Archive pour le 3 novembre, 2014
PAPE FRANCOIS: UNE BELLE LUTTE
3 novembre, 2014(Google traduction de l’italien)
PAPE FRANCOIS
MEDITATION DU MATIN dans la chapelle de Résidence Sainte-Marthe
UNE BELLE LUTTE
Thursday, 30 Octobre, 2014
(De: L’Osservatore Romano .., éd jour, année CLIV, 249, Ven 31/10/2014)
La vie chrétienne est « une milice » et qu’il faut « force et courage » à « résister » aux tentations du diable et « annoncer » la vérité. Mais cette « lutte est belle», car «quand Dieu gagne à chaque étape de notre vie, nous donne de la joie, un grand bonheur. » En réfléchissant sur les paroles de Paul dans sa lettre aux Ephésiens (6: 10-20) et le «langage militaire » utilisée par lui, Francis pape, la messe célébrée à Santa Marta Thursday, Octobre 30, a parlé de ce que les théologiens ont défini » combat spirituel: pour avancer dans la vie spirituelle que vous avez à battre. «
Nous avons besoin de «force et courage», a déclaré le pape, tout d’abord, parce qu’il est pas un « simple rencontre » mais une « bataille continue » contre le « prince des ténèbres ». Il est de ce débat houleux, le Pape a dit, qui a été appelé depuis le catéchisme, dans lequel « nous avons appris que les ennemis de la vie chrétienne sont trois: le diable, le monde et la chair. » Ceci est la lutte quotidienne contre la «mondanité» et contre «l’envie, la luxure, la gourmandise, l’orgueil, l’orgueil, la jalousie,« toutes les passions »que sont les blessures du péché originel. »
Certains pourraient alors se demander: «Mais le salut que Jésus nous donne est libre? ». Oui, répondit Francis, « mais vous devez le défendre. » Et, comme Paul écrit, pour ce faire, nous devons «revêtir l’armure de Dieu», car «vous ne pouvez pas penser à une vie spirituelle, une vie chrétienne » sans « résister à la tentation, sans une lutte contre le diable. »
Et à penser – il a trouvé Francis – « . Que le diable était un mythe, une image, une idée, l’idée du mal» qui nous voulait croire Au lieu de cela, « le diable existe et nous devons le combattre. » Le Saint Paul nous le rappelle, «la parole de Dieu dit, » mais il semble que «nous ne sommes pas convaincus » de cette réalité.
Mais, comme il est cette «armure de Dieu»? Un peu sur lui pour fournir l’Apôtre: «Tenez bon, donc, soyez endurants, autour de sa taille la vérité. » Donc, vous devez d’abord la vérité, parce que «le diable est un menteur, est le père de menteurs »; Puis Paul continue, porter « la cuirasse de la justice »: en fait, dit l’évêque de Rome, « on ne peut pas être chrétien sans travailler continuellement pour être juste. »
Et encore: «Les pieds, chaussés et prêts à répandre l’Evangile de la paix. » En effet, «le chrétien est un homme ou une femme de paix » et ne pas avoir la « paix dans nos cœurs:« Il ya quelque chose de mal en lui: il est la paix que « vous donne la force de se battre. »
Enfin, nous lisons dans la Lettre aux Ephésiens: « Tenez toujours le bouclier de la foi. » Sur ce détail porté le Pape: «Une chose qui aiderait serait trop demander: Comment est ma foi? Je crois ou ne crois pas? Ou je suppose un peu oui et un peu non? Je suis un peu banal et un peu croyant? « . Quand nous récitons le Credo, nous ne le faisons que les «mots»? Nous sommes conscients, a demandé à François, que «sans la foi, vous ne pouvez pas aller de l’avant, vous ne pouvez pas défendre le salut de Jésus? ».
Se référant à l’évangile de Jean, chapitre neuf, quand Jésus guérit le garçon ne voulait pas croire que les Pharisiens étaient aveugles, le Pape a souligné que Jésus n’a pas demandé au garçon, «Êtes-vous heureux? Êtes-vous heureux? Avez-vous vu que je suis bon? », Mais« Est-ce que vous croyez au Fils de l’Homme? Vous avez la foi? « . Et il est même question que répond « à nous tous les jours. » Une question incontournable car «si notre foi est faible, le diable va nous vaincre. »
Le bouclier de la foi est non seulement «nous défendre, mais nous donne aussi la vie. » Et avec cela, dit Paul, nous pouvons «éteindre tous les traits enflammés du malin. » Le diable en fait « pas jeter sur nous des fleurs », mais « flèches enflammées, poison, pour tuer. »
L’armure du chrétien, a poursuivi le pape, est également composé de » casque du salut »,« l’épée de l’Esprit »et la prière. Le Saint Paul nous rappelle: «en tout temps, je vous prie. » Et il a réitéré le Pape: « Priez, priez. » Vous ne pouvez pas, en effet, « de poursuivre une vie chrétienne sans surveillance. »
Ceci est la raison pour laquelle la vie chrétienne peut être considéré comme une «milice». Mais il est dit le pape, «un beau combat », car il nous donne «la joie que le Seigneur nous a gagné avec son gratuité du salut. » Pourtant, dit-il, nous sommes tous «un peu« paresseux »et« nous laisser poursuivre passions, de toutes les tentations « . Mais même si « nous sommes des pécheurs, » nous ne devons pas perdre cœur », parce que le Seigneur est avec nous, qui nous a tout donné, » et nous « gagner encore cette petite étape aujourd’hui,« notre combat quotidien avec la «grâce de force, le courage, la prière, et de regarder la joie. «
AVEC QUEL PÈRE VIS TU?
3 novembre, 2014http://www.parolevivante.net/article-avec-quel-pere-vis-tu-118830426.html
AVEC QUEL PÈRE VIS TU?
Publié le 1 juillet 2013 par Fils d’Abraham en Jésus mon sauveur
L’orphelin vit en dehors indépendant, isolé comme une fleur isolée dans le monde. Tout en étant isolé, il est ligoté dans sa situation comme les fleurs du premier bouquet. Dieu nous a créés à son image et à sa ressemblance. Notre Dieu est un Dieu de relation, de communication. Il désir nous voir entrer dans sa famille.
Le premier bouquet représente une famille ou une l’assemblée : il est difficile de s’y épanouir, il est difficile d’exprimer les dons que Dieu nous donne. C’est le modèle de famille créée par les hommes. Il est également difficile d’en sortir.
Le deuxième bouquet, sans lien extérieur correspond au modèle de Dieu, aussi bien pour une famille qu’une assemblée.
Avant de retourner vers le Père Jésus a dit à ses disciples : « Je ne vous laisserai pas orphelin »
Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous.
Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.
Jean 14:16 et 18
Nous savons que l’autre consolateur se nomme le Saint-Esprit. Il ne trouve pas sa place ou difficilement dans le bouquet lié. Par contre dans le deuxième il peut s’exprimer librement. Il est le lien d’amour qui se tient à l’intérieur et passe par les cœurs. Le Saint-Esprit atteste en nous notre adoption par le Père. Il nous donne notre certificat d’adoption.
Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu.
Et vous n’avez point reçu un esprit de servitude pour être encore dans la crainte ; mais vous avez reçu un Esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba ! Père !
L’Esprit lui–même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
Romains 8 :15 et 16
« Je ne vous laisserai pas orphelin » pourquoi Jésus donne-t-il cette promesse à ses disciples avant de retourner vers le Père ?
Jésus est venu sur la terre pour nous faire connaître le Père, nous réconcilier avec le Père. « Celui qui me voit, voit le Père » Pendant son séjour sur terre Jésus nous a montré le Père dans toute sa personnalité : son amour, son pardon, sa justice, sa miséricorde, sa fidélité, sa sainteté, sa grâce.
Je ne vous laisserai pas orphelin signifie : je ne vous laisserai pas sans père ou sans le Père. Jésus promet d’envoyer le Saint Esprit parce que c’est la promesse du Père. Il ne le dit pas de lui-même, Il confirme la promesse du Père.
Jean 14:16 et 17 : Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous.
Qui sommes-nous sans père ? Des orphelins, des enfants illégitimes. Les pharisiens, dans la présence de Jésus, n’ont pas compris cette vérité. Ils se réfèrent à Abraham comme père.
Jean 8 : 39 à 42 : Ils lui répondirent : Notre père, c’est Abraham. Jésus leur dit : Si vous étiez enfants d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham.
Mais maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi qui vous ai dit la vérité que j’ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l’a point fait.
Vous faites les œuvres de votre père. Ils lui dirent : Nous ne sommes pas des enfants illégitimes ; nous avons un seul Père, Dieu.
Jésus leur dit : Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez, car c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens ; je ne suis pas venu de moi–même, mais c’est lui qui m’a envoyé.
La Bible nous présente Abraham comme le père de la foi, notre exemple dans la foi. Toutefois il n’est pas le Père qui donne la vie, la source qui donne naissance à toute vie. Sans Jésus nous n’avons pas le Père.
Jean 14 : 6 7b : Jésus lui dit : C’est moi qui suis le chemin, la vérité et la vie. Personne ne vient au Père sinon par moi. Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père.
Les juifs sont les descendants d’Abraham selon la filiation de la chair. Il ne donne pas la filiation de l’Esprit. La filiation de la chair est passagère. La filiation de l’Esprit demeure éternellement, elle est celle que nous apporte Jésus, sinon nous sommes des enfants illégitimes.
Romains 9 : 7 et 8 : et bien qu’ils soient la postérité d’Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants ; mais il est dit : En Isaac sera nommée pour toi une postérité, c’est–à–dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité.
Galates 3 : 14 : afin que la bénédiction d’Abraham ait pour les païens son accomplissement en Jésus–Christ, et que nous recevions par la foi l’Esprit qui avait été promis.
L’orphelin ne vit dans cette réalité spirituelle, il vit sans père, et ne connaît pas le père pour différentes raisons que nous développerons plus tard.
Le Saint Esprit est venu sur terre pour nous conduire dans notre marche chrétienne de chaque jour. C’est lui qui nous fortifie dans notre croissance. Il fait grandir Jésus en nous, il prépare l’Epouse pour le retour de Jésus, il glorifie Jésus dans nos vies. Il nous permet de développer une relation filiale avec le Père, dans un même esprit avec Jésus.
Ephésiens 2 : 18 et 19 : car par lui les uns et les autres nous avons accès auprès du Père, dans un même Esprit.
Ainsi donc, vous n’êtes plus des étrangers, ni des gens du dehors ; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu.
Jean 16 : 14 et 15 : Il me glorifiera, parce qu’il prendra de ce qui est à moi, et vous l’annoncera.
Tout ce que le Père a est à moi ; c’est pourquoi j’ai dit qu’il prend de ce qui est à moi, et qu’il vous l’annoncera.
Comment le Saint-Esprit glorifie-t-il Jésus dans nos vies ?
Dans ces versets, Jésus nous dit que tout ce qui est à lui vient du Père (tout ce que le Père a est à moi)
Il en est de même pour la gloire. De qui vient la gloire présente dans la vie de Jésus ? Du Père.
Jean 17 : 3 à 5 : Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus–Christ.
Je t’ai glorifié sur la terre, j’ai achevé l’œuvre que tu m’as donnée à faire.
Et maintenant toi, Père, glorifie moi auprès de toi–même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde soit.
Ces verset et notamment le cinq nous dit que sans une relation avec le Père (la source de la gloire) le Saint-Esprit ne pourra glorifier Jésus en nous. Voilà une nécessité de nous tenir dans une relation d’amour avec le Père, comme Jésus.
Sans le Saint Esprit dans nos vies cette relation n’est pas possible. Il prend la gloire qui est dans le Père pour nous la donner, ainsi il glorifiera Jésus en nous. Sans lui nous nous remettrons sous l’influence de l’esprit d’orphelin : avec lui viennent l’errance spirituelle, le rejet, la rébellion contre le Père, l’isolement. Jésus connaît l’importance d’avoir le Père car il est notre destinée finale pour l’éternité.
D’autre part Jésus sait, que même si l’orphelin rejette et ignore le Père, il se donnera un père : par exemple le père du mensonge.
Jérémie 2 : 26b et 27 : Eux, leurs rois, leurs chefs, Leurs sacrificateurs et leurs prophètes. Ils disent au bois : Tu es mon père ! Et à la pierre : Tu m’as donné la vie ! Car ils me tournent le dos, ils ne me regardent pas. Et quand ils sont dans le malheur, ils disent : Lève toi, sauve nous !
« Il me glorifiera… » Jésus en choisissant de venir sur terre abandonne la gloire dont il était revêtu dans le ciel, ainsi que son égalité avec le Père.
Jean 17 :5 : Et maintenant, toi, Père, glorifie–moi auprès de toi–même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde soit.
« Père redonne moi la gloire » nous aussi ayons faim et soif de retrouver la gloire dont étaient revêtu Adam et Eve avant de désobéir. Comme David crions à Dieu pour recevoir sa gloire :
Psaume 63: 1 à 5: O Dieu ! Tu es mon Dieu, je te cherche ; Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, Dans une terre aride, desséchée, sans eau.
Ainsi je te contemple dans le sanctuaire, Pour voir ta puissance et ta gloire.
Car ta bonté vaut mieux que la vie. Mes lèvres célèbrent tes louanges.
Je te bénirai donc toute ma vie, J’élèverai mes mains en ton nom.
Mon âme sera rassasiée comme de mets gras et succulents, Et, avec des cris de joie sur les lèvres, ma bouche te célébrera.
Jésus nous redonne la gloire par son sacrifice à la croix : aspirons, soupirons après les biches après les courants d’eau pour vivre dans la gloire.
Psaume 42 :1 à 3 : Comme une biche soupire après des courants d’eau, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu !
Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant : Quand irai je et paraîtrai–je devant la face de Dieu ? Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit, Pendant qu’on me dit sans cesse : Où est ton Dieu ?
Comme les juifs les déportés à Babylone qui soupirent après Jérusalem devant leurs ennemis qui leur demande de chanter des chants de Sion.
Psaume 137 : 1 à 3 : Sur les bords des fleuves de Babylone, Nous étions assis et nous pleurions, en nous souvenant de Sion.
Aux saules de la contrée Nous avions suspendu nos harpes. Là, nos vainqueurs nous demandaient des chants, Et nos oppresseurs de la joie : Chantez–nous quelques–uns des cantiques de Sion !
Avant de repartir vers le Père Jésus nous a donné sa gloire :
Jean 17:22 24 : Je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient un comme nous sommes un, moi en eux, et toi en moi, afin qu’ils soient parfaitement un, et que le monde connaisse que tu m’as envoyé et que tu les as aimés comme tu m’as aimé. Père, je veux que là où je suis ceux que tu m’as donnés soient aussi avec moi, afin qu’ils voient ma gloire, la gloire que tu m’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la fondation du monde.
Voilà une nouvelle raison de sortir du premier bouquet pour rentrer dans le deuxième. La gloire ne peuvent survivre sans la liberté du Saint Esprit, elle n’est pas dans le premier bouquet. Mais retenons bien que la liberté du Saint Esprit ne signifie pas l’indépendance. Nous sommes appelés à vivre notre destinée dans la famille de Dieu la où la liberté du Saint Esprit se manifeste.
2 corinthiens 4 :7 Car Dieu, qui a dit : La lumière brillera du sein des ténèbres ! A fait briller la lumière dans nos cœurs pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu sur la face de Christ.
Nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous.
Soyons comme Moïse qui après avoir vu beaucoup de miracles, beaucoup de prodiges, dit à Dieu « fait moi voir ta gloire »
Exode 33:18 : Moïse dit : Fais-moi voir ta gloire !
La gloire se manifestait dans la vie de Jésus le jour de son baptême, le ciel s’est ouvert et la voix du père s’est faite entendre : « celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection». Ici nous constatons que la gloire venue sur Jésus résulte de son obéissance. C’est bien de désirer ardemment de retrouver la gloire, de marcher dans la gloire, la réponse à nos désirs dépend de notre obéissance.