Archive pour la catégorie 'Saint Augustin'

je vous raconte ces deux jours a l’ Église de Sant’Agostino pour la fête du Saint et de la Mère,

29 août, 2007

je vous raconte ces deux jours a l’ Église de Sant’Agostino pour la fête du Saint et de la Mère, j’ai écrit premier en italien et il est venu spontané m’écrire les sentiments, les prières, les émotions, je pense que ne peux pas écrire deux fois les émotions, alors ce qui ai écrit en italienne je le traduis pour vous comme je vous avais promis;

traduction de mon écrit en italien:

il est arrivé l’instant de recompter quelque chose de ces deux jours de fête : mémoire de Sainte Monique et de Saint Augustin, je crois que des saints e de l’église même de Sant’Agostino j’en ai parlé assez, au moins du Blog « In cammino verso Gesù Cristo » et dans celui français;  je voudrais par contre vous parler de ma réaction, de mes sentiments, de ce qui se passe dans le cœur d’une personne lorsque une expérience de foi ainsi fort, fort certes, mais dans le sens plus intérieur ; 

le témoignage qui se reçoit de ces deux saints est la première chose, même si lointains dans le temps sont, toutefois, très voisin ; une deuxième qu’est-ce que est la célébration même, après avoir lu l’histoire, la pensée, la vie d’Augustin, maintenant le célébrer comme saint est quelque chose qui donne un sens de stupeur, comme si mêmes en célébrant la sainteté d’une personne que tu as personnellement connu ; en Agostino il te agite évidemment sa pensée et te touche son histoire, cette histoire qui il n’a pas caché, mais a offert comme enseignement aux autres, la grande humilité de se rappeler ses erreurs, tempêtes du cœur, et de tout ce qui est passé dans d’lui et de se rappeler de la mère : Monique, elle qu’elle a prié toute la vie pour le fils et l’a comme engendré de nouveau chaque il tourne qu’il prenait une route fausse ; elles sont celles-ci les choses qui m’ont marqué de plus dans ces jours ; 

de Monique elle me reste dans celle-ci persévérante prière pour le fils, celle-ci, presque certitude, d’être exaucé de la miséricorde du Seigneur, de Monique elle me reste qu’il a prié et a obtenu quelque chose de Dieu – pour le fils – qu’à ces temps, divergés de les nôtre, était très difficile obtenir ; l’empire romain même si au debout de sa décadence possédait encore tout son charme, un charme qui aurait pu porter Augustin – de la famille des « Aurelii » – dans une direction très différente ; 

dans ces jours ainsi pleins d’événements, ainsi il semble à  moi, ce qui me frappe : j’incendie pas seulement dans le sud Italie, mais dans Grèce, ces garçons et pas seulement garçons qui meurent à volant au samedi soir, ces guerres interminables, la haine contre l’Église que tous nous connaissons, mais que, qui comme seule il m’écrit sur un Blog dédié à la Papa et catholique, il connaît encore de plus, ils arrivent spécialement de l’Italie (ne dis pas que les français sont meilleurs, mais peut-être est divergé, leur critique vient déjà de « de hors de l’Église », tout au moins me semble) arrivent des critique mauvaises, féroces et au même temps de personnes que souvent on sent « dans l’Église », chacun peut mettre son de regard sur le monde avec le sien impressionnes, certes pas toutes négatives, pas condamnation tout, il y a toujours aussi bien de bon, mais comme pour Augustin, le risque d’aller dehors route il y a, et pas seulement pour qui elle est déjà hors de l’Église, mais pour qui il est dans ou on en sent dans, pour qui il se sent de donner des jugements et il ne connaît généralement pas, ne sait pas, né Christ né l’Église, et même pour tous qui font du mal à la terre, le Pape aujourd’hui, je dois encore légères les catéchèse, mais je l’ai sentie en télévision; 

Anne Frank, vous vous rappelez, écrivait, peu avant être définitivement déporté, plus ou moins, parce que je n’ai pas le livre sous main maintenant : je crois toujours ancre dans l’intime bonté de l’homme ; je crois que vraiment pour ceci nous pouvons prier, même lorsque trop de choses semble qu’ils aillent mal ; prier comme Monique pour son fils Augustin : en manière incessant, avec confiance d’écouter pour obtenir le repentir du fils ; 

nous pouvons prier comme mères de beaucoup que nous ne connaissons pas, pour des évènements négatifs que nous ne savons pas entièrement qui les a provoqués, pour la méchanceté que je sens, beaucoup, et sur internet pour les catholiques il vient comme «  taillée à l’excès », voilà je prie pour ceux-ci que ne connais pas, pour qui fait du mal, perce que Dieu pardonne les péchés de l’homme ou il le rende à soi: le Seigneur et le Père, et pour cette terre qui nous avait été donnée à garder, parce que la protège, parce que protège sa création des mains de l’homme ; 

je crois avoir écrit beaucoup même si je ne sais pas si j’ai réussi à vous dire ce que je vis dans ces jours ; j’ai écrit de jette, parce qu’il est mieux pour recompter les sentiments, ainsi comme ai été capable ; 

SAINT AUGUSTIN – LES CONFESSIONS – CHANGEMENT PRODUIT DANS L’AME D’AUGUSTIN

25 août, 2007

 du site:

http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/augustin/confessions/livre10.htm#_Toc509574565

SAINT AUGUSTIN  – LES CONFESSIONS 

LIVRE DIXIÈME.

CHANGEMENT PRODUIT DANS L’AME D’AUGUSTIN

CHAPITRE PREMIER.

ÉLÉVATION.1. Que je vous connaisse, intime connaisseur de l’homme! que je vous connaisse comme vous me connaissez ( I Cor. XIII, 12)! Force de mon âme, pénétrez-la, transformez-la, pour qu’elle soit vôtre et par vous possédée sans tache et sans ride (Ephés. V, 27)! C’est là tout mon espoir, toute ma parole! Ma joie est dans cet espoir lorsqu’elle n’est pas insensée. Quant au reste des choses de cette vie, moins elles valent de larmes, plus on leur en donne; plus elles sont déplorables, moins on les pleure ! Mais, vous l’avez dit, vous aimez la vérité, Seigneur (Ps, L, 8); et celui qui l’accomplit vient à la lumière (Jean, III, 21): qu’elle soit donc dans mon coeur qui se confesse à vous, qu’elle soit dans cet écrit qui me confesse à tous!CHAPITRE II.

CONFESSION DU COEUR.

2. Et quand même je vous fermerais mon coeur, que pourrais-je vous dérober? Vos yeux, Seigneur, ne voient-ils pas à nu l’abîme de la conscience humaine? C’est vous que je cacherais â moi-même, sans me cacher à vous. Et maintenant que mes gémissements témoignent que je me suis en dégoût, voilà qu’aimable et glorieux vous attirez mon coeur et mes désirs, afin que je rougisse de moi, que je me rejette et vous élise; afin que je ne trouve grâce devant moi-même, comme devant vous, que grâce à vous. Quel que j e sois, vous me connaissez donc toujours, Seigneur; et j’ai dit cependant quel fruit je recueillais de ma confession. Je vous la fais, non de la bouche et de la voix, mais en paroles de l’âme, en cris de la pensée qu’entend votre oreille. En effet, suis-je mauvais, c’est me confesser à vous que de me déplaire à moi-même; suis-je pieux, c’est me confesser à vous que de ne pas m’attribuer les bons élans de mon âme. Car c’est vous, mon Dieu! qui bénissez le juste ( Ps. V, 13), mais vous l’avez d’abord justifié comme pé

cheur ( Rom. IV, 5).

Ma confession en votre présence, Seigneur, est donc explicite et tacite: silence des lèvres, cris d’amour! Que dis-je de bon aux hommes que vous n’ayez d’abord entendu au fond de moi-même, et que pouvez-vous entendre de tel en moi-même que vous ne m’ayez dit d’abord?

SERMON DE SAINT AUGUSTIN SUR LE PSAUME 32 (Editeur : P. Roguet)

10 juillet, 2007

celle-ci est la seconde lecture de l’Office des lectures de ce matin, comme toujours Agustin m’enseigné et m’ému, du site:

http://www.prieravecleglise.fr/

SERMON DE SAINT AUGUSTIN SUR LE PSAUME 32 (Editeur : P. Roguet)
«Un seul baptême; un seul Dieu et Père…»

Mes frères, nous vous exhortons très vivement à la charité: non seulement envers vous-mêmes, mais aussi envers ceux qui sont au dehors; qu’ils soient encore païens, ne croyant pas encore au Christ, ou bien qu’ils soient séparés de nous, reconnaissant le même chef tout en étant retranchés du corps. Bon gré mal gré, ils sont nos frères. Ils cesseraient d’être nos frères s’ils cessaient de dire : Notre Père.

Le prophète a dit, de certains d’entre eux: A ceux qui vous disent: «Vous n’êtes pas nos frères», répondez: « Vous êtes nos frères». Cherchez de qui il pouvait dire cela? Serait-ce des païens? Non, car nous ne disons pas qu’ils sont nos frères, selon les Écritures et selon le langage de l’Église. Parlait-il des Juifs, qui n’ont pas cru au Christ? Lisez saint Paul, et vous verrez que le mot «frères», quand l’Apôtre l’emploie tout court, ne peut s’entendre que des chrétiens. ~ Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère? Et toi, pourquoi méprises-tu ton frère? Et dans un autre passage: Vous commettez l’injustice et la fraude, et cela contre des frères!

Les donatistes qui disent: « Vous n’êtes pas nos frères» nous traitent donc de païens. C’est pourquoi ils veulent nous rebaptiser, car ils affirment que nous n’avons pas ce qu’ils nous donnent. De là découle leur erreur, de nier que nous soyons leurs frères. Mais pourquoi le Prophète nous a-t-il dit: Vous leur répondrez: « Vous êtes nos frères», sinon parce que nous reconnaissons en eux le baptême que nous ne réitérons pas. Eux donc, en ne reconnaissant pas notre baptême, nient que nous soyons leurs frères; nous, en ne le réitérant pas sur eux, mais en reconnaissant le nôtre, nous leur disons: « Vous êtes nos frères.  »

Ils diront: «Que nous demandez-vous? Que nous voulez vous?» Répondons: Vous êtes nos frères. Ils diront « Laissez-nous tranquilles, nous n’avons rien à faire avec vous.» Mais nous, nous avons parfaitement à faire avec vous: nous confessons un seul Christ, nous devons être dans un seul corps, sous un seul chef. ~

Nous vous adjurons donc, mes frères; par cette tendresse de charité nourrissante comme le lait, fortifiante comme le pain, par le Christ notre Seigneur, par sa douceur, nous vous adjurons! Il est temps, en effet, que nous leur prodiguions une grande charité, une abondante miséricorde, en implorant Dieu pour eux: qu’il leur donne un jour du sang-froid, pour qu’ils se reprennent et qu’ils voient que leurs attaques contre la vérité sont sans aucun fondement; il ne leur reste que la maladie de leur animosité, qui est d’autant plus malsaine qu’elle s’imagine avoir plus de forces. Nous vous adjurons, dis-je, pour ces malades, soi-disant sages, mais d’une sagesse naturelle et charnelle; ils sont pourtant nos frères. Ils célèbrent les mêmes sacrements, et bien qu’ils ne les célèbrent pas avec vous, ce sont bien les mêmes; ils répondent un même: Amen, et si ce n’est pas avec nous, c’est bien le même. Priez Dieu pour eux, du plus profond de votre charité.

R/Il y a un seul pain,
et nous sommes tous un seul corps,
car nous avons tous part à un seul pain.

L’amour dont nous aimons,
n’est-il pas communion à l’amour du Christ ?

Garde-nous, Seigneur,
dans l’unité de l’Esprit, par le lien de la paix.

Oraison : Fais-nous vivre à tout moment, Seigneur, dans l’amour et le respect de ton saint nom, toi qui ne cesses jamais de guider ceux que tu enracines solidement dans ton amour.

Que le Seigneur nous bénisse,
qu’il nous garde de tout mal,
et nous conduise à la vie éternelle. Amen.

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