Archive pour la catégorie 'Saint Joseph'

Cantique à saint Joseph composée sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus

18 mars, 2010

du site:

http://www.saint-joseph.fr/Cantique-de-la-Petite-Therese

Cantique à saint Joseph composée sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus

Joseph, votre admirable vie
Se passa dans l’humilité ;
Mais, de Jésus et de Marie,
Vous contempliez la beauté !

Joseph, ô tendre Père,
Protégez le Carmel !
Que vos enfants, sur cette terre,
Goûtent déjà la paix du ciel.

Le Fils de Dieu, dans son enfance,
Plus d’une fois, avec bonheur,
Soumis à votre obéissance,
S’est reposé sur votre cœur !

Comme vous, dans la solitude,
Nous servons Marie et Jésus ;
Leur plaire est notre seule étude ;
Nous ne désirons rien de plus.

Sainte Thérèse, notre Mère,
En vous se confiait toujours ;
Elle assure que sa prière,
Vous l’exauciez d’un prompt secours.

Quand l’épreuve sera finie,
Nous en avons le doux espoir
Près de la divine Marie,
Saint Joseph, nous irons vous voir.

Bénissez, tendre Père,
Notre petit Carmel ;
Après l’exil de cette terre
Réunissez-nous dans le ciel.

19 mars 2007

Les plus belles pages sur Saint Joseph: Sainte Thérése de l’enfant Jèsus

24 février, 2010

du site:

http://www.spiritualite-chretienne.com/st-joseph/st-joseph.html#Therese

Les plus belles pages sur Saint Joseph

SAINTE THÉRÈSE DE L’ENFANT-JÉSUS (1873-1897)

Dans l’Histoire d’une âme, sainte Thérèse écrit : « Je priai aussi saint Joseph de veiller sur moi ; depuis mon enfance, ma dévotion pour lui se confondait avec mon amour pour la Très Sainte Vierge. Chaque jour, je récitais la prière : O saint Joseph, père et protecteur des vierges… II me semblait donc être bien protégée et tout à fait à l’abri du danger. » Le Cantique ci-dessous a été composé en 1896, à la demande de Sœur Marie de l’Incarnation.

Cantique à saint Joseph

Sur l’air du cantique : Nous voulons Dieu.

Joseph, votre admirable vie
Se passa dans l’humilité ;
Mais, de Jésus et de Marie,
Vous contempliez la beauté !

Joseph, ô tendre Père,
Protégez le Carmel !
Que vos enfants, sur cette terre,
Goûtent déjà la paix du ciel.

Le Fils de Dieu, dans son enfance,
Plus d’une fois, avec bonheur,
Soumis à votre obéissance,
S’est reposé sur votre cœur !

Comme vous, dans la solitude,
Nous servons Marie et Jésus ;
Leur plaire est notre seule étude ;
Nous ne désirons rien de plus.

Sainte Thérèse, notre Mère,
En vous se confiait toujours ;
Elle assure que sa prière,
Vous l’exauciez d’un prompt secours.

Quand l’épreuve sera finie,
Nous en avons le doux espoir
Près de la divine Marie,
Saint Joseph, nous irons vous voir.

Bénissez, tendre Père,
Notre petit Carmel ;
Après l’exil de cette terre
Réunissez-nous dans le ciel.

1896.

(Sœur Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, Histoire d’une Ame, Lettres, Poésies, Bar-le-Duc, 1898, p. 377. – Cf. Manuscrits autobiographiques de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, t. I, Introduction, n° 39, p. 14. Carmel de Lisieux, 1955.)

Prière à Saint Joseph pour trouver un travail

1 mai, 2009

visitez-vous le très belle site du sanctuaire, je mets, aussi,  le lien sous lien, du site

http://www.josephbonespoir.org/Priere-a-Saint-Joseph-pour-trouver.html

Prière à Saint Joseph pour trouver un travail.

vendredi 30 janvier 2009, par Anne

Glorieux Saint-Joseph
Ta mission de gardien du Rédempteur
 et de protecteur de la Vierge Marie
 a fait de toi le responsable de la Sainte Famille
 et l’intendant de sa vie économique.
Par trois fois,
 ton obéissance à la volonté divine
 t’a obligé à changer rapidement de lieu d’habitation
 et donc à perdre contact avec la population
 qui te fournissait du travail.
 Par trois fois,
 à Bethléem, en Egypte et lors de ton retour en Galilée,
 tu as été contraint de rechercher de nouveaux chantiers
 pour ton artisanat de menuisier charpentier.
Saint-Joseph,
 Tu as toujours gardé confiance en la Providence
 et demandé son aide.
Aujourd’hui je suis moi-même en recherche de travail,
 salarié ou indépendant,
 et je fais appel à toi, puissant intercesseur,
 pour que tu sois mon avocat auprès de ton Fils,
 avec le concours de ton épouse,
 pour m’aider à retrouver les moyens de vivre par mon labeur.
 Apprends moi à être actif dans mes recherches,
 ouvert aux opportunités,
 clair dans mes relations,
 mesuré dans mes demandes
 et résolu à remplir toutes mes obligations.
Saint-Joseph de Bon Espoir,
 prie pour moi,
 protège moi, guide moi
 et garde moi dans l’espérance.
 Amen
Père Yannik Bonnet, recteur du Sanctuaire St Joseph de Bon Espoir

Thérèse d’Avila et Saint Joseph

1 mai, 2009

du site:

http://www.josephbonespoir.org/Therese-d-Avila-et-Saint-Joseph.html

Thérèse d’Avila et Saint Joseph

vendredi 27 mars 2009, par Anne

Voulez-vous réussir dans toutes vos entreprises ? Thérèse d’Avila fonde en 1562 le premier carmel de la réforme, qu’elle confie à saint Joseph : Le couvent saint Joseph d’Avila sera le premier d’une entreprise qui renouvellera l’Eglise et la prière contemplative.

 » Dieu donne à d’autres Saints de nous secourir dans tel ou tel besoin ; mais le glorieux saint Joseph, je le sais par expérience, étend son pouvoir à tous. Notre Seigneur veut nous faire entendre par là que , de même qu’Il lui fut soumis sur cette terre d’exil, reconnaissant en lui l’autorité d’un père nourricier et d’un gouverneur, de même Il se plaît encore à faire sa volonté dans le ciel, en exauçant toutes ses demandes.’ ( Autobiographie, VI, 7-8)

Thérèse d’Avila ajoute :

 » Connaissant par une si longue expérience l’étonnant crédit de Saint Joseph auprès de Dieu, je voudrais persuader tout le monde de l’honorer d’un culte particulier. Jusqu’ici, j’ai toujours vu les personnes qui ont eu pour lui une dévotion vraie et soutenue par les oeuvres, faire des progrès dans la vertu : car ce céleste protecteur favorise d’une manière frappante l’avancement des personnes qui se recommandent à lui. Déjà, depuis plusieurs années, je lui demande, le jour de sa fête, une faveur particulière, et j’ai toujours vu mes désirs accomplis… »

 » Je conjure, pour l’amour de Dieu, ceux qui ne me croiraient pas, d’en faire l’épreuve ; ils verront , par expérience, combien il est avantageux de se recommander à ce glorieux Patriarche et de l’honorer d’un culte particulier. Les personnes d’oraison, surtout, devraient l’aimer avec une filiale tendresse.Les personnes d’oraison, en particulier, devraient toujours s’attacher à lui ; car je ne sais comment on peut penser à la Reine des Anges au temps qu’elle vécut auprès de l’enfant Jésus, sans remercier saint Joseph de les avoir si efficacement aidés. Que ceux qui ne trouveraient pas de maître pour leur enseigner l’oraison prennent pour maître ce glorieux saint, et ils ne s’égareront pas en chemin. « 

« St Joseph, Consolation des Malheureux », prière de Saint-François de Sales

1 mai, 2009

du site:

http://www.foi-et-contemplation.net/prier/joseph-3.php

« St Joseph, Consolation des Malheureux »

Prière de Saint-François de Sales

Glorieux Saint Joseph, époux de Marie, étendez sur nous votre protection paternelle, vous dont la puissance est de rendre possible les choses impossibles.

Pourvoyez à nos besoins présents.

Ouvrez vos yeux de Père sur les intérêts de vos enfants.

Venez-nous en aide et prenez sous votre charitable protection les affaires si importantes que nous vous recommandons, afin que leurs heureuses issues tournent à la Gloire de Dieu et au bien de vos dévoués serviteurs. Amen.

DEUX HYMNES LITURGIQUES (XX° siècle)

18 mars, 2009

du site:

http://spiritualite-chretienne.com/st-joseph/st-joseph.html#Therese

DEUX HYMNES LITURGIQUES (XX° siècle)

A la suite de l’institution de la fête de saint Joseph artisan, la liturgie fut dotée d’une nouvelle messe et d’un nouvel office. Celui-ci comporte deux hymnes propres pour matines et laudes. En voici leur traduction rythmée, d’après le texte latin dû à un hymnographe romain dont le nom n’a pas été révélé.

Hymne de Matines : « Te Pater Joseph »

C’est vous, patriarche Joseph,
Ouvrier digne des autels,
Ravi de vous cacher dans l’ombre à Nazareth,
Qu’à hautes voix comme à pleins cœurs
Cette nuit nous allons chanter.

Une descendance de rois
Et la condition des pauvres,
Vous portez tout cela calme et silencieux,
En nourrissant l’Enfant sacré
Grâce au dur labeur de vos mains.

Saint Ouvrier, des ouvriers
Le pur miroir, combien aux humbles
Votre existence apporte un modèle splendide,
Pour que les sueurs du travail
Et l’atelier soient choses saintes !

Les miséreux qui sont sans pain,
Accueillez-les avec amour ;
Calmez toute révolte, apaisez tout conflit ;
Qu’en nous croisse le Christ mystique
Sous votre garde paternelle.

O Dieu trine et un à la fois,
Père de tous, auteur du monde,
Donnez-nous d’imiter par toute notre vie
Le saint patriarche Joseph,
De l’imiter en notre mort !

Hymne de Laudes : « Aurora, Solis Nuntia »

L’aurore, annonce du soleil,
Ouverture du mois des fleurs,
Salue le toit de Nazareth
Vibrant des coups du charpentier.

Salut à vous, Chef de famille
Sous lequel l’Ouvrier suprême
Baigné d’une amère sueur
Travaille au métier paternel !

Habitant les hauteurs célestes
Auprès d’une Epouse sublime,
A cette heure aidez vos clients,
Ceux que le dénuement accable.

Au loin violence et conflits,
Toute fraude dans les salaires !
Que seule la frugalité
Mesure biens et nourriture !

Unité de la Trinité,
A la prière de Joseph
Guidez au chemin de la paix
Les pas de tous et leur voyage !

(Traduction de Mgr Francis Trochu)

Jean Paul II, Saint Joseph 2001

18 mars, 2009

du site:

http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/2001/documents/hf_jp-ii_hom_20010319_episcopal-ordination_fr.html

CHAPELLE PAPALE POUR L’ORDINATION DE 9 ÉVÊQUES
EN LA SOLENNITÉ DE SAINT JOSEPH

HOMÉLIE DE JEAN PAUL II

Lundi 19 mars 2001,
solennité de la Saint Joseph

1. « Voilà donc l’intendant fidèle, avisé, que le maître a établi sur ses gens » (cf. Lc 12, 42).
C’est ainsi que la liturgie nous présente aujourd’hui saint Joseph, Epoux de la Bienheureuse Vierge Marie et Gardien du Rédempteur. Lui, le serviteur fidèle et sage, a accueilli avec une docilité obéissante la volonté du Seigneur, qui lui a confié « sa » famille sur terre, afin qu’il en prenne soin avec un dévouement quotidien.

Saint Joseph persévéra dans cette mission avec fidélité et amour. C’est pourquoi l’Eglise nous le montre comme un modèle particulier de service au Christ et à son mystérieux dessein de salut. Et elle l’invoque comme patron spécial et protecteur de toute la famille des croyants. Joseph nous est aujourd’hui proposé de façon particulière, le jour de sa fête, comme le saint sous la protection efficace duquel la Divine Providence a voulu placer les personnes et le ministère de ceux qui sont appelés à être, au sein du peuple chrétien, des « pères » et des « gardiens ».

2. «  »Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela? Vois! ton père et moi nous te cherchons angoissés » [....] « Pourquoi donc me cherchiez-vous? Ne saviez-vous pas que je dois être dans la maison de mon Père? »" (Lc 2, 48, 49).

Au cours de ce dialogue simple et familier entre la Mère et le Fils, que l’Evangile vient de nous proposer, se trouvent les éléments de la sainteté de Joseph. Ils répondent au dessein divin sur lui, qu’il sut assumer avec une admirable fidélité, en homme juste qu’il était.

« Ton père et moi nous te cherchons angoissés », dit Marie. « Ne saviez-vous pas que je dois être dans la maison de mon Père », réplique Jésus. Ce sont précisément ces paroles du Fils qui nous aident à comprendre le mystère de la « paternité » de Joseph. En rappelant à ses parents la primauté de Celui qu’il appelle « Mon Père », Jésus révèle la vérité du rôle de Marie ainsi que de Joseph. Celui-ci est véritablement l’ »époux » de Marie et le « père » de Jésus, comme elle l’affirme lorsqu’elle dit:  « Ton père et moi nous te cherchons ». Mais son caractère sponsal et sa paternité est pleinement relative à celle de Dieu. Voilà de quelle façon Joseph de Nazareth est appelé à devenir, à son tour, le disciple de Jésus:  en consacrant son existence au service du Fils unique du Père et de la Vierge Marie, sa Mère.

Il s’agit d’une mission qu’il poursuit à l’égard de l’Eglise, Corps mystique du Christ, à laquelle il ne cesse d’accorder son assistance providentielle, comme il l’a fait pour l’humble famille de Nazareth.

3. Dans ce contexte, il est facile d’orienter notre regard vers ce qui constitue aujourd’hui le centre de notre célébration. Je vais imposer les mains à neuf prêtres, qui sont appelés à assumer la responsabilité d’évêques dans l’Eglise. L’Evêque joue dans la communauté chrétienne un rôle qui possède de nombreuses analogies avec celui de saint Joseph. La Préface de la solennité d’aujourd’hui le souligne de manière particulière, en indiquant Joseph comme « un serviteur sage et fidèle placé à la tête de la Sainte Famille, pour protéger comme un père le Fils de Dieu ». Les pasteurs de l’Eglise sont des « Pères » et des « gardiens » appelés à se comporter comme des « serviteurs » sages et fidèles. C’est à eux qu’est confié le soin quotidien du peuple chrétien qui, grâce à leur aide, peut avancer en sécurité sur le chemin de la perfection chrétienne.

Vénérés frères ordinands, l’Eglise se rassemble autour de vous et vous assure de sa prière, afin que vous puissiez accomplir avec une générosité fidèle, à l’image de saint Joseph, votre ministère pastoral. Ceux qui vous accompagnent en ce jour de fête vous assurent en particulier de leur prière:  vos familles, les prêtres, vos amis, ainsi que les communautés dont vous provenez et auxquelles vous êtes destinés.

4. Les ordinations épiscopales, que je confère généralement le jour de l’Epiphanie, ont été cette année repoussées en raison de la conclusion du grand Jubilé. J’ai ainsi l’opportunité d’accomplir ce rite en la fête d’aujourd’hui, si chère au peuple chrétien. Cela me permet de confier avec une insistance particulière chacun de vous à la protection permanente de saint Joseph, Patron de l’Eglise universelle.

Très chers amis, c’est avec un grand plaisir que je vous salue, et avec vous tous ceux qui s’unissent à votre joie. Je vous souhaite de tout coeur de poursuivre avec une générosité renouvelée le service que vous rendez déjà à la cause de l’Evangile.

5. A toi, Monseigneur Fernando Filoni, est confiée la mission de Nonce apostolique en Irak et en Jordanie, pour soutenir les communautés chrétiennes présentes dans ces terres:  je suis certain que tu sera pour eux un messager de paix et d’espérance. Toi, Monseigneur Henryk Józef Nowacki, après avoir longtemps travaillé à mes côtés, tu seras, en tant que Représentant du Siège apostolique en Slovaquie, un héraut diligent de l’Evangile dans ce pays d’antique tradition chrétienne. Et toi, Monseigneur Timothy Paul Broglio, à qui je suis reconnaissant de la fidèle coopération offerte au Cardinal-Secrétaire d’Etat, tu te rendras aux portes du continent américain en tant que Nonce en République dominicaine et Délégué apostolique à Porto-Rico:  sois parmi ces chères populations le témoin de l’affection du Successeur de Pierre.

A toi aussi, Monseigneur Domenico Sorrentino, je suis reconnaissant du service précieux accompli à la Secrétairerie d’Etat, et à présent, en te confiant la Prélature de Pompéi et son célèbre Sanctuaire marial, je place ton ministère sous le regard bénissant de la Vierge du Saint-Rosaire, en lui demandant de guider tes pas sur les traces de saint Paulin, Evêque de Nola, ta terre natale et gloire de la Campanie. Que la Très Sainte Vierge continue également à veiller sur tes pas, Mgr Tomasz Peta, appelé à prendre en charge l’Administration apostolique d’Astana, dans le Kazakhstan, où tu oeuvres déjà depuis plusieurs années avec un zèle apostolique louable.

Toi, Monseigneur Marcelo Sánchez Sorondo, tu poursuivras ton service apprécié de Chancelier de l’Académie pontificale des Sciences et de l’Académie des Sciences sociales, des institutions auxquelles j’attribue une grande importance pour le dialogue de l’Eglise avec le monde la culture. A toi, Monseigneur Marc Ouellet, j’ai voulu confier la charge de Secrétaire du Conseil pontifical pour la Promotion de l’Unité des Chrétiens, une tâche d’une importance particulière pour la très noble finalité qui l’inspire et pour les espérances renouvelées que la célébration de l’Année jubilaire a suscitées dans l’âme de nombreux chrétiens.

Et toi, Monseigneur Giampaolo Crepaldi, tu assumeras le rôle de Secrétaire du Conseil pontifical « Justice et Paix », en poursuivant avec de plus grandes responsabilités ton service déjà méritoire dans ce dicastère. Enfin, je t’embrasse avec affection, Monseigneur Djura Dzudzar, que j’ai choisi comme Auxiliaire de l’Eparque de Mukacheve en Transcarpatie, en Ukraine, un pays que d’ici peu, si Dieu le veut, j’aurai la joie de visiter et auquel j’envoie dès à présent un salut cordial et mes meilleurs voeux.

6. Très chers amis, comme saint Joseph, modèle et guide de votre ministère, aimez et servez l’Eglise. Imitez l’exemple de ce grand saint, ainsi que celui de son Epouse, Marie. S’il vous arrive parfois de rencontrer des difficultés et des obstacles, n’hésitez pas à accepter de souffrir avec le Christ au bénéfice de son Corps mystique (cf. Col 1, 24),  afin  qu’avec  Lui  vous  puissiez jouir d’une Eglise parfaitement belle, sans tache ni ride, sainte et immaculée (cf. Ep 5, 27). Le Seigneur, qui vous comblera de sa grâce, vous consacre aujourd’hui et vous envoie comme apôtres dans le monde. Conservez ses paroles gravées dans votre coeur:  « Je suis avec vous pour toujours » (Mt 28, 20) et n’ayez pas peur. Comme Marie, comme Joseph, ayez toujours confiance en Lui. Il a vaincu le monde.

Je vous salue, Joseph

18 mars, 2009

du site:

http://www.saint-joseph.fr/Je-vous-salue-Joseph

Je vous salue, Joseph

Je vous salue, Joseph,
image de Dieu le Père ;

Je vous salue, Joseph,
père de Dieu le Fils ;

Je vous salue, Joseph,
sanctuaire du Saint Esprit ;

Je vous salue, Joseph,
bien-aimé de la Très Sainte Trinité ;

Je vous salue, Joseph,
très fidèle coadjuteur du grand conseil ;

Je vous salue, Joseph,
très digne époux de la Vierge Mère ;

Je vous salue, Joseph,
père de tous les fidèles ;

Je vous salue, Joseph,
gardien de tous ceux qui ont embrassé la sainte virginité ;

Je vous salue, Joseph,
fidèle observateur du silence sacré ;

Je vous salue, Joseph,
amant de la sainte pauvreté ;

Je vous salue, Joseph,
modèle de douceur et de patience ;

Je vous salue, Joseph,
miroir d’humilité et d’obéissance ;

Vous êtes béni entre tous les hommes ;
Et bénis soient vos yeux, qui ont vu ce que vous avez vu ;

Et bénies soient vos oreilles, qui ont entendu ce que vous avez entendu ;
Et bénies soient vos mains, qui ont touché le Verbe fait chair ;

Et bénis soient vos bras, qui ont porté Celui qui porte toutes choses ;
Et bénie soit votre poitrine, sur laquelle le Fils de Dieu a pris un doux repos ;

Et béni soit votre cœur embrasé pour Lui du plus ardent amour.

Et béni soit le Père Eternel qui vous a choisi ;

Et béni soit le Fils qui vous a aimé ;

Et béni soit le Saint Esprit qui vous a sanctifié ;

Et bénie soit Marie, votre épouse, qui vous a chéri comme un époux et comme un frère.

Et béni soit l’Ange qui vous a servi de gardien.

Et bénis soient, à jamais, tous ceux qui vous aiment et qui vous bénissent.

Amen

Saint Jean Eudes

SAINTE THÉRÈSE DE L’ENFANT-JÉSUS (1873-1897)

16 mars, 2009

du site:

http://spiritualite-chretienne.com/st-joseph/st-joseph.html#Therese

SAINTE THÉRÈSE DE L’ENFANT-JÉSUS (1873-1897)

Dans l’Histoire d’une âme, sainte Thérèse écrit : « Je priai aussi saint Joseph de veiller sur moi ; depuis mon enfance, ma dévotion pour lui se confondait avec mon amour pour la Très Sainte Vierge. Chaque jour, je récitais la prière : O saint Joseph, père et protecteur des vierges… II me semblait donc être bien protégée et tout à fait à l’abri du danger. » Le Cantique ci-dessous a été composé en 1896, à la demande de Sœur Marie de l’Incarnation.

Cantique à saint Joseph

Sur l’air du cantique : Nous voulons Dieu.

Joseph, votre admirable vie
Se passa dans l’humilité ;
Mais, de Jésus et de Marie,
Vous contempliez la beauté !

Joseph, ô tendre Père,
Protégez le Carmel !
Que vos enfants, sur cette terre,
Goûtent déjà la paix du ciel.

Le Fils de Dieu, dans son enfance,
Plus d’une fois, avec bonheur,
Soumis à votre obéissance,
S’est reposé sur votre cœur !

Comme vous, dans la solitude,
Nous servons Marie et Jésus ;
Leur plaire est notre seule étude ;
Nous ne désirons rien de plus.

Sainte Thérèse, notre Mère,
En vous se confiait toujours ;
Elle assure que sa prière,
Vous l’exauciez d’un prompt secours.

Quand l’épreuve sera finie,
Nous en avons le doux espoir
Près de la divine Marie,
Saint Joseph, nous irons vous voir.

Bénissez, tendre Père,
Notre petit Carmel ;
Après l’exil de cette terre
Réunissez-nous dans le ciel.

1896.

(Sœur Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, Histoire d’une Ame, Lettres, Poésies, Bar-le-Duc, 1898, p. 377. – Cf. Manuscrits autobiographiques de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, t. I, Introduction, n° 39, p. 14. Carmel de Lisieux, 1955.)

sur Saint Joseph: D’où lui vient cette sagesse?

7 mai, 2008

du site: 

http://www.saint-joseph.fr/

SUR SAINT JOSEPH:

D’où lui vient cette sagesse ?

« Doù lui vient cette sagesse ? » : la question porte sur lorigine de la parole que Jésus prononce, particulièrement sans doute les paraboles du bon grain et de livraie, du grain de sénevé et du levain dans la pâte, quil vient de proposer à son auditoire.

La question même prouve que ceux qui parlent ainsi nont pas compris le sens de ces paraboles, qui mettent laccent sur lefficacité de la semence, quelle que soit sa taille de départ, ou de la levure, dont le rendement est assuré. Dès que la Parole – qui est Jésus – prend contact avec la terre du monde, elle ne peut pas ne pas en faire germer et grandir le nouveau peuple de Dieu. Livraie – les forces du mal – ont beau faire, elles nempêcheront pas l’œuvre de Dieu de saccomplir en son temps : Is 55, 10 De même que la pluie et la neige descendent des cieux et ny retournent pas sans avoir arrosé la terre, sans lavoir fécondée et lavoir fait germer pour fournir la semence au semeur et le pain à manger, 11 ainsi en est-il de la parole qui sort de ma bouche, elle ne revient pas vers moi sans effet, sans avoir accompli ce que jai voulu et réalisé lobjet de sa missionLa sagesse dont t

émoigne Jésus lui vient den-haut, dauprès du Père ; bien plus, il est cette Sagesse incréée, cachée depuis toujours en Dieu, et qui nous est révélée à la plénitude des temps où nous sommes.

Il est le grain de blé tombé en terre, qui donne du fruit en abondance.Car pour se r

évéler à nous, il fallait que le Verbe-Sagesse prenne chair de notre chair, quil sincarne, plante sa tente parmi nous, afin de sadresser à nous dans un langage que nous puissions comprendre.

Jésus est la Sagesse divine qui ensemence notre terre ; le germe qui rend féconde la création devenue stérile par le péché.

Et ce germe divin est tombé dans la bonne terre du sein de la Vierge Marie. Cest là qua pu pousser lArbre de vie afin quil donne son fruit en temps voulu.

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