Archive pour le 9 septembre, 2015
LE CIEL N’A RIEN DE PLUS GRAND
9 septembre, 2015http://www.adoperp.com/paroisses_adoratrices/comment_lancer/kit/brochures2/A12.html
LE CIEL N’A RIEN DE PLUS GRAND
« Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14, 6)
« Qui vient à moi n’aura jamais faim ; qui croit en moi n’aura jamais soif. » (Jn 6, 35)
LA SAINTE BIBLE ET LES PAROLES LES PLUS ÉTONNANTES…
De tous les livres jamais écrits, il est probable que la seule parole de vérité mentionnée neuf fois consécutive se trouve dans la Bible, au chapitre six de l’Evangile de Saint Jean :
« Je suis le pain de vie. » (verset 48)
« Vos pères, dans le désert, ont mangé la manne et sont morts ; ce pain est celui qui descend du ciel pour qu’on le mange et ne meure pas » (verset 49-50)
« Je suis le pain vivant, descendu du ciel. Qui mangera ce pain vivra à jamais. Et même, le pain que je donnerai, c’est ma chair pour la vie du monde. » (verset 51)
« En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous. » (verset 53)
« Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour. » (verset 54)
« Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson. » (verset 55)
« Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui. » (verset 56)
« De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. » (verset 57)
« Voici le pain descendu du ciel ; il n’est pas comme celui qu’ont mangé nos pères, eux ils sont morts ; qui mange ce pain vivra à jamais. » (verset 58)
« Cela vous scandalise ? » (verset 61)
Aucune autre parole de notre Seigneur n’est aussi tranchée que « Cela vous scandalise ? »
LES QUATRE ÉVANGELISTES
Les quatre Evangélistes citent l’autorité divine du Christ sur ce sujet et ils affirment non seulement ce qu’Il a dit, mais plus encore, ils identifient littéralement son corps et son sang dans la Sainte Eucharistie avec son corps et son sang offert sur la croix !
« Voici le sang de l’Alliance qui sera versé pour vous. » (Mc 14, 24)
« Ceci est mon corps, donné pour vous. » (Lc 22, 19)
« Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. » (Mt 26, 28)
« Je suis le pain vivant descendu du ciel ; quiconque mange de ce pain vivra pour toujours, et le pain que je donnerai, c’est ma chair pour la vie du monde. » (Jn 6, 51)
Le Christ a offert sa vraie chair et son vrai sang sur la croix. Par conséquent, sa vraie chair et son vrai sang nous sont donnés dans la Sainte Communion.
UNE NOURRITURE QUI DEMEURE
Souvenez-vous des paroles du Christ : « Ne travaillez pas pour la nourriture qui se perd, mais pour celle qui demeure en vie éternelle, celle que le Fils de l’homme vous donnera. » (Jn 6, 27). Seul un prêtre catholique, par la puissance de l’Esprit Saint, peut nous donner le pain « qui demeure en vie éternelle », en changeant le pain et le vin en le Corps et le Sang du Christ – la Sainte Hostie, la Sainte Eucharistie, le Saint-Sacrement. Le pain et le vin à la masse, « par les paroles du Christ et l’invocation de l’Esprit Saint, deviennent le Corps et le Sang du Christ » (Catéchisme de l’Eglise Catholique, # 1333).
JÉSUS CHRIST, MARTIN LUTHER OU HULDRYCH ZWINGLI ?
Derrière le grand autel de l’Eglise bénédictine d’Ottobeuren à Swabia en Allemagne, il y a une peinture représentant le Christ, dont le corps rayonne de la sérénité céleste et la divine majesté. D’un côté, nous voyons Luther et de l’autre Zwingli. Sous l’image est écrit : « le Christ a dit ‘ceci est mon corps’ ; Luther dit ‘ceci deviendra mon corps’ ; Zwingli dit ‘ceci représente mon corps.’ Lequel des trois est correct : Jésus Christ, Martin Luther, ou Huldrych Zwingli ? »
SYMBOLE ?
« Quand vous regardez le crucifix, vous comprenez combien Jésus vous a aimé. Quand vous regardez la Sainte Hostie, vous comprenez combien Jésus vous aime maintenant. » (Bse Mère Teresa de Calcutta). Les diverses confessions protestantes prétendent qu’au dernier repas, pendant son testament final, Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, qui a proclamé « je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin des temps » (Mt 28, 20), a voulu dire qu’il allait nous laisser un symbole de sa présence, mais pas littéralement le don de Lui-même !
Qui peut concevoir d’un père en train de mourir et dont les seuls membres de sa famille sont un fils et une fille, et qui dans son testament final, présenterait une image de sa superbe villa à sa fille en disant : « Ma chère, voici une image de ma belle maison. Je te laisse cette image en souvenir de moi. » Et, à son fils, présentant une image de son entreprise : « mon fils, voici une photographie aérienne de toute mon entreprise. Je te laisse cette image en souvenir de moi ! »
DÉFI
Sainte Elizabeth Anne Seton (l774-l82l) convertie et fondatrice des Soeurs de la charité, offre à tous les Protestants ce défi : « Les mots de notre Seigneur sont assez clairs quand il prit le pain, le bénit, le rompit et le donna à ses disciples en disant : « prenez et mangez : ceci est mon corps… » Je défie les Protestants d’utiliser l’autorité de n’importe quel Père de l’Eglise (qu’ils citent d’ailleurs souvent pour affirmer quelque vérité spirituelle), pour justifier leur opinion que les paroles de Jésus-Christ doivent être comprises de manière figuratives. »
St Justin, martyr, un des premiers Pères de l’Eglise, explique : « Nous ne recevons pas cette nourriture comme du pain ordinaire ou comme une boisson ordinaire. Mais de même que Jésus-Christ, notre Sauveur, a pris chair par la parole de Dieu et a assumé cette chair pour notre salut, de même nous professons que la nourriture sur laquelle la prière eucharistique est prononcée, la nourriture qui nourrit notre chair et notre sang par assimilation, cette nourriture est la chair et le sang de Jésus-Christ. »
LE CHEMIN, LA VÉRITÉ ET LA VIE
« Vous scrutez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle, et ce sont elles qui me rendent témoignage, et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie » (Jn 5:39). Est-ce que celui qui a dit « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn l4:6) nous tromperait-il ? Est-ce que celui qui a dit « Je suis venu dans le monde pour témoigner de la vérité » (Jn 18:37) nous mentirait-il ? Est-ce que celui qui a dit « Si je vous dit la vérité, pourquoi ne me croyez vous pas ? » (Jn 8:46) nous abuserait-il ?
COLONNE ET SUPPORT DE LA VÉRITÉ
Dans la Bible, nous lisons que l’Eglise – et non la Bible- est la « colonne et le support de la vérité » (1 Tim 3, l5) ! L’ancien sataniste Betty Brennan, en parlant à un groupe de prière Pentecôtiste, indiquait à propos de la Bible et de l’Eglise qui nous donne l’Eucharistie :
« Pendant des années, j’ai persécuté l’Eglise. Quand j’ai tout quitté pour revenir à l’Eglise, j’ai choisi l’Eglise Catholique parce que chaque rituel satanique est une déformation des sacrements catholiques. Ils [ satanistes ] savent ce qu’est l’Eucharistie. . . si tout le monde ici, et tous ceux qui sont dans le renouveau comprenaient le sacrement de l’Eucharistie – le Verbe incarné –ils ne finiraient pas dans une église Pentecôtiste centrée sur le Livre. Comment est-il possible de quitter l’Eglise sacramentelle pour aller vers une autre confession de la Parole ou du Livre ? La Parole de Jésus-Christ vous conduit vers la Parole incarnée, l’Eucharistie ! »
« Vous savez que s’il y avait une sorcière bona fide ici, et si vous ameniez trente hosties, voire mille, dont seulement une seule consacrée, elle saurait immédiatement laquelle est consacrée, à cause de la Présence ! Mais nous préférons assister à toutes sortes de groupes de prière ou de groupes d’études bibliques plutôt que de nous unir avec le Corps, le Sang, l’Ame et la divinité de Jésus-Christ Lui-même ! »
LA SAINTE EUCHARISTIE-JÉSUS AVEC NOUS DEPUIS 20 SIÈCLES
1er siècle: St Paul a témoigné de ces paroles du Christ « Chaque fois en effet que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. » (l Cor 11, 26).
Au cours des siècles, chaque fois que la présence réelle de Jésus était remise en cause, l’Eglise n’a cessé d’affirmer la vérité que dans le sacrement de l’Eucharistie « le corps et le sang, ainsi que l’âme et la divinité de notre Seigneur Jésus le Christ et, en conséquence, le Christ tout entier est vraiment, réellement contenu. » (Catéchisme de l’Eglise Catholique, 1374 ; Concile de Trente 1551).
20ème siècle : À juste titre, le Concile Vatican II a proclamé que le Sacrifice eucharistique est « la source et le sommet de toute la vie chrétienne ». « La très Sainte Eucharistie contient en effet l’ensemble des biens spirituels de l’Eglise, à savoir le Christ lui-même, notre Pâque, le pain vivant, qui par sa chair, vivifiée par l’Esprit Saint et vivifiante, procure la vie aux hommes » C’est pourquoi l’Eglise a le regard constamment fixé sur son Seigneur, présent dans le Sacrement de l’autel, dans lequel elle découvre la pleine manifestation de son immense amour. (Jean-Paul II, Ecclesia de Eucharistia, 1).
VRAIS ADORATEURS : LES PROPRES AMIS DE DIEU
« L’heure vient – et c’est maintenant – où les véritables adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, car tels sont les adorateurs que cherche le Père. » (Jn 4, 23) Quand nous venons devant la Sainte Eucharistie, nous adorons Dieu en « esprit et en vérité », lui offrant l’adoration, l’action de grâce et la louange de Jésus-Christ. Mère Teresa disait « être seul avec Jésus dans l’adoration et l’union intime est le plus grand cadeau de l’amour – le tendre amour de notre Père du ciel. »
« Ne pouvez-vous pas veiller une heure avec Moi ? » (Mt 26, 40). Jésus a demandé à ses disciples leur amitié et leur adoration. Jésus nous attend en son Sacrement d’amour pour nous guérir, nous consoler et nous affermir. Jésus désire ardemment cette intimité avec nous pour nous remplir de son amour, de sa joie et de sa paix. Par notre heure d’adoration, nous approfondissons une relation d’amour avec Dieu.
L’Archevêque Fulton J. Sheen a lancé par son témoignage un mouvement impressionnant de centaine de milliers de personnes, catholiques ou non, qui ont accepté son invitation de faire une heure sainte quotidienne. Plus de 100.000 Protestants, a dit l’Archevêque, se sont engagés à passer cette « heure quotidienne lumineuse » avec Jésus dans la Sainte Eucharistie.
LA PLUS GRANDE HISTOIRE D’AMOUR DE TOUTE L’HEURE !
Le remarquable auteur anglais, J. R. R. Tolkien, aimait beaucoup sa foi catholique. Le coeur et l’âme de son amour étaient la Sainte Eucharistie, et la présence du Christ à la Messe. Pour lui, c’était l’école de l’amour divin. Quand la foi de son fils Michel faiblit, Tolkien lui écrit : « Au-delà de l’obscurité de ma vie, tant de fois frustrée, je place devant toi la seule richesse digne d’être aimé : le Saint-Sacrement… Là, tu trouveras la passion, la gloire, l’honneur, la fidélité et la source de tous tes amours terrestres. »
Dieu ne peut donner un don plus grand que lui-même ! « La plus grande histoire d’amour de tous les temps est contenue dans la petite Hostie blanche. » (Archevêque Fulton J. Sheen). Chaque chose dans ce monde pâlit une fois comparée à la Sainte Eucharistie. C’est pourquoi le Père et Docteur de l’Eglise St
Augustin écrivait « Tout puissant qu’il soit, il n’a rien pu faire de plus grand, tout sage qu’il soit, il n’a rien pu trouver de plus admirable, tout riche qu’il soit, il n’a pas pu faire un plus précieux présent. » C’est aussi pourquoi St Bernard disait « l’Eucharistie est cet amour qui surpasse tout amour au ciel et sur terre. » Le ciel n’a rien de plus grand !
PAPE FRANÇOIS – LA FAMILLE – L’ÉVANGÉLISATION
9 septembre, 2015PAPE FRANÇOIS – LA FAMILLE – L’ÉVANGÉLISATION
AUDIENCE GÉNÉRALE
Place Saint-Pierre
Mercredi 2 septembre 2015
Chers frères et sœurs, bonjour !
Dans notre dernier bout de chemin de catéchèses sur la famille, ouvrons les yeux sur la façon dont celle-ci vit la responsabilité de communiquer la foi, de transmettre la foi, aussi bien en son sein qu’à l’extérieur.
Dans un premier temps, certaines expressions évangéliques peuvent nous venir à l’esprit, qui semblent opposer les liens de la famille et le fait de suivre Jésus. Par exemple, ces paroles fortes que nous connaissons tous et avons entendues : « Qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. Qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi. Qui ne prend pas sa croix et ne suit pas derrière moi n’est pas digne de moi » (Mt 10, 37-38).
Naturellement, Jésus n’entend pas par là effacer le quatrième commandement, qui est le premier grand commandement envers les personnes. Les trois premiers sont en rapport à Dieu, et ce verset est en rapport aux personnes. Et nous ne pouvons pas non plus penser que le Seigneur, après avoir accompli son miracle pour les époux de Cana, après avoir consacré le lien conjugal entre l’homme et la femme, après avoir restitué fils et filles à la vie familiale, nous demande d’être insensibles à ces liens ! L’explication n’est pas là. Au contraire, quand Jésus affirme la primauté de la foi en Dieu, il ne trouve pas de comparaison plus significative que les sentiments familiaux. Et d’autre part, ces mêmes liens familiaux, au sein de l’expérience de la foi et de l’amour de Dieu, sont transformés, sont « investis » d’un sens plus grand et deviennent capables de se dépasser, pour créer une paternité et une maternité plus amples, et pour accueillir comme des frères et sœurs ceux qui se trouvent aux confins de tout lien également. Un jour, à celui qui lui dit qu’il y avaient dehors sa mère et ses frères qui le cherchaient, Jésus répondit, indiquant à ses disciples : « Voici ma mère et mes frères ! Quiconque fait la volonté de Dieu, celui-là m’est un frère et une sœur et une mère » (Mc 3, 34-35).
La sagesse des sentiments qui ne s’achètent ni ne se vendent est le meilleur don du génie familial. C’est précisément en famille que nous apprenons à grandir dans cette atmosphère de sagesse des liens. Leur «grammaire» s’apprend là, autrement il est bien difficile de l’apprendre. Et c’est précisément le langage à travers lequel Dieu se fait comprendre de tous.
L’invitation à mettre les liens familiaux dans le domaine de l’obéissance de la foi et de l’alliance avec le Seigneur ne les gêne pas ; au contraire, elle les protège, les libère de l’égoïsme, les met à l’abri de la dégradation, les sauve pour la vie qui ne meurt pas. La diffusion d’un style familial dans les relations humaines est une bénédiction pour les peuples : elle ramène l’espérance sur la terre. Quand les sentiments familiaux se laissent convertir au témoignage de l’Évangile, ils deviennent capables de choses impensables, qui font toucher du doigt les œuvres de Dieu, ces œuvres que Dieu accomplit dans l’histoire, comme celles que Jésus a accomplies pour les hommes, les femmes, les enfants qu’il a rencontrés. Un seul sourire miraculeusement arraché au désespoir d’un enfant abandonné, qui recommence à vivre, nous explique mieux que mille traités théologiques l’action de Dieu dans le monde. Un seul homme et une seule femme, capables de risquer et de se sacrifier pour le fils de quelqu’un d’autre et pas seulement pour le leur, nous expliquent des choses de l’amour que beaucoup de scientifiques ne comprennent plus. Et là où il y a ces sentiments familiaux, naissent ces gestes du cœur qui sont plus éloquents que les mots. Le geste de l’amour… Cela fait réfléchir.
La famille qui répond à l’appel de Jésus remet l’administration du monde à l’alliance de l’homme et de la femme avec Dieu. Pensez au développement de ce témoignage, aujourd’hui. Imaginons que le gouvernail de l’histoire (de la société, de l’économie, de la politique) soit remis — enfin ! — à l’alliance de l’homme et de la femme, afin qu’ils le gouvernent avec le regard tourné vers la génération suivante. Les thèmes de la terre et de la maison, de l’économie et du travail, joueraient une musique bien différente !
Si nous redonnons un rôle — à partir de l’Église — à la famille qui écoute la Parole de Dieu et la met en pratique, nous deviendrons comme le bon vin des noces de Cana, nous fermenterons comme le levain de Dieu !En effet, l’alliance de la famille avec Dieu est appelée aujourd’hui à contrecarrer la désertification communautaire de la ville moderne. Mais nos villes ont été désertées par manque d’amour, par manque de sourire. Il y a tant de divertissements, tant de choses pour perdre du temps, pour faire rire, mais il manque l’amour. Le sourire d’une famille est capable de vaincre cette désertification de nos villes. Et cela est la victoire de l’amour de la famille. Aucune ingénierie économique et politique n’est en mesure de substituer cet apport des familles. Le projet de Babel érige des gratte-ciel sans vie. L’Esprit de Dieu, en revanche, fait fleurir les déserts (cf. Is 32, 15). Nous devons sortir des tours et des salles blindées des élites, pour fréquenter à nouveau les maisons et les espaces ouverts des multitudes, ouvertes à l’amour de la famille.
La communion des charismes — ceux qui sont donnés au sacrement du mariage et ceux qui sont accordés à la consécration pour le Royaume de Dieu — est destinée à transformer l’Église en un lieu pleinement familial pour la rencontre avec Dieu. Avançons sur ce chemin, ne perdons pas l’espérance. Là où il y a une famille ayant de l’amour, cette famille est capable de réchauffer le cœur de toute une ville avec son témoignage d’amour.
Priez pour moi, prions les uns pour les autres, afin que nous devenions capables de reconnaître et de soutenir les visites de Dieu. L’Esprit apportera une joyeuse pagaille dans les familles chrétiennes, et la ville de l’homme sortira de la dépression !
Je salue cordialement les pèlerins de langue française, en particulier les personnes venues du Sénégal, accompagnées de Mgr Paul Mamba, Évêque de Ziguinchor, et les pèlerins de l’archidiocèse de Libreville.
Chères familles, que le Saint Esprit vous donne de rayonner toujours l’Évangile autour de vous. La société a besoin de votre témoignage de foi et de votre générosité.
Que Dieu vous garde et vous bénisse !