore Benoît XVI, « se reflète dans le miracle de toute naissance » et « nous invite à voir l’Enfant Jésus dans tout enfant nouveau-né, joie de l’Eglise et espoir pour le monde ».

« Noël, disait le pape, est le grand mystère de la vérité et de la beauté de Dieu qui vient parmi nous pour le salut de tous ».

Le pape insistait : « La naissance de Jésus n’est pas une fable mais un événement réel (…) et la foi nous permet de reconnaître dans ce nouveau-né, né de
la Vierge Marie, le véritable Fils de Dieu, fait homme par amour de l’humanité ».

« Dans l’Enfant Jésus nous voyons le visage de Dieu qui ne montre pas sa force ou sa puissance mais la faiblesse et la fragilité de l’enfance », ajoutait le pape.

Pour le pape, « l’Enfant Dieu » manifeste « la fidélité et la tendresse infinie dont Dieu nous entoure tous ».

« Nous nous réjouissons à Noël en revivant l’expérience des bergers de Bethléem », insistait Benoît XVI. 

Le Message du Pape à la Journée des Malades

15 décembre, 2006

Du Agence Fides :

Agence Fides

VATICAN – Le Message du Pape à la Journée des Malades :

“Encore une fois l’Eglise tourne son regard vers ceux qui souffrent et attire l’attention sur les maladies incurables présentes dans chaque continent, surtout dans les lieux où la pauvreté et les privations sont la cause d’immenses misères et douleurs »

Cité du Vatican (Agence Fides) – Le Message du Saint-Père Benoît XVI pour la XVe Journée Mondiale des Malades, dont la célébration principale aura lieu à Séoul (Corée), le 11 février 2007, a été publié. Dans le texte, en langue anglaise, qui porte la date du 8 décembre 2006, le Saint-Père rappelle que la XVe Journée Mondiale des Malades aura lieu le jour où l’Eglise fait mémoire liturgique de Notre-Dame de Lourdes : « Encore une fois l’Eglise tourne son regard vers ceux qui souffrent et attire l’attention sur les maladies incurables… présentes dans chaque continent, surtout dans les lieux où la pauvreté et les privations sont la cause d’immenses misères et douleurs ».
Dans son Message le Saint-Père montre que « malgré les progrès de la science, il n’existe pas encore de soins pour toutes les maladies, aussi rencontrons-nous, dans les hôpitaux, dans les hospices et dans les maisons du monde entier, la souffrance de beaucoup de nos frères et sœurs, malades incurables et souvent en phase terminale. En outre, plusieurs millions de personnes dans notre monde pâtissent encore de conditions de vie insalubres et n’ont pas accès à l’assistance médicale de base, nécessaire, avec pour résultat que le nombre des personnes humaines considérées comme « incurables » a sensiblement augmenté ».
L’Eglise désire soutenir les malades incurables et en phase terminale en attirant l’attention sur la nécessité de promouvoir des politiques sociales qui puissent contribuer à éliminer les causes de nombreuses maladies et « créer des conditions dans lesquelles les êtres humains puissent supporter des maladies incurables et la mort avec dignité ». Le Pape rappelle encore une fois la nécessité d’avoir un plus grand nombre de centres pour les soins palliatifs, fournissant une assistance intégrale, l’assistance humaine et l’accompagnement spirituel dont les malades ont besoin. « Il s’agit d’un droit humain qui appartient à tout être humain, que nous tous nous devons nous engager à défendre ».
Le Pape encourage les efforts de tous ceux qui travaillent quotidiennement pour assurer les soins dont ont besoin les malades en phase terminale et incurables ainsi que leurs familles, et rappelle que « l’Eglise, suivant l’exemple du Bon Samaritain, a toujours montré une sollicitude particulière pour l’infirme » à travers ses membres et ses institutions. Puis, s’adressant aux « chers frères et sœurs souffrants », le Saint-Père les exhorte à « contempler les souffrances du Christ crucifié », avec la confiance que leurs souffrances, « unies à celles du Christ, seront fructueuses pour les besoins de l’Eglise et du monde ». Dans la conclusion de son Message, le Pape Benoît XVI rappelle aux malades : « à travers ses prêtres et les opérateurs pastoraux l’Eglise désire vous aider en restant à vos côtés, vous aidant dans les moments difficiles, et manifestant ainsi l’amour miséricordieux du Christ envers ceux qui souffrent ». Aux communautés ecclésiales du monde entier, et particulièrement à celles consacrées au soin des infirmes, le Pape demande de « continuer, avec l’aide de Marie, Salus Infirmorum, à donner un témoignage concret de l’attention aimante de Dieu notre Père ». (S.L.) (Agence Fides 14/12/2006 – Lignes 33, mots 472)

ancore un article sur Christodoulos à Rome

15 décembre, 2006

ancore un article sur Christodoulos à Rome, du site Zenith:

Le très riche programme de l’archevêque Christodoulos à Rome

Les « chaînes de saint Paul », lien entre les Eglises
ROME, Jeudi 14 décembre 2006 (ZENIT.org) – Les « chaînes de saint Paul » sont le symbole du lien entre les Eglises de Rome et d’Athènes : un reliquaire voulu par Jean-Paul II a en effet été remis à l’archevêque d’Athènes, Christodoulos, lors de sa visite, cet après-midi, à Saint-Paul-hors-les-Murs.

Le programme de cette visite a été publié par le conseil pontifical pour la Promotion de l’Unité des Chrétiens.

Ce matin, pour la première fois, l’archevêque d’Athènes et de toute la Grèce, Christodoulos, a auparavant été reçu en audience par Benoît XVI, à 11h, avant la signature de leur déclaration commune, sur parchemin précieux.

Les deux chefs religieux s’étaient rencontrés à l’occasion des funérailles de Jean-Paul II, le 8 avril 2005. Et en octobre 2005, Benoît XVI avait invité l’archevêque à Rome en signe de « réconciliation » et de « coopération » des deux Eglises.

L’archevêque d’Athènes et sa délégation composée de 9 membres du saint-Synode et de l’Eglise d’Athènes sont arrivés à Rome mercredi soir. Ils y resteront jusqu’à samedi.

Ce jeudi 14 décembre, Christodoulos a d’abord visité la basilique Saint-Pierre et son site archéologique. Il s’est recueilli sur la tombe de Jean Paul II, où il a tenu à déposer une lampe votive.

Sa rencontre avec le pape a ensuite eu lieu dans la bibliothèque située au 2e étage du palais apostolique. Après avoir reçu la suite de l’archevêque d’Athènes, Benoît XVI et Christodoulos ont échangé des discours officiels et des dons : une mosaïque représentant la Vierge à l’Enfant, de la part de Benoît XVI et une icône représentant saint Pierre et saint Paul embrassés, de la part de Christodoulos

Ils ont ensuite signé une déclaration commune, avant de déjeuner ensemble.

Dans l’après-midi, l’archevêque orthodoxe s’est rendu à la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs pour une célébration de la Parole. Il lui a été remis de la part du pape deux anneaux de la chaîne de l’apôtre dans un reliquaire d’albâtre voulu par Jean Paul II. En souvenir de sa visite, Christodoulos a offert à la basilique une icône de saint Paul avant de visiter les fouilles qui viennent de mettre à jour la tombe de l’apôtre.

Vendredi 15 décembre, l’archevêque visitera l’église orthodoxe grecque de Saint-Théodore Mégalo-martyr. Puis il se rendra à la basilique Saint-Clément afin de se recueillir sur la tombe de saint Cyrille : il offrira à la basilique une icône de deux frères de Thessalonique, apôtres des Slaves et saints patrons de l’Europe.

En fin de matinée, vendredi, Christodoulos se rendra à la basilique du Latran. Et l’Université pontificale du Latran, lui conférera le titre de docteur honoris causa en doit civil et droit canon.

Enfin, samedi 16 décembre, l’archevêque orthodoxe se rendra au Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens et à la Bibliothèque apostolique vaticane, dirigée par le cardinal Jean-Louis Tauran, et qui a des relations de collaboration avec l’Apostolikì Diakonia d’Athènes.

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Pope Benedict XVI greets the head of Greece’s Orthodox Church Archbishop Christodoulos (L) at the Vatican December 14, 2006. REUTERS/Danilo Schiavella-Pool (VATICAN)

Le pape se rend en Turquie « comme un pèlerin de paix »

24 novembre, 2006

du site: 

http://www.la-croix.com/afp.static/pages/061123103222.ynfr0zy7.htm 

ROME, 23 nov 2006 (AFP) –

Le pape se rend en Turquie « comme un pèlerin de paix » (cardinal) Le pape Benoît XVI se rend la semaine prochaine en Turquie « comme un pèlerin de paix, ouvert au dialogue et à la rencontre », a déclaré le cardinal italien Raffaele Martino, président du conseil pontifical Justice et Paix, dans un entretien publié jeudi par
La Repubblica. 

Pour le pape, »le rapport avec l’islam est important, il n’y a aucun doute la dessus », a ajouté le cardinal Martino. Le prélat relativise les manifestations d’hostilité à la visite du chef de l’Eglise catholique en Turquie, comme l’occupation mercredi de l’ancienne basilique Sainte-Sophie à Istanbul par des manifestants. 

« Il ne faut pas donner trop d’importance à cet épisode », estime-t-il. « Quand le pape Jean Paul II est allé en Turquie (en 1979) il y a eu aussi des protestations, et Ali Agca (qui a tiré sur le pape en 1981 place Saint-Pierre) avait menacé le pape ». « Certains phénomènes sont des faits isolés, et ne représentent pas les sentiments de tout un peuple », ajoute le cardinal Martino, en répétant que « le pape va à Ankara et Istanbul dans un esprit de dialogue ». 

Un groupe d’environ 120 manifestants a envahi mercredi l’ancienne basilique byzantine Sainte-Sophie, aujourd’hui un musée, pour protester contre la visite en Turquie de Benoît XVI prévue pour la semaine prochaine. Les manifestants, membres d’un groupe islamiste-nationaliste, ont été délogés par la police.

Déjà plus d’une feuille sèche

22 novembre, 2006

une poesie que j’ai trové sur le site:

http://poetes.com/gautier/hirondelles.htm

Déjà plus d’une feuille sèche 

Parsème les gazons jaunis ;
Soir et matin, la brise est fraîche,
Hélas ! les beaux jours sont finis !

On voit s’ouvrir les fleurs que garde
Le jardin, pour dernier trésor :
Le dahlia met sa cocarde
Et le souci sa toque d’or.

La pluie au bassin fait des bulles ;
Les hirondelles sur le toit
Tiennent des conciliabules :
Voici l’hiver, voici le froid !

Elles s’assemblent par centaines,
Se concertant pour le départ.,
L’une dit : « Oh ! que dans Athènes
Il fait bon sur le vieux rempart !

« Tous les ans j’y vais et je niche
Aux métopes du Parthénon.
Mon nid bouche dans la corniche
Le trou d’un boulet de canon. »

L’autre : « J’ai ma petite chambre
A Smyrne, au plafond d’un café.
Les Hadjis comptent leurs grains d’ambre
Sur le seuil, d’un rayon chauffé.

« J’entre et je sors, accoutumée
Aux blondes vapeurs des chibouchs ;
Et parmi des flots de fumée,
Je rase turbans et tarbouchs. »

Celle-ci : « J’habite un triglyphe
Au fronton d’un temple, à Balbeck.
Je m’y suspends, avec ma griffe
Sur mes petits au large bec. »

Celle-là : « Voici mon adresse :
Rhodes, palais des chevaliers ;
Chaque hiver, ma tente s’y dresse
Au chapiteau des noirs piliers. »

La cinquième : « Je ferai halte,
Car l’âge m’alourdit un peu,
Aux blanches terrasses de Malte,
Entre l’eau bleue et le ciel, bleu. »

La sixième : « Qu’on est à l’aise
Au Caire, en haut des minarets !
J’empâte un ornement de glaise,
Et mes quartiers d’hiver sont prêts. »

« A la seconde cataracte,
Fait la dernière, j’ai mon nid ;
J’en ai noté la place exacte,
Dans le pschent d’un roi de granit. »

Toutes : « Demain combien de lieues
Auront filé sous notre essaim,
Plaines brunes, pics blancs, mers bleues
Brodant d’écume leur bassin ! »

Avec cris et battements d’ailes,
Sur la moulure aux bords étroits,
Ainsi jasent les hirondelles,
Voyant venir la rouille aux bois.

Je comprends tout ce qu’elles disent,
Car le poète est un oiseau ;
Mais, captif, ses élans se brisent
Contre un invisible réseau !

Des ailes ! des ailes ! des ailes !
Comme dans le chant de Ruckert,
Pour voler, là-bas avec elles
Au soleil d’or, au printemps vert !

Paul Gautier

le Cardinal Poupard aux Directeurs des Centres Catholiques Culturels en Inde

22 novembre, 2006

du Agenzia Fides:

VATICAN – “Valeurs et Cultures de l’Evangile: le défi du témoignage de la foi chrétienne dans les cultures indiennes”: le Cardinal Poupard aux Directeurs des Centres Catholiques Culturels en Inde

Goa (Agenzce Fides) – “Le Christianisme est très ancien et a des racines très profondes ici en Inde. Comme toutes les autres cultures du monde, les cultures indiennes sont sujettes à de continuelles évolutions et adaptations ». Ainsi le Cardinal Paul Poupard, Président du Conseil Pontifical de la Culture et du Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux, a-t-il commencé son message de bienvenue à la réunion des Directeurs des Centres Culturels Catholiques en Inde qui s’ouvre aujourd’hui à Goa.
« Même si les gens de Goa professent différentes confessions et ont des bagages culturels différents, cette petite bande de terre est marquée par une harmonie pacifique et par le respect mutuel », a mis en évidence le Cardinal dans son intervention consacré aux « Valeurs et cultures de l’Evangile : le défi du témoignage de la foi chrétienne dans les cultures indiennes ».
L’axe portant de l’intervention de Poupard a été le commentaire du texte de Matthieu 28 qui, selon la tradition, a été le premier à arriver en Inde, sur les paroles de conclusion de Jésus qui exhorte ses disciples avec son quadruple « tout » : « tout pouvoir m’a été donné, allez dans toutes les parties du monde, et enseignez tout, je suis avec vous tous les jours ».
« L’Eglise en Inde, comme partout, est appelée à vivre et à témoigner de sa foi en Jésus-Christ. Le riche patrimoine culturel indien offre autant un défi qu’une occasion de vivre et de proclamer sa foi en Jésus-Christ. C’est un appel à l’évangélisation des cultures et à l’inculturation de la foi ».
Le Président a conclu son intervention par les paroles du Cardinal indien Ivan Dias, Préfet de la Congrégation pour l’Evangélisation des Peuples, qui affirme que « Nous devons reconnaître et respecter les trésors précieux du patrimoine religieux. Comme les rois mages ne se sont pas arrêtés tant qu’ils n’ont pas trouvé Jésus, ont déposé leurs trésors devant lui et l’ont adoré, ainsi tous les habitants de l’Asie, avec leurs cultures riches et variées, leur patrimoines religieux et leurs traditions, ne s’arrêteront pas tant qu’ils ne trouveront pas Celui qui est la Vie, la Vérité, et la Vie, et ils l’adoreront».(AP) (21/11/2006 Agence Fides; Lignes:29; ueMots:362)

une très belle image de personne – India – photo:

http://www.geraldbrimacombe.com/India/India%20-%20Streets%20of%20Jaipur.jpgle Cardinal Poupard aux Directeurs des Centres Catholiques Culturels en Inde dans sujets interessants aujourd'hui India%20-%20Streets%20of%20Jaipur

Dossier sur le préservatif remis à la Doctrine de la Foi

22 novembre, 2006

du Zenith:

2006-11-21

Pastorale de la santé :

Dossier sur le préservatif remis à la Doctrine de la Foi

De l’opportunité ou non d’une déclaration

ROME, Mardi 21 novembre 2006 (ZENIT.org) –

Un dossier sur la question du préservatif a été remis par le cardinal Javier Lozano Barragan à la congrégation pour la Doctrine de la Foi, à la demande de Benoît XVI, a indiqué le cardinal mexicain, président du conseil pontifical pour la Pastorale de la Santé.

Le cardinal Lozano Barragan a en effet révélé cette information à la presse lors de la présentation ce matin au Vatican du congrès pour la lutte contre les maladies infectieuses.

Il a souligné qu’il s’attendait en effet toujours à ce que l’on pose la question du préservatif dès que l’on parle du sida, mais que son dicastère est uniquement « pastoral » et n’a aucune autorité doctrinale pour se prononcer sur la question.

Il précisait également que le dossier une fois remis, c’est à l’autorité doctrinale – la congrégation et ultimement le pape, à partir du travail de réflexion de celle-ci – de décider s’il est opportun ou non que l’Eglise se prononce du point de vue doctrinal sur la question.

Il a souligné, en citant « Familiaris Consortio », qu’aucune prise de position de l’Eglise ne doit donner à penser qu’elle encouragerait des conduites légères en matière de morale sexuelle.

Le dossier du cardinal Lozano comprend, a-t-il précisé, non seulement les données objectives sur l’usage du préservatif mais aussi tout un éventail des positions pastorales adoptées dans le monde, des plus rigides aux plus souples. S’agissant d’un dossier « interne » à usage « privé », le cardinal Barragan n’en a pas dit davantage.

Mais il répétait qu’une fois la synthèse faite, « ce n’est pas à nous de juger » s’il est nécessaire de se prononcer ou s’il est opportun de ne pas répondre. Par exemple, le pape Jean-Paul II, rappelons-le, n’a pas prononcé le mot de préservatif dans ses discours. Les questions préalables seront donc: faut-il ne rien dire ? Dire quelque chose ? Et si « oui », dire quoi ?

Le cardinal Lozano Barragan s’est dit confiant dans la « sagesse spéciale » du pape Ratzinger et du « charisme » du successeur de Pierre assisté spécialement par l’Esprit Saint dans son ministère.

Il pourrait ne pas y avoir de réponse officielle. La réponse doit-elle venir du niveau suprême de l’Eglise ? Ou laissée à la pastorale des diocèses ? Car, pour ce qui est d’une éventuelle réponse au dossier le cardinal Lozano Barragan a souligné qu’il ne s’agit en aucune façon d’« exiger » mais seulement d’« espérer ». Et qu’en tout cas s’il devait y avoir une réponse, ce serait une réponse qui « aide les catholiques et ne lèse personne ».

une belle image – un article que je traduirai

21 novembre, 2006

j’ai trouvé cette très belle image – j’ai cherché un image d’un enfant pour un article sur mon Blog italien – l’article  que je présente, très intéressant -  écrit d’un journaliste que je estime - est sur la pedophilie (je ne trouve pas la traduction en français – du grec : pâis-paidós enfant- petit enfant)  de prêtre e la position di Pape Benoît, il est difficile à traduire (mais peut être…je le ferai); photo du site: 

http://www.ucm.es/info/genetica/grupod/Genetica%20evolutiva/Especiacion/Especiacion.htm

une belle image - un article que je traduirai dans sujets interessants aujourd'hui

P. F. Manns: Formation au dialogue

21 novembre, 2006

 du SBF Jerusalem:

16.11.2006 @ 17:15
Formation au dialogue

SBF Dialogue
Les nouvelles des journaux ne sont pas toujours réjouissantes. C’est avec un grand plaisir que j’ai trouvé deux informations positives.
La première annonce que la technique tchèque d’animation de marionnettes a accepté de se mettre au service de l’histoire des trois religions monothéistes pour les raconter aux enfants. “Le Temps des Fondations” est le titre de cette série qui sort en novembre en trois DVD.
L’idée a pris forme après les attentats du 11 septembre 2001, lorsque l’urgence d’une meilleure connaissance réciproque des uns et des autres a semblé de plus en plus nécessaire. Mais elle était déjà née lors de plusieurs rencontres d’experts sur le thème des Routes de la foi à Rabat.
Il est important de donner des informations non seulement sur le récit mais aussi sur l’esprit des fondations des religions. Au départ il n’y avait aucune idée belliqueuse dans les religions. Les fondateurs étaient souvent de gens exclus, comme les Hébreux en Egypte, Jésus de Nazareth rejeté par les prêtres, ou le prophète Muhamad chassé à Médine”.
La série raconte les débuts du judaïsme, du christianisme et de l’islam vus à travers les yeux d’enfants, héros de neuf épisodes de sept minutes chacun consacrés à chacune des trois religions.
Les responsables religieux tchèques ont approuvé le scénario : le grand rabbin de Prague, un pasteur protestant et le chef du Centre islamique de Prague.
Le dialogue des religions est devenu incontournable dans la société postmoderne. Les trois monothéismes restent trop souvent rivés au passé: le judaïsme orthodoxe avec son étroit système halachique ; le catholicisme avec son droit canon; l’islam avec sa charia. Lorsque ces religions accepteront le paradigme de l’âge moderne, beaucoup de problèmes seront résolus. Les grandes réconciliations de l’histoire qui ont marqué le siècle dernier – France et Allemagne, Afrique du Sud – doivent se poursuivre au niveau des religions. Des esprits ouverts, comme celui de Ghandi, de Jean XXIII et de Desmond Tutu, ont fait craquer de l’intérieur des systèmes clos.
Une autre nouvelle réjouissante s’ajoute à la première. L’Espagne de Cordoue, et la Turquie d’Istanbul, pont naturel entre deux cultures, viennent de soutenir l’alliance des civilisations, initiative des Nations Unies née en 2004 pour rapprocher les cultures.
Mais pour arriver à ce but, de grandes déclarations d’intention sur l’éducation ou la jeunesse ne suffisent pas. La dimension politique du problème n’échapppe à personne. Le caractère urgent d’une solution au conflit du Proche-Orient crève les yeux. Et les armées occidentales n’ont pas pour vocation de s’installer définitivement dans les pays musulmans pour assurer l’acheminement du pétrole vers les pays riches.

Frédéric Manns

P. F. Manns: Formation au dialogue dans sujets interessants aujourd'hui temple_jerusalem_model

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http://lexicorient.com/e.o/templej.htm

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