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POUR LE ‘BLOG ITALIEN ET CELUI FRANÇAIS ET EN OUTRE…

2 septembre, 2007

POUR LE ‘BLOG ITALIEN ET CELUI FRANÇAIS

Il me semble que sur les sites ils tournent encore les témoins donnés auparavant aux journalistes et négligés de le Pape pour parler à bras, en ce qui concerne la messe de ce matin le teste offert des sites devrait être cela réel, ceux-là hier m’apparaissent mélangés avec quelque teste vrai, je les ai sentis et je ne réussis pas à distinguer, ai choisi (pour le site italien) les deux articles de le site « Asia News », que, en étant des articles rapportent vécu sans l’altérer, et la prière du Papa à Marie (seulement en italien) ;

il y a beaucoup de discours qui devraient être rapportés bien, par exemple cela sur Mère Teresa de Calcutta et sa « nuit obscure » (comment se dit en français?), même ceci doit être rapporté bien et attends un site sûr comme Zenith ou le site Vatican qui peut-être demain publiera au moins en italien, sur « Avvenire » d’aujourd’hui – qui sera sur internet demain – la description journalistique de l’événement est très belle, même pour « Avvenire » nous attendons, ceci est mon avis ;

en effet ce qui a été vécu, les questions des jeunes, les réponses de la Papa à bras, émus les jeunes et ému le Pape, sont de toute façon de difficile reproposée parce que voir la Pape ému, l’atmosphère qui on vivait, l’impression de l’évènement vu de la télévision, comme je m’ai fait, je suis des choses différentes ; en ce qui concerne l’homélie de le Pape de ce matin, celle rapportée devrait être juste, toutefois, comme j’ai dit préfère attendre ;

il me semble que le Pape ait voulu surtout encourager les jeunes à la responsabilité sans faciles câlinerie;, questions : il est difficile, répondue du Pape: oui est difficile ; le Pape on n’est pas caché et il n’a pas caché les difficultés de ce temps, a répondu de Père, c’est-à-dire de papa, et a répondu de Pape, les deux aspects mélangés ensemble difficilement se rapportent à des mots, parce qu’ensuite, on ne peut pas rapporter les mots (toujours qu’elles soient cela) sans commente que démêle et interprètes l’évènement dans sa totalité ; il y a un interviewe à Mons. Bruno Forte que me plaisent, même parce que Forte à la aptitude soit de comprendre des pensées intérieures des personnes, soit la situation dans le sien ensemble, soit, et celle-ci me semble que compte, pas seulement la pensée de le Pape, mais ce qu’il porte dans le cœur : qui est notre Pape, même pour ceci nous attendons ;

je peux seulement – en conscience – offrir les choses plus immédiates, les témoins que les journalistes avaient en main auparavant sont servis à peu parce que le Pape souvent parle à bras et en outre, le teste écrit et commenté d’une personne capable il ne risque pas de manquer d’expression ; comme il veut le Pape : nous attendons la vérité toute entière ;

POUR LE BLOG FRANÇAIS EN OUTRE:

il y il a une prière de la Papa à Marie de hier soir, si je ne la trouve pas sur les sites français j’attends même pour cette demain ; sur le site Vatican il n’y a aujourd’hui les témoins même pas en italien ; sur « Avvenire » (italien), que j’ai déjà cité, que normalement report bien, seulement demain auront des articles d’une certaine qualité ; report seul deux articles pris de Yahoo France, que, justement, en étant des articles n’altèrent pas la réalité plus que tant ; en somme, comme il se dit pour les aliments en boîte, méfiez-vous de ceux que vous ne voyez pas et attendus ceux de qualité ;

encore: vous trouverez écrit « jeunes italiens », en effets il y avait jeunes de tous les côtés du monde, aussi de l’Australie et aussi de la France qu’ils agitaient leur drapeau;

 

je vous raconte ces deux jours a l’ Église de Sant’Agostino pour la fête du Saint et de la Mère,

29 août, 2007

je vous raconte ces deux jours a l’ Église de Sant’Agostino pour la fête du Saint et de la Mère, j’ai écrit premier en italien et il est venu spontané m’écrire les sentiments, les prières, les émotions, je pense que ne peux pas écrire deux fois les émotions, alors ce qui ai écrit en italienne je le traduis pour vous comme je vous avais promis;

traduction de mon écrit en italien:

il est arrivé l’instant de recompter quelque chose de ces deux jours de fête : mémoire de Sainte Monique et de Saint Augustin, je crois que des saints e de l’église même de Sant’Agostino j’en ai parlé assez, au moins du Blog « In cammino verso Gesù Cristo » et dans celui français;  je voudrais par contre vous parler de ma réaction, de mes sentiments, de ce qui se passe dans le cœur d’une personne lorsque une expérience de foi ainsi fort, fort certes, mais dans le sens plus intérieur ; 

le témoignage qui se reçoit de ces deux saints est la première chose, même si lointains dans le temps sont, toutefois, très voisin ; une deuxième qu’est-ce que est la célébration même, après avoir lu l’histoire, la pensée, la vie d’Augustin, maintenant le célébrer comme saint est quelque chose qui donne un sens de stupeur, comme si mêmes en célébrant la sainteté d’une personne que tu as personnellement connu ; en Agostino il te agite évidemment sa pensée et te touche son histoire, cette histoire qui il n’a pas caché, mais a offert comme enseignement aux autres, la grande humilité de se rappeler ses erreurs, tempêtes du cœur, et de tout ce qui est passé dans d’lui et de se rappeler de la mère : Monique, elle qu’elle a prié toute la vie pour le fils et l’a comme engendré de nouveau chaque il tourne qu’il prenait une route fausse ; elles sont celles-ci les choses qui m’ont marqué de plus dans ces jours ; 

de Monique elle me reste dans celle-ci persévérante prière pour le fils, celle-ci, presque certitude, d’être exaucé de la miséricorde du Seigneur, de Monique elle me reste qu’il a prié et a obtenu quelque chose de Dieu – pour le fils – qu’à ces temps, divergés de les nôtre, était très difficile obtenir ; l’empire romain même si au debout de sa décadence possédait encore tout son charme, un charme qui aurait pu porter Augustin – de la famille des « Aurelii » – dans une direction très différente ; 

dans ces jours ainsi pleins d’événements, ainsi il semble à  moi, ce qui me frappe : j’incendie pas seulement dans le sud Italie, mais dans Grèce, ces garçons et pas seulement garçons qui meurent à volant au samedi soir, ces guerres interminables, la haine contre l’Église que tous nous connaissons, mais que, qui comme seule il m’écrit sur un Blog dédié à la Papa et catholique, il connaît encore de plus, ils arrivent spécialement de l’Italie (ne dis pas que les français sont meilleurs, mais peut-être est divergé, leur critique vient déjà de « de hors de l’Église », tout au moins me semble) arrivent des critique mauvaises, féroces et au même temps de personnes que souvent on sent « dans l’Église », chacun peut mettre son de regard sur le monde avec le sien impressionnes, certes pas toutes négatives, pas condamnation tout, il y a toujours aussi bien de bon, mais comme pour Augustin, le risque d’aller dehors route il y a, et pas seulement pour qui elle est déjà hors de l’Église, mais pour qui il est dans ou on en sent dans, pour qui il se sent de donner des jugements et il ne connaît généralement pas, ne sait pas, né Christ né l’Église, et même pour tous qui font du mal à la terre, le Pape aujourd’hui, je dois encore légères les catéchèse, mais je l’ai sentie en télévision; 

Anne Frank, vous vous rappelez, écrivait, peu avant être définitivement déporté, plus ou moins, parce que je n’ai pas le livre sous main maintenant : je crois toujours ancre dans l’intime bonté de l’homme ; je crois que vraiment pour ceci nous pouvons prier, même lorsque trop de choses semble qu’ils aillent mal ; prier comme Monique pour son fils Augustin : en manière incessant, avec confiance d’écouter pour obtenir le repentir du fils ; 

nous pouvons prier comme mères de beaucoup que nous ne connaissons pas, pour des évènements négatifs que nous ne savons pas entièrement qui les a provoqués, pour la méchanceté que je sens, beaucoup, et sur internet pour les catholiques il vient comme «  taillée à l’excès », voilà je prie pour ceux-ci que ne connais pas, pour qui fait du mal, perce que Dieu pardonne les péchés de l’homme ou il le rende à soi: le Seigneur et le Père, et pour cette terre qui nous avait été donnée à garder, parce que la protège, parce que protège sa création des mains de l’homme ; 

je crois avoir écrit beaucoup même si je ne sais pas si j’ai réussi à vous dire ce que je vis dans ces jours ; j’ai écrit de jette, parce qu’il est mieux pour recompter les sentiments, ainsi comme ai été capable ; 

Le probleme de hier avec mon ordinateur, maintenant j’espère…

11 août, 2007

je crois avoir résolu, avec l’aide du technicien, le problème d’hier;  je n’avais pas fondé sur mon ordinateur la langue française sur instruments – option-langues et comme j’ai introduit la langue française il a disparu le code de moi inconnu qu’à mon inscription il continuait à se multiplier, sous langues j’ai aussi marqué la langue anglaise, il semble que le problème fût ils, de qu’est-ce qu’issu je ne le sais pas; 

Je vais à la celebration pour Lustiger…

6 août, 2007

maintenant je vais a l’Eglise de Saint Luis de Françe ici a Rome, à bientot

Ce matin à Sainte Marie la Majeur pour la fête de la « Vierge de la Neige »

5 août, 2007

Ce matin à Sainte Marie la Majeur pour la fête de la « vierge de la Neige » Ce matin je suis allée à messe à Saint Maria Majeure pour la fête de la Vierge de la Neige et la dédicacions ( ?) de la Basilique ; Elle a été une expérience très belle, peut-être l’an passé je ne nous étais pas allée, ou bien ai passé une période de difficultés personnelles qui ne m’ont pas faite jouir pleinement de certains « instants »…, de toute façon il m’a semblé tout nouveau et très beau même si je le connaissais et j’y avais été même en passé,. mais l’eucharistie, la splendide Basilique, la liturgie toute dans latin exclue les lectures, m’ont comme rapporté à ces ans lointains où Rome vivait son primitif christianisme ; je me suis vue ou trouvée comme dans les premiers siècles – autour 400 – lorsque après neigée du 5 août Papa Liberio il fit construire une première Église, d’ensuite reconstituée de Papa Sisto III, j’espère de me rappeler bien ; il semble que la Madonna même, apparue à Papa Liberio et demanda la construction d’une Église à Elle dédiée sur le Colle Esquilino, ensuite Neigée dans les jours plus chauds et lourds que Rome, ils se convainquirent à construire l’Église ; tant de souvenirs se sont pressés ensemble comme s’ils étaient des souvenirs mes de famille et par contre remontaient il y à 1600 ans environ ; dans plus la célébration dans latin, il me rapportait, simultanément, toujours au 400 environ, lorsque Sant’Agostino devenait Évêque et commençait son « magistral » magistère ; il était tout là, l’histoire de Jésus qui naît de Marie – les lectures était en effet celles spécifiques de la fête et l’évangile renvoyait à la naissance de Jésus des « Vierge Marie » ; dans l’église il été mon histoire de souffrances psychologiques, spirituelles, et physiques : dernièrement j’avais deux problèmes, je ne réussissais pas à me promener à cause d’une sciatique, et je ne peux pas prendre des médicine trop fortes, et étais quelque an que je ne réussissais plus à des légères les lectures en Église, et surtout, à chanter, mais il était quelque jour que je me sentais meilleur, peut-être un médicament pour bouche d’herboristerie m’a faite bien – il y a la confirmation du bénéfice de cette herbe sur un site médical français – et ce matin je pouvais me promener et même rapidement et, surtout, parce qu’en fond j’avais renoncer participer au chœur en Église, j’ai chanté, miracle ? Certes, mais dans le sens plus beau du terme : que Dieu, et sa Mère, écoutent même nos prières inexprimées, vraiment parce que j’avais renoncer, et ils m’ont fait don de quelque chose qui m’a fait bien et ce chose fait une partie de la création ; il était moi là, mais je était une autre, espère plus de voisine à Dieu avec le cœur ; elle était la messe dominicale du10 heure que de beaucoup d’ans, je ne rappelle pas de, quel elle est célébrée entièrement dans latin sauf les lectures en italien, en genre célèbre le Cardinal américain Francis Law, du Saint Maria Majeure, on me rappelle du premier jour qui célébra à Rome dans la Basilique, était presque intimidé du lieu et des gens qui se pressait autour, spécialement après les problèmes qui avaient eu en Amérique peut-être craignaient ces « fidèles romains », à la fin de la messe qu’il je cacherai, les gens, comme on fait toujours lorsque y il est un cardinal, s’approche le long du couloir de l’Église pour avoir la bénédiction, et ainsi et tous voisins à lui en attente de la bénédiction, avec main incertaine nous bénissait, ensuite nous le vîmes beaucoup ému et rentra hâtivement dans la sacristie ; je reviens à aujourd’hui, disais que nous étions beaucoup, mais m’a semblé plus d’habitude, ou, peut-être, pour quelque motive souvent difficile à identifier, nous étions plus silencieuse, moins brouillons, plus d’ »Église », y était beaucoup d’étrangers provenant partout du monde, derrière moi y était des personnes peut-être du Nord Europe, mais je ne sais pas ; lorsque je suis arrivée, une demie maintenant d’abord, en imaginant que tous les places à s’asseoir était déjà pris, et ainsi était, alors « j’ai visé » vers les colonnes très grandes qui séparent la basilique dans la « navata » principale et dans celles latérales, parce qu’ils sont tellement grands et donc le soubassement est tellement grand que, le soubassement même, peut faire fonction de siège, mais même ces sièges naturels de l’Église était déjà pris ; j’ai regardé les bancs latéraux, c’est-à-dire celles qu’on trouve devant et derrière les colonnes, était toutes prises, soit celles-là devant, logiquement parce qu’ils ont les visuelle de la basilique et d’un autel, soit celles-là derrière dont voit seul la basilique vers la sortie, à un certain point sur de ces bancs d’épaules s’est libéré une place, je me suis mis également même si je me trouvais d’épaules, ensuite les autres personnes qu’on était mises auprès de moi a dit : déplaçons l’en arrière ainsi nous trouvons devant l’autel, et ainsi nous avons fait, me suis trouvée dans une excellente position ; il était un peu de temps que je ne suivais pas la messe dans latin – pas trop, je nous suis allée souvent, ensuite font une célébration en latin même à San Giovanni en Laterano même si les parties en italien sont plus – a été beau réécouter cette langue splendide dont il naît notre langue, comme si je retrouvais ma mère, mes ancienne, ne le sais pas ; je comprends tout de ce qu’il est dit et connais à mémoire la plupart des témoins avec lesquels le peuple participe à la liturgie, mais je était même celui comme nouveau ; lorsque nous avons chanté le Credo, ceci de lui me rappelais tout bien, l’ai chanté et je me suis émue, ensuite après je me suis regardée furtivement autour et même autres avaient les yeux rouges ; qu’autre je peux vous recompter, oui, lorsque elle est tombée la neige – artificiel, mais vrais pétales de fleur – en ont fait tomber beaucoup, vraiment beaucoup, d’une ouverture poste al sur de l’ouverture qui porte alla crypte au dessous, comme elle est commencée à tomber la neige avons applaudi tous, comme au miracle rénové, et étions unis, le peuple provenant de parties du monde ramassé autour à Marie et al Enfant comme dans le récit lucanien du Noel, la lecture de l évangile se rappelai, en effet, de la naissance de Jésus ; mais ce récit je dois le fermer même si il me semble d’avoir dit ce que j’avais dans le cœur, ne sais pas si j’ai réussi à transmettre ce que j’ai vécu ; à la fin après la bénédiction et le passage du Cardinal beaucoup de nous nous sommes approchés à la balustrade de la crypte où était tombés les fleurs, le personnel de la basilique les ramassait en grands paniers et il les portait sur de l’escalier vers de nous, normalement à ce point il y a bagarre entre ceux qui vont prendre les pétales des fleurs, normalement les femmes, parce que les hommes font les indifférents il y à la bagarre, mais il plaisent même à eux avoir même un peu des pétales tombés, en somme bagarre vraie il n’y a pas eu, seulement une qu’il a tenté un « meeting » a été vite faite taire ; du côté j’ai attendu avec calme parce que je savais que de paniers de pétales il y en aurait eu pour tous, ensuite ai réussi à allonger la main dans un panier et avec la main j’ai pris ce qui venaient, m’en est venue une main pleine, pleine ; ainsi j’en ai donné un peu à quelqu’un qu’il était resté en arrière, à un homme assis qui me souriait et ensuite à la femme qui semblait la en vouloir même, ensuite à une sœur qui y regardait donne derrière et à une sœur jeune qui semble vouloir demander à la cette plus âgée un peu que des pétales ; ainsi elle est finie, mais je suis restée heureux, émue, et peut-être même les autres, à la voisine arrêtée de l’autobus où tous y arrivent normalement enragés pour le travail, pour le temps qui s’attend, pour affaires personnelles, y venait de bavarder entre nous, comme sur la place du pays après la messe, même ceci a été beau : les gens, sortie de la Basilique, se sentaient encore en communion avec les autres ; il vous salue, et, excusées, si je ne fais pas contrôle de teste que j’ai écrit parce que je suis un peu fatigué et veux même le traduire en français pour mon Blog français ; pour mon ami français des excusées plus fort parce que je ne peu pas, maintenait faire de mieux ; a bientôt

sur mon Blog « Journal » italien

3 août, 2007

aujourd’hui j’ai écrit quelque chose sur mon Journal intime, en réalité je voulais me prendre un jour de liberté le vendredi, mais aussi en écrivant tout additionné je me le suis pris, parce que j’ai écrit ce qui aujourd’hui entends vraiment, je le poste ainsi aussi traduit, sur le Blog français, parce que, bon ou mauvais ce qui m’ai écrit je l’ai de tout coeur écrit, le lien est entre le lien, mais je le mets de nouveau:

http://imagepourmesblog.unblog.fr/

« Pensées mauvaises, intentions bonnes,  

 j’ai envie de recompter quelque chose ainsi comme vient, petits épingles de journées lourdes et pleines de choses à faire, même petites choses, et de malaises fréquents ; 

justement, le chaud semble s’atténuer dans quelques heures, ensuite reprend avec toute sa force, je fais fatigue à le supporter, ai déjà eu deux coups de chaleur et ensuite se reflet sur la fatigue générale, j’ai eu et ai, des douleurs lombaires plus plutôt forts et une sciatalgie, je suis allée au médicéen, m’a donné des pastilles à prendre, mais ils m’ont dérangé l’estomac, ensuite je supporte peu de médicine, fais fatigue à se promener parce que les douleurs se répandent sur les jambes et ils me donnent difficulté à se promener ; je prends des médicine d’herboristerie conseillez même de rhumatologies, je fais des exercices de stretching, et aujourd’hui j’ai acheté les sparadraps ceux qui se mettent derrière parce qu’il semble qu’ils fassent bien, verrons ; 

dans plus on sens fatigués que quelques choses que me port derrière, c’est-à-dire commence à métaboliser, c’est-à-dire à vivre dans les Seigneur les chagrins passés, et commence à penser, comme pensée maintenant devenue mien que les personnes qui m’ont fait souffrir sont des personnes amères parce que celui-ci est l’enseignement de Christ, d’amères les ennemis, ne veut pas dire ne pas lui faire du mal, mais aimer eux vraiment et, peut-être, Dieu m’enseigne amères même aux ennemis comme les a aimés il, peut-être ; 

 il y a, cependant, choses qui devraient être petites, des chagrins petits qu’aussi justement, me déplaise j’avais parlé de la poésie (peut-être sur le site italien) et d’un site auquel je participe, les autres peuvent commenter tes poésies, et jusqu’ici elle serait une chose bonne, mais : entre temps poésies je sur le site, avec tant de poètes, pas en vois, seulement mais seulement de distordre la langue italienne au fin de composer quelque chose qui semble poésie, et ils se leurrent que soit, je nous éprouve, mais avec sérénité, je crois que je lui suis antipathique, même parce que tout sommé sur la poésie, comme sur les autres arts je suis préparée, beaucoup à ne pas composer, mais à savoir évaluer, pour rien n’ai pas fait de lettres et de philosophie et bien, où on étudie même le langage de la poésie, le sens profond ; combien de belles poésies sont composées de mots simples et sont les ces plus parfaites, et dans le langage de Dante, pour nous difficile parce qu’anciens, en fond combien elles sont simple le sien strophe, combien sentis les palpite du cœur, je l’avais laissé ce site, et je nous suis revenue, mais parce que ?, peut-être me plaît participer, mais en fond je juge et juge pas positivement ces soi-disant poètes, si le poète qui a ouvert la site loi combien j’écris déplaira, mais je la considérais ami, mais elle n’est pas allée ainsi, même aujourd’hui j’ai posté une petite chose, mais je dois me décider à m’éloigner comme avais déjà fait, ne réussis pas à participer ; 

 le Blog vont bien en considérant que nous sommes à août et une flexion d’ »écoutes » il y a naturellement, ensuite, peut-être peu, mais spécialement les français ils m’écrivent, souvent peu de mots, mais je sens qu’ils lisent, qu’ils participent, et écrivent avec leur habituel pudeur, leur courtoisie, leur style et leur langue toujours fascinante ; avec les personnes suis-je commence à me rapporter meilleurs, même accepter l’imperfection des autres et, naturellement, mienne, ne sais pas pourquoi peut-être voudrais des amis des frères dans les Seigneur parfaits ou au moins presque et n’est pas ainsi, te donnent des chagrins, et à Rome où de petit on ne peut pas considérer rien, qui est prochain le ? est-elle la question éludant faite à Jésus, pourtant parfois me la fais, qui est « mien », peut-être en communautés plus petites est plus facile et plus difficile, mais à Rome, où beaucoup fréquentent la paroisse seul quelque tourne pour se porter dans les Basiliques plus belles, il y ont toutes belles, soit les majeurs soit mineurs (pourquoi nous romains sommes un peu des « basilicari ») alors qui est tien ? ceux de la célébration certainement, mais ensuite seulement rarement et peu les réunions, ou tien sont les voisins de maison, ceux qu’ils travaillent dans les alentours, mais ce qui sont les alentours ? où elle est la frontière, en fond il est beau parce qu’il y a la possibilité de communiquer avec beaucoup, en fond est difficile parce que rarement tu te revois avec les mêmes personnes ; si on fait un choix, ensuite d’un groupe de personnes, il nous doit être motive en plus au-delà de la proximité matérielle, à Rome il me semble qu’il nous doit être motive en plus pour être ami, de vivre, d’être des frères avec les autres, même si parfois je l’éprouve, n’est pas souvent exprimable ; 

il y a un peu de tristesse, de déception générale pour toutes les choses qui sont arrivées et elles ne se sont résolues jamais, semble presque que ceux qui ont fait la guerre ils aient vécu une période moins difficile de les nôtre, serrés entre les mailles de difficulté de chaque genre, de pensées hurlées au vent comme vérité et ensuite, combien facilement et amèrement nous nous apercevons qu’était  mensonge, intentions construites pour les personnels intérêts, et je ne parle pas seulement de politique, mais un peu de tant de choses ; 

combien serait beau la simplicité, la vérité, l’humilité, souvent alors me tourne les saints, au moins ils mensonges ne m’en disent pas, je ne les en dis pas, mais je n’ai pas les vertus du chrétien, la chose plus grave est la tristesse, et la tristesse fait une partie des vices capitaux, beaucoup ne le savent pas même, mais il est le sentiment que les premiers chrétiens, spécialement les Pères du désert mais pas seulement, combattaient plus âprement, comme péché grave, ensuite, suffit peu, le sourire de quelqu’un qui ami et frère est vraiment et tout passe ; 

 je reprends le discours de la poésie, il y a un poète sur un site français (je parle de littlesun), un peu elle compose, un peu report, cités, écrits de quelque grand poète, et pour grand j’entends grand : Charles Péguy, Baudelaire, la grande poétique française, et combien il même elle ressemble à leur, comme il accompagne avec soin chaque écrit avec une image fascinante, comme il est « charmante » elle et tout ce qui fait ; nous souvent les jetons nos mots, nos convictions, nos affections, comme les chevaux laissions tomber en route leurs besoins d’abord qu’ils lui mettaient de culotte ; nous nous sommes mis le culotte aux chevaux, mais nous le nous sommes enlevés, excusées ne me la prends pas avec personne, je voulais dire mes pensées, et veulent être un regard, dans cet instant amer, sur ce qui m’entoure, si je réussis à regarder les choses en mode divergée, si Dieu m’aide, le ferai, mais maintenant je le sais qu’ils sont en défaut, en péché de tristesse et de jugement, cherche les choses belles, les amis, mais je les trouve seuls dans la création et dans les saints, certes, seulement Dieu le sait s’il est, mais mets entre les saints même Papa Benoît ; j’espère retrouver la paix dans le sens de sentir comme Dieu, maintenant le sais qu’il n’est pas ainsi, prierai, ne sais pas qu’autre faire »

3.7.07

Gabriella 

j’ai ouvert un autre Blog français

16 juillet, 2007

j’ai ouvert un autre Blog français, je voudrais le construire sur l’image que j’ai de Pape Benoît: une personne qu’elle est enveloppée par la musique du ciel, de l’harmonie, puis je m’expliquerai mieux, entre temps j’ai pu mettre deux post seuls, je voudrais le faire avec des images et légendes, sois prise par textes du Pape:  citations, soit synthèse;

j’espère réussir à faire une belle chose;

le lien est sous lien:

Mon Blog « harmonie… »

pardonnées-moi

21 juin, 2007

excusez- moi, je ne devais pas me mettre au travail pour continuer le Blog et changer l’évangile, j’ai fait une faute grosse j’ai effacé la page de l’évangile, l’éspace  prière et quelques post,  je  ne me portent pas, évidemment, bien encore, il ne faut jamais présumer de soi mêmes, je reconstruis demain tout, ils manqueront quelche post qui ai mis, mais j’espère demaine d’ écrire autres choses, il ne m’avait jamais succédé,  pardonnées-moi 

Gabriella

Une réflexion sur le post que je mets

15 juin, 2007

aujourd’hui nous avons beaucoup de nouvelles surtout, elles sont très intéressants et je les mets, quelquefois il est possible de mettre quelques sujets de spiritualité, parfois il n’est pas possible parce que je tâche de ne pas poster plus que trois sujets par jour, un Blog vit ainsi entre un renseignement intéressant et importante pour l’Église, textes approfondissement, spiritualité et autre, différent de culture et art, certain quelque chose se met jour pour jour, s’il y a nouvelles intéressées qu’ils concernent le Pape ils ont naturellement aussi la priorité aussi si parfois ils se trouvent en même temps spirituellement plus textes utiles;

 je voulais l’écrire parce que, quoi que je sois, une limite est inévitable, seulement un très grand site « comme le Vatican, beaucoup de pour exagérer » peut mettre tout, mais aussi puis nous cercons un sujet nous ne lisons pas tout de tout du site; je voulais dire enfin que nous sommes limités,  que je suis limitée par la grandeur même du projet: Pape Benoît;

Avis: le: « ESPACE PRIÈRE

13 juin, 2007

sous espace prière je  mette les prières les plus simples,  j’ajouterai autres, pour faire ce petit travaiile j’il nous voudra un peu de temps parce que celui-ci est un Blog et pas un site, je dois m’arranger, je ne pourrai pas en mettre beaucoup, mais quelques-unes seuls, beaucoup de pour commencer à prier et etre unis dans la prière;

peut-être puis, pour prières plus complexes, je mettrai les link à quelques site,

pour aujourd’hui je ne peu pas faire de plus, à demain pour le texte

j’espère que sois apprécié

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