Archive pour la catégorie 'Noël 2007 – Epiphanie 2008'

Mon beau sapin

19 décembre, 2007

du site:  

http://www.ecolebizu.org/poesie/choixNoel.html

 

 

Mon beau sapin

 

 Mon beau sapin, 

Roi des forêt 

Que j’aime ta verdure! 

Quand, par l’hiver, 

Bois et guérets 

Sont dépouillés 

De leurs attraits, 

Mon beau sapin, 

Roi des forêts, 

Tu gardes ta parure. 

Toi que Noël 

Planta chez nous 

Au saint anniversaire! 

Joli sapin, 

Comme ils sont doux 

Et tes bonbons 

Et tes joujoux! 

Toi que Noël 

Planta chez nous 

Tout brillant de lumière. 

Mon beau sapin, 

Tes verts sommets 

Et leur fidèle ombrage, 

De la foi qui 

Ne ment jamais, 

De la constance 

Et de la paix, 

Mon beau sapin, 

Tes verts sommets 

M’offrent la douce image.

 

 chanson traditionnelle d’Alsace  

un village vraiment joli de Sainte Claus, lien

18 décembre, 2007

un village gracieux de Sainte Claus, est seulement Papa Noël, mais le site est « Pôle Nord », visite-le, il est vraiment joli, sourtous si vous avez des enfants:

http://www.northpole.com/

 

 

18 décembre, 2007

je mets deux textes des Pères, quand j’ai fait le choix de celui-là qui voulais poster, sans vouloir je suis allé sur deux textes des Pères, mais j’en m’aperçois maintenant et je les mets également, du site:

http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/StBernard/tome02/homelie/avent/avent05.htm

 

CINQUIÈME SERMON POUR L’AVENT DE NOTRE SEIGNEUR. De l’avènement du Seigneur qui tient le milieu entre son premier et son dernier avènement. Triple renouvellement.

1. J’ai dit naguère que les deux héritages entre lesquels doivent dormir ceux qui ont argenté leurs ailes, signifient les deux avènements de Jésus-Christ ; mais je n’ai pas dit où ils devaient dormir. Or, il y a un troisième avènement qui tient le milieu entre les deux dont nous avons parlé, et c’est dans celui-là que dorment avec bonheur ceux qui le connaissent. Les deux autres sont visibles, le troisième ne l’est point. Dans le premier avènement, Jésus-Christ se montra sur la terre et conversa avec les hommes, alors que « ceux-ci le virent et ne laissèrent point de le haïr (Joan., XV, 24. » Mais dans le dernier, « tout homme verra le Sauveur envoyé de Dieu (Luc, III, 6), » et ceux qui l’ont crucifié, pourront le contempler (Joan., XIX, 37. » Celui du milieu est secret, c’est celui dans lequel les élus seuls voient le Sauveur au dedans d’eux et leurs âmes sont sauvées. Ainsi dans le premier avènement, Jésus-Christ vient dans notre chair et dans notre faiblesse ; dans celui qui tient le milieu, il vient en esprit et en vérité, et dans le dernier il apparaît dans sa gloire et dans sa majesté. Mais c’est par la vertu qu’on parvient à la gloire selon ce qui est dit : « Le Seigneur tout-puissant est en même temps le Roi de toute gloire (Psalm. XXIII, I0), » et encore suivant ces autres paroles du même Prophète: « Pour que je pusse contempler votre puissance et votre gloire (Psalm., LXIII, 3). » Le second avènement est donc comme la voie qui conduit du premier au troisième. Dans le premier, Jésus-Christ est notre rédemption; dans le dernier, il sera notre vie, et dans celui du milieu, pour que nous puissions dormir entre ses deux héritages, se trouvent notre repos et notre consolation.

2. Ne croyez pas que ce que je vous dis-là sur l’avènement du milieu soit une invention de ma part, écoutez, en effet, ce que Seigneur dit lui-même : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole et mon Père l’aimera et nous viendrons en lui (Joan., XIV, 23). » Mais que veut-il dire par ces mots : si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole? J’ai lu ailleurs que « celui qui a la crainte de Dieu fera des bonnes oeuvres (Eccles., XV,1). » Or, il y a ici quelque chose de plus pour celui qui l’aime, car il est dit qu’il gardera sa parole. Mais où la gardera-t-il ? On ne peut douter que ce ne soit dans son coeur, selon ce mot du Prophète : « J’ai caché vos paroles au fond de mon cœur, afin de ne point vous offenser (Psalm., CXVIII, 11). » Or, comment la conservera-t-il dans son cœur ? Suffit-il pour cela de les conserver par coeur, de mémoire? A ceux qui la conservent ainsi l’Apôtre dira plus tard : « La science enfle (I Cor., VIII, 1). » D’ailleurs, l’oubli efface bien vite ce que nous avons confié à la mémoire. Conservez donc la parole de Dieu de la même manière que vous savez conserver la nourriture du corps avec le plus de succès, car cette parole est elle même un pain de vie, la vraie nourriture de l’âme. Or, le pain que l’on conserve dans la huche peut être pris par un voleur, mangé par les rats ou se corrompre en vieillissant. Si vous le mangez, il échappe à tous ces dangers. Eh bien, gardez de même la parole de Dieu, car on est bienheureux quand on la conserve (Luc, XI, 28). Confiez-la donc aux entrailles mêmes de votre âme, si je puis parler ainsi, faites-là passer dans vos affections et dans vos moeurs. Nourrissez-vous bien et votre âme sera heureuse de son embonpoint, gardez-vous d’oublier de prendre votre nourriture, si vous ne voulez que votre coeur se dessèche, mais, au contraire, donnez à votre âme un aliment gras et substantiel.

3. Si vous gardez ainsi la parole de Dieu, il n’y a pas l’ombre de doute que vous serez vous-même gardé par elle; car le Fils viendra en vous avec le Père, vous serez visité par ce grand prophète qui renouvellera Jérusalem et fera toutes choses nouvelles. Car voici ce que cet avènement produira en nous, il fera que de même que nous avons porté l’image de l’homme terrestre, nous portions aussi l’image de l’homme céleste (I Cor., XV, 49). Et de même que l’antique Adam s’est répandu dans tout l’homme et l’occupe tout entier, ainsi le Christ nous possédera tout entier, comme il nous a créés et rachetés tout entiers, comme il nous glorifiera tout entiers, et comme il nous a sauvés tout entiers le jour du sabbat. Autrefois le vieil homme était en nous, il nous remplissait tellement que ce prévaricateur agissait par nos mains, parlait par notre bouche, aimait dans notre cœur. Nos mains, il les rendait deux fois coupables en les consacrant au crime et à de honteuses actions; notre bouche, il l’ouvrait en même temps à l’arrogance et à la détraction, et notre coeur, il le remplissait des désirs de la chair et de l’amour de la gloire temporelle. Mais aujourd’hui, si nous sommes redevenus une créature nouvelle, tout ce qui était de l’ancienne est passé, et l’innocence a pris la place du crime dans notre main, la continence a pris celle des honteuses actions; dans notre bouche, des paroles de confession ont succédé à celles de l’arrogance et des discours édifiants ont remplacé ceux de la détraction; en sorte que les entretiens d’autrefois se sont éloignés de nos lèvres. Quant au coeur, la charité s’y est substituée aux désirs de la chair et l’humilité à l’amour de la gloire temporelle. Or voyez si dans ces trois renouvellements les élus à qui il a été dit : « Placez-moi comme un sceau sur votre coeur, comme un sceau sur votre main (Cant., VIII, 6), » et ailleurs : « Sa parole n’est pas éloignée de vous, elle est dans votre bouche et dans votre coeur (Rom., X, 8), » ne possèdent point le Christ et le Verbe de Dieu.

Noël ou les noces de Dieu et de l’humanité, homélie de Saint Augustin

18 décembre, 2007

je mets deux textes des Pères, quand j’ai fait le choix de celui-là qui voulais poster, sans vouloir je suis allé sur deux textes des Pères, , mais j’en m’aperçois maintenant et je les mets également, du site:

http://www.mariedenazareth.com/8253.0.html

Noël ou les noces de Dieu et de l’humanité, homélie de Saint Augustin

Les noces de Dieu et de l’humanité, voilà comment saint Augustin, évêque d’Hippone au 5ème siècle, fêtait Noël !

Le Christ est Dieu qui s’unit véritablement à l’humanité sans rien perdre de sa divinité. Ce sont de vrais noces : le Christ est vrai homme : il est né de la chair, il est la Vérité élevée de terre ; le Christ est donc comme un époux qui, comme dit le psaume, s’élance d’une extrémité du ciel.

Extrait de l’homélie de Saint Augustin :

«La Vérité aujourd’hui s’est élevée de terre ; le Christ est né de la chair. Livrez-vous à une sainte joie ; que ce jour attache vos esprits à la pensée du jour éternel, souhaitez, espérez fermement les biens célestes, et puisque vous en avez reçu le pouvoir, comptez devenir enfants de Dieu.

N’est-ce pas pour vous qu’est né dans le temps l’Auteur même des temps, pour vous que s’est montré au monde le Fondateur du monde, pour vous enfin que le Créateur est devenu créature ? Pourquoi donc, ô mortels, mettre encore votre esprit dans ce qui est mortel ? pourquoi consacrer toutes vos forces à retenir, s’il était possible, une vie fugitive ? Ah ! de plus brillantes espérances rayonnent sur la terre, et ceux qui l’habitent n’ont reçu rien moins que la promesse de vivre dans les cieux. Or, pour faire croire à cette promesse, une chose bien plus incroyable vient d’être donnée au monde. Pour rendre les hommes des dieux, Dieu s’est fait homme ; sans rien perdre de ce qu’il était, il a voulu devenir ce qu’il avait fait ; oui, devenir ce qu’il a fait, unissant l’homme à Dieu, sans anéantir Dieu dans l’homme.

Nous sommes étonnés de voir une Vierge qui devient Mère ; il nous faut des efforts pour convaincre les incrédules de la réalité de cet enfantement tout nouveau, pour leur faire admettre qu’une femme a conçu sans le concours d’aucun homme ; qu’elle a donné le jour à un Enfant dont aucun mortel n’était le père ; enfin que le sceau sacré de sa virginité est resté inviolable au moment de la conception et au moment de l’enfantement. La puissance de Dieu se montre ici merveilleuse ; mais sa miséricorde plus admirable encore, puisqu’à la puissance il a joint la volonté de naître ainsi. Il était le Fils unique du Père, avant de devenir le Fils unique de sa mère ; lui-même l’avait formée, avant d’être formé dans son sein ; avec son père il est éternel, et avec sa Mère il est enfant d’un jour ; moins âgé que la Mère dont il est formé, il est antérieur à tout sans être formé de son Père ; sans lui le Père n’a jamais existé, et sa Mère n’existerait pas sans lui.

() Il était à craindre qu’on ne vint à mépriser la Vérité à cause qu’elle s’est élevée de terre, lorsque, semblable à l’époux qui sort du lit nuptial, elle s’est élancée du sein maternel où le Verbe de Dieu avait contracté avec la nature humaine une ineffable union. Afin de détourner ces mépris, et pour empêcher que malgré sa naissance admirable, malgré ses paroles et ses oeuvres merveilleuses, la ressemblance de la chair du Christ avec la chair de péché ne fit voir en lui qu’un homme, après ces mots « Pareil à l’époux sortant du lit nuptial, il s’est élancé comme un géant pour fournir sa carrière », viennent aussitôt ceux-ci : «Il est parti d’une extrémité du ciel ».

Si donc, « la Vérité s’est « élevée de terre », c’était bonté de sa part, et non pas nécessité ; miséricorde, et non pas dénuement. Pour s’élever de terre, cette Vérité est descendue des cieux ; pour sortir de son lit nuptial, l’Epoux s’est élancé d’une extrémité du ciel. Voilà pourquoi il est né aujourd’hui. Ce jour est le plus court des jours de la terre et c’est à dater de lui que les jours commencent à grandir. Ainsi Celui qui s’est rapetissé pour nous élever, a fait choix du jour qui est à la fois le moindre et le principe des grands jours.

En naissant ainsi et malgré son silence, il nous crie en quelque sorte avec une voix retentissante, que pour nous il s’est fait pauvre et qu’en lui nous devons apprendre à être riches ; que pour tous il s’est revêtu de la nature de son esclave et que nous devons en lui recouvrer la liberté ; que pour nous il s’est élevé de terre et que nous devons avec lui posséder le ciel. »

Saint Augustin

Noël

17 décembre, 2007

Noël dans Noël 2007 - Epiphanie 2008

Sacra Famiglia nelle stampe del XVIII e XIX secolo

http://www.comune.brisighella.ra.it/index.php/articles/c_11/?sort=hits

http://www.comune.brisighella.ra.it/index.php/articles/c_11/?sort=hits

Benoît XVI bénit les « Enfant-Jésus » des crèches : les « Bambinelli »

17 décembre, 2007

 du site:

http://www.zenit.org/article-16873?l=french

 

Benoît XVI bénit les « Enfant-Jésus » des crèches : les « Bambinelli »

L’importance des symboles de la crèche et de l’arbre de Noël

 

ROME, Dimanche 16 décembre 2007 (ZENIT.org) – Comme chaque année, le IIIe dimanche de l’Avent, les enfants de Rome étaient présents place Saint-Pierre pour demander au pape de bénir les « Enfant-Jésus » des crèches de leurs familles et des écoles.

Après l’angélus, le pape s’est adressé à eux en disant : « Je désire saluer les enfants et les adolescents de Rome, venus nombreux cette année encore pour recevoir la bénédiction des ‘Bambinelli’ de leurs crèches. Très chers enfants, c’est avec beaucoup d’affection que je vous souhaite un bon Noël, à vous et à vos familles ».

Benoît XVI a encouragé la catéchèse des enfants en disant : « Et en remerciant le Centre des Oratoires romains qui organise cette belle initiative, j’exhorte les prêtres, les parents et les catéchistes à collaborer  avec enthousiasme à l’éducation chrétienne des plus petits ».

Le pape a reçu, vendredi dernier, 14 décembre, une délégation du Südtirol italien, et de la commune de Saint-Martin in Thurn, dans la Gadertal-Val Badia, qui a offert l’arbre de Noël de la place Saint-Pierre.

Cet arbre, soulignait le pape, « a été coupé sans dommage pour la forêt ». Et, « artistiquement décoré, il demeurera aux côtés de la crèche tout au long des fêtes ».

« Il symbolise la naissance du Christ, disait le pape, car ces aiguilles toujours vertes sont comme la vie qui ne meurt pas. Le sapin est aussi un signe de la religiosité populaire de ces vallées ».

Benoît XVI a encouragé une nouvelle fois la tradition de l’arbre et de la crèche qui « appartiennent à la féerie de Noël », « patrimoine spirituel des communautés chrétiennes ».

Pour le pape, Noël est caractérisé par « un climat de douce religiosité et d’intimité familiale qu’il convient de protéger dans une société où la frénésie de consommation et la recherche des biens matériels semblent dominer ».

« Noël, insistait le pape, est une fête spécifiquement chrétienne » et ses symboles, la crèche et l’arbre décoré, « renvoient aux grands mystères de l’incarnation et de la naissance du Christ » de la liturgie de l’Avent et de Noël.

En polonais, après l’angélus, le pape évoquait ces deux symboles, et celui du « pain blanc de Noël », typique en Pologne : « Que ces signes, disait le pape, vous aident et aident vos familles à lire le vrai sens de ces événements slavifiques ».

Anita S. Bourdin

Le sapin de Noël

15 décembre, 2007

Le sapin de Noël dans Noël 2007 - Epiphanie 2008 ChristmasTree

http://profile.myspace.com/index.cfm?fuseaction=user.viewprofile&friendid=62138702

Histoire de l’arbre de Noël :

15 décembre, 2007

du site:

http://physique.paris.iufm.fr/tice/2002/noel/2p_histoire.htm

Histoire de l’arbre de Noël :
  
C’est au XIIème siècle que la tradition du sapin est apparue en Europe, en Alsace. On parle alors de décorer les maisons avec des branches coupées trois jours avant Noël. 

Mais c’est en 1521 que le sapin ou arbre de Noël ou encore arbre du Christ a été mentionné pour la première fois en Alsace. Il fut probablement répandu en Alsace et dans la région de Bâle. Il représentait à l’origine l’Arbre d’Eden dans les mystères joués la veille de Noël sur les bords du Rhin. Pour le décorer, on attachait des pommes à ses branches.
  
En 1546, on parle sérieusement d’arbres de Noël quand la ville de Sélestat en Alsace autorise à couper des arbres verts pour Noël, au cours de la nuit de la Saint Thomas, le 21 décembre. A l’époque, l’église considérait l’arbre de Noël comme une pratique païenne. Et ce fut le cas jusqu’au milieu du XXe siècle. En fait, avant que la fête de Noël n’existe, il existait déjà un rite païen lors des fêtes du solstice : on décorait un arbre, symbole de vie, avec des fruits, des fleurs, du blé.
  

Plus tard, on accrocha une étoile au sommet de l’arbre, symbole de l’étoile de Bethléem qui guida les Rois Mages. Dès lors il conquit peu à peu les communes protestantes d’ Allemagne du nord et les grandes villes et occupa une place de choix dans les églises des deux religions.
  
En 1560, au moment de la Réforme, les protestants se refusent à représenter la Nativité par une crèche comme les catholiques. Ils préfèrent développer la tradition du sapin de Noël, arbre qui symbolise le paradis d’Adam et Eve et la connaissance du bien et du mal. La tradition du sapin de Noël se répand dans les pays d’Europe Protestante, en Allemagne et en Scandinavie.
  

Au XVII et XVIIIe siècle on commence à voir des premiers sapins illuminés.
  
C’est au XIXe siècle que le sapin de Noël prend son essor. En France, l’arbre de Noël fut introduit à Versailles par Marie Leszcynska, femme de Louis XV en 1738. En 1837 Hélène Mecklembourg, duchesse d’Orléans et d’origine allemande fait décorer un sapin aux Tuileries. Cette tradition se généralisa après la guerre de 1870 dans tout le pays.
  

Les Emmigrés d’Alsace-Lorraine font largement connaître la tradition du sapin aux français : « Là où il y a une famille alsacienne, il y a un sapin de Noël ». A la fin du XIXe siècle, tout le pays l’a adopté . D’autres variantes, tels les sapins extérieurs et artificiels, apparaîtront au tournant du XXe siècle.  L’arbre de Noël regroupe plusieurs symboles montrant les richesses que nous offre la nature : la lumière, les anges, les fruits du vergers, des champs, de la forêt et de la mer. L’étoile qui brille à son faîte annonce la fin du voyage, le havre de paix. 

Le sapin de Noël de la place Saint-Pierre, don de la région de Bolzano

14 décembre, 2007

du site:  

http://www.zenit.org/article-16858?l=french

 

Le sapin de Noël de la place Saint-Pierre, don de la région de Bolzano

La grande crèche encore en construction

ROME, Jeudi 13 décembre 2007 (ZENIT.org) – Le sapin de Noël qui orne la place Saint-Pierre pour ce Noël 2007 est un don de la région de la Province autonome italienne de Bozen-Bolzano, près de la frontière autrichienne.

L’arbre qui se dresse à droite de la grande crèche encore en construction et au pied de l’obélisque, n’a pas moins de 140 ans, il mesure 26 mètres et pèse 3 tonnes. Il a fallu 2000 boules lumineuses pour le décorer.Son illumination sera pr

ésidée demain après-midi, vendredi 14 décembre, par le président du Gouvernorat de l’Etat de la Cité du Vatican, le cardinal Giovanni Lajolo, en présence des autorités de la Province autonome.

Quant à la crèche, elle sera inaugurée, comme c’est la tradition, le 24 décembre, et restera place Saint-Pierre jusqu’au 2 février, fête de la Présentation de l’Enfant Jésus au Temple de Jérusalem.L’an dernier et l’ann

ée précédente, Benoît XVI a béni la crèche depuis la fenêtre de son bureau place Saint-Pierre.

Rappelons que cette tradition de l’arbre de Noël et de la crèche place Saint-Pierre a été voulue par Jean-Paul II en 1982.Beno

ît XVI a repris cette tradition, et il a souligné la valeur de la tradition des crèches et des arbres de Noël en disant : « la crèche n’est pas seulement un élément de spiritualité‘, mais aussi de la culture et de l’art’ ».

Pour ce qui est de la crèche de la Place Saint-Pierre, les 9 personnages de la Sainte famille viennent traditionnellement d’une crèche donnée par saint Vincent Palotti : ils avaient été réalisés en 1842 pour l’église Sant’Andrea della Valle, au cœur de Rome. Par la suite, 8 autres sujets ont été ajoutés, notamment une famille traditionnelle polonaise.Comme en 2006, les Rois mages et une douzaine de figurants ont

été prêtés par l’association « Amis de la Crèche » de Tesero, un petit bourg du Val di Fiemme, dans la région de Trente, qui défend cet artisanat depuis plus de quarante ans, grâce à la collaboration de la région de Trente et du Vatican.

Cette année, la crèche accueillera aussi 4 anges du Mexique. Chaque année, le projet de crèche est nouveau, il est choisi parmi différents projets proposés par les ingénieurs et architectes de la Cité du Vatican.

Anita S. Bourdin

un crèche italienne – photo d’un autre Blog

9 décembre, 2007

un crèche italienne - photo d'un autre Blog dans Noël 2007 - Epiphanie 2008 imgp0438_3

presepe di Nonno Tavor

http://nonnotavor.blog.kataweb.it/il_mio_weblog/2006/11/

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