Archive pour le 19 mars, 2014

Christ in Gethsemane

19 mars, 2014

Christ in Gethsemane dans images sacrée lonliness

http://theinnerkingdom.wordpress.com/2009/04/02/the-loneliness-of-christ-our-loneliness-by-bishop-hilarion-alfeyev/

CONNAITRE DIEU PAR LA REPENTANCE –

19 mars, 2014

http://philippeviguier.com/?cat=24

(Non catholique, même si je ne comprends pas ce que l’Église appartient)

CONNAITRE DIEU PAR LA REPENTANCE –

Peu de passages ont autant captivé mon esprit que celui où Moïse demande à Dieu de lui révéler Sa gloire (Exode 33 :18). Cette requête de révélation divine reste gravée dans mon âme comme l’une des plus pieuses, désespérées, audacieuses et ambitieuses. Moïse, alors que son peuple se livre à la débauche avec son veau d’or, ne vit que pour une chose : de voir la gloire de Dieu en plein éclat.
Pendant qu’Israël s’aliène de la grâce divine, Moïse plaide en leur faveur, cherchant à trouver en Yahvé un Dieu dont la grandeur dépasse celle de leurs péchés et de leurs infidélités.
Puis Dieu descend dans la nuée et révèle Son nom (Exodue 34:6-7) :
Et l’Éternel passa devant lui, et s’écria: L’Éternel, l’Éternel, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité, qui conserve son amour jusqu’à mille générations, qui pardonne l’iniquité, la rébellion et le péché, mais qui ne tient point le coupable pour innocent, et qui punit l’iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération!
Et ce qui est remarquable dans ce passage est que chaque attribut de Dieu y étant révélé décrit l’Eternel comme un Dieu dont le cœur est lourd d’un fardeau pour les pécheurs. Cette autobiographie de Dieu, cette révélation de Son nom : tout est ciblé pour des pécheurs ayant besoin de grâce divine.
L’Eternel, Yahvé, est un Dieu miséricordieux, un terme révélant un amour et une compassion qui sont disponibles et prêts à assister ceux dans le besoin, des pécheurs. Il est aussi compatissant, un terme dans la Bible qui est souvent relié à Son affection et Sa faveur imméritée envers Son peuple et Ses élus. Il est lent à la colère, parce qu’il ne désire pas que les pécheurs périssent dans leur iniquité sans avoir le temps de se repentir, mais désire que tous soient sauvés. Il est riche en bonté, le Dieu qui donne, qui cherche à bénir, qui est dévoué et digne de confiance. Il est riche en fidélité, ses promesses sont immuables, sa présence est inarrêtable, Il est toujours là pour prendre soin de ceux qu’Il aime et qui ont une relation avec Lui, par Ses alliances et Son salut.
Il est le Dieu qui conserve son amour, et qui ne change pas d’avis celui les infidélités des autres, mais au contraire, Il pardonne les péchés et les offenses de ceux qui se repentent.
Tout en Yahvé parle de son désire pour le salut d’âmes perdues. En réalité, il est tellement dévoué à donner aux siens un salut parfait, qu’Il est même prêt à juger le péché pour que ce salut soit véritable et éternel. Non pas un Dieu qui désire simplement un salut éphémère et terrestre, mais éternel. Non pas un Dieu qui désire simplement délivrer les siens de leurs péchés sur terre, mais aussi des conséquences des péchés, jugeant et détruisant le péché et les pécheurs qui refusent de se repentir.
Veux-tu, comme Moïse, connaître Dieu dans toute Sa gloire ? Confesse tes péchés, et vois comme Il est puissant pour te pardonner, te purifier, te délivrer et te renouveler ! Cherches-tu à connaitre Dieu dans toute Sa grandeur ? Reconnais la grandeur de ton péché, et observe Yahvé te délivrer de tes penchants égoïstes et orgueilleux.
Yahvé est le Dieu des pécheurs. Il est le Dieu qui les délivre. Il est le Dieu personnel. Nul ne peut comprendre la profondeur de Sa grâce sans réaliser la profondeur de son péché. Nul ne peut comprendre la grandeur de Sa fidélité sans saisir la grandeur de nos infidélités. Nul ne peut pleinement connaitre Sa paix sans pratiquer la repentance.
Cette repentance n’est pas simplement pour les inconvertis. La raison pour laquelle nos églises perdent la notion de la grandeur de Dieu est le fait que nous échouons à reconnaitre nos péchés. Nous sommes tellement passifs lorsqu’il s’en vient de vaincre notre orgueil, notre amour pour le monde, notre complaisance, et notre manque de prière et de jeûne, que nous tournons le dos à l’opportunité de voir Dieu révéler Sa gloire et Sa grandeur en nous délivrant de nos péchés et de son esclavage!
Nous sommes tous pécheurs, et le seul moyen de connaitre Dieu comme Moïse voulait le connaitre est de marcher avec un Sauveur, pratiquant quotidiennement la repentance et le don de grâce.

L’ÉCOLOGIE DES OLIVIERS DE GETHSÉMANI …ET SA RÉSONANCE SPIRITUELLE :

19 mars, 2014

http://plunkett.hautetfort.com/archive/2012/10/24/une-etude-scientifique-des-oliviers-de-gethsemani.html

L’ÉCOLOGIE DES OLIVIERS DE GETHSÉMANI

…ET SA RÉSONANCE SPIRITUELLE :

Patriarcat latin de Jérusalem – 22/10

<< Les explications données aux pèlerins sur le Jardin des oliviers de Gethsémani (l’un des sites les plus sacrés des chrétiens, mémoire vivante de l’agonie de Jésus avant son arrestation) vont pouvoir être plus précises : les résultats des recherches scientifiques menées sur les huit arbres millénaires du jardin sont enfin disponibles. Elles avaient été commandées par la Custodie de Terre Sainte qui nous partage les résultats.
<< Les recherches, qui ont débutées en 2009, ont duré trois ans. Elles ont été menées par une équipe de chercheurs du Conseil national italien de recherches (CNR), et diverses universités italiennes. L’étude a été présentée aujourd’hui à 11h30 dans les locaux de Radio Vatican à Rome. Les responsables des recherches sont le Fr. Massimo Pazzini, doyen du Franciscanum Studium Biblicum de Jérusalem, le Pr Giovanni Gianfrate, coordinateur du projet, agronome et spécialiste de l’histoire de l’olivier en Méditerranée et le Pr Antonio Cimato, coordinateur de recherche et premier chercheur de l’Institut pour la valorisation du bois et des espèces ligneuses (IVALSA) / CNR de Florence. Ils en ont expliqué les résultats et le sens à la presse, en présence du Custode, Fr Pierbattista Pizzaballa.
Les recherches datent le tronc de trois des huit oliviers (les seuls pour lesquels il est techniquement possible de procéder à l’étude) du milieu du XIIe siècle. Par conséquent, les arbres ont environ neuf cents ans d’âge. Il convient toutefois de préciser une chose : la date indiquée se réfère uniquement à la partie aérienne des arbres, ou pour être plus précis à la partie émergée de l’arbre, composée du tronc et du feuillage. En fait, la même recherche a montré que la partie souterraine des arbres, à savoir les racines, est certainement plus ancienne.
Les résultats des recherches doivent aussi être confrontés aux chroniques des pèlerins des temps anciens. D’après ces chroniques, la deuxième basilique de Gethsémani a été construite entre 1150 et 1170 (période durant laquelle les croisés étaient engagés dans la reconstruction des grandes églises de Terre Sainte et de Jérusalem en particulier). Lors de la construction de la basilique, le jardin a probablement été réaménagé ; on serait intervenu pour récupérer les oliviers présents à ce moment-là.
Un autre résultat très intéressant est apparu lorsque les chercheurs ont travaillé sur le patrimoine génétique des huit arbres. L’analyse de régions spécifiques de l’ADN montre «des profils génétiques similaires» : cette conclusion indique que les huit oliviers sont, pour utiliser une métaphore, “jumeaux”. Cela ne peut signifier qu’une seule chose : que les huit oliviers sont tous « fils » d’un même arbre. Ainsi, on peut soutenir qu’à un moment donné de l’histoire – au XIIe siècle, et probablement bien avant -, ont été plantés dans le jardin de Gethsémani des portions de branches plus ou moins grande (boutures) provenant d’un arbre unique. Comme le font encore les jardiniers palestiniens. Il faut alors se demander quand, au cours des siècles, ont été plantées ces boutures. Dans les évangiles, au temps de Jésus Christ, les oliviers étaient déjà là. Adultes. L’existence continue d’oliviers en ce lieu est attestée par une étude comparative des descriptions du lieu saint par les historiens et les pèlerins au fil des siècles.
Fr Pierbattista Pizzaballa, qui a présenté les résultats des recherches, a noté que « pour chaque chrétien, les oliviers du jardin de Gethsémani sont une référence “vivante” à la Passion du Christ. Ils sont le témoignage de l’obéissance absolue du Christ au Père, au sacrifice de sa personne pour le salut de l’homme, de tous les hommes. Ils sont également une indication et un rappel pour l’homme. Qui doit être disponible “à faire la volonté de Dieu”. Car c’est ce qui caractérise le croyant. En ce lieu, le Christ a prié le Père, et s’en est remis à lui pour surmonter l’angoisse de la mort, l’Agonie, la Passion et la terrible exécution de la croix. Confiant en la victoire finale : la Résurrection et la Rédemption des hommes… Ces oliviers pluriséculaires incarnent la « racine » et la « continuité générationnelle » de la communauté chrétienne de l’Église Mère de Jérusalem. Comme ces arbres qui au fil de l’histoire ont été plantés, brûlés, détruits et ont encore germés sur une souche “inépuisable”, la première communauté chrétienne en dépit des obstacles et des persécutions survit, vigoureuse et animée par l’Esprit de Dieu ».
Carlo Giorgi >>

http://www.terrasanta.net/tsx/index.jsp