Archive pour la catégorie 'Pape Benoît – écrit'

Benoît XVI reconnaît 6 miracles : décrets de la congrégation des saints

5 juin, 2007

du site: 

http://www.zenit.org/french/

2007-06-04

Benoît XVI reconnaît 6 miracles : décrets de la congrégation des saints

Bientôt deux saintes et quatre nouveaux bienheureux

ROME, Lundi 4 juin 2007 (ZENIT.org) – Le pape Benoît XVI a ordonné la publication de 6 décrets reconnaissant l’authenticité de 6 miracles, le 1er juin, en présence des membres de la Congrégation pour les causes des saints et des postulateurs. Ces « miracles » ont été reconnus comme dus à l’intercession de deux bienheureuses une religieuse indienne et une laïque de l’Equateur, et de trois serviteurs de Dieu d’Italie, de Pologne, et d’Allemagne.

Il s’agit de deux bienheureuses qui pourront donc être canonisées:

- Alfonsa de l’Immaculée, clarisse indienne du tiers-ordre (au siècle Anna Muttathupandathu, 1910-1946)

- Narcisa de Jesús Martillo Morán, laïque équatorienne (1833-1869)

Le serviteur et trois servantes de Dieu suivants pourront donc être béatifiés (il faudra un nouveau miracle survenu après la béatification pour la canonisation):

- Antonio Rosmini, prêtre italien fondateur de l’Institut des Soeurs de la Providence (1797-1855)

- Maria Merkert, religieuse polonaise cofondatrice et première supérieure générale de la Congrégation de Sainte-Elisabeth (1817-1872)

- Josépha (au siècle, Endrina Stenmanns), cofondatrice allemande de la congrégation des soeurs du Saint Esprit (1852-1903)

- Célestina de la Mère de Dieu (au siècle, Maria Anna Donati), fondatrice italienne de la congrégation des Filles de Saint-Joseph de Calasanz (1848-1925)

Aux francophones : « L’amour de l’Eglise » et la « joie d’y trouver des frères »

24 novembre, 2006

du Zenith:

Aux francophones : « L’amour de l’Eglise » et la « joie d’y trouver des frères »

Le pape salue une délégation du BICE et des pèlerins de Thessalonique

ROME, Mercredi 22 novembre 2006 (ZENIT.org) –

Le pape Benoît XVI souhaite aux pèlerins francophones « l’amour de l’Eglise » et de faire l’expérience de la « joie d’y trouver des frères ».« Je salue cordialement les pèlerins de langue française, en particulier la Délégation du Bureau international catholique de l’Enfance et les pèlerins de Thessalonique accompagnés par Mgr Ioannis Spiteris, disait Benoît XVI en français.

Il leur souhaitait : « Que le Seigneur vous donne l’amour de son Eglise, à l’exemple de Paul, et la joie d’y trouver des frères! »

L’archevêque de Corfou, en Grèce, Mgr Ioannis Spiteris, est né à Corfou en 1940. Il a tissé des relations avec l’Eglise d’Italie en entrant chez les Capucins de Palerme, en Sicile, où il a prononcé ses premiers vœux en 1963. Il a été ordonné prêtre en 1968 par l’archevêque de Corfou, Mgr Antoine Varthalitis. Il a ensuite continué ses études de théologie orientale et il a obtenu son doctorat à l’université de Fribourg. Il a été professeur dans diverses universités catholiques. Il est l’auteur de livres et d’articles sur la théologie grecque orthodoxe. Il a été consacré en 2003 comme archevêque de Corfou, Zakynthos et Cephallenie et administrateur apostolique du vicariat de Thessalonique. Il fait partie de la Commission des épiscopats de la communauté européenne (COMECE).

Le Bureau International Catholique de l’Enfance (www.bice.org) a été créé en 1948. C’est une Organisation non gouvernementale internationale de droit français (1901), reconnue d’assistance et de bienfaisance présente dans 35 pays.Le BICE veut favoriser le « respect inconditionnel de l’enfant, sa famille, sa communauté, sa culture et sa religion », la « défense de l’enfant exploité sexuellement et par le travail, de l’enfant dans la rue, la prison ou la guerre et de l’enfant handicapé », grâce notamment à une « concertation internationale avec les ONG et les réseaux pluridisciplinaires (médecins, pédagogues, psychologues, juristes…) ».

Le BICE a un statut consultatif auprès de l’UNICEF, du Conseil Economique et Social des Nations Unies et du Conseil de l’Europe, des relations opérationnelles avec l’UNESCO.

Aux francophones : « L’amour de l’Eglise » et la « joie d’y trouver des frères » dans Pape Benoît - écrit

Pope Benedict XVI has his face covered by the cape during the weekly general audience at the Vatican Wednesday, Nov. 22, 2006. In his speech the Pontiff condemned the killing of Lebanon’s Christian leader and Cabinet minister Pierre Gemayel, and called on all Lebanese to work for peace and reconciliation. The pope described Tuesday’s assassination as a ‘brutal attack’ saying that ‘dark forces are trying to destroy the country.’ (AP Photo/Plinio Lepri)

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,

22 novembre, 2006

du Zenith: 

2006-11-21

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,

1er livre du pape

Un livre christocentrique et trinitaire

ROME, Mardi 21 novembre 2006 (ZENIT.org) –

 Benoît XVI vient d’achever la première partie de son premier livre en tant que pape. Cette lecture de l’Evangile est centrée sur la connaissance de la personne de Jésus, dans sa relation aux deux autres personnes de la Sainte Trinité, comme l’indique le titre, révélé par la salle de presse du Saint-Siège: « Jésus de Nazareth. Du baptême dans le Jourdain à la Transfiguration ».Le Baptême dans le Jourdain et la transfiguration sont en effet par excellence des lieux de l’Evangile où le Père manifeste sa paternité et son amour pour son Fils, dans l’Esprit.

Le pape vient de remettre son texte à la Librairie éditrice du Vatican (LEV) son éditeur, qui a exprimé mardi ses remerciements à Benoît XVI pour son « estime » et sa « confiance ».

La LEV a déjà signé des accords avec les éditions italiennes Rizzoli pour les droits de traductions de diffusion et de commercialisation dans le monde entier.

La LEV exprime ainsi la continuité de collaboration avec la « Casa Editrice Rizzoli » et la remercie de son travail éditorial pour faire connaître les écrits de Jean-Paul II, en particulier son dernier essai: « Mémoire et identité ».

Pour l’Allemagne, Rizzoli a reconnu les « liens d’estime et d’amitié » qui lient depuis plus de 50 ans le professeur puis cardinal Ratzinger aux éditions Herder et c’est pourquoi la « Herder Verlag » s’est vu céder les droits sur l’œuvre dans la République fédérale.

« Jésus de Nazareth. Du baptême à la Transfiguration »,  dans Pape Benoît - écrit

Pope Benedict XVI gives his weekly general audience in St Peter’s square at the Vatican, November 15. The pope has put the finishing touches on the first volume of a work titled « Jesus of Nazareth » that will hit the bookstores in the spring, the Vatican has said.(AFP/File/Vincenzo Pinto)

Dieu est Amour – (SBF)

16 novembre, 2006

28.01.2006 @ 13:13
Dieu est Amour

SBF Dialogue (Studium Biblicum Franciscanum Jerusalem)

La première lettre encyclique de Benoit XVI plonge ses lecteurs dans l’immensité du mystère de Dieu et de l’homme tout à la fois. Du fait même elle a une dimension inter religieuse, car elle concerne tout homme. C’est la qualité divine de l’amour qui mesure la qualité humaine d’une vie. Pour le chrétien tout ce qui est humain prend une nouvelle dimension religieuse. Les racines juives de cette doctrine sont rappelées clairement.
L’unique commandement de l’amour concerne Dieu et l’homme. L’amour du prochain n’est pas une simple répétition de l’amour de Dieu : aimer le prochain, c’est plus qu’aimer Dieu dans le prochain, c’est aimer l’homme tout court, en cherchant dans l’amour de Dieu pour l’homme son fondement. L’unique motif d’aimer l’homme est l’amour de Dieu pour nous
Les caricatures de la charité sont nombreuses dans le monde globalisé au point que le mot lui-même de charité est suspect. Le procès fait à la charité est entamé au nom de la justice. La charité exige la justice, mais la dépasse. Bien plus, la charité doit présider aux combats de la justice en dépassant l’équilibre des droits. Peut-être est-ce là le plus grand défi lancé à la dureté des temps modernes épris de justice. La charité n’est pas la justice. La justice concerne l’ordre politique. Cependant, ce qui reste fondamental est le «service d’amour», nécessaire à l’homme. Il convient donc que l’État reconnaisse le bien-fondé de l’intervention directe de l’Église en matière de charité, et lui donne toute sa place.

Tout amour vient de Dieu et appelle à une charité renouvelée. Les religions ne sont pas d’abord affaire de loi ou de morale, mais d’amour. L’amour est inscrit au plus profond de tout être humain. On accuse parfois le christianisme d’avoir méconnu cette réalité. Benoît XVI répond à cette objection : ce que la Bible dénonce, c’est l’eros réduit à une expérience de la plus haute béatitude. C’est là une fausse divinisation de cet amour qui prive l’homme de sa dignité et le dégrade. L’amour vrai , l’agapê, a partie liée au divin, puisqu’il promet l’infini et l’éternité.

Benoit XVI s’attache à établir ce lien sur la base de la constitution de l’être humain, à la fois corps et âme voués à s’accepter pour accéder à leur dignité : «Le défi de l’eros est vraiment surmonté lorsque cette unification est réussie» entre corps et âme. Ce n’est donc pas l’Église qui rabaisse le corps mais une fausse exaltation du corps qui le réduit à une chose : «L’eros rabaissé simplement au sexe devient une marchandise».
La Bible sait que la beauté ne peut pas sauver l’homme si elle est séparée du bien. La beauté excite le désir de l’homme. Le véritable amour n’est pas cependant un érotisme impersonnel. Il met l’eros au service de l’agapê pour l’épanouir et l’ouvrir à sa véritable dimension d’absolu. Le commandement biblique de l’amour demande d’aimer Dieu avec tout son coeur, avec les deux tendances qui sont dans le coeur de l’homme, avec l’eros et l’agapê. S’abandonner au mouvement aveugle de l’eros c’est se désintégrer. Intégrer réellement l’eros signifie permettre à la force de la vie de devenir célébration d’une rencontre et joie de la découverte d’une tendresse.
Enfin, «la façon dont Dieu aime devient la mesure de l’amour humain.» Ainsi, «l’amour de Dieu et l’amour du prochain se fondent l’un dans l’autre. Un processus jamais achevé au fil d’une vie, jusqu’à ce que Dieu soit découvert «plus intime à moi-même que moi-même», comme l’affirme saint Augustin, qui conclut : «L’amour grandit par l’amour».

Pour Grégoire de Nysse Abraham est le symbole de l’homme qui sans poser de questions chemine à travers les profondeurs mystérieuses de Dieu. Or les fils d’Abraham, juifs, chrétiens et musulmans, se comportent différemment de leur père: ils posent des questions et exigent des preuves. Les chrétiens ont conclu de la définition du Dieu-Amour à un Dieu-Trinité, communion d’amour. Parler d’un Dieu Trinité signifie retourner au polythéisme pour les Juifs et les Musulmans. Même si la Trinité n’est qu’une expression de l’Amour de Dieu comme l’affirment les chrétiens, que signifie un Dieu Amour alors que l’homme se comporte comme un loup envers les autres? Cet Amour transparaît si peu dans notre monde violent. Les interrogations ne manquent pas. Pascal, le philosophe, notait déjà: “La révélation signifie le voile ôté, or l’incarnation voile encore davantage la face de Dieu”. Un dialogue inter-religieux en profondeur ne peut pas éviter d’aborder le mystère de Dieu. “Dieu est plus grand que notre coeur”, affirme 1 Jn 3,20. Il est plus grand que ce que nos Ecritures peuvent nous dire ou nous faire comprendre de lui.
Benoit XVI invite les chrétiens à entrer dans le silence de Dieu pour contempler son mystère de communion et d’unité. Le silence qui est une qualité de Dieu n’est plus à la mode. Il demeure cependant une condition essentielle pour découvrir Dieu présent en nous. Si le Dieu que nous adorons est le Dieu vivant, et non pas une idole que nous recomposons à partir de notre raison, ce Dieu ne peut être que plus grand que les concepts que nous avons de lui. Juifs, chrétiens et musulmans ont une réflexion à mener ensemble pour dépasser les jugements trop réducteurs du mystère de Dieu. Cela concerne tout d’abord la compréhension de leur propre tradition. Un jour ou l’autre les trois religions monothéistes devront s’interroger sur le sens de la Révélation et ce qu’elles entendent par là.

Frédéric Manns ofm

Dieu est Amour - (SBF) dans Pape Benoit bullenhuser9903

cette image a été mise sous le titre « Dieu est amour »

site:

http://www.annesdoor.com/Foto/bullenhuser9903.jpg

Un geste de Benoît pour le déloppement des pays les plus pauvres

7 novembre, 2006

du Zenith:

2006-11-06

Un geste de Benoît XVI pour le développement des pays les plus pauvres

Prémière obligation de l’IFFImROME, Lundi 6 novembre 2006 (ZENIT.org) –

Le cardinal Renato Martino, président du conseil pontifical Justice et paix va acquérir au nom du pape la première des obligations de l’Aide financière internationale pour les vaccinations (International Financing Facility for Immunisation, IFFIm), une initiative garantie par différents gouvernements du monde.Il s’agit d’une suite donnée au projet du ministre britannique Gordon Brown, lors du congrès organisé en juillet 2004 par le conseil pontifical Justice et Paix « Pauvreté et globalisation : financement pour le développement ». Ces obligations seront mises en vente demain à Londres.

Un communiqué de Justice et Paix explique que « les obligations, qui peuvent être acquises par tout le monde – institutions, organisations, et particuliers – sont garanties par différents gouvernements – en premier le gouvernement britannique – qui payent les intérêts et remboursent le prix des obligations à échéance, alors que le prix des acquisitions ira directement aux populations les plus nécessiteuses, en particulier des enfants, et les vaccinations à grande échelle ».

« Le geste de Benoît XVI – réel et symbolique à la fois, précise encore le communiqué -, manifeste le plein soutien du Saint-Siège à cette initiative qui, avec une ample garantie internationale, produira des bénéfices immédiats et directs dans le domaine de l’aide au développement, en procurant de nouveaux financements avec des objectifs spécifiques et urgents : il suffit de penser à l’importance des vaccinations de masse pour la prévention des pandémies nouvelles et de celles qui semblaient désormais vaincues, et au contraire renaissent, comme la poliomyélite, la malaria, la tuberculose,etc.… Dans 72 pays, on sauvera ainsi 10 millions de vies dont 5 millions d’enfants, d’ici 2015 ».

Le communiqué fait observer que le IFFIm, qui engage les gouvernements qui garantissent l’opération financière, n’a rien à voir avec l’Assistance officielle au développement (Official Development Assistance, ODA), c’est-à-dire des 0,7 % du Produit intérieur brut (PIB) que les gouvernement ont eux-mêmes solennellement promis, il y a 36 ans, de destiner aux aides internationales au développement.

Le conseil pontifical déplore le manque de mise en application de cet engagement (une minorité de gouvernements a maintenu la promesse), mais espère stimuler ainsi les Etats à tenir parole, sinon les pauvres feront entendre leur colère, eux qui sont, comme le dit le pape, les « trop nombreux Lazare qui recueillent les miettes à la table des opulents

photo du site:

http://smart.tin.it/domsky/4/fotos-imagenes/immagini/1/2002_06_02_archive.html

Un geste de Benoît pour le déloppement des pays les plus pauvres dans Pape Benoît - écrit bimbi--550x342

Je désire mettre sur ce Blog quelque page de le livre « Dieu nous est proche »…

4 novembre, 2006

Je désire mettre sur ce Blog quelque page de le livre « Dieu nous est proche » Edition Parole et Silence, 2003 que est le titre que j’ai mis pour ce Blog ; je vous écris da le chapitre XIII « M’approcher de toi fait mon bonheur », j’ai écris un peu, une page – peut-être – et  je continuerai un peu pour jour, comme je je saurai faire : 

puisque les commencer de les chapitre : 

« J’attends la résurrection de morts et la vie du monde à venir. C’est ce que nous disons, dimanche après dimanche, dans le symbole de Nicée Constantinople. Attendons-nous réellement cette résurrection ? Et la vie éternelle ? Les statistique nous disent que beaucoup de chrétien, même parmi les pratiquants, ont abandonné la foi en la vie éternelle ou la considèrent du moins comme une chose peu sure. Les chiffres seraient encore plus inquiétants si nous posions des question comme celles-ci : cette attente, a-t-elle un impact pratique dans notre vie ? La prospective du pouvoir vivre éternellement, , la trouvons-nous consolante et belle ou nous parait-elle-vague et irréelle, et même pas tellement désirable ? Hans Urs Von Balthasar a posé ainsi la question : « Comme si un tendon a lui (= à l’homme moderne) avait été coupé, de sorte qu’il ne peu plus, comme autre fois, courir vers le but, comme si on lui avait rogné les ailes et que face à la transcendance, son esprit avait un organe atrophié. D’où cela peut-il venir ? » Certes le regard sur la vie au- delà de la mort n’est pas si absent qu-il pourrait paraître à première  vue. Le désir de revoir les personnes aimée est vivant de nos jours aussi. Le pressentiment qu’il pourrait y avoir un jugement auquel notre vie doit pouvoir résister nous traverse inévitablement l’esprit quand nous faisons quelque chose que nous reconnaissons comme un mal. 

suivant texte demain ou lendemain, au revoir

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