Archive pour la catégorie 'Pape Benoit'

L’ « Angelus » de le Pape. L’appel contre la faim

12 novembre, 2006

du site italien Korazym: 

 L’ « Angelus » de le Pape. L’appel contre la faim d’Alexandre Renzo – de Mattia Blancs/12/11/2006

Appel de la papa contre la faim dans le monde, à travers l’appel à la responsabilité pour convertir le modèle de je développe global, mais même adopter des styles de vie et de je consomme des sobre, compatibles avec des critères de justice.

 Les mots du Saint Père à l’Angelus Domini dans
la XXXII Dimanche du Temps Ordinaire, 12 novembre 2006 Jamais donner  »pour escompté le pain quotidien  », mais  »reconnaître dans lui un don de la « Providence  ». Une partie de cette thèse la réflexion de la papa à l’Angelus, sur craint des ressources de la terre,  »un don destiné de Dieu pour l’entière famille humaine  ». Pourtant, 800 millions de personnes souffrent pour la faim, une situation qui  »ne fait pas signe à se résoudre  ». Qu’est-ce que faire, donc ? Pour Bénit XVI il est important  »éliminer les causes structurelles liées au système de gouvernement de l’économie mondiale  », mais même agir sur les comportements individuels, en adoptant  »des styles de vie et de je consomme  »différents.  »La Madonna – il prie la papa – nous aides à promouvoir dans chaque partie du globe la justice et la solidarité  ». Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus des Dominations : Chers frères et soeurs ! Aujourd’hui on célèbre en Italie l’annuelle Journée du Remerciement, qui a pour craint : « La terre : un don pour l’entière famille humaine « . Dans nos familles chrétiennes enseigne aux petits à se remercier toujours les Seigneur avant de prendre la nourriture, avec une brève prière et je marque de la croix. Cette coutume doit être conservée ou redécouverte, parce qu’il éduque à ne pas considérer comme acquis le « pain quotidien », mais à reconnaître dans lui un don de
la Providence. Nous devrions nous habituer à bénir le Créateur pour chaque chose : pour l’air et pour l’eau, précieux éléments qui sont à fondation de la vie sur notre planète ; comme pures pour les aliments que je traverse la fécondité de la terre Dieu nous offre pour notre subsistance. À ses disciples Jésus il a enseigné à prier en demandant au Père céleste pas « mien », mais à « notre » pain quotidien. Il a voulu ainsi que chaque homme on sente coresponsable de ses frères, parce qu’à personne il manque le nécessaire pour vivre. Les produits de la terre sont un don destiné de Dieu « pour l’entière famille humaine ». Et ici nous touchons un point beaucoup qui a mal : le drame de la faim qui, malgré même de récent soit affronté dans les plus hauts sièges institutionnels, comme les Nations Unies et en particulier FAO, reste toujours très grave. J’achève Rapport annuel de FAO a confirmé combien l’Église sait très bien de l’expérience directe des communautés et des missionnaires : que c’est-à-dire au-delà de 800 millions de personnes ils vivent dans état de sous-alimentation et trop de personnes, spécialement enfant, ils meurent de faim. Comment faire front à cette situation qui, aussi dénoncée répétée ment, ne fait pas signe à se résoudre, au contraire, pour certains vers on va en aggravant ? Certainement il faut éliminer les causes structurelles liées au système de gouvernement de l’économie mondiale, qui destine la plupart des ressources de la planète à une minorité de la population. Telle injustice a été stigmatisée en divergées occasions de vénérés mes Prédécesseur les Esclaves de Dieu : Paolo VI et Giovanni Paolo II. Pour peser sur large échelle il est nécessaire « de convertir » le modèle de développe global ; ils le demandent maintenant pas seulement le scandale de la faim, mais même les émergences ambiantes et énergétiques. Toutefois, chaque personne et chaque famille peut et doit faire quelque chose pour soulager la faim dans le monde en adoptant un style de vie et de je consomme compatible avec la sauvegarde de créé et avec des critères de justice vers qui il cultive la terre dans chaque Pays. Chers des frères et des soeurs, aujourd’hui,
la Journée du Remerciement nous invite, d’une partie, à rendre des merci à Dieu pour les fruits du travail agricole ; de l’autre, il encourage à nous engager concrètement pour vaincre flagelle de la faim. Nous aides les Vierge Marie à être reconnaissant pour les bénéfices de
la Providence et à promouvoir dans chaque partie du globe la justice et la solidarité.

d’Alexandre Renzo – de Mattia Blancs/12/11/2006

Appel de la papa contre la faim dans le monde, à travers l’appel à la responsabilité pour convertir le modèle de je développe global, mais même adopter des styles de vie et de je consomme des sobre, compatibles avec des critères de justice.

 Les mots du Saint Père à l’Angelus Domini dans
la XXXII Dimanche du Temps Ordinaire, 12 novembre 2006 Jamais donner  »pour escompté le pain quotidien  », mais  »reconnaître dans lui un don de la « Providence  ». Une partie de cette thèse la réflexion de la papa à l’Angelus, sur craint des ressources de la terre,  »un don destiné de Dieu pour l’entière famille humaine  ». Pourtant, 800 millions de personnes souffrent pour la faim, une situation qui  »ne fait pas signe à se résoudre  ». Qu’est-ce que faire, donc ? Pour Bénit XVI il est important  »éliminer les causes structurelles liées au système de gouvernement de l’économie mondiale  », mais même agir sur les comportements individuels, en adoptant  »des styles de vie et de je consomme  »différents.  »La Madonna – il prie la papa – nous aides à promouvoir dans chaque partie du globe la justice et la solidarité  ». Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus des Dominations : Chers frères et soeurs ! Aujourd’hui on célèbre en Italie l’annuelle Journée du Remerciement, qui a pour craint : « La terre : un don pour l’entière famille humaine « . Dans nos familles chrétiennes enseigne aux petits à se remercier toujours les Seigneur avant de prendre la nourriture, avec une brève prière et je marque de la croix. Cette coutume doit être conservée ou redécouverte, parce qu’il éduque à ne pas considérer comme acquis le « pain quotidien », mais à reconnaître dans lui un don de
la Providence. Nous devrions nous habituer à bénir le Créateur pour chaque chose : pour l’air et pour l’eau, précieux éléments qui sont à fondation de la vie sur notre planète ; comme pures pour les aliments que je traverse la fécondité de la terre Dieu nous offre pour notre subsistance. À ses disciples Jésus il a enseigné à prier en demandant au Père céleste pas « mien », mais à « notre » pain quotidien. Il a voulu ainsi que chaque homme on sente coresponsable de ses frères, parce qu’à personne il manque le nécessaire pour vivre. Les produits de la terre sont un don destiné de Dieu « pour l’entière famille humaine ». Et ici nous touchons un point beaucoup qui a mal : le drame de la faim qui, malgré même de récent soit affronté dans les plus hauts sièges institutionnels, comme les Nations Unies et en particulier FAO, reste toujours très grave. J’achève Rapport annuel de FAO a confirmé combien l’Église sait très bien de l’expérience directe des communautés et des missionnaires : que c’est-à-dire au-delà de 800 millions de personnes ils vivent dans état de sous-alimentation et trop de personnes, spécialement enfant, ils meurent de faim. Comment faire front à cette situation qui, aussi dénoncée répétée ment, ne fait pas signe à se résoudre, au contraire, pour certains vers on va en aggravant ? Certainement il faut éliminer les causes structurelles liées au système de gouvernement de l’économie mondiale, qui destine la plupart des ressources de la planète à une minorité de la population. Telle injustice a été stigmatisée en divergées occasions de vénérés mes Prédécesseur les Esclaves de Dieu : Paolo VI et Giovanni Paolo II. Pour peser sur large échelle il est nécessaire « de convertir » le modèle de développe global ; ils le demandent maintenant pas seulement le scandale de la faim, mais même les émergences ambiantes et énergétiques. Toutefois, chaque personne et chaque famille peut et doit faire quelque chose pour soulager la faim dans le monde en adoptant un style de vie et de je consomme compatible avec la sauvegarde de créé et avec des critères de justice vers qui il cultive la terre dans chaque Pays. Chers des frères et des soeurs, aujourd’hui,
la Journée du Remerciement nous invite, d’une partie, à rendre des merci à Dieu pour les fruits du travail agricole ; de l’autre, il encourage à nous engager concrètement pour vaincre flagelle de la faim. Nous aides les Vierge Marie à être reconnaissant pour les bénéfices de
la Providence et à promouvoir dans chaque partie du globe la justice et la solidarité.

Discours de le Pape aux Évêques suisses

10 novembre, 2006

j’ai fait la traduction – comme d’habitude – avec un traducteur on line + un dictionnaire, mais elle a été particulièrement difficile;  le texte, cependant, et vraiment important, du Zenit.org; 

Donnée publication : 2006-11-10

Discours de
le Pape aux Évêques suisses

CITTA’ DEL VATICANO – vendredi, 10 novembre 2006 (ZENIT.org). – 

Nous publions le discours qui Bénit XVI a prononcé ce vendredi en rencontrant les Évêques suisses.

 * * *

Éminences, Excellences, chers Confraternel ! Je voudrais avant tout vous saluer de coeur et exprimer ma joie, parce qu’il nous est donné de compléter maintenant la visite pastorale, interrompue en 2005, en ayant ainsi la possibilité de travailler encore une fois ensemble sur tout le panorama de questions qui nous préoccupent. J’ai encore un vivant souvenir de
la Visite à limina de 2005, lorsque dans
la Congrégation pour
la Doctrine de
la Foi nous avons parlé ensemble de problèmes qui seront nouvellement en discussion même dans ces jours. Elle est encore bien présente l’atmosphère d’engagement intérieur alors, pour faire en sorte que le Mot des Seigneur soit vit et rejoigne les coeurs des hommes de ce temps, parce que l’Église soit pleine de vie. Dans notre commune situation difficile à cause d’une culture sécularisée , nous cherchons à comprendre la mission confiée nous des Seigneur et à lui accomplir le mieux possible. Je n’ai pas pu préparer un vrai discours ; je voudrais maintenant, en vue des individuels grands complexes de problèmes que nous toucherons, faire seulement quelque « première tentative », qu’il n’entend pas présenter des affirmations définitives, mais veut seulement entamer l’entretien. Elle est celle-ci une rencontre entre les Évêques suisses et les divers Ministères de
la Curia, dans lesquels ils se rendent visibles et sont représentées les individuels secteurs de les nôtre épelle pastorale. À quelques de je eux voudrais chercher à offrir quelque commente. En accord avec mon passé, je commence avec
la Congrégation pour
la Doctrine de
la Foi, ou mieux : avec il craint de la foi. Déjà dans l’homélie j’ai cherché de dire que, dans tout le tourment de notre temps, la foi doit vraiment avoir la priorité. Il y à deux générations, elle pouvait peut-être être encore présupposée comme une chose naturelle : on croissait dans la foi ; elle, dans quelque mode, était simplement présente comme une partie de la vie et il ne devait pas être cherché particulièrement. Il avait besoin d’être modelé et approfondie, il apparaissait cependant comme une chose évident. Aujourd’hui il apparaît naturel le contraire, qui il n’y en fond a pas possible croire, que de fait Dieu il est absent. En tout cas, la foi de l’Église semble une chose lointaine du passé. Ainsi même des chrétiens actifs ont l’idée qu’il convienne choisir pour elle, de l’ensemble de la foi de l’Église, les choses qu’on retient encore soutenables aujourd’hui. Et surtout on nous donne à faire pour accomplir au moyen de l’engagement pour les hommes, pour ainsi dire, en même temps même son devoir vers Dieu. Ceci, cependant, est entame d’une espèce de « justification au moyen des oeuvres » : l’homme justifie si le même et monde dans lequel il déroule ce qui semble clairement nécessaire, mais manque la lumière intérieure et l’âme de tout. Donc je crois que soit important prendre nouvellement conscience du fait qui la foi est je centre de tout – « Fides tien toi salvum fecit » dit les Seigneur répétéement aux quelles il a guéri. Il n’est pas touche physique, n’est pas le geste extérieur qui décide, mais le fait que ces malades ont cru. Et même nous pouvons servir les Seigneur en mode vive seulement si la foi devient forte et il se rend présent dans son abondance. Je voudrais souligner dans ce conteste deux points cruciaux. Premier : la foi est surtout foi en Dieu. Dans le christianisme il ne s’agit pas d’un vraiment grand fardeau de choses divergées, mais tout ce qui dit Credo et que je développe de la foi a déroulé existe seulement pour rendre plus clair à notre vue la face de Dieu. Il existe et Il vit ; dans Nous lui croyons ; devant Lui, en vue d’Lui, dans être- avec Lui et d’Nous lui vivons. Et en Jésus Christ, Il est, pour ainsi dire, corporellement avec nous. Cette centralité de Dieu doit, en second lieu me, apparaître en mode complètement nouvelle dans tout les nôtre penser et actionner. Il est ce qu’ensuite âme même les activités qui, en cas contraire, peuvent facilement déchoir en activisme et devenir vide. Celle-ci est la première chose que je voudrais souligner : que la foi en réalité regarde décidément vers Dieu, et ainsi nous pousse aussi à regarder vers Dieu et à nous mettre en mouvement vers d’Lui. L’autre chose est que nous ne pouvons pas nous inventer mêmes la foi en la composant de pièces « soutenables », mais que nous croyons ensemble avec l’Église. Tout ce qui enseigne l’Église nous ne pouvons pas comprendre, tout ne doit pas être présent dans toute vie. Il est cependant important que nous sommes avec- croyants dans grand Moi de l’Église, dans le sien qui vit, en nous trouvant ainsi dans la grande communauté de la foi, dans ce grand sujet, dans lequel Tu de Dieu et Je de l’homme vraiment ils se touchent ; dans lequel le passé du mots de l’ Écriture devient présent, les temps compenetrano  (con = avec + pénétrer) à événement, le passé est présent et, en s’ouvrant vers le futur, il laisse entrer en temps le fulgore de l’éternité, de l’Eternel. Cette forme complète de la foi, exprimée dans Credo, d’une foi dans et avec l’Église comme sujet vivant, dans lequel il actionne les Seigneur – cette forme de foi nous devrions chercher à mettre vraiment à centre de nos activités. Nous le voyons même aujourd’hui en mode très clair : je développe, là où il a été promu en mode exclusive sans nourrir l’âme, il apporte des dommages. Alors les capacités technicien croissent, oui, mais d’elles elles émergent surtout des nouvelles possibilités de destruction. Si ensemble avec l’aide en faveur des Pays dans de je développe, ensemble avec l’apprentissage de tout ce qui l’homme est capable de faire, de tout ce qui son intelligence a inventé et que sa volonté rend possible, il ne vient pas en même temps même éclairée son âme et n’arrive pas la force de Dieu, apprend surtout à se détruire. Et pour ceci, je crois, doit nouvellement se faire forte dans nous la responsabilité missionnaire: si nous sommes des joyeuse de notre foi, on sent obligé à en parler aux autres. Il est ensuite dans les mains de Dieu dans quelle mesure les hommes pourront l’accueillir. De ce j’argue voudrais maintenant passer à l’ »Éducation Catholique », en touchant deux secteurs. Une chose que, je pense, cause à tous nous une « préoccupation » dans le sens positif du terme, est le fait qui la formation théologique des futurs prêtres et des autres enseignants et des annonces de la foi doive être bon ; nous avons donc du besoin de bonnes Facultés théologiques, de bons séminaires majeurs et d’adéquats professeurs de théologie qui communiquent pas seulement des connaissances, mais forment à une foi intelligente, ainsi que foi devient intelligence et intelligence devient foi. À cet égard j’ai un désir très spécifique. Nos exégèse il a fait des grands progrès ; nous savons vraiment beaucoup sur développe des témoins, sur la subdivision des sources etc, savons quel signifié peut avoir eu le mot dans cette époque… Mais nous voyons même toujours de plus que les exégèse deviens historique- critique, s’il reste seulement historique- critique, il renvoie le mot dans le passé, la rend un mot des temps alors, un mot que, en fond, il ne nous parle pas tout à fait ; et nous voyons que le mot se réduit en fragments parce que, justement, elle se dénoue dans tant de sources différentes. Concilio, du Verbum, il nous a dit que la méthode historique- critique est une dimension essentielle des exégèse, parce qu’il fait une partie de la nature de la foi de l’instant qu’elle est « factum historicum » Nous ne croyons pas simplement à une idée ; le christianisme n’est pas une philosophie, mais un événement qui Dieu a posé dans ce monde, est une histoire qui Il en mode réelle a formé et forme comme histoire ensemble avec nous. Pour ceci, dans notre lecture de
la Bible j’attends historique doit vraiment être présent en son sérieux et exigence : nous devons effectivement reconnaître l’évènement et, justement, ceci « faire histoire » de la part de Dieu dans le sien actionner. Mais du Verbum il ajoute que l’Écriture, qui conséquente ment doit être lue en second lieu les méthodes historiques, doit être lue même comme unité et doit être lue dans la communauté vivante de l’Église. Ces deux dimensions manquent en grands secteurs des exégèse. L’unité d’une Écriture n’est pas un fait purement historique- critique, bien que l’ensemble, même du point de vue historique, soit un procès intérieur du Mot qui, lue et comprise toujours en mode nouvelle dans le cours suivant de relectures, continue à mûrir. Mais cette unité est dans définitive, justement, un fait théologique : celle-ci écrite est une unique Écriture, compréhensibles jusqu’au bout seulement si lus dans l’analogie des fidei comme unité dans laquelle il y a un progrès vers Christ et, inversement, Christ attrait à lui toute l’histoire ; et si, d’autre part, ceci a sa vitalité dans la foi de l’Église. Avec autres mots, il m’est beaucoup à coeur que les théologien apprennent à des légères et à des amères l’Écriture ainsi comme, en second lieu du Verbum, Concilio l’a voulu : qu’ils voient l’unité intérieure de l’Écriture – une chose aidée aujourd’hui des « exégèse canonique » (que sans autre on trouve encore dans un timide stade initial) – et qu’ensuite d’ils elle fassent une lecture spirituelle, qui n’est pas une chose extérieure de caractère édifiant, mais par contre se plonger intérieurement dans la présence du Mot. Il me semble épelle très important faire quelque chose en ce sens, contribuer pour qu’à côté, avec et dans les exégèse historique- critique elle soit donnée vraiment une introduction à l’Écriture vit comme actuel Mot de Dieu. Je ne sais pas comme le réaliser concrètement, mais je crois que, soit dans le domaine académique, soit dans le séminaire, soit dans un cours d’une introduction, on puisse trouver des déesses professeurs adaptés, pour qu’elle se produise cette rencontre actuelle avec l’Écriture dans foi de l’ Église – une rencontre sur la base de quel devient ensuite possible l’annonce. L’autre chose est les catéchèse qui, justement, dans les derniers cinquante ans environ, d’un coté, ont fait des grands progrès méthodologiques, de l’autre, cependant, s’est perdue beaucoup dans l’anthropologie et dans la recherche de points de référence, de sorte que on ne rejoigne souvent même pas plus les contenus de la foi. Je peux le comprendre : même au temps dans lequel j’étais vicaire – donc 56 il y à des ans – résultais déjà très difficile annoncer dans l’école pluraliste, avec beaucoup de parents et enfants pas croyants, la foi, parce qu’elle apparaissait un monde totalement étranger et irréel. Aujourd’hui, naturellement, la situation est encore aggravée. Toutefois il est important que dans les catéchèse, qui comprennent les milieux de l’école, de la paroisse, de la communauté etc, la foi continue à être pleinement valorisée, que c’est-à-dire les enfants apprennent vraiment qu’est-ce que soit « création », qu’est-ce que soit « histoire du salut » réalisé de Dieu, qu’est-ce que, qui soit Jésus Christ, ce qu’ils soient les Sacramenti, le quel soit objet de notre espoir… Je pense que nous tous devons, comme toujours, nous engager beaucoup pour un renouvellement des catéchèse, dans laquelle soit fondamental le courage de témoigner sa foi et de trouver les modalités pour qu’elle soit comprise et accueilli. Puisque l’ignorance religieuse a rejoint aujourd’hui un niveau épouvantable. Et toutefois, en Allemagne les enfants ont au moins dix ans de catéchèse, devraient donc en fond savoir beaucoup de choses. Pour ceci nous devons certainement réfléchir de manière sérieuse sur nos possibilités de trouver des voies pour communiquer, même si en mode simple, les connaissances, pour que la culture de la foi soit présente. Et maintenant quelque observation sur le « Culte divin ». L’Année Eucharistique, à cet égard, il nous a offerts beaucoup. Je peux dire que les Exhortation post-sinodale est à bon point. Il sera sûrement un grand enrichissement. En outre nous avons eu le document de
la Congrégation pour le Culte divin environ la juste célébration de l’Eucharistie, chose très importante. Je crois que suite à tout cela man main devient clair que
la Liturgie n’est pas une « auto- manifestation » de la communauté laquelle, comme il se dit, dans elle entre en scène, mais il est par contre sortir de la communauté des simple « être si- mêmes » et accéder au grand je banquette des pauvres, l’entrée dans la grande communauté vivante, dans laquelle Dieu mêmes nous il nourrit. Ce caractère universel de
la Liturgie doit entrer nouvellement dans la conscience de tous. Dans l’Eucharistie nous recevons une chose que nous ne pouvons pas faire, mais entrons par contre dans quelque chose de plus grand qui deviennent les nôtre, vraiment lorsque nous délivrons à cette chose plus grande en cherchant de célébrer
la Liturgie vraiment comme Liturgie de l’Église. Il est ensuite joint avec cela même le célèbre problème de l’homélie. Du point de vue purement fonctionnelle je peux le comprendre beaucoup bien : peut-être le curé est fatigue ou a prêché déjà répétée ment ou est âgé et ses charges dépassent ses forces. Si alors il y a un assistant pour le pastorale qu’il est très capable dans interpréter le Mot de Dieu en mode convaincante, viens spontané dire : parce qu’il ne devrait pas parler l’assistant pour le pastorale ; il réussit meilleure, et ainsi les gens en tirent majeur profit. Mais celle-ci, justement, est la vision purement fonctionnelle. Il faut par contre tenir compte du fait qui l’homélie n’est pas une interruption de
la Liturgie pour une partie discursif, mais qu’elle appartient à l’évènement sacramentale, en portant le Mot de Dieu dans le présent de cette communauté. Il est l’instant, où vraiment cette communauté comme sujet veut être appel en cause pour être portée à écoute et à l’acceptation du Mot. Cela signifie que l’homélie même fait une partie du mystère, de la célébration du mystère, et donc ne peut pas simplement être délié à lui. Surtout, cependant, je retiens même important que le prêtre ne soit pas réduit au Sacramento et à la juridiction – dans la conviction que tous les autres tâches pourraient être des thèses même d’autres – mais qu’on conserve l’intégrité de son fonction. Le sacerdoce est une chose même belle seulement s’il y a d’accomplir d’une mission qui est un tout un, dont ne peut pas se couper ici et là quelque chose. Et à cette mission il appartient déjà toujours – même dans le culte ancien- testamentaire – du devoir du prêtre de relier avec le sacrifice le Mot qui est une partie intégrant de l’ensemble. Dal je vise de vue purement pratique devons ensuite certainement pourvoir à fournir aux prêtres des de les aides nécessaires parce qu’ils puissent dérouler en mode juste même le ministère de
la Mot. En principe, cette unité intérieure soit de l’essence de
la Célébration eucharistique, soit de l’essence du ministère sacerdotal, est très importante. Selon il craint, que je voudrais toucher dans ce conteste, concerne le sacrement de
la Pénitence les pratique dans ceux-ci environ cinquante derniers ans de laquelle elle est progressivement diminuée. Des merci à Dieu existent cloître, abbayes et sanctuaires, vers lesquels les gens vont en pèlerinage et où leur coeur s’ouvre et il est même prêt à l’aveu. Ce Sacramento nous le devons vraiment apprendre de nouveau. Déjà d’un point de vue purement anthropologique il est important, d’une partie, reconnaître la coulpe et, de l’autre, exercer je pardonne. Le diffus manque d’une conscience de la coulpe est un phénomène préoccupant de notre temps. Le don du sacrement de
la Pénitence consiste donc pas seulement dans le fait que nous recevons pardonne, mais même dans le fait qu’on rend compte, avant tout, de notre besoin de je pardonne ; déjà avec cela nous sommes purifiés, nous transformons intérieurement et pouvons ensuite comprendre même mieux les autres et les pardonner. La reconnaissance de la coulpe est une chose élémentaire pour l’homme – il est malade si ne l’avertit pas plus – et aussi important elle est pour l’expérience libératrice de recevoir lui pardonne. Pour les deux les choses le sacrement de
la Réconciliation est le lieu décisif d’exercice. En outre là la foi devient une chose entièrement personnelle, ne se cache pas plus dans la collectivité. Si l’homme affronte le défi et, dans sa situation de besoin de je pardonne, se présente, pour ainsi dire, sans défense devant il y à Dieu, alors l’expérience émouvante d’une rencontre entièrement personnelle avec l’ amour de Jésus Christ. Finalement je voudrais encore m’occuper du ministère épiscopal. De ceci, en fond, nous avons implicitement déjà parlé constamment. Il me semble important que les Évêques, comme successifs des Apôtres, d’une partie portent vraiment la responsabilité des Églises locales qui les Seigneur les a confiées, en faisant en sorte que là l’Église comme Église de Jésus Christ croisse et vivent. De l’autre partie, ils doivent ouvrir les Églises locales à l’universel. Vues les difficultés que les Orthodoxes ont avec les Églises autocéphale, comme même les problèmes de nos amis protestants face à la désagrégation des Églises régionales, on rend compte de quel grand signifié ait l’universalité, combien soit important que l’Église s’ouvre à la totalité, en devenant dans l’universalité vraiment une unique Église. De ceci, d’autre part, il est capable seulement si dans le territoire le sien vraiment est vivant. Cette communion doit être alimentée des Évêques ensemble avec le Successeur de Pietro dans l’esprit d’une consciente succession au Collège des Apôtres. Tous nous devons nous forcer continûment de trouver dans ce rapport réciproque  le juste équilibre, de sorte que l’Église locale ait vécu son authenticité et, en même temps, l’Église universelle de cela reçoive un enrichissement, pour que les deux offrent et reçoivent et ainsi il croisse l’Église des Seigneur. L’Évêque Grab a déjà parlé des fatigues de l’ oecuménisme ; il est un champ que je dois seulement vous confier au coeur de tous. Dans
la Suisse vous êtes posés à comparaison quotidiennement avec ce épelle qu’il est fatigant, mais crée même joie. Je pense qu’importants ils soient, d’un coté, les rapports personnels, dans lesquels nous nous reconnaissons et on estime un autre en mode immédiate comme croyants et, comme personnes spirituelles, nous nous purifions et nous nous aidons même mutuellement. De l’autre côté, il traite – comme il a déjà dit l’Évêque Grab – de se faire garants des valeurs essentielles, portantes, provenances de Dieu de notre société. Dans ce champ, tous ensemble – protestants, catholiques et orthodoxes – nous avons un grand épelle. Et ils sont joyeuse qui croisse la conscience de ceci. Dans l’occident elle est l’Église en Grèce qui, aussi en ayant de temps en temps quelque problème avec les Latins, dit toujours plus clairement : en Europe nous pouvons dérouler les nôtre épelle seulement si nous nous engageons ensemble pour le grand héritage chrétien. Même l’Église en Russie le voit toujours de plus et autant nos amis protestants sont conscients de ce fait. Je pense que, si nous apprenons à agir dans ce champ ensemble, nous pouvons réaliser une bonne partie d’unité même là où la pleine unité théologique et sacramentale il n’est pas encore possible. Pour conclure je voudrais des vous exprimer;  encore une fois ma joie pour Le vôtre visite, vous souhaiter  beaucoup d’entretiens fructueux pendant ces jours.
 

[ Traduction de l’original dans allemand distribuée du Saint Siège, © Copyright 2006 – Librairie Editrice Vatican

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la catéchèse de ce matin – 8.11.06

8 novembre, 2006

traduit avec un traducteur on line + un dictionaire italien-françois – je vous prie de lire -  dès que possible - le texte original du site Vatican J’ai trouvé, aussi, des différences dans le texte d’italien à l’italien, je vous avertis éventuellement 

BÉNIT XVI AUDIENCE GÉNÉRALE

Place San Pierre, Mercredi, 8 novembre 2006,

Paul de Tarse

Chers frères et soeurs, dans les catéchèse précédent, il y à quinze jours, j’ai cherché de tracer les lignes essentielles de la biographie de l’apôtre Paolo. Nous avons vu comme la rencontre avec Christ sur la route de Damas ait littéralement révolutionné sa vie. Christ était devenu son raison d’être et je motive profond de tout son travail apostolique. Dans ses lettres, après le nom de Dieu, qui apparaît plus que 500 fois, le nom qui sont mentionnées plus souvent il est cela que Christ (380 fois). Il est donc important qu’on rend compte de ce que Jésus Christ puisse peser dans la vie d’un homme et donc même dans notre même vie. En réalité, Christ Jésus est le sommet de l’histoire du salut et donc le vrai point discriminant même dans je dialogue avec les autres religions. En regardant à Paolo, nous pourrions formuler ainsi l’interrogatif de fond : comment se produit la rencontre d’un être humain avec Christ ? Et dans qu’il consiste le rapport qui en dérive ? Répondue donnée de Paolo il peut être compris en deux instants. En premier lieu, Paolo nous aide à comprendre la valeur absolument fondante et irremplaçable de la foi. Voilà ce qu’il écrit dans
la Lettre les Romains : « Nous retenons que l’homme justifié pour la foi, indépendamment des oeuvres de
la Loi » (3.28). Et ainsi aussi dans
la Lettre aux Galati : « L’homme n’est pas justifié des oeuvres de
la Loi, mais seulement pour du moyen de la foi en Jésus Christ ; donc nous nous avons crus même en Jésus Christ pour être justifiés de la foi en Christ et pas des oeuvres de
la Loi, puisque des oeuvres de
la Loi il ne sera jamais justifié non aucun « (2.16). « Être justifié » il signifie être rendus juste, c’est-à-dire être accueilli de la justice miséricordieuse de Dieu, et entrer en communion avec Lui, et par conséquent pouvoir établir un rapport beaucoup plus j’authentifie avec tous nos frères : et celui sur la de base d’un total je pardonne de nos péchés. Eh bien Paolo dit avec toute clarté qui cette condition de vie ne dépend pas de nos éventuelles oeuvres bonnes, mais d’une pure grâce de Dieu : « Nous sommes justifiés gratuitement pour sa grâce, en vertu des rédemption réalisée de Christ Jésus » (Rm 3,24). Avec ces mots San Paolo exprime le contenu fondamental de sa conversion, la nouvelle direction de sa vie résultante de sa rencontre avec le Christ rené. Paolo, avant la conversion, n’avait pas été un homme lointain de Dieu et de sa Loi. Au contraire, il était observant, avec une observance fidèle jusqu’au fanatisme Dans la lumière de la rencontre avec Christ il comprit, cependant, qu’avec ceci il avait cherché de construire si même, sa justice, et qu’avec toute cette justice il avait vécu pour si même. Il comprit qu’un nouvel orientement de sa vie était absolument nécessaire. Et cet nouvel orientation nous le trouvons exprimé dans ses mots : « Cette vie que je vis dans la chair je la  vis dans la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimé et a donné si même pour moi » (Gal 2, 20). Paolo, donc, il ne vit plus pour lui, pour sa justice. Il vit de Christ et avec Christ : en donnant si même, plus en ne cherchant pas et en construisant si même. Celle-ci est la nouvelle justice, le nouvel orientement offert nous des Seigneur nous de la foi. Devant la croix du Christ, expression extrême de ses auto donation il n’y a personne qui puisse vanter si même, sa justice faite d’elle, pour elle ! Ailleurs Paolo, retentissant Geremia explicite  cette pensée en écrivant : « Qui se vante des orgueils dans les Seigneur 1.31 = Ger 9,22s) ; ou bien : « Quant à il n’y ait pas autre vante que dans la croix des Seigneur Jésus Christ, pour moyen dont le monde pour est été crucifié et moi pour le monde » (Gal 6,14). En réfléchissant sur qu’il veut dire justification pas pour les oeuvres mais pour la foi, nous sommes ainsi arrivés à la deuxième composante qui définit l’identité chrétienne décrite San Paul dans sa vie. Identité chrétienne qui se compose vraiment de deux éléments : ceci ne pas se chercher de soi, mais se recevoir Christ et à s’offrir avec Christ, et ainsi participer personnellement à l’événement de Christ même, jusqu’à se plonger dans Lui et à partager aussi bien ses mortes combien sa vie. Il est ce qui Paolo écrit dans
la Lettre les Romains : « Nous avons été baptisés dans ses mortes… avons été enterrés avec lui… avons été complètement unis à lui… Ainsi même vous considérez vous morts au péché, mais en vivant pour Dieu en Christ Jésus « (Rm 6,3.4.5.11). Vraiment cette dernière expression est symptomatique: pour Paolo, en effet, ne suffit pas de dire que les chrétiens sont des baptisés ou des croyants ; pour il est aussi important dire qu’ils sont » en Christ Jésus « (cfr même Rm 8,1.2.39 ; 12.5 ; 16,3.7.10 ; 1 Cor 1.2,3, etc). Autres fois il renverse les termes et écrit que « Christ il est dans nous/vous » (Rm 8.10 ; 2 Cor 13,5) ou « dans moi » (Gal 2,20). Ces mutuelle pénétrer (con) entre Christ et la chrétien, caractéristique de l’enseignement de Paolo, complète son discours sur la foi. La foi, en effet, aussi en nous unissant intimement à Christ, souligne la distinction entre nous et Lui. Mais, en second lieu Paolo, la vie du chrétien a aussi une composante que nous pourrions dire ` mystique puisqu’il comporte des identification de nous avec le  Christ et de Christ avec nous. En ce sens, l’Apôtre arrive même à qualifier nos souffrances comme les « souffrances de Christ dans nous » (2 Cor 1,5), ainsi que nous « portons toujours et partout dans notre corps les mortes de Jésus, parce que même la vie de Jésus se manifeste dans notre corps » (2 Cor 4,10). Tout ceci nous devons le baisser dans notre vie quotidienne en suivant l’exemple de Paolo qui a vécu toujours avec ce grand respire spirituel. D’une partie, la foi doit nous maintenir dans une constante attitude d’humilité face à Dieu, au contraire d’adoration et d’éloge dans le sien tu confrontes. En effet, ce que nous sommes puisque chrétiens nous le lui devons seulement et à sa grâce. Puisque rien et personne ne peut prendre sa place, faut donc que rien à autre et à aucun autre nous rendons l’hommage que le rendons Nous. Aucun idolo doit contaminer notre univers spirituel, autrement au lieu de jouir de la liberté acquise retomberions dans une forme de humiliant de l’esclavage. De l’autre partie, de notre radicale appartenance à Christ et de fait que « nous sommes dans Lui » il doit nous inspirer une attitude de totale confiance et d’immense joie. En définitive, en effet, nous devons exclamer avec San Paolo : « Si Dieu est pour nous, qui sera contre de nous? » (Rm 8,31). Et répondue il est que rien et personne « ne pourra jamais nous séparer de l’amour
De Dieu est en Christ Jésus, notre Seigneur » (Rm 8,39). Notre vie chrétienne, donc, pose sur la roche plus stable et sûre qu’il puisse s’imaginer. Et d’elle nous tirons toute notre énergie, comme il écrit justement l’Apôtre : « Tout je peux dans celui qui il me donne la force » (Fi1 4,13). nous affrontons donc notre existence, avec ses joies et ses douleurs, soutenus de ces grands sentiments que Paolo nous offre. En faisant l’expérience nous pourrons comprendre combien soit vrai ce que le même Apôtre écrit : « Je sais à quel j’ai cru, et suis auto convaincu qu’il est capable de conserver mien dépose jusqu’à ce giorno », c’est-à-dire jusqu’au giorno définitif (2 Tm 1,12) de les nôtre je rencontre avec Christ Juge, Salvatore du monde et les nôtre. ________________________________________  

Saluti:

Je salue cordialement les pèlerins francophones présents ce matin, en particulier les lecteurs du magazine «Pèlerin». Puisse l’exemple de Paul vous inviter à demeurer toujours plus «dans le Christ», louant Dieu, qui, par sa seule grâce, a fait de vous ce que vous êtes.

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Pour vaincre la faim, « une stratégie de Développement global »

7 novembre, 2006

du Zenith: 

Pour vaincre la faim, « une stratégie de développement global »

Intervention de Mgr Mamberti

ROME, Lundi 6 novembre 2006 (ZENIT.org) – Pour vaincre la faim, il faut une « une stratégie de développement global à laquelle tous les pays acceptent de participer », déclare le Vatican.Le Secrétaire du Vatican pour les Relations avec les Etats, Mgr Dominique Mamberti, est intervenu dans ce sens, à l’occasion de la 32e session du Comité intergouvernemental de l’Organisation des Nations unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) qui s’est tenue à Rome du 30 octobre au 4 novembre, et plus spécifiquement la session du Forum spécial pour un monde libéré de la Faim qui s’est tenue les 30 et 31 octobre.

« Le phénomène de la mondialisation, qui ne cesse de se développer, doit rendre la famille humaine encore plus consciente que le problème de la faim ne pourra être résolu que grâce à une stratégie de développement global à laquelle tous les pays acceptent de participer, pour le bien de l’humanité », déclarait Mgr Mamberti.

Le Vatican invitait ainsi à « répartir les ressources et les bénéfices des ressources naturelles et des biens produits, en plaçant l’homme comme critère central des décisions dans les questions économiques, en développant le transfert de technologies et les micro-réalisations dans lesquelles les populations locales sont partie prenante, en formant des élites locales dans tous les domaines et en éduquant les jeunes qui sont l’avenir et la première richesse de chaque nation ».

Mgr Mamberti rappelait : « Vous êtes aujourd’hui appelés à vous interroger, dix ans après, sur les suites données au Sommet mondial de l’Alimentation. Comment ne pas évoquer la participation de Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II à l’ouverture de ce sommet, le 13 novembre 1996, qui invitait à un changement des modes de vie de nos sociétés pour un partage plus équitable des ressources. Je souhaite exprimer ma vive gratitude à la FAO pour le travail accompli auprès des peuples les plus pauvres et pour le service qu’elle rend à l’humanité tout entière ».

A propos du rôle de l’Eglise, Mgr Mamberti disait : « Comme vous le savez, l’Église, pour sa part, apporte sa contribution sur tous les continents pour vaincre la faim dans le monde, et notamment en Afrique, que nos sociétés riches, qui bénéficient largement des ressources du continent africain, se doivent de ne pas oublier, s’attachant à redistribuer les biens selon les principes de la justice et de l’équité ».

« Les thèmes évoqués par votre réunion rappellent que la sécurité alimentaire – qu’il s’agisse de la quantité ou de la qualité de la nourriture – constitue un aspect fondamental dans la vie de tout individu, de tout groupe, de tout peuple de la terre », faisait observer Mgr Mamberti.

Il avertissait : « La réalité de foules dont le droit à la vie est mis en péril doit demeurer pour nous une inquiétude et doit toucher les consciences pour que chacun, là où il demeure, s’engage dans des comportements qui ne contribuent pas à aggraver les déséquilibres entre pays riches et pays pauvres. La faim et la malnutrition sont inacceptables dans un monde qui dispose de niveaux de production, de ressources et de connaissances capables de mettre fin à ce fléau et à ses conséquences dramatiques ».

« Il nous faut tendre chaque jour, insistait Mgr Mamberti, vers l’établissement, pour tout être humain sur la planète, de conditions de vie personnelles et communautaires permettant son développement intégral et lui assurant les ressources nécessaires à son alimentation et à l’ensemble des ses besoins fondamentaux ».

Pour le Vatican la sécurité alimentaire, la justice et la paix sont liées : « Dans de nombreux points du globe, l’absence de paix, les injustices patentes, la destruction de l’environnement naturel, le manque de soins pour la santé de base, sont parmi les causes premières qui exposent les populations au grave danger de ne pas pouvoir satisfaire leurs besoins alimentaires essentiels ».

Pour ce qui est de l’attitude des pays riches, Mgr Mamberti ajoutait : « De même, les comportements des pays les plus riches qui exploitent de manière parfois inconsidérée les richesses des pays les plus pauvres, sans compensation aucune, le non-respect des équilibres écologiques, ont aussi, aujourd’hui et à long terme, des conséquences sur les populations les plus pauvres ».

« On ne doit pas oublier en particulier, ajoutait Mgr Mamberti, que la Déclaration et le Plan d’action du Sommet mettaient la cellule familiale au centre des programmes pour l’éducation et la formation, bien conscients que la famille constitue, spécialement dans les zones rurales, un instrument privilégié et souvent exclusif d’éducation, de transmission des valeurs, d’apprentissage et de qualification professionnelle. C’est en grande partie en s’appuyant sur l’institution familiale que des changements pourront s’opérer

du site:

http://www.globalgeografia.com/africa/mali_viaggio2.htm

Pour vaincre la faim,

le texte integral del mots du Pape pour l’Angelus Domini de ce matin

5 novembre, 2006

je mets l’Angelus Domini de ce matin, il est traduit avec en traducteur on line, le mot italienne je l’ai traduis avec mon dictionnaire, du site Korazym: 

Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Pape avant récite de l’Angelus Domini:

Chers frères et soeurs, dans ces jours, qui suivent la commémoration liturgique des fidèles défunts, on célèbre dans beaucoup de paroisses l’ottavario (huit jour de prière) des défunts. Une occasion propice pour se rappeler dans la prière de nos chers et méditer sur la réalité des mortes, qui la soi-disant « civilisation du bien-être » cherche souvent à ôter de la conscience des gens, toute prise des préoccupations de la vie quotidienne. Mourir, en réalité, fait une partie des vies, et ceci pas seulement à la fin, mais, bien à voir, à tout instant. Malgré toutes les distractions, cependant, la perte d’une personne chère nous fait redécouvrir le « problème », en nous faisant sentir les mortes comme une présence radicalement hostile et contraire à notre naturelle vocation à la vie et au bonheur. Jésus a révolutionné le sens des mortes. Il l’a fait avec son enseignement, mais surtout en l’affrontant même les mortes. « En mourant il a détruit les mortes », répète la Liturgie dans le temps pascal. « Avec l’Esprit qui ne pouvait pas mourir – il écrit un Père de l’Église – Christ a tué les mortes qui tuaient l’homme » (Melitone de Sardes, Sur la Pâques, 66). Le Fils de Dieu a voulu de cette manière partager jusqu’en fond à notre condition humaine, pour la rouvrir à l’espoir. En derniers essayer, Il est né pour pouvoir nous mourir, et ainsi libérer de l’esclavage des mortes. Il dit la Lettre aux Hébreux : « Il a éprouvé les mortes à avantage de tous » (Eb 2,9). d’alors, les mortes n’est pas plus la même : elle a été privée, pour ainsi dire, de son « poison ». L’amour de Dieu, opérant en Jésus, il a donné en effet un sens nouveau à l’entière existence de l’homme, et ainsi il en a transformé même mourir. Si en Christ la vie humaine est « passage de ce monde au Père » (Gv 13,1), maintenant des mortes il est l’instant où ceci se réalise en mode concrétise et définitif. Qui s’engage à vivre comme Lui, est libéré de la peur des mortes, qui ne montre plus le ricanement railleur qu’une ennemie mais, comme il écrit San Francesco dans le « Cantico » des créatures, la face ami d’une « soeur », pour laquelle on peut même bénir les Signeur : « Laudato si’, mi’Signore, pour sora nostra morte corporale » (Loué sois-tu, mon Seigneur, pour notre soeur la mort corporelle, A qui nul homme vivant ne peut échapper!). Des mortes du corps il n’y a pas d’avoir de la peur, nous rappelle la foi, parce qu’il est un sommeil dont nous serons un giorno réveillée. Les vraie mortes, que par contre il faut craindre, est cette de l’âme, qui l’Apocalypse appelle « secondes des mortes » (cfr Ap 20.14-15 ; 21,8). En effet qui meurt en péché mortel, sans repentir, fermé dans l’orgueilleux refuse de l’amour de Dieu, auto exclure du règne de la vie. Pour des intercession de Marie très sainte et de San Giuseppe, invoquons des Seigneur la grâce de nous préparer sereinement à partir de ce monde, lorsque Il voudra nous appeler, dans l’espoir de pouvoir demeurer éternellement avec Lui, en compagnie des saints et de nos chers défunts

le texte integral del mots du Pape pour l'Angelus Domini de ce matin dans Pape Benoit toussaint

La visite du Saint Père à la université « Gregoriana » ce matin

3 novembre, 2006

Je vous traduit le discours du Pape Benoît de ce matin àla Pontifical Université « Gregoriana », comme les autres fois avec le traducteur, mais j’avais corrige le texte avec le correcteur automatique du Word et un vocabulaire français, j’espère que ce fois ce plus compréhensible, le texte et vraiment important, peut-être da étudier de nouveau, du site Vatican:   

VISITE DU SAINT PERE À
LA PONTIFICAL UNIVERSITÉ GREGORIANA DISCOURS DE SA SAINTETÉ BÉNIT XVI
Vendredi, 3 novembre 2006 Monsieur Cardinaux, vénérés des Frères dans l’Épiscopat et dans le Sacerdoce, chers Professeurs et chers étudiant ! Ils sont lie de me rencontrer aujourd’hui avec vous. Un premier salue va vraiment à vous, étudiants, que je vois nombreux en ce élégant et austère quadriportique, mais que je sais être présents même en différentes salles et dans je contacte avec nous traverse des écrans et des haut-parleurs. Chers jeunes, je vous remercie pour les sentiments exprimés de vos représentants et de vous même ! Dans un certain sens l’Université est vraiment le vôtre. Elle, depuis le loin 1551, lorsque Sant’Ignazio de Loyola la fonda, existe pour vous, pour les étudiants. Toutes les énergies dépensées de vos Professeurs et les Professeurs, dans l’enseignement et dans la recherche, sont pour vous. Pour elles sont les préoccupations et les efforts quotidiens du Recteur Magnifique, des Vices Recteurs, des Doyens et des Garnisons. Vous de ceci êtes conscient et suis certain qu’en vous êtes même reconnaissants. Un spécial salue va ensuite au Cardinal Zenon Grocholewski. Puisque  Préfet de
la Congrégation pour l’Éducation Catholique, il est le Grand Chancelier de cette Université et représente dans elle le Romain Pontife (cfr Statuta Universitatis, art. 6, § 2) Vraiment pour ceci mien prédécesseur Pieux XI, de vénérée mémoire, déclarait l’Université Gregoriana « plenissimo iure ac nominations » pontificia (cfr Lett. ap. Gregorianam studiorum, en AAS 24,1932 ], 268). L’histoire même du Collège Romain et de l’Université Gregoriana, le sien aide, comme il rappelait au P. Recteur dans salue qu’il m’a tourné, est la fondation de ce statut entièrement détail. Il salue le Rev. P. Peter- Hans Kolvenbach, S.J., qui, comme Preposito Général de
la Compagnie de Jésus, est le Vice Grand Chancelier de l’Université et a le soin plus immédiat que cette oeuvre, que je ne doute pas de qualifier comme un des plus grands services qui
la Compagnie de Jésus font à l’Église universelle. Il salue les bienfaiteurs ici présents. Le Freundeskreis der Gregoriana d’Allemagne, le Gregorian University Foundation de Newyork,
la Fondation  »
la Gregoriana » de Rome, et autres groupes de bienfaiteurs. très chers, j’y suis reconnaissant pour combien généreusement des fées pour soutenir cette oeuvre que le Saint Sede a confié et continue à confier à
la Compagnie de Jésus. Il salue les Pères jésuites qui ici déroulent leur enseignement avec encomiabile ésprit d’abnegation et l’austérité de vie ; avec eux il salue les autres Professeurs, en étendant ma pensée même aux Pères et aux Frères du Pontifical Institut Biblique et du Pontifical Institut Oriental, qui, ensemble à
la Gregoriana, forment un consortium académique (cfr Pieux XI, M.p. Quod maxime, 30 septembre (1928) prestigieux pour combien il conforme pas seulement l’enseignement, mais même le patrimoine du livre  des trois bibliothèques, fournies de fonds spécialisés incomparables. Il salue finalement le personnel pas professeur de l’Université, qui a voulu faire sentir sa voix à travers du ce Secrétaire Général, que je remercie. Le personnel professeur quotidiennement ne déroule pas un service caché, mais très important pour la mission qui
la Gregoriana est appelée à accomplir pour mandat du Saint Siège. À chaque d’il eux va mon cordial encouragement. Avec joie je me trouve dans ce quadriportique, que j’ai traversé en diverses occasions. Je me rappelle particulièrement de la défense de la thèse du Père Lohfink pendant Concilio, à la présence de beaucoup de Cardinaux et même de pauvres Experts comme moi. Il m’est cher rappeler particulièrement le temps dans lequel, en étant professeur Ordinaire de Dogmatique et d’Histoire du Dogme prés de l’Université de Regensburg, je fus invité en 1972 du alors Recteur Hervé Carrier S.J. à des tendres un cours aux étudiants du II Cycle de la spécialisation de Théologie Dogmatique. J’ai tenu un cours sur très sainte Eucharistie. Avec la familiarité alors, je dis vous, chers Professeurs et des étudiants, que la fatigue de j’étudie et de l’enseignement, pour avoir sens en relation au Règne de Dieu, doit être soutenus des vertus des théologal. En effet, l’objet immédiat de la science théologique, dans ses différentes spécifications, est Dieu même, qui s’est révélé en Jésus Christ, Dieu avec une face humaine. Même lorsque, comme dans le Droit canonique et dans l’Histoire de l’Église, l’objet immédiat est Peuple de Dieu dans sa dimension visible et historique, les analyse approfondie de la matière pousser de nouveaux à la contemplation, dans la foi, du mystère de Christ rené. Il est Lui que, présent dans son Église, la mène entre les évènements du temps vers la plénitude eschatologique, un poteau vers lequel nous nous promenons soutenus de l’espoir. Il ne suffit pas, cependant, connaître Dieu ; pour le pouvoir réellement rencontrer, on doit même amères. La connaissance doit devenir amour. J’étudie de
la Théologie, du Droit canonique et de l’Histoire de l’Église elle n’est pas seulement connaissance des proposition de la foi dans leur formulation historique et dans leur application il pratique, mais elle est même toujours intelligence d’eux dans la foi, dans l’espoir et dans la charité. Seulement l’Esprit scrute les profondeurs de Dieu (cfr 1 Cor 2,10), donc seulement dans j’écoute de l’Esprit on peut scruter la profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu (cfr Rm 11,33). L’Esprit s’écoute dans la prière, lorsque le coeur s’ouvre à la contemplation du mystère de Dieu, qui on il s’est révélé dans le Fils Jésus Christ, image du Dieu invisible (cfr Avec 1,15), constitué Chef de Église et de Seigneur de toutes les choses (cfr Ef 1.10 ; Avec 1,18). L’Université Gregoriana, depuis le sien tu causes avec le Collège Romain, on est distinct pour étudie de la philosophie et de la théologie. Il serait trop le long d’énumérer des noms des éminent philosophes et théologien qui on sont des succédant sur les bureaux de cette Centrum académique ; à nous eux devrions ajouter même ceux de célèbres canoniste et de historiens de l’Église, qui ont dépensé leurs énergies entre celles-ci murent prestigieuses. Tous ont contribué grandement à progresser des sciences d’elles cultivez et donc ils ont offert un précieux service au Siège Apostolique dans l’accomplissement de sa fonction doctrinale, discipliner et pastorale. Avec se développement des temps nécessairement ils changent les perspectives. Ne peut aujourd’hui pas ne pas tenir compte de la comparaison avec la culture séculaire, qui dans beaucoup de parties du monde tend toujours plus pas seulement à nier chaque marque de la présence de Dieu dans la vie de la société et de l’individuel, mais avec des divers moyens, qui désorientent et offusquent la droite conscience de l’homme, cherche à ronger sa capacité de se mettre dans écoute de Dieu. On ne peut pas compter, ensuite, du rapport avec les autres religions, qui se révèle constructif seulement s’il évite chaque ambiguïté qui dans quelque mode affaiblisse le contenu essentiel de la foi chrétienne en Christ uniques Salvatore de tous les hommes (cfr At 4,12) et dans l’Église Sacramento nécessaire de salut pour toute l’humanité (cfr Dich. Dominus Iesus, nn. 13-15 ; 20-22 : AAS 92,2000 ], 742-765). Je ne peux pas dans cet instant oublier les autres sciences humaines que dans celle-ci insigne des Universités sont cultivées, sur la sillage de la glorieuse tradition académique du Collège Romain. Quel grand prestige ait assumé le Collège Romain dans le champ des mathématiques, de la physique, de l’astronomie, est tous à connu. Bâts se rappeler que du calendrier, soi-disant « Gregoriano », parce que voulu de mien prédécesseur Gregorio XIII, actuellement dans j’emploie partout, fut élaboré dans les 1582 du P. Cristoforo Clavio, professeur du Collège Romain. Bâts même faire de la mention del P. Matteo Frisée, qu’elle porta fin dans la lointaine Chine, ensemble alla son témoignage de foi, le savoir acquis comme disciple del P. Clavio. Aujourd’hui ces disciplines plus ne sont cultivées dans
la Gregoriana, mais sont succéder autres sciences humaines, la quelle la psychologie, les sciences sociales, la communication sociale. Avec il eux veut être plus profondément compris l’homme soit dans sa dimension personnelle profonde, que dans sa dimension extérieure de constructeur de la société, dans justice et dans paix, et de comunicatore (l’homme comme celui que communique) de la vérité. Vraiment parce que des telles sciences concernent l’homme ne peuvent pas compter de la référence à Dieu. En effet, l’homme, soit dans son intériorité qui dans son extériorité, ne peut pas être pleinement comprise s’il ne se reconnaît pas ouvert à la trascendence Je prive de sa référence à Dieu, l’homme ne peut pas répondre aux questions fondamentales qu’elles agitent et agiteront toujours son coeur en ce qui concerne le fin et donc au sens de son existence. Il n’est conséquentement possible introduire dans la société ces valeurs éthiques qui seuls peuvent garantir une cohabitation digne de l’homme. Je destine de l’homme sans sa référence à Dieu ne peut pas qu’être la désolation de l’angoisse qui mène au désespoir. Seulement en référence au dieu-Amour, qui s’est révélé en Jésus Christ, l’homme peut trouver le sens de son existence et les vies dans l’espoir, aussi dans l’expérience des maux qui blessent son existence personnelle et de la société dans laquelle il vit. L’espoir fait en sorte que l’homme ne se ferme pas dans un nihilisme paralysant et stérile, mais elle s’ouvre all’ engage généreux dans la société dans laquelle vit pour la pouvoir améliorer. Il est épelle que Dieu a confié à l’homme dans lui créer à son image et ressemblance, épelle que remplit chaque homme de plus grande dignité, mais même d’une immense responsabilité. Il est dans cette perspectif que vous, Professeurs et Professeurs de
la Gregoriana, vous êtes appelés à former les étudiants que l’Église vous confie. La formation intégrale des jeunes est un des apostolats traditionnels de
la Compagnie de Jésus depuis le sien causes ; pour ceci elle est une mission dont fin dall’inizio le Collège Romain on a fait chargé. La confiance à
la Compagnie de Jésus, à Rome prés du Siège Apostolique, du Collège Germanique, du Séminaire Romain, du Collège Ungarico, unis au Germanique, du Collège Inglese, du Collège Grec, du Collège Scozzese et du Collège Irlandese, avait le but d’assurer une formation du clergé de ces nations, où elle était déferlée l’unité de la foi et la communion avec le Siège Apostolique. Toujours ces Collèges envoient, ou presque exclusivement ou en bon nombre, leurs élèves à l’Université Gregoriana, en continuité avec cette mission originaire. À des tels Collèges mentionnés le long de l’histoire on en a ajouté beaucoup d’autres. Combien jamais absorbant est donc j’épelle qu’il grève sur vos épaules, chers Professeurs et Professeurs ! Opportunément donc, après profonde réflexion vous avez rédigé une « Déclaration de Buts », essentiel pour une institution comme le vôtre, parce qu’il indique synthétiquement sa nature et mission. Sur sa de base étais en portant à terme le renouvellement des Statuts de l’Université et des Règlements Générales, comme même des Statuts et des Règlements des différentes Facultés, d’Instituts et de Centres. Ceci contribuera à mieux définir l’identité de
la Gregoriana, en permettant la rédaction de programmes académiques plus adéquats à l’accomplissement de la mission qui lui est sa. Une mission facile et difficile ensemble. Facile, parce que l’identité et la mission de
la Gregoriana sont claires depuis ses premières origines, sur la de base des indications réaffirmées de tant de Romains Pontifier, entre lesquels bien seize furent des élèves de cette Université. Mission au même temps difficile, parce qu’il suppose constant fidélité à son histoire et tradition, pour ne pas perdre ses racines historiques, et ensemble ouverture à la réalité actuelle pour répondre, après un attentif décernement, avec esprit créateur aux nécessités de l’Église et du monde d’aujourd’hui. Comme Université ecclésiastique pontifical, cette Centre académique est engagée à sentir en Ecclésia et cum Ecclésia. Il est un engagement qui naît de l’amour pour l’Église, notre Mère et Épouse de Christ. Nous devons le lui aimer comme Christ même a aimé, en assumant sur nous les souffrances du monde et de l’Église pour compléter ce qui manque aux souffrances de Christ dans notre chair (cfr Avec le 1,24). Est ainsi qu’on peut former les nouvelles générations de prêtres, de religieux, de laïques engagés. Il est juste en effet se demander à quel type de prêtre on veut former les étudiants, à quel type de religieux ou de religieuse, de laïque ou de laïque. Certainement il est votre but, chers Professeurs et Professeurs, former des prêtres doctes, mais prêts au même temps à consommer leur vie dans servir avec coeur indivis, dans l’humilité et dans l’austérité de la vie, tous ceux qui les Seigneur confiera à leur ministère. Ainsi vous entendez offrir une formation intellectuel solide religieux et religieuses, pour qu’elles sachent vivre dans la joie les consécration dont Dieu les a faites don, et à des proposer comme je marque eschatologique de cette vie future à laquelle tous nous sommes appelés. Également, vous voulez préparer laïques et laïques, qu’avec compétence ils sachent dérouler des services et des bureaux dans l’Église et, avant tout, être je fermente du Règne de Dieu dans la sphère du temporel. Dans cette perspectif, vraiment cet an l’Université a donné entame à un programme interdisciplinaire pour former les laïques à vivre leur vocation spécifiquement ecclésiale d’engagement éthique dans la sphère publique. La formation, toutefois, est même vos responsabilités, chers étudiant. J’étudie certainement demande constant montai et abnégation. Mais vraiment pour cette route la personne forme au sacrifice et au sens du devoir. En effet ce que vous apprenez aujourd’hui est ce que vous demain communiquerez, lorsque il vous sera confié de l’Église le ministère sacré ou autres services et bureaux à avantage de la communauté. Ce qui dans chaque circonstance pourra donner à joie à votre coeur sera la conscience de toujours cultiver les rectitude d’intention, merci à laquelle on a la certitude d’avoir cherché et fait seulement la volonté de Dieu. Évidemment, tout ceci demande purification du coeur et décernement. Chers des fils de Sant’Ignazio, encore une fois
la Papa vous confie cette Université, oeuvre ainsi importante pour l’Église universelle et pour tant d’Églises particulières. Elle constitue toujours d’une priorité entre les priorités des apostolats de
la Compagnie de Jésus. Il est dans l’ ambiant universitaire de Paris que Sant’Ignazio de Loyola et ses premiers copains mûrirent le désir ardent d’aider les âmes en aimant et en servant Dieu dans tout, à sa majeure gloire. Poussé de l’intérieure motion de l’Esprit, Sant’Ignazio vint à Rome, centre de
la Christianité, du siège du Successeur de Pietro, et ici il fonda le Collège Romain, première Université de
la Compagnie de Jésus. L’Université Gregoriana est aujourd’hui l’ ambiant universitaire dans lequel il se réalise en mode pleine et évidente, encore à distance de 456 ans, du désir de Sant’Ignazio et de ses premiers copains d’aider les âmes amères et au servir à Dieu dans tout, à sa majeure gloire. S’ils disaient qu’ici, entre celles-ci il mure, se réalise combien
la Papa Giulio III le 21 Juillet 1550 fixaient dans la « formule des Instituts », en établissant que chaque membre de
la Compagnie de Jésus est tenu « sub à crucis vexillo Deo militaire, et seule Domine ac Ecclesiae Ipsius sponsae, sub Romain Pontificales, Christi en terris Vicario, servir », en s’engageant « potissimum… à des fidei defensionem et propagationem, et profectum animarum en vie et doctrina christiana, pour publicas praedicationes, lectiones et aliud quodcumque verbes du ministerium…  » (Lett. ap. Exposcit debitum, 1). Cette spécificité charismatique de
la Compagnie de Jésus, exprimée institutionnellement dans le quatrième vote de disponibilité totale au Romain Pontefice dans n’importe quel chose Le veut commander « à profectum animarum et fidei propagationem » (ibid., n. 3), trouve réalisation même dans le fait qui le Preposito Général de
la Compagnie de Jésus appelle de tout le monde les Jésuites plus aptes parce qu’ils déroulent épelle de Professeurs dans cette Université. L’Église, consciente comme il est que ceci peut comporter le sacrifice d’autres oeuvres et services, aussi valide pour les fins qui
la Compagnie proposent de se rejoindre, est à elle sincèrement grille et désire que
la Gregoriana conserve l’ésprit ignaziano que l’âme, exprimé dans sa méthode pédagogique et dans position des études. très chers, avec affection de Père je confie à tous vous, que vous êtes les composantes vivantes de l’Université Gregoriana – Professeurs et Professeurs, étudiants, personnel pas professeur bienfaiteurs et amis – aux intercession de Sant’Ignazio de Loyola, de San Roberto Bellarmino et de Charmée Vierge Marie, Reine de
la Compagnie de Jésus, qui dans les armes de l’Université est indiqué avec titre de Sedes Sapientiae. Avec ces sentiments à tout imparto (Il donne), à propitiateur (feminen) de copieuses faveurs célestes, à l’Apostolique Bénédiction.
 
La visite du Saint Père à la université  dans sujets interessants aujourd'hui

Pope Benedict XVI greets faithful during his visit at the Pontifical Gregorian University in Rome, Friday, Nov. 3, 2006. Turkish Police on Thursday detained a man who fired shots into the air outside the Italian consulate to protest an upcoming visit by Pope Benedict XVI, and the suspect later told television he wanted to ‘strangle » the Pope with his bare hands. The Pontiff is scheduled to visit Turkey between Nov. 28 and Dec. 1. It would be Benedict’s first visit as Pope to a predominantly Muslim country, just two months after he provoked widespread anger by quoting an emperor who characterized the Prophet Muhammad’s teachings as ‘evil and inhuman. » (AP Photo/Alessandra Tarantino)———————–Pope Benedict XVI is greeted by faithful as he leaves the Pontifical Gregorian University in Rome, Friday, Nov. 3, 2006. Turkish Police on Thursday detained a man who fired shots into the air outside the Italian consulate to protest an upcoming visit by Pope Benedict XVI, and the suspect later told television he wanted to ‘strangle » the Pope with his bare hands. The Pontiff is scheduled to visit Turkey between Nov. 28 and Dec. 1. It would be Benedict’s first visit as Pope to a predominantly Muslim country, just two months after he provoked widespread anger by quoting an emperor who characterized the Prophet Muhammad’s teachings as ‘evil and inhuman. » (AP )(photo/Alessandra Tarantino)   

 Pope Benedict blesses a baby as he leaves the Pontifical Gregorian University in Rome November 3, 2006. REUTERS/Giampiero Sposito (ITALY)

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Pontifical Université « Gregoriana, exteriéur

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entrée

Grèce: Benoît XVI espère de l’unité autour de l’eucharistie

31 octobre, 2006

 du Zenith:

Grèce : Benoît XVI espère « le jour béni » de l’unité autour de l’eucharistie

Ad limina des évêques catholiques (1)

ROME, Lundi 30 octobre 2006 (ZENIT.org) –

 Benoît XVI invite les catholiques de Grèce à intensifier la prière pour qu’advienne « le jour béni » de l’unité avec les Orthodoxes autour de la table eucharistique, et il encourage les « initiatives communes d’ordre spirituel, culturel et pratique ».Le pape a remis ce matin un message – en italien – aux évêques en visite ad limina qu’il a reçus ensemble en audience. Rappelons que la Grèce est de tradition chrétienne et à 90% orthodoxe.Le pape encourageait les évêques à la « persévérance » et au « dialogue » avec l’Eglise orthodoxe.Benoît XVI a eu une salutation spéciale et chaleureuse pour la hiérarchie orthodoxe et en particulier S. B. Christodoulos, archevêque d’Athènes et de toute la Grèce.

« Nous voulons intensifier la prière afin que se hâte le jour béni où il nous sera donné de rompre ensemble le pain et de boire ensemble à la même coupe où se trouve le prix de notre salut », disait le pape.

« Dans ce contexte, ajoutait Benoît XVI, je souhaite que s’ouvrent toujours de plus grandes perspectives pour un dialogue constructif entre l’Eglise orthodoxe de Grèce et l’Eglise catholique et que se multiplient les initiatives communes d’ordre spirituel, culturel et pratique ».

Melchisedek, du site:

http://www.nostreradici.it/simbolismo_altare.htmGrèce: Benoît XVI espère  de l'unité autour de l'eucharistie dans Pape Benoit Melchisedek

Pape Benoît: Irlande – Le catholicisme n’est pas une accumulation d’interdits

30 octobre, 2006

 du Zenit: 

Irlande : Le catholicisme n’est pas une accumulation d’interdits

Visite ad limina des évêques

ROME, Dimanche 29 octobre 2006 (ZENIT.org) –

Le catholicisme n’est pas une accumulation d’interdits, a rappelé le pape aux évêques d’Irlande en visite ad limina qu’il a reçus samedi matin au Vatican, guidés par l’archevêque d’Armagh, Mgr Sean Brady, les invitant à témoigner de la « beauté » de l’Evangile. Témoigner de la beauté vitale de l’Evangile en combattant les « interprétations superficielles » qui considèrent le catholicisme seulement comme une « accumulation d’interdits ».Aidez les fidèles, disait le pape « à redécouvrir l’incapacité de la culture matérialiste à apporter la joie véritable ».

Le pape invitait ainsi les évêques iralndais à être « courageux » pour « parler de la joie qui découle de la suite du Christ ».

Souvent, faisait observer le pape, la position de l’Eglise est perçue de façon erronée « comme quelque chose de négatif ». Il est alors important, soulignait le pape de « mettre l’accent sur la Bonne nouvelle, le message plein de vie de l’Evangile ».

« Même s’il est nécessaire de parler à haute voix contre les maux qui nous menacent, nous devons corriger l’idée que le catholicisme serait une simple accumulation d’interdits ».

Le pape insistait sur ce qu’il appelle « la formation du cœur », un engagement qui peut compter sur des grandes ressources des écoles catholiques en Irlande, ajoutait Benoît XVI.

En même temps le pape recommandait d’éviter les présentations superficielles de l’enseignement catholique « parce que la plénitude de la foi peut seule communiquer le pouvoir libérant de l’Evangile ».

A propos des vocations, dont il soulignait l’abondance, le pape faisait également remarquer que « si l’engagement chrétien est parfois considéré comme dépourvu d’attrait, dans certains cercles », les jeunes irlandais font pour leur part l’expérience « d’une véritable faim de spiritualité » et d’un « généreux désir de servir les autres ».

« La vocation au sacerdoce ou à la vie religieuse offre la possibilité de répondre à ce désir d’une façon qui apporte une joie profonde et la réalisation » de la personne, affirmait Benoît XVI.

Aux évêques, le pape rappelait leur tâche d’offrir aux jeunes une vision attirante de la vocation.

Enfin, à propos de la situation en Irlande du Nord, le pape s’est réjoui des « nombreux progrès » qui se sont effectués grâce à l’engagement des chrétiens de différentes dénominations.

Le pape a souhaité que les catholiques irlandais s’engagent pour la construction d’une société « caractérisée par un esprit de réconciliation, le respect mutuel, et la coopération volontaire pour le bien commun ».

image du site:

http://www.vacanzalastminute.com/vacanze/irlanda.jpg

Pape Benoît: Irlande - Le catholicisme n'est pas une accumulation d'interdits dans Pape Benoit irlanda

l’ « Angelus » de ce matin par en traducteur on line

29 octobre, 2006
Chers frères et soeurs, dans l’Évangile de cette Dimanche (Mc 10.46-52) nous lisons que, pendant que les Signore passe pour les voies de Gerico, un aveugle de nom Bartimeo se tourne vers d’en lui criant fort : « Fils de Davide, de Jésus, as de la pitié de moi! ». Cette prière touche le coeur de Christ, qui il y à s’arrête, appeler et il le guerit. L’instant décisif a été la rencontre personnelle, directe, entre les Signore et cet uomo souffrant. On trouve l’un face à l’autre : Dieu avec sa volonté de guerir et uomo avec son désir d’être gueri. Deux libertés, deux volontés convergentes : « Que tu veux que je te fais? », il lui demande les Signore. « Que j’aie à nouveau la vue! », il répond l’aveugle. « Va’, ta foi t’a sauvée ». Avec ces mots on accomplit le miracle. Joie de Dieu, joie de l’uomo. Et Bartimeo, venu à la lumière – il narre l’Évangile – « prises à le suivre pour la route » : il devient c’est-à-dire son disciple et salles avec le Maestro à Gerusalemme, pour participer avec Lui au grand mystère du salut. Ce récit, dans l’essenzialità de ses passages, évoque l’itinéraire du catecumeno vers le sacramento du Baptême, que dans l’Église ancienne ère appelé même « Éclairage ». La foi est un chemin d’éclairage : une partie de l’humilité de se reconnaître besogneux de salut et arrive à la rencontre personnelle avec Christ, qui appelle à le suivre sur de l’amore. Sur ce modèle ils sont établis dans l’Église les itinéraires d’initiation chrétienne, qu’ils préparent aux sacramenti du Baptême, des Confermazione (ou de Cresima) et de l’Eucaristia. Dans les lieux ancienne d’evangelizzazione, où il est diffus le Baptême des enfants, elles sont proposées aux jeunes et aux adultes expériences de catechesi et de spiritualità qui permettent de parcourir un chemin de redécouverte de la foi en mode mûris et conscient, pour assumer ensuite un cohérent engagement de témoignage. Combien est important le travail que les Bergers et les catechisti accomplissent dans ce champ ! Redécouverte de la valeur de son Baptême il est au de base de l’engagement missionaire de chaque chrétien, parce que nous voyons dans l’Évangile que qui se laisse fasciner de Christ il ne peut pas se passer de témoigner la joie de suivre ses traces. Dans ce mois d’octobre, particulièrement dédié à la mission, nous comprenons ancor plus que, vraiment en force du Baptême, nous possédons une connaturale vocation missionaire. Invochiamo les intercessione des Vergine Marie, pour qu’on multiplie les missionaires de l’Évangile. Intimement uni aux Signore, il puisse chaque baptisé sentir d’être appelé à annoncer à tous l’amore de Dieu, avec le témoignage de sa vie. [ Après l'Angelus, la Papa a salué les présents en diverses langues. Celles-ci ses mots en italien : ] Plus des parties ils m’arrivent demandées d’intervention en faveur de personnes qui, en divergés Pays du monde, sont des victimes de séquestrations. Pendant que je réaffirme plus arrête condamnation de ce crime, j’assure mon souvenir dans la prière pour toutes les victimes et pour leurs membres de la famille et amis. En particulier, je m’unis à la pressante appel récemment tournée me de l’Archevêque et de la comunnauté de Sassari en faveur du Monsieur Giovanni Battista Nageoire, enlevé les 14 settembre glissé, parce que soit vite rendu à ses chers. Il salue maintenant les jeunes délégués des Régions italiennes, réunis dans ces jours à Rome pour la réalisation de projette triennal de l’Église italienne dénommé « Agorà des jeunes ». Chers amis, benedico le vôtre je me promène et je vous attends nombreux à la grande rencontre des jeunes italiens en programme pour le 1 et 2 settembre 2007 à Loreto. Prés ce d’aimé Sanctuaire mariano nous vivrons ensemble un instant de grâce, dans la joie de la foi et dans la perspectif de la mission, même en préparation à la Journée Mondiale de la Jeunesse de Sydney en 2008. Il salue finalement les pèperins de langue italienne, en particulier les fidèles provenants de Brescia, Côme, Commessaggio, Montalto Uffugo et Montale, comme aussi le Corps Musicale « Sainte Cecilia » de Valbrona et les Choarls de Bronzolo et de Conselve. Il salue aussi les participants au meeting de l’Association Motocyclistes des Forces de Police. À tous je souhaite une bonne dimanche.

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Pope Benedict XVI holds his weekly Angelus blessing from a window of his private apartment overlooking St. Peter’s square at the Vatican October 29, 2006. REUTERS/Alessandro Bianchi (VATICAN)

 dans Pape Benoit

 

A motorcyclist of the Italian Police Motorcyclists Association waits for Pope Benedict XVI’s blessing during the Angelus prayer in St. Peter’s square at the Vatican Sunday, Oct. 29, 2006. In background St. Peter’s Basilica. (AP Photo/Alessandra Tarantino)

Artisan de paix au milieu des armes : la mission des évêques aux armées

27 octobre, 2006

 du Zenit:

Artisan de paix au milieu des armes : la mission des évêques aux arméesBenoît XVI reçoit les participants au Ve congrès internationalROME, Jeudi 26 octobre 2006 (ZENIT.org) – Artisan de paix au milieu des armes, c’est ainsi que le pape caractérise la mission des évêques aux armées qu’il a reçus jeudi matin à l’issue de leur 5e congrès à Rome.Le congrès était organisé par la congrégation romaine pour les Evêques, dont le préfet est le cardinal Giovanni Battista Re qui a ouvert les travaux le 23 octobre, et assisté du P. Giulio Cerchietti, responsable du Bureau pastoral central des ordinariats militaires. Il se conclura demain, 27 octobre, par la célébration eucharistique à Saint-Pierre, sous la présidence du cardinal secrétaire d’Etat Tarcisio Bertone. Il s’est déroulé en la vieille salle du synode au Vatican, sur le thème : « Les militaires au service de la paix ».Il a réuni 70 délégués des conférences épiscopales des 35 ordinariats militaires.« Si le Concile appelle les militaires ministres de la paix, a fortiori leurs pasteurs ! Je vous encourage par conséquent tous à faire en sorte que les aumôniers soient de vrais experts en ce que l’Eglise enseigne et fait pour la paix dans le monde », exhortait Benoît XVI.

En milieu militaire, l’Eglise, ajoutait le pape, est appelée à être « sel », « lumière » et « levain », « pour que les esprits et les structures aillent vers le plein accomplissement de la paix ».

Le magistère relatif à la paix, insistait le pape, constitue « un aspect essentiel de la doctrine sociale ».

« L’appel insistant à la paix a influencé la culture occidentale, a fait observer Benoît XVI, en développant l’idée que les armées sont au service exclusif de la défense de la liberté et de la sécurité des peuples ».

Il déplorait cependant que « des intérêts divergents, économiques et politiques, provoquent des tensions internationales », ainsi que « des obstacles et des retards » comme en témoigne « la difficulté du désarmement ».

Ce congrès coïncidait avec le 20e anniversaire de la constitution apostolique de Jean-Paul II sur le soin pastoral et spirituel des militaires « Spirituali Militum Curae ».

Benoît XVI a rappelé que ce document de Jean-Paul II prenait en charge les « indications conciliaires », et « l’évolution des forces armées et de leurs missions ».

Vingt ans après, en dépit des changements, le pape a souligné que ce document demeure « encore adapté à la situation actuelle ».

Benoît XVI a rappelé également la communion entre les ordinaires militaires et les Eglises locales en disant : « Ceux à qui s’adressent les ordinariats sont des fidèles d’Eglises particulières, auxquelles ils continuent d’appartenir, a fait observer Benoît XVI. Cette situation impose donc une exigence de communion et de coordination entre diocèses et ordinariats ».

Et pour ce qui est de la formation et de l’accompagnement des personnes, le pape a souligné que « mettre au premier rang la personne signifie privilégier la formation religieuse du militaire, l’accompagner lui et sa famille durant l’initiation chrétienne, son parcours vocationnel, le renforcement de sa foi et dans son témoignage, tout en favorisant les diverses formes de fraternité et de communauté telle une prière liturgique adaptée aux contextes et conditions de vie militaires ».

Les débats ont évoqué cinq questions: « La nature des ordinariats selon la constitution apostolique Spirituali Militum Curae et des documents successifs du magistère »; « La mission des ordinariats et leurs priorités actuelles »; « Le sacerdoce et les autres ministères ordonnés au service de la mission pastorale des ordinariats »; « Le droit à l’assistance religieuse des militaires en mission de paix, et la formation au droit humanitaire »; « Les rapports d’un ordinariat avec la conférence épiscopale et les évêques diocésains »; « Soldats et serviteurs de la paix », et le statut juridique des ordinariats.

image du:

http://psg.com/~sghuter/maya/inverno-2002/compleanno/

Artisan de paix au milieu des armes : la mission des évêques aux armées dans Pape Benoit fiori

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