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De l’Inde des signes de soutien à un moratoire universel sur l’avortement

9 janvier, 2008

du site: 

http://www.zenit.org/article-16992?l=french

 

De l’Inde des signes de soutien à un moratoire universel sur l’avortement

Le cardinal archevêque de Bombay appuie la proposition d’un journaliste italien

ROME, Mercredi 9 janvier 2008 (ZENIT.org) – Des voix en faveur d’une proposition de loi moratoire universelle sur l’avortement s’élèvent en l’Inde, un pays où, comme dans d’autres lieux, l’avortement sélectif des filles est largement pratiqué, ainsi qu’en Corée.

Cette idée de moratoire, lancée par le journaliste italien Giuliano Ferrara, est soutenue par le cardinal Oswald Gracias, archevêque de Bombay, dans un article signé de sa main publié par « AsiaNews.it ».

« C’est de tout cœur que j’accueille et apporte mon soutien à une loi moratoire universelle sur l’avortement », déclare le cardinal en expliquant le bien fondé d’une telle disposition « pour sensibiliser la communauté mondiale à créer et bâtir une culture de la vie ».

« L’avortement, a-t-il dénoncé, est un mal horrible, et est devenu l’une des principales menaces contre la dignité humaine dans la mesure où il constitue une attaque contre la vie même ».

Il s’agit par ailleurs, a-t-il commenté, d’« un crime commis contre les plus faibles et les sans défense, ceux que nous pouvons vraiment définir comme les plus pauvres parmi les pauvres’ ».Le cardinal a ensuite fait l’

éloge de la récente décision prise par les Nations Unies de voter une résolution en faveur d’un moratoire universel sur la peine capitale, rappelant que cette pratique entraîne « le risque de tuer des personnes innocentes et d’ôter toute possibilité de repentir et de changement de vie ».

Quant à l’avortement, il est « la mort de la vraie liberté », écrit-il. Selon lui, soutenir que l’avortement est un droit « signifie attribuer à la liberté humaine une signification perverse et mauvaise : celle d’un pouvoir absolu sur les autres et contre les autres ». « La culture de l’avortement, hélas, est répandue dans le monde entier » , a-t-il constaté.

« En le permettant de manière légale, en ce sens qu’aucune peine n’est prévue contre celui qui le pratique, on laisse penser qu’avoir recours à l’avortement est moralement correct. Mais cela est faux : l’avortement est toujours la suppression d’une vie ».

« Des millions de vies sont supprimées à cause de cette culture de mort ! », s’exclame-t-il.

C’est la raison pour laquelle, poursuit le cardinal, il est nécessaire que « chaque personne commence par s’engager à ne tuer, ou à ne contribuer à tuer, intentionnellement, aucune vie humaine, quand bien même cette vie se révèlerait brisée, difforme, invalide, désespérée ».

« L’avortement est incompatible avec la dignité de la personne humaine, créée à l’image de Dieu. Cette pratique est une violente attaque contre la femme et contre son enfant à naître », a-t-il précisé.

« Tuer un enfant dans le ventre de sa mère c’est tuer une personne », a-t-il conclu.

La Corée soutient également ce moratoire sur l’avortement. Le père Casimiro Song, secrétaire du « Life 31 Movement » a adressé un message en ce sens à AsiaNews, au nom de la Conférence des évêques de Corée.Les catholiques de Cor

ée « accueillent favorablement le moratoire international sur la peine de mort » qui doit toutefois « être immédiatement suivi, comme une conséquence logique, d’un autre moratoire, sur l’avortement. C’est un fait, et non une opinion, que la vie humaine commence au moment même de sa conception : celle-ci doit être défendue dès ce moment », écrit-il.

Papa : Nous, contemporains des bergers devant la Mère de Dieu et à l’Enfant

3 janvier, 2008

(traduction) du site:

 

http://www.asianews.it/index.php?l=it&art=11149&theme=3&size=A

2.1.2008

VATICAN

Papa : Nous, contemporains des bergers devant la Mère de Dieu et à l’Enfant

 

Dans la première audience générale de 2008 Benoît XVI explique les dévotion à Marie, Mère de Dieu et avec d’accents œcuménique ouvre des protestants et orthodoxes. Les souhaits de 2008 « sous le marque des Vierge Marie ».

Città del Vaticano (AsiaNews) – Une catéchèse toute « de Noël » cette proclamât de Benoît XVI aujourd’hui à son première Audience du mercredi dans 2008. En s’écartant du programme usuel – dans lequel il présente des diverses figures de pères de l’Église des premiers siècles – il a dédié aujourd’hui sa rencontre avec les pèlerins dans la salle Paolo VI à comprendre la « présence de Marie dans la vie de l’Église et dans notre existence personnelle ». « 

Dans ces jours de fête – il a dit le Pape – nous y sommes arrêtés à contempler dans la crèche la représentation de la Nativité. À le centre de cette scène trouvons les Vierge Mère qui offre Jésus Enfant à la contemplation de quel on apporte à adorer les Salvatore : les bergers, les gens pauvres de Bethleem, les Mage venus de l’Orient. Plus tard, dans la fête du ` Présentation du Seigneur’, que nous célébrerons le 2 février, seront les vieux Siméon et la prophétesse Anne à recevoir des mains de la Mère le petit Enfant et à l’adorer. Les dévotion de le peuple chrétien a toujours considéré la naissance de Jésus et la divine maternité de Marie comme deux aspects du même mystère de l’incarnation du Verbe divin et donc n’a jamais considéré la Nativité comme une chose du passé. Nous sommes « contemporains » des bergers, des Mage, de Siméon et d’Anne, et pendant que nous allons avec sommes pleins de joie, parce que Dieu a voulu être le Dieu avec nous et a une mère, qui est notre mère « . La réflexion du Pape s’est centrée vraiment sur titre de « Mère de Dieu » (Theotokos) donné aux Vierge Marie depuis le III siècle et officiellement décrété avec le concilie d’Ephese (431 d.C.). « Avec ce titre », a expliqué, il se souligne « que Christ est Dieu et est réellement né comme homme de Marie » : se préserve ainsi « son unité de vrai Dieu et de vrai homme ». Le Raisonner du Pape ait saveur œcuménique : en montrant le caractère « cristologico » des dévotion à Marie Mère de Dieu et son lien avec la foi de l’Église primitive, il répond dans quelque mode à des critique des protestants que souvent plaisante la « dévotion a Mariel » des catholiques. Le Pontife même a expliqué que « de le titre de Marie:` Mère de Dieu’ découle ensuite tous les autres titres avec lesquels l’Église honore la Madonna », entre lequel même celui d’ « Immaculée Conception » et d’ « Assomption ». Vraiment les dogmes de l’Immaculée et de l’Assomption sont ceux qui le monde orthodoxe n’acceptent pas parce que proclamait lorsque l’Église était déjà divisée. Mais en montrant leur lien avec le titre de Theotokos (que les orthodoxes l’acceptent) exposition qui est possible même sur ceci une communion plus pleine. Tous ces « titres » ou « privilèges », a expliqué Benoît XVI, « ne sont pas concédés pour éloigner Marie de nous, mais au contraire pour la rendre voisine ; en effet, en étant totalement avec Dieu, cette Femme est très voisine à nous et il nous aide comme mère et comme sœur « . Vraiment en regardant à cette « proximité », « pendant le Concilie Vatican II, le 21 novembre 1964, Paolo Vi attribua solennellement à Marie titre de ` Mère de l’Église’ ». Le Pape a ainsi conclu : « Chers frères et sœurs, dans ces premiers jours de l’an, nous sommes invités à considérer attentivement l’importance de la présence de Marie dans la vie de l’Église et dans notre existence personnelle. Confions nous Elle parce qu’il guide nos pas dans cette nouvelle période de temps qui les Seigneur nous offre à vivre, et nous aides à être des authentiques amis de son Fils et ainsi même courageux auteurs de son Règne dans le monde, Règne de la lumière et de la vérité. Bon An à tout ! Il est celui-ci le souhait que je désire vous tourner ici présents et à vos chers dans cette première Audience générale du 2008. Le nouvel an, commencé sous le marque des la Vierge Marie, nous fait sentir plus vivement sa présence maternelle, ainsi que, soutenus et réconfortés de la protection de la Vierge, nous pouvons contempler avec des yeux rénovés la face de son Fils Jésus et se promener plus rapidement sur les voies de bien. »

Sami et Elisabetta : le rêve d’une paix retrouvée à Bethléem

20 décembre, 2007

 du site: 

http://www.zenit.org/article-16895?l=french

 

Sami et Elisabetta : le rêve d’une paix retrouvée à Bethléem

Quitter l’Italie pour enseigner la pédagogie à des jeunes universitaires palestiniens

 

ROME, Mercredi 19 décembre 2007 (ZENIT.org) – Dans la ville de la Nativité, l’action simple et discrète de nombreux « héros », mais ne se considérant pas comme tel, jalonnent la vie des chrétiens.

Il s’agit de personnes qui ont répondu « oui » à la proposition, aujourd’hui accueillie par de moins en moins de candidats, d’aller vivre à Bethléem, alors que tout le monde la quitte, pour enseigner à des jeunes universitaires palestiniens. Un jeune couple, Sami, citoyen italien d’origine palestinienne et Elisabetta, Sicilienne, a accepté de relever le défi.Tout a commenc

é en décembre 2005 quand Sami a reçu chez lui à Rome un coup de téléphone de l’université de Bethléem. Son histoire est racontée par les religieuses franciscaines de Sainte-Elisabeth à Bethléem, dans leur dernier bulletin.

Palestinien originaire de Jenin, Sami vivait à Rome depuis 14 ans. Il avait étudié la pédagogie et obtenu un doctorat à l’Université pontificale des salésiens. Spécialisé en pédagogie clinique à Florence, il travaillait pour la Fondation « Il Faro », fondée à Rome sur une initiative privée pour offrir une formation professionnelle à des jeunes en difficulté.Il est mari

é à Elisabetta, diplômée en Lettres classiques et spécialisée en paléographie grecque. Ils ont deux enfants.

Sami commençait une carrière prometteuse. L’Italie lui plaisait, il avait beaucoup d’amis et de grandes opportunités de dialogue et d’échange. Mais après ce coup de téléphone, tous ses « programmes italiens » ont basculé.Sami a racont

é s’être donné du temps pour réfléchir et prier avant de répondre à cette offre. Puis il a décidé : il voulait faire quelque chose pour son peuple. Beaucoup de gens le lui déconseillait : « tu es fou de rentrer en Palestine, alors que tout le monde s’en va ! », mais les parents d’Elisabeth, fille unique, l’appuyaient.

Sami enseigne la pédagogie depuis un an aux jeunes palestiniens à l’Université de Bethléem. Il exerce sa profession d’éducateur comme une « rencontre » avec les jeunes de son peuple « qui souffre et lutte pour la liberté, mettant la personne humaine au centre de toute sa formation ».Son r

êve serait de pouvoir marcher en Palestine en compagnie de juifs, comme il le faisait en Italie quand il pouvait discuter librement avec eux. Il se souvient de ce rabbin qui l’avait embrassé après une réunion à Florence en lui disant : « Ah, si tous les Palestiniens étaient comme toi ! ».

Le jeune palestinien raconte avec un sourire ce qui lui est arrivé également au terme d’une réunion à Rome : tous les participants étaient partis, il ne restait plus qu’un rabbin, qui ne savait pas où aller. Sami, en bon connaisseur de la ville, s’était alors offert de faire un bout de chemin avec lui. « Tu n’as pas le choix, lui dit Sami, ou tu te laisses accompagner par moi ou tu resteras seul ici ».

« Comme ce serait beau, s’il nous arrivait de nous perdre ainsi à Jérusalem ou à Tel Aviv et de pouvoir nous mettre à parler, à discuter…. », commente-t-il avec nostalgie en évoquant les problèmes que suscite le mur de séparation.

« Certaines choses sont nécessaires, mais pas indispensables ! Pendant un an nous avons pu nous passer de voiture ; pour nous, chaque chose a un sens, et le fait d’avoir attendu de pouvoir à nouveau en bénéficier, nous a permis de dépenser la moitié de ce que nous avions prévu. Ces petites choses sont une providence’ aussi. Si on est rempli d’amour, on ne manque de rien, même si on n’a pas toutes les commodités ».

Mais il y a une chose qui manque à Sami et Elisabetta : la possibilité de se confronter à la réalité, le dialogue, l’ouverture aux autres, à laquelle ils étaient habitués en Italie.Sami a accord

é cet entretien au moment du sommet d’Annapolis qui a réuni les « grands de la terre » pour tenter de remettre sur les rails le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens.

Interrogé sur ce qu’il attendait de ce sommet, Sami a répondu : « Oui, j’attends la liberté et la paix. Voir les implantations juives retranchées derrière des barbelés m’attriste trop. En ce moment, les défis ne manquent pas. Et nous allons de l’avant…. ».

Nieves San Martín

Benoît XVI appelle les jeunes à prendre soin de la planète

2 septembre, 2007

du site

http://fr.news.yahoo.com/ap/20070902/twl-vatican-pape-jeunes-0ef7422_1.html

Benoît XVI appelle les jeunes à prendre soin de la planète

Par Nicole Winfield AP – Dimanche 2 septembre, 12h39

LORETTE, Italie – Le pape Benoît XVI a exhorté dimanche des centaines de milliers de jeunes catholiques à prendre soin de la planète et à répondre aux urgences des défis posés par les comportements néfastes à l’environnement, observant que l’eau, en particulier, devait être préservée et partagée pour éviter les conflits. Le souverain pontife a ainsi lancé un message aux tonalités très « vertes » au cours d’une messe en plein air, au second jour d’un rassemblement religieux de jeunes pèlerins à Lorette, le plus célèbre sanctuaire marial d’Italie, organisé par la conférence des évêques italiens. L’Eglise italienne a fait du 1er septembre une « Journée » de sauvegarde de la « création ». Le rassemblement de Lorette, en conséquence, était porteur d’un message fort sur la défense de l’environnement. Chaque participant s’est notamment vu remettre une assiette biodégradable, des sachets recyclés pour leurs détritus. Dimanche, quelque 500.000 personnes ont assisté à la messe célébrée par le pape, selon les chiffres de la police italienne. Benoît XVI a lancé aux participants qu’il leur incombait de sauver la planète du développement qui a souvent ignoré le « délicat équilibre de la nature ». « Avant qu’il ne soit trop tard, nous devons faire des choix courageux qui recréeront une alliance forte entre l’homme et la Terre », a souligné le pape dans son homélie. « Nous avons besoin d’un ‘oui’ décisif pour s’occuper de la création et d’un engagement fort pour renverser ces tendances qui risquent de rendre irréversible la situation de décomposition. » Il a souligné que l’eau, en particulier, était une ressource « précieuse » qui devait être préservée depuis qu’elle « devient malheureusement une source de fortes tensions et de conflits » si elle « n’est pas partagée de manière équitable ». Au cours de la semaine passée, le souverain pontife s’est également prononcé pour la défense de l’environnement, se lamentant sur l’impact des récents incendies de forêt en Italie et en Grèce. Il avait fréquemment évoqué l’importance de la nature -création de Dieu- durant ses récentes vacances d’été en montagne. Depuis le début de son pontificat, le Vatican a pris certaines mesures concrètes en faveur de l’environnement. Il a adhéré à un projet de reforestation destiné à contrebalancer ses émissions de CO2, et a précisé qu’il installait des cellules photovoltaïques sur le toit de son principal auditorium pour convertir la lumière du soleil en électricité. Le rassemblement de Lorette était organisé à moins d’un an de la prochaine édition des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) catholique, qui se tiendront en juillet 2008 à Sydney, en Australie, en présence du pape. Il représentait pour l’Eglise italienne une forme de répétition générale. La plupart des jeunes présents au rendez-vous ont passé la nuit de samedi à dimanche sur des bâches ou sous des tentes installées sur un terrain au pied de la colline de Lorette. AP

Lorette : Près de 350 000 jeunes attendus, mobilisation des familles

22 août, 2007

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Lorette : Près de 350 000 jeunes attendus, mobilisation des familles

Pour la rencontre avec Benoît XVI

ROME, Mardi 21 août 2007 (ZENIT.org) –

Les familles de Lorette s’apprêtent à accueillir des milliers de jeunes les 1er et 2 septembre pour la rencontre avec Benoît XVI au sanctuaire de la Sainte Maison de la Vierge Marie. « Un grand événement requiert une énorme préparation qui retombe en particulier sur les épaules de chacun », a souligné le président de la conférence des évêques d’Italie (CEI), Mgr Angelo Bagnasco, archevêque de Gênes.

Mgr Bagnasco a salué, hier, les volontaires de l’accueil des participants de l’Agora des jeunes, les 1er et 2 septembre.

« Les jeunes, a dit l’archevêque, sont un talent et non un problème à résoudre ».

Mgr Bagnasco a exprimé que le voeu que les paroles du pape marquent profondément leur vie. Le président de la CEI a en effet rencontré, le chef du département de la Protection civile Bertolaso, et les autorités locales, et il a ensuite visité l’esplanade de Montorso où se déroulera la veillée avec Benoît XVI.

A cette occasion, Lorette s’apprête à accueillir environ 350 000 jeunes de toute l’Italie.

Le responsable des journées d’accueil précédant la rencontre avec Benoît XVI, Giorgio Minella, a confié à Radio Vatican : « Aux familles nous ne pouvions pas demander plus de générosité que celle qu’elles ont manifesté. Toutes, sans exception, ont ouvert leur maison sans rien demander aux jeunes et elles se sont déclarées disponibles auprès de la paroisse pour organiser la fête d’accueil, le 29 août. Elles ont dit également, dans certains cas, leur disponibilité à accompagner les jeunes lors des rencontres communes. Les familles et les paroisses ont manifesté un esprit d’accueil difficile à trouver, surtout en ces temps où l’on a peur de la délinquance ».

Les familles, disait-il, ont dû surmonter « les peurs initiales, le sentiment d’être inadéquat pour ce grand nombre de personnes ». Il est spectaculaire de voir comment dans ces cas-là la foi (…) est aussi un élément d’union dans les moments de difficulté. Le fait de savoir que nous nous trouvons tous ici pour une expérience d’Eglise aplanit les difficultés ».

« Cette expérience nous enseigne un peu à tous que l’Eglise est vraiment une grande famille qui reconnaît en Dieu son Père. C’est aussi ce que nous demande le Seigneur : témoigner de la foi par l’hospitalité, un accueil gratuit ».

Pour ce qui est de la visite de Mgr Bagnasco, il ajoutait: « L’Eglise ne nous laisse pas seuls. La figure de l’archevêque Bagnasco nous rappelle qu’il n’y a pas seulement le travail de « l’Agora », mais que c’est une expérience de foi et que l’Eglise italienne est proche de nous ».

Il concluait : « Je souhaite que chaque jeune trouve dans cette expérience sa dimension et aussi le motif de sa croissance sur le chemin de la foi ».

Les pierres de la maison de Lorette, abritée par la grande basilique, viendraient, selon la tradition, de la maison de la Vierge à Nazareth : elles auraient été emportées par les croisés. La basilique de l’Annonciation de Nazareth abrite la grotte de l’annonciation sur laquelle s’appuyaient les trois murs de la maison. La trace archéologique des murs manquants est visible. La faille des pierres et les graffitis attestent la provenance des pierres ainsi que différents détails de la reconstruction des murs de Lorette.

Autriche: des textos pour préparer spirituellement la visite du pape début septembre

31 juillet, 2007

du site:

http://www.latribune.fr/info/Autriche–des-textos-pour-preparer-spirituellement-la-visite-du-pape-debut-septembre-565-~-AP-AUTRICHE-PAPE-SMS-$Db=News/News.nsf-$Channel=Monde

The Associated Press – 31/07/07 à 03.54.20 – 239 mots

Monde

Autriche: des textos pour préparer spirituellement la visite du pape début septembre

Les organisateurs de la visite du pape Benoît XVI en Autriche le mois prochain proposent aux fidèles un avant-goût du voyage papal: des textos quotidiens sur leurs téléphones portables avec des citations du souverain pontife.

Selon l’archidiocèse de Vienne, ce service qui a commencé dimanche et se poursuivra pendant la visite de Benoît XVI du 7 au 9 septembre, fournira des extraits de ses sermons, bénédictions et ouvrages.

Certaines citations remonteront à l’époque où le pape était encore cardinal en Allemagne, ont précisé des responsables de l’Eglise.

« Pendant toutes les vacances d’été, les citations seront soigneusement sélectionnées pour accompagner la réflexion sur Dieu, la foi chrétienne, la nature humaine et le sens de la vie », ont déclaré les organisateurs lundi dans un communiqué.

Lors de son voyage dans ce pays très majoritairement catholique qu’est l’Autriche, Benoît XVI fera une halte à Mariazell, pour commémorer le 850e anniversaire de la découverte de ce lieu de pèlerinage. Une messe en la cathédrale Saint-Etienne de Vienne est également prévue ainsi qu’une visite d’une abbaye à Heiligenkreuz, près de la capitale autrichienne.

Ce sera le septième déplacement à l’étranger en deux ans de pontificat pour Benoît XVI.

Benoît XVI révèle la clé pour connaître ce qui est bien et ce qui est mal

27 juillet, 2007

du site: 

http://www.zenit.org/article-15920?l=french

Benoît XVI révèle la clé pour connaître ce qui est bien et ce qui est mal

Rencontre avec les prêtres des diocèses de Belluno et TréviseROME, Jeudi 26 juillet 2007 (ZENIT.org) – La voix des grandes valeurs est inscrite dans notre être et la grandeur de l’homme est précisément que celui-ci… possède une ouverture aux choses essentielles, la possibilité d’une écoute, a déclaré Benoît XVI.

Dans le cadre de sa rencontre, mardi dernier, avec quelque 400 prêtres des diocèses de Belluno-Feltre et Trévise, dans les Dolomites, où il est en vacances depuis le 9 juillet, le pape a répondu à la question d’un prêtre sur la formation de la conscience. Le prêtre constatait que l’on confond souvent le bien et le mal avec le fait de se sentir bien ou de se sentir mal.

Le pape a expliqué que pour connaître ce qui est bien et ce qui est mal, il faut « écouter la voix du Créateur ».

« Un monde où Dieu n’existe pas devient de toute façon un monde où règne l’arbitraire et l’égoïsme », a constaté le pape au terme de son analyse.

« Il n’y a de la lumière, de l’espérance, que si Dieu apparaît, a-t-il ajouté. Notre vie a un sens que nous ne devons pas produire nous-mêmes, mais qui nous précède, qui nous porte ».

« Prenons donc ensemble les chemins évidents, qu’aujourd’hui, même la conscience laïque peut facilement voir, et essayons de la conduire ainsi aux voix plus profondes, à la véritable voix de la conscience, qui se transmet dans la grande tradition de la prière, de la vie morale de l’Eglise ».

« Ainsi, sur un chemin d’éducation patiente, nous pouvons je crois tous apprendre à vivre et à trouver la vraie vie », a-t-il affirmé.

Dans son analyse, Benoît XVI a reconnu qu’aujourd’hui la morale et la religion « sont presque exclues de la raison », et que « l’unique et ultime critère de la moralité et également de la religion, est le sujet, la conscience subjective ».

Il a expliqué qu’en définitive c’est « le sujet, avec son sentiment, ses expériences, d’éventuels critères qu’il a trouvés », qui décide. « Mais le sujet devient ainsi une réalité isolée » et les paramètres changent de jour en jour.

« Dans la tradition chrétienne ‘conscience’ signifie con-science, c’est-à-dire que notre être est ouvert, peut écouter la voix de l’être lui-même, la voix de Dieu », a-t-il ajouté.

« Par conséquent, la voix des grandes valeurs est inscrite dans notre être et la grandeur de l’homme est précisément que celui-ci n’est pas fermé sur lui-même, qu’il n’est pas réduit aux choses matérielles, quantifiables, mais possède une ouverture intérieure aux choses essentielles, la possibilité d’une écoute ».

« Dans la profondeur de notre être nous pouvons écouter non seulement les besoins du moment, non seulement les choses matérielles, mais aussi la voix du Créateur lui-même, et ainsi connaître ce qui est bien et ce qui est mal », a précisé le pape.

« Mais naturellement, cette capacité d’écoute doit être éduquée et développée », a-t-il ajouté.

« Et ceci est précisément l’engagement de l’annonce que nous faisons en Eglise : développer cette très grande capacité donnée par Dieu à l’homme d’écouter la voix de la vérité et ainsi la voix des valeurs », a expliqué Benoît XVI.

aujourd’hui Saint Charbel Makhlouf

24 juillet, 2007

le site libanese donne la fete de Saint Charbel la 3e Dimanche de Juillet, en France et en Italie aujourdui,  lien sous « Famille Saint Charbel »:

Saint Charbel Makhlouf

Moine Libanais Maronite

1828-1898

Youssef Antoun Makhlouf est né à beqaakafra (Liban Nord) en 1828. Sa formation chrétienne et l’exemple de ses deux oncles maternels, ermites au monastère de Saint Antoine Kozhaya, le vouèrent dès son jeune âge à la prière et à la vie monastique.

En 1851, il quitta ses parents et son village pour se diriger vers le monatère Notre Dame de Mayfouq pour sa première année de noviciat.

Dirigé ensuite vers le monastère Saint Maroun d’Annaya, il s’engagea dans l’Ordre Libanais Maronite, choisissant le nom de Charbel, martyr antiochien du IIe siècle. Il y prononça ses voeux solennels le 1er Novembre 1853 puis poursuit ses etudes théologiques au monatère Saint Cyprien de Kfifane, Batroun.

If fut ordonné prêtre à Bkérké, siège patriarchal maronite, le 23 Juillet 1859.

Il vécut au monastère Saint Maroun d’Annaya Durant seize ans après lesquels il se retire définitivement dans l’ermitage SS Pierre et Paul du dit monastère. Il en sortait rarement, continuellement en prière, modèle exemplaire d’ascèse et de sainteté. Il vécut 23 ans à l’ermitage et y mourut le 24 Décembre 1898 la veillée de Noêl. Il fut enterré au cimetière d’Annaya.

Quelques mois après la mort de Père Charbel, des lumières éblouissantes apparaissaient autour de son tombeau. Son corps, qui continuait à suer de la sueur et du sang, fut déposé dans un nouveau cercueil. Beaucoup de pélerins venaient implorer sa protection. On dénombre alors bien des guérisons physiques et des grâces spirituelles.

En 1925, s’ouvrit le procès de sa canonisation. En 1950, le tombeau du Père Charbel fut ouvert en présence d’un comité officiel et de médecins qui ont procédé à la verification de l’intégrité du corps.

Dès l’ouverture du tombeau, les guérisons de toutes sortes se vent multipliées d’une manière subite et inaccoutumée. De toutes les régions du Liban les pélerins de toutes confessions venaient implorer le “Saint” Charbel.

Bientôt, les miracles dépassaient les frontières. Des milliers de correspondances et de témoignages conservés dans les archives d’Annaya restent les meilleurs témoins de la propagation de sa sainteté. Ce phénomène exceptionnel a été la cause immédiate de plusieurs conversions et d’une grande revification des vertus dans les coeurs des fidèles. Le si pauvre tombeau est devenu le pôle d’attraction qui attirait vers lui les gens de tout âge et de toute classe, rassemblés devant le “Saint” sans distinction de religion ni de condition. Ils sont tous là, fils de Dieu.

Charbel, Bienheureux et Saint.

En 1954, le Pape Pie XII signa la décision du procés de la Béatification de l’ermite Charbel Makhlouf.

Le 5 Décembre 1965, le Pape Paul VI présidait la cérémonie de la Béatification, durant la clôture du Concile Oecuménique Vatican II.

En 1976, le Pape Paul VI signa la décision du Bienheureux Charbel, proclamée dans une cérémonie mondiale le 9 Octobre 1977.

Parmi les nombreux miracles attribués à l’intercession de l’homme de Dieu, l’Eglise en retint deux pour la Béatification et un troisième pour la Canonisation.

Soeur Marie Abel Qamari, de la Congrégation des Saints Coeurs, opérée à deux reprises d’un ulcère très grave, supporta durant 14 ans des douleurs indescriptibles. Elle guérit à Annaya le 12 Juillet 1950.

Iskandar Naïm Obeid, de Baabdate, avait perdu en 1937 l’usage d’un oeil. Conseillé de l’enlever pour sauver le second, il pria le Père Charbel pour son intercession et redécouvrit la vue, après sa visite à Annaya en 1950.

Miriam Aouad, de Hammana, avait le cancer de la gorge. Les médecins déclaraient leur incapacité de la soigner. Elle pria Saint Charbel et en 1967, guérit par son intercession.Prière pour obtenir des Graces

Dieu, infiniment Saint et glorifié dans Vos saints, qui avez inspiré au Saint moine et ermite Charbel de vivre et de mourir dans une parfaite ressemblance avec Jesus, lui accordant la force de se détacher du monde afin de faire triompher, dans son ermitage, l’héroїsme de vertus monastiques: la Pauvreté, l’Obéissance et la Chasteté, nous Vous supplions de nous accorder la grace de Vous aimer et de Vous servir à son exemple. Seigneur Tout-Puissant, qui avez manifesté le pouvoir de l’intercession de Saint Charbel par de nombreux miracles de faveurs, accordez-nous la grâce que nous implorons par son intercession. Ainsi soit-il.

« Le mystère de saint François ne peut être compris qu’en Jésus »

21 juillet, 2007

du site

http://www.zenit.org/article-15885?l=french

« Le mystère de saint François ne peut être compris qu’en Jésus »

Préface au recueil des discours de Benoît XVI à Assise, par le cardinal A. Nicora

ROME, Vendredi 20 juillet 2007 (ZENIT.org) Dans la préface du recueil des discours prononcés par le pape à Assise le 17 juin dernier, « Benedetto XVI, Solo l’Infinito riempie il cuore. Le parole del Papa pellegrino ad Assisi » (Benoît XVI : Seul l’Infini peut combler le cœur. Les paroles du pape pèlerin à Assise), le cardinal Attilio Nicora, Légat pontifical pour les basiliques de Saint-François et Sainte-Marie-des-Anges à Assise, écrit que « le ‘mystère’ de François ne peut être compris quen Jésus ».

Le cardinal Nicora explique que « précisément la rencontre avec Jésus et le fait de marcher à sa suite ont fait de François un homme extraordinairement nouveau : si nous oublions quil est totalement en et pour Jésus, et donc engagé à vivre comme lui en toute fidélité à l’évangile, nous ne comprendrons absolument pas qui est François ».

« En partant de cette identité christocentrique explique le cardinal Nicora on ne canonise pas à tort la figure du grand saint dAssise et on nenlève rien à son originalité multiforme ».

« Bien au contraire ajoute le Légat du pape on y retrouve, dans toute leur fraîcheur, les grands traits célébrés par lhistoire, la piété et lart : l’amour de lEglise, du pape, de l’évêque, des prêtres ministres de lEucharistie ; l’attitude douverture confiante envers tout homme ; partager la minorité’ des exclus ; l’annonce du pardon à tous ; le dialogue avec les non-chrétiens vécu à la fois dans la passion pour la vérité de Jésus et dans le respect discret et patient des autres ; la transparence dun cœur qui reconnaît la marque de Dieu en toute créature et les associe au chant daction de grâce et de louange ».

Le cardinal Nicora souligne que « la journée intense vécue par Benoît XVI à Assise le 17 juin dernier a « été une manière originale dexprimer le charisme des successeurs de lApôtre Pierre, à savoir affermir les frères dans la foi ».

« Il sagit non seulement de proposer à nouveau clairement et dans toute son intégrité la vérité de la foi chrétienne de toujours mais aussi daider à comprendre, dans une vision de foi, les événements et les personnes de la vie contemporaine et de lhistoire de lEglise qui, autrement, – a ajouté le cardinal Nicora – perdraient leur signification authentique ».

Le cardinal Nicora estime que « le pape nous a redonné saint François dans sa vérité originelle et dans son séduisant message, toujours actuel. Il la fait en dévoilant dune manière émouvante sa familiarité personnelle avec le grand Saint dAssise, faisant ainsi de son enseignement un témoignage et nous invitant à le redécouvrir avec passion ».

Congrès au Vatican sur l’aide aux personnes âgées malades

20 juillet, 2007

du site:

http://www.zenit.org/article-15878?l=french

Congrès au Vatican sur l’aide aux personnes âgées malades

Organisé par le Conseil pour la pastorale de la santé

ROME, Jeudi 19 juillet 2007 (ZENIT.org) – Des experts du monde entier analyseront la situation des personnes âgées malades lors du XXIIe Congrès international organisé au Vatican par le Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, du 15 au 17 novembre.

Le Conseil vient de communiquer le programme de ce congrès.

Le jeudi 15 novembre, le cardinal Javier Lozano Barragán inaugurera la rencontre par une intervention qui aura pour thème : « L’assistance pastorale aux personnes âgées malades à la lumière de la parole de Dieu ».

Suivant une méthode utilisée au cours des précédents congrès, la rencontre se divisera en trois parties : la réalité, que penser, que faire.

Dans un premier temps, quelques experts analyseront la situation actuelle : les principales maladies dont souffrent les personnes âgées, l’origine de ces maladies, en observant l’aspect personnel, technologique, scientifique, politique, social et écologique.

La deuxième partie sera centrée sur la Révélation, le soin au personnes âgées dans les écrits des pères de l’Eglise et dans l’histoire de l’Eglise. Elle aura pour thème : « Foi, charité et personnes âgées malades », avec l’intervention du théologien de la Maison pontificale, le père Wojciech Giertych, O.P. Des témoignages de saints qui se sont consacrés aux personnes âgées malades sont prévus.

La troisième partie « Que faire » comportera une étude de la pastorale associée au soin des personnes âgées malades du point de vue religieux, biomédical, sociopolitique et familial.

Les actes du congrès seront disponibles en italien, français, anglais, espagnol en mai 2008.

Les personnes souhaitant assister au congrès qui se déroulera dans la nouvelle salle du Synode au Vatican, sont invitées à envoyer la fiche d’inscription avant le 10 octobre au Conseil pontifical pour la pastorale de la santé (00120 Cité du Vatican)

[Pour tout renseignement complémentaire, www.healthpastoral.org ; voir le détail du programme en français : http://www.healthpastoral.org/text.php?cid=444&sec=3&docid=134=fr]

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