Archive pour la catégorie 'Pape Benoit'

BÉNIT XVI – Audience Gènéral: « Paul – la centralité de Jésus Christ »

22 novembre, 2006

Traduction  de la catéchèse d’aujourd’hui avec un traducteur on line et le contrôle orthographique du Word ( et moi) ; 

Du 8.11.06, mercredi, sur le site Vatican la traduction en français de le catéchèse du Pape est intégral;  

BÉNIT XVI  AUDIENCE GÉNÉRALE 

Place San Pietro Mercredi, 8 novembre 2006    Paul – la centralité de Jésus Christ 

Chers frères et soeurs, dans les catéchèse précédent, il y à quinze jours, j’ai cherché de tracer les lignes essentielles de la biographie de l’apôtre Paolo. Nous avons vu comme la rencontre avec Christ sur la route de Damas ait littéralement révolutionné sa vie. Christ devenue son ragions d’être et je motive profond de tout son travail apostolique. Dans ses lettres, après le nom de Dieu, qui apparaît plus que 500 fois, le nom qui sont mentionnées plus souvent il est cela que Christ (380 fois). Il est donc important qu’on rend compte de ce que Jésus Christ puisse peser dans la vie d’un homme et donc même dans notre même vie. En réalité, Christ Jésus est le sommet de l’histoire salvifique et donc le vrai point discriminant même dans je dialogue avec les autres religions. En regardant à Paul, nous pourrions formuler ainsi l’interrogatif de fond : comment se produit la rencontre d’un être humain avec Christ ? Et dans qu’il consiste le rapport qui en dérive ? Répondue donnée de Paolo il peut être compris en deux instants. En premier lieu, Paolo nous aide à comprendre la valeur absolument fondante et irremplaçable de la foi. Voilà ce qu’il écrit dans
la Lettre les Romains : « Nous retenons que l’homme est justifié pour la foi, indépendamment des oeuvres de
la Loi » (3.28). Et ainsi aussi dans
la Lettre aux Galati : « L’homme n’est pas justifié des oeuvres de
la Loi, mais seulement pour du moyen de la foi en Jésus Christ ; donc nous nous avons crus même en Jésus Christ pour être justifiés de la foi en Christ et pas des oeuvres de
la Loi, puisque des oeuvres de
la Loi il ne sera jamais justifié non aucun « (2.16). « Être justifié » il signifie être rendus juste, c’est-à-dire être accueilli de la justice miséricordieuse de Dieu, et entrer en communion avec Lui, et par conséquent pouvoir établir un rapport beaucoup plus j’authentifie avec tous nos frères : et celui sur la de base d’un total je pardonne de nos péchés. Eh bien, Paul dit avec toute clarté qui cette condition de vie ne dépend pas de nos éventuelles oeuvres bonnes, mais d’une pure grâce de Dieu : « Nous sommes justifiés gratuitement pour sa grâce, en vertu des rédemption réalisée de Christ Jésus » (Rm 3,24). Avec ces mots Saint Paul exprime le contenu fondamental de sa conversion, la nouvelle direction de sa vie résultante de sa rencontre avec le Christ rené. Paolo, avant la conversion, n’avait pas été un homme lointain de Dieu et de sa Loi. Au contraire, il était observant, avec une observance fidèle jusqu’au fanatisme. Dans la lumière de la rencontre avec Christ il comprit, cependant, qu’avec ceci il avait cherché de construire si même, sa justice, et qu’avec toute cette justice il avait vécu pour si même. Il comprit qu’un nouvel orientation de sa vie était absolument nécessaire. Et cet nouvel orientation nous le trouvons exprimé dans ses mots : « Cette vie que je vis dans la chair je la vis dans la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimé et a donné si même pour moi » (Gal 2, 20). Paolo, donc, il ne vit plus pour lui, pour sa justice. Il vit de Christ et avec Christ : en donnant si même, plus en ne cherchant pas et en construisant si même. Celle-ci est la nouvelle justice, le nouvel orientation offert nous des Seigneur, offert nous de la foi. Devant la croix du Christ, expression extrême de ses autodonazione, il n’y a personne qui puisse vanter si même, sa justice faite d’elle, pour elle ! Ailleurs Paolo retenissant (retenir) Geremia, explicite cette pensée en écrivant : « Qui se vante des orgueils dans les Seigneur » (1 Cor 1.31 = Ger 9,22s) ; ou bien : « Quant à il n’y ait pas autre vante que dans la croix des Seigneur notre Jésus Christ, pour moyen dont le monde pour a été crucifié comme moi pour le monde » (Gal 6,14). En réfléchissant sur qu’il veut dire justification pas pour les oeuvres mais pour la foi, nous sommes ainsi arrivés à la deuxième composante qui définit l’identité chrétienne décrite Saint Paul dans sa vie. Identité chrétienne qui se compose vraiment de deux éléments : ceci ne pas se chercher de soi, mais se recevoir Christ et à s’offrir avec Christ, et ainsi participer personnellement à l’événement de Christ même, jusqu’à se plonger dans Lui et à partager aussi bien ses mortes combien sa vie. Il est ce qui Paolo écrit dans
la Lettre les Romains : « Nous avons été baptisés dans ses mortes… avons été enterrés avec lui… avons été complètement unis à lui… Ainsi même vous considérez vous morts au péché, mais en vivant pour Dieu en Christ Jésus « (Rm 6,3.4.5.11). Vraiment cette dernière expression est symptomatique : pour Paul, en effet, ne suffit pas de dire que les chrétiens sont des baptisés ou des croyants ; pour il est aussi important dire qu’ils sont » en Christ Jésus « (cfr même Rm 8,1.2.39 ; 12.5 ; 16,3.7.10 ; 1 Cor 1.2,3, etc). Autres fois il renverse les termes et écrit que « Christ il est dans nous/vous » (Rm 8.10 ; 2 Cor 13,5) ou « dans moi » (Gal 2,20). Ces mutuelle compénétration entre Christ et la chrétien, caractéristique de l’enseignement de Paolo, complète son discours sur la foi. La foi, en effet, aussi en nous unissant intimement à Christ, souligne la distinction entre nous et Lui. Mais, en second lieu Paul, la vie du chrétien a aussi une composante que nous pourrions dire ` mystique’, puisqu’il comporte des identification de nous avec Christ et de Christ avec nous. En ce sens, l’Apôtre arrive même à qualifier nos souffrances comme les « souffrances de Christ dans nous » (2 Cor 1,5), ainsi que nous « portons toujours et partout dans notre corps les mortes de Jésus, parce que même la vie de Jésus se manifeste dans notre corps » (2 Cor 4,10). Tout ceci nous devons le baisser dans notre vie quotidienne en suivant l’exemple de Paolo qui a vécu toujours avec ce grand respire spirituel. D’une partie, la foi doit nous maintenir dans une constante attitude d’humilité face à Dieu, au contraire d’adoration et d’éloge dans le sien tu confrontes. En effet, ce que nous sommes puisque chrétiens nous le lui devons seulement et à sa grâce. Puisque rien et personne ne peut prendre sa place, faut donc que rien à autre et à aucun autre nous rendons l’hommage que le rendons Nous. Aucun idole doit contaminer notre univers spirituel, autrement au lieu de jouir de la liberté acquise retomberions dans une forme de humiliant de l’esclavage. De l’autre partie, de notre radicale appartenance à Christ et de fait que « nous sommes dans Lui » il doit nous inspirer une attitude de totale confiance et d’immense joie. En définitive, en effet, nous devons exclamer avec Saint Paul : « Si Dieu est pour nous, qui sera contre de nous? » (Rm 8,31). Et répondue il est que rien et personne « ne pourra jamais nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Christ Jésus, nos Segneur » (Rm 8,39). Notre vie chrétienne, donc, pose sur la roche plus stable et sûre qu’il puisse s’imaginer. Et d’elle nous tirons toute notre énergie, comme il écrit justement l’Apôtre : « Tout je peux dans celui qui il me donne la force » (Fi1 4,13). Nous affrontons donc notre existence, avec ses joies et ses douleurs, soutenus de ces grands sentiments que Paolo nous offre. En faisant l’expérience nous pourrons comprendre combien soit vrai ce que le même Apôtre écrit : « Je sais à quel j’ai cru, et suis auto convaincu qu’il est capable de conserver mien dépose jusqu’à ce giorno », c’est-à-dire jusqu’au giorno définitif (2 Tm 1,12) de les nôtre je rencontre avec Christ Juge, Salvatore du monde et les nôtre.

—————————–

Saluts : Je salue cordialement les pèlerins francophones présents ce matin, en particulier les lecteurs du magazine « Pèlerin ». Puisse le exemple de Paul vous inviter à demeurer toujours plus « dans le Christ », la louant Dieu, ici, par sait seule grâce, fait de à vous ce que vous êtes. 

BÉNIT XVI - Audience Gènéral:

A gust of wind blows up Pope Benedict XVI’s mantle as he leads his weekly general audience in Saint Peter’s Square at the Vatican November 22, 2006. REUTERS/Max Rossi (VATICAN)

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI

19 novembre, 2006

 du Zenith: 

2006-11-17

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité »Assemblée du dicastère pour la Promotion de l’unité des chrétiens

ROME, Vendredi 17 novembre 2006 (ZENIT.org) –

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI qui a reçu ce matin au Vatican les membres de l’assemblée plénière du conseil pontifical pour la Promotion de l’unité des chrétiens.L’assemblée avait pour thème « Les changements dans la situation œcuménique ».

Pour que le dialogue œcuménique se déroule « dans la vérité », la « charité » est indispensable, a observé Benoît XVI.

Benoît XVI a évoqué l’indispensable avenir œcuménique de l’Eglise en disant : « Ce qui, de toute façon, doit être promu avant tout est l’œcuménisme de l’amour qui descend directement du commandement nouveau de l’amour laissé par Jésus à ses disciples. L’amour accompagné de gestes cohérents créé la confiance, fait s’ouvrir les cœurs et les yeux. Le dialogue de la charité promeut par nature et éclaire le dialogue de la vérité : c’est en effet dans la pleine vérité qu’aura lieu la rencontre définitive à laquelle conduit l’Esprit du Christ. Ce ne sont certainement pas le relativisme facile et le faux irénisme qui résolvent la recherche œcuménique. Ils la déforment et la désorientent. Il faut ensuite intensifier la formation œcuménique en partant des fondements de la foi chrétienne, c’est-à-dire de l’annonce de l’amour de Dieu qui s’est révélé dans le visage de Jésus Christ, et de façon contemporaine, dans le Christ, a dévoilé l’homme à lui-même et lui a fait comprendre sa très haute vocation ».

Benoît XVI a examiné, à partir de ce principe, les lumières et les ombres sur la route de l’œcuménisme.

De la présence silencieuse au dialogue :
« En vérité, disait Benoît XVI, en italien, du Concile Vatican II à aujourd’hui, de nombreux pas ont été faits vers la pleine communion. J’ai devant les yeux l’image de la salle du Concile, où les Observateurs délégués des autres Eglises et des communautés ecclésiales étaient attentifs mais silencieux. Cette image a été remplacée aux cours des décennies successives à la réalité du dialogue avec toutes les Eglises et les communautés ecclésiales d’Orient et d’Occident. Le silence s’est transformé en parole de communion ».

« La fraternité entre tous les chrétiens a été redécouverte et rétablie comme condition du dialogue, de la coopération, de la prière commune, de la solidarité », s’est réjouit Benoît XVI.

Le pape a répété ce qu’il a déclaré l’an dernier au début de son pontificat : « Mon intention », a-t-il dit, est la même que celle du Concile : arriver « à l’unité visible de l’Eglise ».

Mais sur ce chemin, ajoutait-il, il reste « beaucoup » à faire, surtout dans un monde qui, avec ses « rapides bouleversements » conditionne d’une certaine façon aussi le domaine œcuménique.

Parmi ces bouleversements, le pape mentionnait les Eglises d’Orient qui « ont retrouvé la liberté et se sont engagées dans un vaste processus de réorganisation et de retour à la vie ». « Nous leurs sommes proches, ajoutait le pape, par nos sentiments et notre prière. La partie orientale et la partie occidentale de l’Europe se rapprochent : cela incite les Eglises à coordonner leurs efforts pour la préservation de la tradition chrétienne et pour l’annonce de l’Evangile aux nouvelles générations ».

Benoît XVI a salué le « nouvel élan » du dialogue théologique entre catholiques et orthodoxes, qui a repris en Serbie en septembre dernier.

Benoît XVI évoquait également son « imminente » visite à Sa Sainteté Bartholomaios Ier et au patriarcat œcuménique comme « un nouveau signe de considération pour les Eglises orthodoxes » qui, espère le pape, sera « un stimulant pour hâter le pas vers le rétablissement de la pleine communion ».

Côté occidental, Benoît XVI a défini comme « ouverts et amicaux » les dialogues bilatéraux en cours spécialement avec les Eglises luthérienne et méthodiste.

Le pape a rappelé l’accord du 31 octobre 1999, relatif à la « Déclaration conjointe sur la doctrine de la justification » qui a obtenu entre temps aussi l’assentiment des méthodistes.

« Reste cependant, notait le pape, la difficulté de trouver une conception commune du rapport entre l’Evangile et l’Eglise », entre « le mystère de l’Eglise et de son unité », sur la question du « ministère dans l’Eglise ».

De nouvelles difficultés ont en outre surgi dans le « domaine éthique », ajoutait le pape, et les « différentes positions adoptées par les confessions chrétiennes sur le problématiques actuelles en ont réduit leur force d’orientation dans l’opinion publique ».
« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI dans Pape Benoit Eglise%20bizantine Une église Byzantine au pied de l’Acropole, site français:

 http://www3.ac-clermont.fr/etabliss/st-dominique-vichy/nosplus.htm

 

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI

19 novembre, 2006

 du Zenith: 

2006-11-17

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité »Assemblée du dicastère pour la Promotion de l’unité des chrétiens

ROME, Vendredi 17 novembre 2006 (ZENIT.org) –

« L’œcuménisme de l’amour » éclaire « le dialogue de la vérité », a affirmé le pape Benoît XVI qui a reçu ce matin au Vatican les membres de l’assemblée plénière du conseil pontifical pour la Promotion de l’unité des chrétiens.

L’assemblée avait pour thème « Les changements dans la situation œcuménique ».

Pour que le dialogue œcuménique se déroule « dans la vérité », la « charité » est indispensable, a observé Benoît XVI.

Benoît XVI a évoqué l’indispensable avenir œcuménique de l’Eglise en disant : « Ce qui, de toute façon, doit être promu avant tout est l’œcuménisme de l’amour qui descend directement du commandement nouveau de l’amour laissé par Jésus à ses disciples. L’amour accompagné de gestes cohérents créé la confiance, fait s’ouvrir les cœurs et les yeux. Le dialogue de la charité promeut par nature et éclaire le dialogue de la vérité : c’est en effet dans la pleine vérité qu’aura lieu la rencontre définitive à laquelle conduit l’Esprit du Christ. Ce ne sont certainement pas le relativisme facile et le faux irénisme qui résolvent la recherche œcuménique. Ils la déforment et la désorientent. Il faut ensuite intensifier la formation œcuménique en partant des fondements de la foi chrétienne, c’est-à-dire de l’annonce de l’amour de Dieu qui s’est révélé dans le visage de Jésus Christ, et de façon contemporaine, dans le Christ, a dévoilé l’homme à lui-même et lui a fait comprendre sa très haute vocation ».

Benoît XVI a examiné, à partir de ce principe, les lumières et les ombres sur la route de l’œcuménisme.

De la présence silencieuse au dialogue :
« En vérité, disait Benoît XVI, en italien, du Concile Vatican II à aujourd’hui, de nombreux pas ont été faits vers la pleine communion. J’ai devant les yeux l’image de la salle du Concile, où les Observateurs délégués des autres Eglises et des communautés ecclésiales étaient attentifs mais silencieux. Cette image a été remplacée aux cours des décennies successives à la réalité du dialogue avec toutes les Eglises et les communautés ecclésiales d’Orient et d’Occident. Le silence s’est transformé en parole de communion ».

« La fraternité entre tous les chrétiens a été redécouverte et rétablie comme condition du dialogue, de la coopération, de la prière commune, de la solidarité », s’est réjouit Benoît XVI.

Le pape a répété ce qu’il a déclaré l’an dernier au début de son pontificat : « Mon intention », a-t-il dit, est la même que celle du Concile : arriver « à l’unité visible de l’Eglise ».

Mais sur ce chemin, ajoutait-il, il reste « beaucoup » à faire, surtout dans un monde qui, avec ses « rapides bouleversements » conditionne d’une certaine façon aussi le domaine œcuménique.

Parmi ces bouleversements, le pape mentionnait les Eglises d’Orient qui « ont retrouvé la liberté et se sont engagées dans un vaste processus de réorganisation et de retour à la vie ». « Nous leurs sommes proches, ajoutait le pape, par nos sentiments et notre prière. La partie orientale et la partie occidentale de l’Europe se rapprochent : cela incite les Eglises à coordonner leurs efforts pour la préservation de la tradition chrétienne et pour l’annonce de l’Evangile aux nouvelles générations ».

Benoît XVI a salué le « nouvel élan » du dialogue théologique entre catholiques et orthodoxes, qui a repris en Serbie en septembre dernier.

Benoît XVI évoquait également son « imminente » visite à Sa Sainteté Bartholomaios Ier et au patriarcat œcuménique comme « un nouveau signe de considération pour les Eglises orthodoxes » qui, espère le pape, sera « un stimulant pour hâter le pas vers le rétablissement de la pleine communion ».

Côté occidental, Benoît XVI a défini comme « ouverts et amicaux » les dialogues bilatéraux en cours spécialement avec les Eglises luthérienne et méthodiste.

Le pape a rappelé l’accord du 31 octobre 1999, relatif à la « Déclaration conjointe sur la doctrine de la justification » qui a obtenu entre temps aussi l’assentiment des méthodistes.

« Reste cependant, notait le pape, la difficulté de trouver une conception commune du rapport entre l’Evangile et l’Eglise », entre « le mystère de l’Eglise et de son unité », sur la question du « ministère dans l’Eglise ».

De nouvelles difficultés ont en outre surgi dans le « domaine éthique », ajoutait le pape, et les « différentes positions adoptées par les confessions chrétiennes sur le problématiques actuelles en ont réduit leur force d’orientation dans l’opinion publique ».

Benoît XVI propose saint Albert Le Grand en exemple aux jeunes

16 novembre, 2006

 du Zenith: 

2006-11-15

Benoît XVI propose saint Albert Le Grand en exemple aux jeunes

Un artisan de paix du XIIIes

ROME, Mercredi 15 novembre 2006 (ZENIT.org) –

 Saluant les jeunes, les malades et les jeunes mariés à la fin de l’audience générale, le pape Benoît XVI leur a offert le modèle du saint dominicain, Albert le Grand, qui s’est sans cesse efforcé, disait le pape, « d’établir la paix entre les peuples de son époque ». Le grand théologien a été évêque de Ratisbonne.« Que son exemple vous stimule, chers jeunes, disait le pape, à être ouvriers et de justice et des artisans de réconciliation. Qu’ils soit pour vous, chers malades, un encouragement à avoir confiance dans le Seigneur, qui ne nous abandonne jamais au moment de l’épreuve. Qu’il soit pour vous, chers jeunes mariés, un stimulant pour trouver dans l’Evangile la joie d’accueillir et de servir généreusement la vie, don incommensurable de Dieu ».

Rappelons que saint Albert le Grand est né en Allemagne entre 1193 et 1206, aux environs d’Augsbourg, de parents fortunés. Doué dès l’enfance pour les études, il abandonna la tradition familiale chevaleresque et partit étudier à l’université de Padoue.

A 30 ans, il supplia la Vierge Marie de lui indiquer sa vocation et entendit cette réponse intérieure: « Quitte le monde et entre dans l’Ordre de Saint-Dominique ».

Non sans susciter des résistances chez les siens, il entra ainsi au noviciat des Dominicains.

Devenu docteur en théologie, il fut envoyé à Cologne, où il attira de nombreux disciples, dont un géant : saint Thomas d’Aquin.

De Cologne, il fut appelé à l’Université de Paris, où il partit avec saint Thomas et où il rédigea de nombreux ouvrages.

Puis il fut élu provincial de son Ordre en Allemagne. Il voyagea alors sans argent et à pied pour visiter les nombreux monastères soumis à sa juridiction.

A 67 ans, le pape lui demanda d’accepter la responsabilité d’évêque de Ratisbonne, où il traversa de rudes épreuves.

Il est mort le 15 novembre 1280. Il fut enseveli à Cologne dans l’église des Dominicains.

Il laissait 21 volumes in-folio d’œuvres concernant les sciences, la philosophie et la théologie.

Il a été canonisé le 16 décembre 1931, par le pape Pie XI qui le proclama docteur de l’Église.

Benoît XVI propose saint Albert Le Grand en exemple aux jeunes dans Pape Benoit 250px-AlbertusMagnus

saint Albert Le Grand

image du:

http://it.wikipedia.org/wiki/Alberto_Magno

Dieu est Amour – (SBF)

16 novembre, 2006

28.01.2006 @ 13:13
Dieu est Amour

SBF Dialogue (Studium Biblicum Franciscanum Jerusalem)

La première lettre encyclique de Benoit XVI plonge ses lecteurs dans l’immensité du mystère de Dieu et de l’homme tout à la fois. Du fait même elle a une dimension inter religieuse, car elle concerne tout homme. C’est la qualité divine de l’amour qui mesure la qualité humaine d’une vie. Pour le chrétien tout ce qui est humain prend une nouvelle dimension religieuse. Les racines juives de cette doctrine sont rappelées clairement.
L’unique commandement de l’amour concerne Dieu et l’homme. L’amour du prochain n’est pas une simple répétition de l’amour de Dieu : aimer le prochain, c’est plus qu’aimer Dieu dans le prochain, c’est aimer l’homme tout court, en cherchant dans l’amour de Dieu pour l’homme son fondement. L’unique motif d’aimer l’homme est l’amour de Dieu pour nous
Les caricatures de la charité sont nombreuses dans le monde globalisé au point que le mot lui-même de charité est suspect. Le procès fait à la charité est entamé au nom de la justice. La charité exige la justice, mais la dépasse. Bien plus, la charité doit présider aux combats de la justice en dépassant l’équilibre des droits. Peut-être est-ce là le plus grand défi lancé à la dureté des temps modernes épris de justice. La charité n’est pas la justice. La justice concerne l’ordre politique. Cependant, ce qui reste fondamental est le «service d’amour», nécessaire à l’homme. Il convient donc que l’État reconnaisse le bien-fondé de l’intervention directe de l’Église en matière de charité, et lui donne toute sa place.

Tout amour vient de Dieu et appelle à une charité renouvelée. Les religions ne sont pas d’abord affaire de loi ou de morale, mais d’amour. L’amour est inscrit au plus profond de tout être humain. On accuse parfois le christianisme d’avoir méconnu cette réalité. Benoît XVI répond à cette objection : ce que la Bible dénonce, c’est l’eros réduit à une expérience de la plus haute béatitude. C’est là une fausse divinisation de cet amour qui prive l’homme de sa dignité et le dégrade. L’amour vrai , l’agapê, a partie liée au divin, puisqu’il promet l’infini et l’éternité.

Benoit XVI s’attache à établir ce lien sur la base de la constitution de l’être humain, à la fois corps et âme voués à s’accepter pour accéder à leur dignité : «Le défi de l’eros est vraiment surmonté lorsque cette unification est réussie» entre corps et âme. Ce n’est donc pas l’Église qui rabaisse le corps mais une fausse exaltation du corps qui le réduit à une chose : «L’eros rabaissé simplement au sexe devient une marchandise».
La Bible sait que la beauté ne peut pas sauver l’homme si elle est séparée du bien. La beauté excite le désir de l’homme. Le véritable amour n’est pas cependant un érotisme impersonnel. Il met l’eros au service de l’agapê pour l’épanouir et l’ouvrir à sa véritable dimension d’absolu. Le commandement biblique de l’amour demande d’aimer Dieu avec tout son coeur, avec les deux tendances qui sont dans le coeur de l’homme, avec l’eros et l’agapê. S’abandonner au mouvement aveugle de l’eros c’est se désintégrer. Intégrer réellement l’eros signifie permettre à la force de la vie de devenir célébration d’une rencontre et joie de la découverte d’une tendresse.
Enfin, «la façon dont Dieu aime devient la mesure de l’amour humain.» Ainsi, «l’amour de Dieu et l’amour du prochain se fondent l’un dans l’autre. Un processus jamais achevé au fil d’une vie, jusqu’à ce que Dieu soit découvert «plus intime à moi-même que moi-même», comme l’affirme saint Augustin, qui conclut : «L’amour grandit par l’amour».

Pour Grégoire de Nysse Abraham est le symbole de l’homme qui sans poser de questions chemine à travers les profondeurs mystérieuses de Dieu. Or les fils d’Abraham, juifs, chrétiens et musulmans, se comportent différemment de leur père: ils posent des questions et exigent des preuves. Les chrétiens ont conclu de la définition du Dieu-Amour à un Dieu-Trinité, communion d’amour. Parler d’un Dieu Trinité signifie retourner au polythéisme pour les Juifs et les Musulmans. Même si la Trinité n’est qu’une expression de l’Amour de Dieu comme l’affirment les chrétiens, que signifie un Dieu Amour alors que l’homme se comporte comme un loup envers les autres? Cet Amour transparaît si peu dans notre monde violent. Les interrogations ne manquent pas. Pascal, le philosophe, notait déjà: “La révélation signifie le voile ôté, or l’incarnation voile encore davantage la face de Dieu”. Un dialogue inter-religieux en profondeur ne peut pas éviter d’aborder le mystère de Dieu. “Dieu est plus grand que notre coeur”, affirme 1 Jn 3,20. Il est plus grand que ce que nos Ecritures peuvent nous dire ou nous faire comprendre de lui.
Benoit XVI invite les chrétiens à entrer dans le silence de Dieu pour contempler son mystère de communion et d’unité. Le silence qui est une qualité de Dieu n’est plus à la mode. Il demeure cependant une condition essentielle pour découvrir Dieu présent en nous. Si le Dieu que nous adorons est le Dieu vivant, et non pas une idole que nous recomposons à partir de notre raison, ce Dieu ne peut être que plus grand que les concepts que nous avons de lui. Juifs, chrétiens et musulmans ont une réflexion à mener ensemble pour dépasser les jugements trop réducteurs du mystère de Dieu. Cela concerne tout d’abord la compréhension de leur propre tradition. Un jour ou l’autre les trois religions monothéistes devront s’interroger sur le sens de la Révélation et ce qu’elles entendent par là.

Frédéric Manns ofm

Dieu est Amour - (SBF) dans Pape Benoit bullenhuser9903

cette image a été mise sous le titre « Dieu est amour »

site:

http://www.annesdoor.com/Foto/bullenhuser9903.jpg

Le Pape: l’Esprit oriente le chrétien vers l’amour, la communion et l’espoir

15 novembre, 2006

 article de AsiaNews, traduction du site:

15 Novembre 2006 VATICAN

Le Pape: l’Esprit oriente le chrétien vers l’amour, la communion et l’espoir 

Bénit XVI à l’audience générale illustre les enseignements de Paolo sur la troisième personne de
la Trinité, qui pas seulement pousse à la mission et sollicite la communion, mais il agit sur la personnalité même du chrétien. Ville du Vatican (AsiaNews) – Pousser le chrétien à la mission, solliciter la communion et pousser à l’amour pour les autres : ils sont quelques des manifestations de l’action de l’Esprit, qui cependant agit même dans la personnalité même du croyant. La troisième personne de
la Trinité, « âme de notre âme » oriente en effet notre vie « vers les grandes valeurs de l’amour, de la joie, de la communion et de l’espoir ». « Il revient à nous en faire à chaque giorno expérience, en secondant les intérieures suggestions ». L’Esprit Saint, ce qui est illustré en San Paolo, a été craint dont aujourd’hui Bénit XVI a parlé aux 25mila des personnes présentes en place San Pietro pour l’audience générale. À la foule joyeux, dans une splendide matinée de seules,
la Papa pour la troisième semaine a parlé de Paolo, qui a défini « un géant pas seulement sur le plan de l’apostolat concrétise, mais même sur le plan de la doctrine théologique, extraordinairement profonde et de stimulant ». De l’Apôtre des gens, aujourd’hui Bénit XVI a illustré les considérations sur l’Esprit Saint. « Nous connaissons – il a dit – combien de San Luc dit dans les Actes des apôtres en décrivant l’évènement de
la Pentecôte : ` l’Esprit du pentecôte apporte avec lui la poussée vigoureuse à assumer pas seulement la mission pour témoigner l’évangile sur les routes du monde’ ». Rappelé que les Actes narrent toute une série de missions accomplies des apôtres et surtout les trois des grands voyages des missionnaires accomplis de Paolo,
la Papa a remarqué que « cependant Paolo dans ses lettres nous parle de l’Esprit même sous une autre point de vu. Il on n’arrête pas à illustrer seulement la dimension dynamique, opérationnelle de la troisième personne de
la Trinité, mais il en analyse même la présence dans la vie du chrétien, l’identité de laquelle en reste marquée. Dans autres mots Paolo nous parle de l’Esprit Saint en exposant l’influence de l’Esprit pas seulement sur agir du chrétien, mais même sur notre être. En effet pour Paolo l’esprit de Dieu habite dans nous et Dieu a envoyé l’Esprit de son fils dans nos coeurs. Pour Paolo donc, l’Esprit il nous connote fin dans la plus intime profondeur personnelle « . « Il se voit – il a poursuivi
la Papa – qui le chrétien ancre avant d’agir possède déjà une intériorité riche et féconde offerte nous des sacrement du baptême et de la confirmation, une intériorité qui nous établit dans un objectif et un original rapport de filiation vis-à-vis de Dieu. Elle est celle-ci notre grande dignité, de ne pas être seulement image, mais fils de Dieu « . Cela représente une invitation « à vivre notre progéniture, à être toujours plus conscient que nous sommes des fils adoptes vous dans la grande famille de Dieu, une invitation de transformer ce don objectif même dans la réalité subjective incarnant-le de dans les nôtre penser, agir, un être ». Paolo enseigne même une autre chose importante, qu’elle n’existe pas vraie prière sans la présence de l’Esprit dans nous. Dans
la Lettre aux Romains il dit que « l’Esprit vient en aide à notre faiblesse, parce que nous ne savons ce qu’il soit avantageux demander ». « Et comme il est vrai que nous ne savons pas comme parler avec Dieu », il a commenté Bénit XVI, en ajoutant que lorsque San Paolo dit que « l’Esprit même intercède pour, nous prie pour », « est comme dire que l’Esprit est comme l’âme de notre âme, la partie plus secrète de notre être dont salles incessante ment vers Dieu un mouvement de prière, dont nous ne pouvons ne pas percevoir les termes ». Bénit XVI a ensuite remarqué des ultérieurs attends de l’action de l’Esprit, en se rappelant de que « dans le ` Deus caritas  est-le, citais Sant’Agostino : si tu vois le « caritas » vois le « Trinitas » et je continuais en expliquant que l’esprit est cette puissance intérieure qui harmonise notre coeur avec celui de Christ et il faut à des amères les frères comme il les a aimés. Il nous introduit dans le rythme même de la vie divine qui est vie de amour, en nous faisant tu participes des rapports se passants entre le Père et le Fils. Il n’est pas sans signifié que Paolo lorsque il nous énumère les diverses composantes des fructification de l’Esprit pose à la première place l’amour. Le frui de l’Esprit – il a conclu – est amour, joie, paix « .
 

Le Pape: l'Esprit oriente le chrétien vers l'amour, la communion et l'espoir dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI leads his weekly general audience in Saint Peter’s Square at the Vatican November 15, 2006. REUTERS/Tony Gentile (VATICAN)

Le pape Benoît XVI réclame la dignité pour les migrants

14 novembre, 2006

du site: 

http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200002&sid=7254734&cKey=1163509883000 

Le pape Benoît XVI réclame la dignité pour les migrants

Le pape Benoît XVI réclame la dignité pour les migrants dans Pape Benoit spacer

14.11.2006 10:21

spacer dans Pape Benoit

BAGDAD – Benoît XVI a réclamé des garanties pour « les droits et la dignité » des migrants, en particulier dans les camps de réfugiés. Le pape a dénoncé « le risque d’une exploitation sexuelle des femmes et des enfants » dans cette situation, selon un texte diffusé par le Vatican. »Je ressens le devoir d’attirer l’attention sur les familles des réfugiés dont les conditions semblent avoir empiré. Dans les camps qui leur sont destinés vient parfois s’ajouter (…) le risque de l’implication des femmes et des enfants dans l’exploitation sexuelle », souligne le pape dans ce message diffusé en prévision de la Journée Mondiale des Migrants et des Réfugiés.

Le pape souhaite enfin que les étudiants migrants soient considérés d’ »une façon spéciale », soulignant que « leur venir en aide représente pour l’Eglise un domaine d’action pastorale important ». (ATS)

emigranti-italiani

migrantes italiens à N.Y. 1905, photo:

http://galloste.giovani.it/tags/economia/

quelche meditation dans la nuit

14 novembre, 2006

je suis en train de penser beaucoup de choses et je ne réussis pas à dormir, belles choses – au moins maintenant – specialemente la nuit, le Seigneur se fait près de moi et il me rappelle les belles choses, qu’Il fait pour moi, malgré les souffrances qui me procure la vie, vous je veux lui dire, parce que je crois que vous compreniez;

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Le pape reçoit un philosophe mahométan engagé dans la lutte contre la haine

13 novembre, 2006

du site: 

http://www.chretiente.info/spip.php?breve1545 

Le pape reçoit un philosophe mahométan engagé dans la lutte contre la haine

12 novembre 2006

Le pape Benoît XVI a reçu en tête-à-tête samedi au cours d’une rencontre exceptionnelle l’universitaire algérien Mustapha Cherif, un philosophe engagé dans la lutte contre la haine religieuse.

« Le pape m’a écouté avec beaucoup d’attention, beaucoup de bonté, et il y a eu un véritable échange », a indiqué Mustapha Cherif.

M. Cherif, qui enseigne à l’université l’Alger et a été en France l’un des fondateurs d’un groupe de dialogue islamo-chrétien (le GAIC), avait demandé à être reçu par le pape il y a plusieurs mois.

« Le dialogue interreligieux est le facteur décisif » permettant de « faire reculer la méconnaissance, le fanatisme, rappeler notre socle commun, relancer la réflexion sur nos différences et les défis communs », a estimé l’intellectuel algérien.

M. Cherif a ainsi proposé au pape « la tenue d’un colloque interreligieux sur le thème de la lutte contre la haine religieuse », « la sensibilisation de la communauté internationale sur le caractère condamnable des offenses (…) contre les symboles sacrés des religions (…) dans le respect du droit de la liberté d’expression » et la « multiplication de groupes de dialogue et d’amitié islamo-chrétiens ».

Benoît XVI « m’a dit qu’il partage pleinement nos soucis et soutient ces objectifs nobles », a assuré M. Cherif.

La rencontre n’a pas été annoncée par le Vatican et n’a fait l’objet d’aucun communiqué.

Le pape reçoit un philosophe mahométan engagé dans la lutte contre la haine dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI looks on during an audience with members of the ‘Fondazione Famiglia di Villa Nazareth’ (Foundation of the Family of Villa Nazareth) on the occasion of the 60th anniversary of the foundation, at the Paul VI Hall at the Vatican, Saturday, Nov. 11, 2006. In the background is Archbishop James Harvey, Prefect of the Papal Household

Programme du voyage du Pape Benoît XVI

13 novembre, 2006

du Zenith: 

2006-11-12

Turquie : Une visite sous le signe du dialogue œcuménique

Programme du voyage du pape Benoît XVI

ROME, Dimanche 12 novembre 2006 (ZENIT.org) – Le voyage de Benoît XVI en Turquie est sous le signe du dialogue œcuménique. En effet, le pape rencontrera le patriarche Bartholomaios Ier, et participera à la sainte liturgie de la saint André. Une déclaration conjointe est annoncée.Le pape rencontrera également, à la cathédrale arménienne apostolique, S. B. Mesrob II, puis le métropolite syro-orthodoxe.

En outre, le pape rencontrera le grand rabbin de Turquie.

Au cours de sa visite, le pape doit présider deux fois la messe, à Ephèse et à Istanbul, où il dînera avec les membres de la conférence des évêques catholiques de Turquie.

Enfin, le pape rencontrera trois autorités de l’Etat : le président, le vice premier ministre et le président pour les Affaires religieuses, ainsi que le Corps diplomatique.

La salle de presse du Saint-Siège a publié samedi le programme détaillé du voyage du pape en Turquie du mardi 28 novembre au vendredi 1er décembre.

En tout, le voyage sera l’occasion de huit déclarations, allocutions, discours ou homélies de Benoît XVI.

Voici le programme de chaque journée :

Mardi 28 novembre : Ankara

9 heures : Départ de l’aéroport romain Leonardo da Vinci, de Fiumicino
13 heures : Arrivée à l’aéroport international Esemboga d’Ankara
Visite du mausolée de Mustafa Kemal Atatürk (1881-1938)
Cérémonie de bienvenue et visite de courtoisie au président de la République
Rencontre avec le vice Premier ministre

Rencontre avec le président pour les Affaires religieuses
Premier discours de Benoît XVI (1)

Rencontre avec le Corps diplomatique
Deuxième discours de Benoît XVI (2)

Mercredi 29 novembre : Ephèse et Istanbul

Ephèse : Messe
Homélie de Benoît XVI (3)

Istanbul : Visite et prière à l’église patriarcale Saint-Georges et rencontre privée avec le patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomaios Ier
Salutation de Benoît XVI (4)

Jeudi 30 novembre : Istanbul

Divine liturgie en l’église patriarcale Saint-Georges
Discours du pape (5) et déclaration conjointe (6)

Visite au Musée de Sainte-Sophie

Visite de prière à la cathédrale arménienne apostolique et rencontre avec S. B. Mesrob II
Salutation de Benoît XVI (7)

Rencontre avec le Métropolite syro-orthodoxe

Rencontre avec le grand rabbin de Turquie

Rencontre et dîner avec les membres de la conférence épiscopale catholique

Vendredi 1er décembre : Istanbul

Messe en la cathédrale du Saint-Esprit
Homélie de Benoît XVI (8)

Cérémonie d’adieu à l’aéroport d’Istanbul

13 heures 15 : Départ pour Rome

14 h 45 : Arrivée à l’aéroport romain de Ciampino

Fuseaux horaires : il y a une heure de décalage entre l’Italie et la Turquie.
Italie: + 1 UTC
Turquie: + 2 UTC
Programme du voyage du Pape Benoît XVI dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI waves as he leads his weekly general audience in Saint Peter’s Square at the Vatican November 8, 2006. REUTERS/Max Rossi (VATICAN)

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