Archive pour la catégorie 'article'

da un journal italien les reaction de la presse polonaise

10 janvier, 2007

Cet l’articule je l’ai pris du journal italien « II Giornale » que report les réactions des journaux polonais ; la validité de le teste est comme les ces de toutes les articles d’un quotidien politique, je crois qu’il est un bon journal de la droite italienne ; pour combien il me concerne je ne retiens pas de pouvoir juger, ainsi, comme évident de mon partie je crois à le Pape ;

« Benoît XVI a sauvé l’Église de la honte » ; 

de Rédaction de Varsovie 

La presse polonaise a vanté hier la décision de Benoît XVI d’accepter les démission de monsignor Stanislaw Wielgus.  »
La Papa a sauvé l’Église de la honte », « Rome est arrivée dans secourt » et encore « le Pape nous a sauvés » ont été les titres des majeurs quotidiens du Pays. « La décision de Rome est une victoire de la conscience. Nous avons redonné sens aux principe fondamentaux de gouvernement, où traître signifie traître, le courage est courage et la loyauté est loyauté « , a écrit le conservateur Rzeczepospolita. « L’Église polonaise n’a pas réussi à résoudre l’affaire Wielgus toute seule. Au lieu de condamner du trahison, quelques évêques, prêtres et journalistes catholiques ils ont insulté combien ont eu le courage de révéler à cette vérité incommode « , souligne le journal. Selon la progressiste Gazeta Wyborcza, combien arrivée a mis en lumière une manquée communication entre Varsovie et le Saint Siège. « Les communications entre l’Église polonaise et le Pape sont sautées complètement et pas seulement pour la mode dans laquelle ils sont choisis les candidats aux différents charges. L’entière Église a pris une mauvaise décision et elle l’ai retirée en retard « , écrit le quotidien. très dur pas tant avec Wielgus combien avec le cardinal Jozef Glemp, qui dimanche de la chaire du cathédrale de Varsovie s’était rangé avec le nouvel archevêque, a été le conservateur Dziennik : « Parce qu’un homme de telle valeur comme le primate a défendu ainsi vaillamment Wielgus, il est allé contre la vérité et le conseille de le Pape? ». La contradiction entre les mots de Glemp sur le sien manqué successeur et la ligne dure choisie des Pontife a été remarquée même du journal populaire Superexpress, qui a publié une photo de tous les deux avec titre : « À quel nous devons croire? ». Seulement le catholique Nasz Dziennik, de propriété de l’ultraconservateur Radio Maryja, défend l’Église polonaise et a dénoncé « la campagne de haine contre l’archevêque ». 

Toujours da « Avvenire » : »Le jour plus long »

9 janvier, 2007

Je désir mettre encor une article sur el cas du Cardinal Stanislaw parce que il me semble que da/à Rome touts se fait loin et ne se comprend bien;

Je désire vous dire que les articles sur le « cas » du Cardinal Stanislaw sont beaucoup, ainsi comme j’ai vu même sur les journaux français, aussi, personnellement j’ai une certaine confiance des rédacteurs de « Avvenire », en réalité je ne nous comprends beaucoup, me semble de comprendre que s’il y avait quelque chose d’écrit été d’inévitables les démission, mais celles-ci sont des choses que je ne comprend pas bien et je ne connais pas la situation réelle de la Pologne, je sais que l’Église de la Pologne – comme il a dit le Cardinal Bertone : « il a souffert beaucoup », de toute façon si je trouve autres articles intéressants je les poste parce qu’elles sont des situations que – naturellement – elles font penser ; Un autre article – plus émouvant – ce cet que je mis au dessous de cet écrit :

Toujours da « Avvenire » :

 LE JOUR PLUS LONG

« Après une profonde réflexion et la considération de ma situation personnelle je remets le charge dans les mains du Seigneur » Et de la vaisseau vite on ils sont des levers crie : « Non », « Honte » et « don Stanislaw tu restes avec nous », pétrifié, écoutait et pleurait : seulement après divergés minuscules il a été rapportée le calme. Ce « renonce » entre les larmes les démission de monsignor Wielgus : je ne serai pas l’archevêque de Varsovie la défense : l’agent du Sb été comme un roulement compresseur, le cardinal Glemp : « Jugé sur de base de petit morceau de papier ». de Notre Envoyé à Varsovie Salvatore Massue elle est finie avec celle-là seul mot : « Renonce ». Avec les larmes de monsignor Wielgus, là sur l’autel, et les mains tremblant que peinaient à remettre dans leur noire garde rigide les lunettes. Elle est finie avec la surprise manifestée à haute voix, le « non! » et la « honte » criés de la foule hors et dans à une cathédrale de Saint Jean plein éclater. Elle est finie avec les tonnants mots du cardinal Glemp à défense de le sien manqué successeur, pendant que hors de l’église, sur la route battue de la pluie, des autres millier de personnes nous confrontait en choeurs « au profit de » et « contre ». Mais elle est finie. Le jour plus long de l’Église polonaise de j’écroule du communisme s’est brûlé dans l’espace de peu d’heures, dimanche matin. Juste l’espace entre les premières voix d’un possible renversement en extremis de la situation, entamées à se répandre vers 8,30 du matin, et l’annonce effective, à 11 heures, des démission de la guide de la diocèse de Varsovie offerte de monsignor Stanislaw Wielgus, et acceptée de le Pape. À recomposer sur naître une fente qui risquait de déchirer en profondeur l’Église polonaise qui, vraiment sur craint des prêtres suspectés de « collaborationnisme » avec le communisme, a vécu dans achève an des instants de comparaison souvent dramatiques. Pour un de ces paradoxes qui le cas très souvent déterminent, vraiment les fidèles qu’été réussis à trouver place à l’intérieur de la Cathédrale été en majorité à l’obscur du temporel qui était en train de se déchaîner. J’aperçus de bon matin pour conquérir une place pour la solennelle cérémonie, en effet, pas été rejoints des voix du change de route décidé de la Papa. Et ainsi, lorsque au debout de la messe monsignor Wielgus s’est approché au microphone et il a dit : « Après une profonde réflexion et la considération de ma situation personnelle je remets le charge dans les mains des Seigneur », la foule a explosé. De la vaisseau vite on est des levers crie : « Non! », « Honte! » et « don Stanislaw tu restes avec nous! ». Wielgus, pétrifié, écouté et pleurait, pendant que des prêtres, diacres et sacristain employaient divergés minuscules à rapporter le calme. Et aux extérieur, où les mots ricochaient des haut-parleurs positionné pour permettre à quel il n’était pas réussi à entrer de suivre la cérémonie, mêmes cris étaient scandés encore plus de forts, pendant que dans, un peu à fatigue, reprenait la messe pas plus pour saluer l’entrée des nouveau bergères, mais pour remercier pour son très long service le cardinal Glemp, archevêque sortant mais, de dimanche, nommé de Bénit XVI Administrateur apostolique de la diocèse de Varsovie, en attente du choix du nouveau successeur. Vraiment Glemp, dans l’homélie de la messe, a voulu défendre le sien manqué successeur, en affirmant que « monsignor Wielgus a été jugé sur la de base de petit morceaux de papier » ; au contraire « de copies de copies de photocopies », il a accentué, à souligner la valeur relative que les documents qu’ils accusent les Cardinal démissionair, qui aussi a confessé le sien contacte avec la « Sluba Bezpieczenstwa » (Sb), bien que les services secrets du régime communiste, n’éprouvent pas qu’il a été effectivement un « agent active ». Ainsi, pour Glemp, Wielgus « a été jugé et retenu coupable sans avocats ou témoins », et la sentence sans procès formulée contre de de l’opinion publique « n’a pas été un verdict juste ». Du reste, il s’est rappelé encore, les agents du Sb « été comme un roulement compresseur et l’été omniprésents ». Au terme de la messe les applaudissements des fidèles pour encourager monsignor Wielgus, compris ceux du président polonais Lech Kaczynski, qui était présent à la cérémonie concélébré de l’épiscopat polonais presque au complet. Tout ceci pendant qu’à l’extérieur la foule, entre-temps beaucoup amincis, reprenait les choeurs, les prières, et les slogans pour « don Stanislaw », qu’ensemble à tous les autres évêques avait cependant préféré sortir du derrière. En se soustrayant même à tous les microphones inutilement thèse vers de lui.

Benoît XVI baptise des enfants à Saint-Pierre en la fête du Baptême du Christ

9 janvier, 2007

du Zenith: 

Benoît XVI baptise des enfants à Saint-Pierre en la fête du Baptême du Christ 

ROME, Dimanche 7 janvier 2007 (ZENIT.org) – Benoît XVI invite à prier pour les 13 nouveaux baptisés, leurs parents, parrains et marraines

Comme c’est la coutume en la fête du baptême du Seigneur, le pape Benoît XVI a en effet baptisé ce matin en la chapelle Sixtine 13 petits enfants de différentes nationalités, dont un petit garçon, Damian Elmar, né le 11 septembre, et quatrième enfant du commandant de
la Garde suisse pontificale Theodor Maeder. 

Au Vatican la fête de l’Epiphanie est maintenue au 6 janvier. L’Eglise du Vatican célébrait donc aujourd’hui la fête du Baptême du Christ. 

Le pape disait après l’angélus : « Ce matin (…) j’ai eu la joie de baptiser quelques enfants. Je vous invite donc à prier pour ces nouveaux chrétiens et pour leurs parents, leurs parrains et marraines. Que
la Vierge Marie veille toujours sur eux ». 

Le pape invitait les francophones à prendre conscience de leur baptême en disant : « Je vous salue, chers pèlerins francophones, venus vous associer à la prière de l’Angélus. Alors que nous célébrons le Baptême du Seigneur, où nous est révélé qu’il est Fils de Dieu, prenez conscience de la beauté de votre Baptême, pour vivre chaque jour de votre dignité de fils de Dieu, dans le Christ Seigneur. Avec ma Bénédiction apostolique ». 

Aux Polonais présents place Saint-Pierre ou reliés par la radio ou la télévision, le pape disait : « Le dimanche du Baptême du Seigneur nous rappelons le début de sa mission de Juste. Nous revenons par la mémoire à notre baptême, et nous rendons grâce pour le don de notre participation à sa justice. Que cette grâce pénètre les coeurs de tous les Polonais. Dieu vous bénisse ». 

Enfin, en italien, le pape a salué un groupe de jeunes d’une paroisse qui recevront la confirmation samedi prochain : « Chers jeunes, disait Benoît XVI, que l’Esprit Saint, qui s’est posé sur Jésus et l’a accompagné dans toute sa mission, vous guide toujours aussi au cours de votre vie. Je vous souhaite à tous un bon dimanche ». ZF07010701

Message Pape Benoît – Haiti

9 janvier, 2007

du Radio Kiskeya: Haïti-Pape-Message
Le Pape Benoît XVI juge intolérable l’ampleur de la violence et de la misère en Haïti

Le Saint-Père appelle les haïtiens à la réconciliation et la communauté internationale à la solidarité, au cours de l’audience annuelle réservée aux 175 membres du corps diplomatique
mardi 9 janvier 2007,
Radio Kiskeya

Le Pape Benoît XVI a tenté lundi d’attirer l’attention du monde sur les souffrances du peuple haïtien, lors de la traditionnelle cérémonie d’échange de vœux avec le corps diplomatique, rapportent mardi les services de presse du Vatican.
Dans un discours prononcé à la salle Regia du Palais Apostolique du Vatican devant les 175 ambassadeurs accrédités au Saint-Siège, dont le représentant de Port-au-Prince, le Saint-Père a déploré « la violence et la faim qui sévissent en Haïti » et appelé la communauté internationale à se montrer sensible à cette situation préoccupante.
« Non loin de Cuba, le peuple haïtien vit toujours dans une grande pauvreté et la violence », a fait remarquer Benoît XVI qui a choisi de s’exprimer sur les grandes crises du monde dans cette intervention extrêmement médiatisée qui traduit les préoccupations majeures de l’église catholique au seuil de la nouvelle année. La nécessité d’un processus démocratique à Cuba, la mort lente du processus de paix au Proche-Orient, les tragédies humanitaires en Colombie et au Darfour, la désintégration de l’Irak et le terrorisme qui mine l’Afghanistan ont marqué les grandes lignes du discours du successeur de Jean-Paul II
Plus loin, il a lancé un appel en faveur de la paix et de la réconciliation entre les haïtiens sans oublier de rappeler ses engagements à la communauté internationale.
« Je forme des vœux pour que l’intérêt de la communauté internationale, manifesté entre autres par les conférences des donateurs qui ont eu lieu en 2006, conduise à la consolidation des institutions et permette au peuple haïtien de devenir artisan de son propre développement, dans un climat de réconciliation et de concorde », a confié le Souverain Pontife.
Benoît XVI souligne que « son regard est tourné vers toute l’Amérique latine et les Caraïbes » à l’approche de son tout premier voyage apostolique dans la région qui le conduira au Brésil, en mai prochain.
Lors de la conférence internationale qui avait réuni, en juillet dernier à Port-au-Prince, les principaux partenaires économiques d’Haïti, le Pape avait adressé au Président René Préval un message personnel en vue de manifester son soutien au peuple haïtien. spp/RK

L’ »ARRIÈRE-SCÈNE » – la decision prise samedì soir

9 janvier, 2007

De l’ «Avvenire » d’aujourd’hui 

 

L’ »ARRIÈRE-SCÈNE » 

la décision prise samedi soir à donner il y la procédure aurait eu la lettre d’admission lue dans toutes les paroisses du Pays, 

 

de notre envoyé à Varsovie (S.M.) 

 

Tout un jour, et une nuit, de coups de téléphone, fax, d’email entre Rome et Varsovie. À un rythme fiévreux, devenu au fur et à mesure plus très excité avec passer des heures et de s’approcher de l’échéance. La décision prise dans la soirée de samedi, à quel il semble, et la nuit passée à remettre à point les choses. Elle est mûrie ainsi, dans moins que vingt-quatre heures, la décision probablement jusqu’aujourd’hui plus soufferte que Bénit XVI. Décision qui dimanche matin à 10,25 a porté au communiqué avec lequel
la Nonciature Apostolique en Pologne communiquait que « Son Excellence monsignor Stanislaw Wielgus, Archevêque Métropolite de Varsovie, dans le giorno dans
lequel était prévu l’entrée dans la basilique cathédrale, pour donner j’entame à son ministère pastorale dans l’Église de Varsovie, a résigné à Sa Sainteté Bénit XVI les démission du bureau canonique aux termes du can. 401 § 2 du Code de Droit Canonique. Le Saint Père a accepté les démission de l’Archevêque Stanislaw Wielgus et a nommé Son Éminence Card. Józef Glemp, Primate de Pologne, Administrateur Apostolique des Archi diocèse de Varsovie jusqu’à nouvelle mesure « . Peu de lignes pour annoncer un fait probablement sans précédents, au moins pas en époque récente : c’est-à-dire le renoncement de titrer au gouvernement pastorale d’une diocèse d’abord ancre d’en prendre possession. À quel il semble, à mettre en marche le mécanisme qui a porté aux démission de monsignor Stanislaw Wielgus aurait été la lettre de lui signée, et faite légères dans la journée de samedi dans toutes les églises de la diocèse. Lettre dans laquelle les cardinal, en admettant le sien contactent passés avec le Sb, affirmaient jamais de ne pas avoir fait « délation sur personne et que j’ai cherché de ne pas faire du mal à personne ». Pour ceci, aussi en reconnaissant ainsi « d’avoir fait mal à l’Église » alors et à du nouveau dans ces jours, « lorsque dans les derniers jours face à la fiévreuse campagne médiale j’ai nié les faits de cette collaboration », dans remettre toute décision dans les mains de
la Papa il confiait de toute façon à la prière du sur les fidèles « ce difficile j’entame de mon service pastorale entre vous ». Selon des voix ramassées dans les milieux de l’épiscopat polonais, à Rome ils auraient relevé une « discordance » entre le contenu de la lettre et lorsque admis de Wielgus à l’instant de l’instruction déroulée de la part de
la Congrégation pour les Évêques pour sa nomination, et encore successivement, après les premières « voix » à moitié décembre sur son cas. Admissions sur dont la de base, le 21 décembre, fut émis de Rome le célèbre communiqué dans lequel on affirmait que le Saint Siège était au courant de tout et confirmait sa confiance aux cardinal. Ainsi, samedi passé, entre Rome et Varsovie est mûri la décision finale, qui s’est renforcée impunément tous les évêques polonais « étaient sondés » sur la situation. Il semble qu’une dossier de 80 pages sur toute l’événement ait été transmise en Vatican du même président polonais Lech Kaczynski, à travers
la Nonciature, et que même Kaczynski ait voulu faire sentir sa voix. 

 

article sur le batptêmes en la Chapelle Sixtine

8 janvier, 2007

du Zenit:

2007-01-07

Le baptême n’est pas magique, et n’est pas non plus une limite à la liberté

Fête du Baptême du Christ, baptêmes en la chapelle Sixtine

ROME, Dimanche 7 janvier 2007 (ZENIT.org) – Le baptême n’est pas un rite « magique », et pas non plus une limite à la liberté, a souligné le pape Benoît XVI dans son homélie au cours de la messe de baptême de 13 jeunes enfants, en la chapelle Sixtine, solennel lieu de l’élection des papes. « Tout enfant qui naît nous communique le sourire de Dieu et nous invite à reconnaître que la vie est un don de Lui, un don à accueillir avec amour et à garder toujours avec soin, en tout moment », disait Benoît XVI, selon Radio Vatican.

« Tout enfant qui naît, disait le pape, Dieu le confie à ses parents. D’où l’importance de la famille fondée sur le mariage, berceau de la vie et de l’amour ».

Benoît XVI a souligné combien la famille de Nazareth était un modèle « de simplicité, de patience, et d’harmonie pour toutes les familles chrétiennes ».

« N’oubliez pas, disait encore le pape aux familles, que c’est votre témoignage et votre exemple qui ont la plus grande influence sur la maturation humaine et spirituelle de la liberté de vos enfants. Même pris par le tourbillon des activités quotidiennes, ne négligez pas de cultiver personnellement et en famille la prière, qui constitue le secret de la persévérance chrétienne ».

Commentant l’Evangile de saint Luc, le pape soulignait, toujours selon la même source, qu’après avoir reçu le baptême sur les rives du Jourdain, Jésus parle avec le Père, il prie non seulement pour lui-même, mais pour tous, et c’est alors que s’ouvre le ciel.

Cet événement fait comprendre, disait le pape, que plus nous vivons en communion avec Jésus dans la réalité de notre baptême, plus le ciel s’ouvre au-dessus des hommes.

Le baptême, soulignait le pape, est l’adoption dans la famille de Dieu.

Puis, commentant les paroles de saint Paul dans la deuxième lecture de la liturgie, Benoît XVI ajoutait que le baptême n’est pas seulement un mot ou une réalité spirituelle : « la spiritualité de l’homme concerne l’homme dans sa totalité, corps et âme ».

« Nous voyons que le christianisme n’est pas seulement une chose spirituelle, individuelle, une position objective que je prends mais qu’ils s’agit d’une chose réelle, concrète, et même matérielle de l’Eglise ; l’adoption en tant qu’enfants de Dieu par le Dieu Trinitaire est en même temps assomption dans une famille concrète où nous vivons avec la Mère Eglise, en tant que frères et soeurs, dans cette grande famille de Dieu. C’est seulement en s’insérant dans ce ‘nous’ des enfants en tant que frères et soeurs que nous pouvons dire: ‘Notre Père’ ».

Pour ce qui est de l’eau, signe fort du baptême, le pape rappelait que dans toutes les cultures, l’eau est signe de fécondité.

Pour les Pères de l’Eglise, précisait le pape, l’eau est le « symbole du sein maternel de l’Eglise », comme le disait Tertullien: « Le Christ n’est jamais sans l’eau ».

Dans le baptême, nous sommes donc, continuait le pape, adoptés par le Père céleste, et par la Mère Eglise. En Jésus Christ, Dieu vient à notre rencontre, mais ne limite pas notre liberté.

« Naturellement, disait le pape, Dieu n’agit pas de façon ‘magique’, il agit avec notre liberté. Nous pouvons renoncer à notre liberté. Dieu provoque notre liberté, nous invite à la coopération avec le feu de l’Esprit Saint : ces deux choses doivent aller de pair : le baptême qui reste pendant toute la vie le don de Dieu qui a mis son sceau sur nos âmes et notre coopération, l’ouverture de notre liberté qui dit ‘oui’ à cette action divine ».

Enfin, le pape a exhorté les parents des nouveaux baptisés à enseigner à leurs enfants à prier et à se sentir des membres actifs de la communauté ecclésiale.

Benoît XVI rappelait que le Catéchisme de l’Eglise catholique constitue un instrument pour grandir dans la foi et la transmettre aux enfants.

ce est un article sur l’homélie du Pape pour l’Épiphanie

6 janvier, 2007

ce est l’homélie du Pape Benoît pour l’Épiphanie, ce est la traduction d’un article de AsiaNews, le texte original n’existe pas encor, j’ai traduit comme possible parce que cet texte est beaucoup difficil (pour moi): 

 

VATICAN Pape : 

Politiciens, scientifiques, religions, Mages d’aujourd’hui, vous n’ayez pas peur de la lumière de Christ ; à la messe pour la solennité de l’Épiphanie Bénoît XVI trace les pistes d’un nouvel humanisme contemporain. Et il rénove l’invitation du « Concilio Vaticano II » à des gouvernantes, à chercheurs et à représentants des religions pas chrétiennes de trouver le Jésus Christ les de la justice et de la paix pour tous peuples de la terre. 

 

Città del Vaticano, (AsiaNews) –

Dans le Jour dans lequel l’Église célèbre la manifestation de Christ aux gens, représentés des Mages venus de l’Orient, Bénoît XVI a lancé une appel affligée aux « Mages d’aujourd’hui », les politiciens, les scientifiques et les représentants des religions pas chrétiennes parce qu’ils découvrent que Christ est l’accomplissement de leurs recherches. Dans le cadre de
la Basilique de San Pietro, dans une célébration eucharistique, avec des « ministranti » (qui servent l’autel) asiatiques, africains, polynésiens, le pontife a reproposé le message de l’Epiphanie, « d’un Dieu qui s’est révélé dans l’histoire comme lumière du monde, pour guider et introduire finalement l’humanité dans la terre promise, où elles règnent des libertés, de la justice et de la paix ». Ai « Mages d’aujourd’hui » et « à tous les hommes du notre temps » le Pape a répété : « vous n’ayez pas de la peur de la lumière de Christ ! Sa lumière est la splendeur de la vérité. Laissez vous éclairer d’Lui, peuples tous de la terre ; laissez vous envelopper de le sien amour et trouverez de la paix « . L’urgence montrée de le Pape dans cette appel missionnaire est donnée d’une partie du fait qui « sont passé vingt siècles de lorsque tel mystère a été révélé et réalisé en Christ, mais il n’est pas encore arrivé à son accomplissement ». Il rappelle « aimé prédécesseur Jean Paul II », que dans « son Encyclique sur la mission de l’Église, a écrit que ` au terme du second millénaire un regard d’ensemble à l’humanité montre que telle mission est encore au débuts (Redemptoris missio, 1) ». Mais l’urgence est dû même dalla dramatique situation du monde contemporain, sans paix, justice, amour, pourquoi sans Dieu. Benoît XVI se rappelle de que le « Concilio Vaticano II » a été vraiment des tentatives de rendre actuel la « manifestation »[ Epiphanie ] de Christ » « En vérité – a dit le Pape – tout « Concilio Vaticano II » fut bougée de l’halètement d’annoncer à l’humanité contemporaine Christ, lumière du monde. Dans le coeur de l’Église, à partir du sommet de sa hiérarchie, émergé pressante, suscitée de l’Esprit Saint, du désir d’une nouvelle épiphanie de Christ au monde, d’un monde qui l’époque moderne avait profondément transformé et que pour la première fois dans l’histoire on trouvait face au défi d’une civilisation globale, où le centre ne pouvait pas plus être l’Europe et même pas ceux que nous appelons l’Occident et au Nord du monde. Il émergeait l’exigence d’élaborer des nouveau ordre mondial politique et économique, mais au même temps et surtout spirituel et culturel, c’est-à-dire rénové humanisme « . Et à souligner les difficultés d’aujourd’hui, il a ajouté à bras : « Des nouveau ordre social politique économique ne fonctionne pas s’il n’y a pas un renouvellement spirituel, si nous ne trouvons pas Dieu ». Le pape parle de la situation du monde contemporain comme d’un « défi d’époque ». Et il a continué : « Au debout du troisième millénaire nous nous trouvons dans le vivant de cette phase de l’histoire humaine, qui a été maintenant (tematizzzata=tematizzare (verb)=accumuler nouvelles, fait, teste de base à un sujet dominant autour du mot) ` globalisation’. D’autre part, aujourd’hui nous nous apercevons de ce que soit facile perdre de vue les termes de ce même défi, vraiment parce qu’il s’est impliqué dans elle : un risque fortement renforcé de l’immense expansion des mass media, qui, si d’une partie multiplient indéfiniment les informations, de l’autre semblent affaiblir nos capacités d’une synthèse critique. La solennité d’aujourd’hui peut nous offrir cette perspectif, à partir de la manifestation d’un Dieu qui s’est révélé dans l’histoire comme lumière du monde, pour guider et introduire finalement l’humanité dans la terre promise, où elles règnent des libertés, de la justice et de la paix « . Et, il ancre à bras a ajouté : « Et nous voyons que nous ne pouvons pas de nous trouver justice et paix si elle n’y apparaît pas la face de Dieu, cette face humble de Dieu qui y apparaît dans la pauvreté de la mangeoire ». _ pour ce Benoît XVI il y à le sien le appel le Concilier Vatican II ceux-là que il avoir définir « les Mages aujourd’hui », le « gouvernante » et le « homme pensée et science », lesquels il avoir ajouter même un autre catégorie, « le guide spirituel le grand religion pas chrétien ». « À distance de deux mille ans – il a continué Benoît XVI – nous pouvons donc reconnaître dans les figures des Mages une sorte de préfiguration de ces trois dimensions constitutives de l’humanisme moderne : la dimension politique, celle scientifique et celle religieuse. L’Epiphanie les montre en état de « pèlerinage », c’est-à-dire dans un mouvement de recherche qui, en définitive, a son point d’arrivée en Christ. Au même temps il nous montre Dieu qui à son tour est en pèlerinage vers l’homme : qui est en effet Jésus, si pas Dieu sorti, pour ainsi dire, si même pour de venir rencontre à l’humanité ? Pour amour Lui il s’est fait histoire dans notre histoire ; pour amour il est venu à nous apporter le germe de la vie nouvelle (cfr Jn 3.3-6) et à la semer dans les sillions de notre terre, pour que germes, il fleurisse et portes proportion « . En citant le Message du « Concilio Vaticano II » aux gouvernantes, le Pape dit : « ` Il touche à vous d’être sur la terre les promoteurs des ordre et de la paix entre les hommes. Mais vous n’oubliez pas : il est Dieu, le Dieu vivant et vrai, qu’il est le Père des hommes. Et il est le Christ, son Fils éternel, qui est venu pour nous dire et nous faire comprendre que nous sommes tous frères. Il est Lui, le grand auteur des ordre et de la paix sur la terre, parce qu’il est Lui qu’il mène l’histoire humaine et que seulement peut induire les coeurs à renoncer aux passions perverse qu’ils engendrent la guerre et le douleur’. Comme ne pas reconnaître dans ces mots des Pères de conciliaire il trace lumineuse d’un chemin qui peut transformer l’histoire des Nations et du monde? ». Et encore, en citant le « Message aux hommes de pensée et de science », il a dit : « Continuées à chercher, jamais renoncer, sans jamais désespérer de la vérité ! Rappelées les mots de votre grand ami, saint Augustin : « Nous cherchons avec le désir à trouver, et trouvons avec le désir de chercher encore ». Heureux ils sont qui, en possédant la vérité, la continuent à chercher, pour la rénover, pour l’approfondir, pour l’offrir aux autres. Heureux ils sont qui, en ne l’ayant pas trouvée, marchent vers d’elle avec coeur sincère : qu’ils cherchent la lumière future avec les lumière d’aujourd’hui, jusqu’à la plénitude de la lumière! ». Et à bras il a ajouté : « Le grand danger – pour les personnes de science – est qu’il se désespère de la vérité et on nous contente du pragmatisme ». « Aux chefs des peuples, aux chercheurs et aux scientifiques, – il a ensuite dit les pontife – aujourd’hui plus que jamais, il est nécessaire d’appuyer les représentants des grandes traditions religieuses pas chrétiennes, en les invitant à se confronter avec la lumière de Christ, qui est venu à ne pas abolir, mais à porter à accomplissement combien la main de Dieu a écrit dans l’histoire religieuse des civilisations, spécialement dans le ` grands âme’, qu’ils ont contribué à édifier l’humanité avec leur sagesse et leurs exemples de vertu. Christ est lumière, et la lumière ne peut pas assombrir, mais seulement éclairer, illuminer, révéler. Personne par conséquent n’ait de la peur de Christ et de son message ! Et si dans le cours de l’histoire les chrétiens, en étant hommes limés et pécheurs, ont quelquefois pu le trahir avec leurs comportements, ceci fait ressortir encor de plus que la lumière il est Christ et que l’Église elle réfléchit seul en restant uni « . À la fin de son homélie, Benoît XVI s’est arrêté sur quelques caractéristiques des Mages (alors et de l’aujourd’hui), qu’ils sont l’humilité et la passion à chercher la vérité, plus que la richesse et le pouvoir. « Ils – il a dit le Pape – se prosterner en adoration face à un simple enfant en bras à sa mère, pas dans le cadre d’un palais régale, mais plutôt dans la pauvreté d’une cabane à Bethléem (cfr Mt 2,11). Comment a-t-il été possible ? Qu’a-t-il auto convaincu les Mages que cette enfant été le roi du juif’? Il les a certainement persuadés marque de l’étoile, qu’ils avaient vu ‘dans le sien se lever’ et qu’elle s’était arrêtée vraiment sur le lieu où on trouvait l’Enfant (cfr Mt 2,9). Mais même l’étoile n’aurait pas suffi, si les Mages n’avaient pas été des personnes intimement ouvertes à la vérité. Contrairement au roi Il Érode, pris de le sien intéresses de pouvoir et de richesse, les Mages été prothèses vers le but de leur recherche, et lorsque ils la trouvèrent, bien que ils étaient des hommes cueillis, se comportèrent comme les bergers de Bethléem : ils reconnurent marque et adorèrent l’Enfant, en lui offrant les dons précieux et symboliques qui avaient porté avec lui « . Le mystère de l’Epiphanie « contient un message exigeant et toujours actuel » même pour les chrétiens, qui souvent réduisent à activisme ou à sentimentalisme leur foi et témoignage. « L’Église – il s’est rappelle – dit le Pape – en se reflétant en Marie, est appelée à montrer les hommes Jésus, rien autre que Jésus. Il en effet est le Tout et l’Église n’existe pas que pour rester unie à Lui et à faire Lui connaître le monde. Nous aides
la Mère du Verbe incarné à être des dociles disciples de son Fils, de
la Lumière des gens « . 

Dans le Discours de Pape Déchiffrées et écoutées, hommes la « grammaire » du coeur

2 janvier, 2007

Article du journal italienne « Avvenire » d’aujourd’hui (traduction), lien :

http://www.avvenire.it/ 

MOTS À ENVOYER à MÉMOIRE  Dans le Discours de Pape Déchiffrées et écoutées, hommes la « grammaire »   

du coeur

Hélium Maraone 

Nous espérons que les Seigneur aides et elle nous donne paix « . Après l’Angelus, sur le point de se congédier des fidèles, Benoît XVI on abandonne à des invocation spontanée, presque un soulagement récapitulative médité et passionné de sentir de qu’on est déjà exprimé dans le Message pour la Journée mondiale (« la personne humaine, coeur de la paix ») et dans l’Homélie prononcée – peu avant l’Angelus même – dans la basilique vatican. Paix pour tout ! il est le souhait de le Pape, dans l’espoir qui, merci même aux intercession de Marie très sainte, « la lumière de Christ…. éclaire le chemin » de chacun. Le souhait n’a pas de l’échéance, il vaudra jusqu’à à la fin à des temps, mais le calendrier nous rappelle, comme il s’observait dans l’homélie, qui le nouvel an est « une ultérieure période…. offerte nous de la Providence dans conteste du salut inauguré de Christ ». Comme dire que les douze mois qui nous attendent sont l’occasion définie, concentrée, « pour contribuer à réaliser le Règne de Dieu ». Il revient, dans les mots de Jour de l’an de
le Pape, un des thèmes du Message, où on dit que « la paix est ensemble un don et j’épelle ». Et donc tous les hommes, mais spécialement les croyants, sont appelés à être, dans la gratitude, infatigable constructeurs de paix. Mais, et ici il est le point central de la réflexion, est « en respectant la personne humaine » qui « se promeut la paix, et en construisant la paix on pose les prémisses pour authentifie humanisme intégral ». Encore : « Vraiment parce que créé à image et à ressemblance de Dieu, chaque individu humain, sans distinction de race, de culture et de religion, il est revêtu de la même dignité de personne. Pour ceci il doit être respecté, né quelque raison peut jamais justifier qu’il se dispose de lui à propre goût, presque était un objet « . En somme, tout « doit poser sur le respect de la dignité et des droits de chaque personne » ; donc, « pour être durable », même cet éventuel accord de paix, imploré « avec insistante prière », dans la « Terre où il naquit Jésus ». Rien, pour faire triompher la paix, doit alors l’être laissé d’actionner, mais ne pas être laissé dans le vague, de la communauté internationale à laquelle Benoît XVI se tourne pour qu’il joigne ses efforts, parce qu’au nom de Dieu on construise un monde dans lequel « les essentiels droits de l’homme » soient de tous respectés. Cependant « parce que cela se produise il est nécessaire que la fondation de tels droits soit reconnue pas en simples négociation humaines, mais dans
la nature même de l’homme et de sa inaliénable dignité de personne créée de Dieu. Si en effet les éléments constitutifs de la dignité humaine sont confiés aux changeantes opinions humaines, même ses droits aussi solennellement proclamé finissent pour devenir des faibles et d’une manière différente interprétables. Il est important par conséquent que les Organismes internationaux ne perdent pas de vue la fondation naturelle des droits de l’homme. Cela les soustraira au risque, malheureusement toujours latent, de glisser vers les interprétations seule positiviste « .  
Ils sont, celles du Pape, mots forts et nets, qu’elle devrait être envoyée en tous les sièges politiques par coeur. Il en bien cueilli a l’importance le président de la République Giorgio Napolitano, que dans un message au Pape il écrit entre autre: « je Partage le centralité assigné complètement…. à la personne humaine, à sa dignité, aux siens droits inaliénables et aux siennes et à ses exigences » justes. Celui-ci est temps de bilans et d’intentions:  il serait beau que tous, à commencer par les gouvernants, ils pesassent leurs fautes et omissions, enfin en respectant, pour lui dire ancre avec le Pape, l’inscription « grammaticale » dans le propre coeur du début des temps.     Il feuillette les pages Une Italie peu écoutée dans les mots de et à ses exigences justes. Celui-ci est temps de bilans et d’intentions:  il serait beau que tous, à commencer par les gouvernants, ils pesassent leurs fautes et omissions, enfin en respectant, pour lui dire ancre avec le Pape, l’inscription « grammaticale » dans le propre coeur du début des temps. 

« Tragique nouvelle » : Réaction du Saint-Siège à l’exécution de Saddam Hussein

2 janvier, 2007

du Zenith: 

« Tragique nouvelle » : Réaction du Saint-Siège à l’exécution de Saddam Hussein 

Déclaration du P. Lombardi, sj ROME, Lundi 1er janvier 2007 (ZENIT.org) – « Tragique nouvelle » qui ne reconstruit pas la justice et risque de provoquer de nouvelles vengeances : le Saint-Siège réagit en ces termes à l’exécution de Saddam Hussein, dans un communiqué du P. Federico Lombardi, sj, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, le 30 décembre.« Une exécution capitale est toujours une nouvelle tragique, un motif de tristesse, même lorsqu’il s’agit d’une personne qui s’est rendue coupable de graves délits », déclare le P. Lombardi. « La position de l’Eglise catholique, contraire à la peine de mort, a été répétée à plusieurs reprises. Le fait de tuer le coupable n’est pas la voie pour reconstruire la justice et pour réconcilier la société. Il y a au contraire le risque d’alimenter l’esprit de vengeance et que l’on sème une nouvelle violence », fait observer la même note. « En cette époque sombre de la vie du peuple irakien, on ne peut que souhaiter que tous les responsables fassent vraiment tous les efforts possibles afin que dans une situation dramatique il y ait enfin des ouvertures vers la réconciliation et la paix ». 

Un Américain à Florence réécrit l’art sacré italien

1 janvier, 2007

sur le site « La Chiesa it. », autre notice sous l’article, 

Un Américain à Florence réécrit l’art sacré italien

Deux mille ans d’art chrétien sont racontés en trois gros volumes pour la première fois dans leur contexte d’origine, celui de la liturgie. L’auteur de l’œuvre s’appelle Timothy Vernon et il est l’historien de l’art que Benoît XVI a voulu à ses côtés lors du dernier Synode des évêquespar Sandro Magister

Un Américain à Florence réécrit l’art sacré italien dans article

ROMA, le 30 décembre 2006 – Le magnifique volume que l’on voit ci-dessus (avec en couverture le “Le Saint-François en extase » de Giovanni Bellini, 1470-1480) est le deuxième de trois tomes qui illustrent l’art chrétien en Italie des origines jusqu’à aujourd’hui. Le premier tome inclut tout le Moyen Âge; le deuxième va de 1400 à 1600; le troisième, dont la sortie est prévue pour 2007, arrive jusqu’à nos jours. À une époque où on a peur de construire une crèche ou d’élever une croix, où beaucoup d’églises sont bâties sans images, une œuvre comme celle-ci était plus que nécessaire.

L’Italie, le pays de Rome et de la papauté, est le plus extraordinaire coffre-fort de l’art chrétien qui existe au monde. Mais c’est comme si on avait perdu la clé pour accéder à ses merveilleux trésors.

Et ces trois volumes veulent précisément offrir la clé pour découvrir, comprendre, vivre l’art chrétien, dans sa lumière authentique.

Une analyse qui est seulement esthétique de l’art chrétien est trompeuse. L’art chrétien n’est pas fait pour les musées mais pour la liturgie. On peut comprendre une tableau d’autel seulement si on le voit ensemble à l’Eucharistie célébrée sur l’autel lui-même.

Par exemple, pourquoi dans de nombreuses églises anciennes on retrouve d’un côté de l’autel l’archange Gabriel qui annonce et, de l’autre, Marie qui répond, avec la divine colombe en haut au milieu?

La réponse est simple: sur l’autel qui est au centre des trois figures, on fait ce que les images montrent chaque fois que la messe est célébrée. Le Fils de Dieu est annoncé de nouveau et devient réellement présent parmi les hommes « par œuvre du Saint-Esprit ».

Grâce à la célébration de l’Eucharistie, les trois images deviennent vivantes d’une façon impensable pour ceux qui les regarderaient faisant abstraction du rite sacramental.

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L’auteur de cette trilogie révolutionnaire, la première qui introduit avec force la liturgie comme critère de compréhension de l’art chrétien, est un Américain qui vit en Italie, Timothy Verdon.
Verdon, 60 ans, a reçu sa formation d’historien de l’art à la Yale University. Il a été ordonné prêtre en 1994 dans le diocèse de Florence où il dirige l’Office de la catéchèse à travers l’art. Il enseigne à la Stanford University et à la Faculté de Théologie de l’Italie centrale.

Il est l’auteur de nombreux livres et essais sur l’art chrétien que www.chiesa a recensé dans plusieurs reportages. Pour en savoir plus, cliquez sur les hyperliens en bas.

Au dernier Synode des évêques célébré à Rome en octobre 2005 sur l’Eucharistie, Verdon était parmi les invités de Benoît XVI.

Le pape Joseph Ratzinger et lui sont sur la même longueur d’onde au regard de l’art chrétien. Tous les deux veulent le proposer aux fidèles autant qu’aux hommes et aux femmes de notre temps.

Ce n’est pas par hasard si Benoît XVI a voulu faire accompagner le Compendium du Catéchisme de l’Église catholique, publié au début de son pontificat, par des images d’art sacré qu’il a lui-même choisies.

Les trois volumes dont Verdon est le créateur et l’auteur principal – surtout celui consacré à la Renaissance, période qu’il connaît en expert – ont été publiés seulement en italien, mais ils mériteraient d’être traduits dans d’autres langues dès que possible.

Leur importance dépasse le contexte strictement artistique. Verdon écrit dans l’introduction au premier volume :

« Dans l’Europe de l’avortement légalisé, qui s’interroge sur l’admissibilité de l’euthanasie, des images typiques de la tradition chrétienne comme la ‘Madone avec enfant’ ou le ‘Christ sur la Croix’ secouent les consciences, insistant avec une calme force sur la valeur unique de la vie et même de la vie souffrante ».

L’objectif de ces volumes est aussi de former de futurs commettants d’églises, de peintures, de sculptures, bref de générer une nouvelle époque féconde d’art chrétien.

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