Archive pour le 4 septembre, 2013
5 SEPTEMBRE – MÈRE TERESA DE CALCUTTA (1910-1997)
4 septembre, 2013http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20031019_madre-teresa_fr.html
5 SEPTEMBRE – MÈRE TERESA DE CALCUTTA (1910-1997)
“ Par mon sang, je suis albanaise. Par ma nationalité, indienne. Par ma foi, je suis une religieuse catholique. Pour ce qui est de mon appel, j’appartiens au monde. Pour ce qui est de mon cœur, j’appartiens entièrement au Cœur de Jésus.”
Petite de stature, avec une foi solide comme le roc, Mère Teresa de Calcutta, se vit confier la mission de proclamer la soif infinie de l’amour de Dieu pour l’humanité, en particulier pour les plus pauvres des pauvres, “Dieu aime toujours le monde et Il nous envoie, vous et moi, pour être son amour et sa compassion auprès des pauvres.” C’était une âme remplie de la lumière du Christ, brûlante d’amour pour lui et consumée d’un seul désir: “apaiser sa soif d’amour et des âmes.”
Cette messagère lumineuse de l’amour de Dieu est née le 26 août 1910 à Skopje, une ville située aux croisements de l’histoire des Balkans. Cadette de Nikola et Drane Bojaxhiu, elle fut appelée Gonxha Agnès ; elle reçut sa première communion à l’âge de cinq ans et demi et fut confirmée en novembre 1916. Le jour de sa première communion, elle fut remplie d’un grand amour pour les âmes. La mort soudaine de son père quand elle avait environ huit ans, laissa la famille dans une condition financière difficile. Drane éleva ses enfants avec amour et fermeté, influençant beaucoup le caractère et la vocation de sa fille. La formation religieuse de Gonxha fut soutenue par la paroisse jésuite très active du Sacré Cœur dans laquelle elle était bien engagée.
A l’âge de dix-huit ans, poussée par le désir de devenir missionnaire, Gonxha quitte sa maison en septembre 1928 pour rentrer à l’Institut de la Vierge Marie, connu sous le nom de Sœurs de Lorette, en Irlande. Là, elle reçut le nom de Sœur Mary Teresa, après Sainte Thérèse de Lisieux. En décembre, elle part pour l’Inde, et arrive à Calcutta le 6 janvier 1929. Après avoir fait ses premiers vœux en mai 1931, Sœur Teresa fut envoyée à la communauté de Loretto Entally à Calcutta et enseigna à l’école de filles, Sainte Marie. Le 24 mai 1937, Sœur Teresa fit ses vœux perpétuels devenant, comme elle disait, “l’épouse de Jésus” pour “toute l’éternité.” A partir de ce moment-là, elle fut appelée Mère Teresa. Elle continua à enseigner à Sainte Marie et en 1944 devint la directrice de l’école. Les vingt années de Mère Teresa à Lorette furent remplies d’une joie profonde, elle était très pieuse, aimant profondément ses sœurs et ses élèves. Remarquée pour sa charité, sa générosité et son courage, sa résistance au travail et douée d’un talent naturel pour l’organisation, elle vécut sa consécration à Jésus, au milieu de ses compagnes, avec joie et fidélité.
Le 10 septembre 1946, en route pour sa retraite annuelle à Darjeeling, Mère Teresa reçut dans le train son “inspiration”, son “appel dans l’appel”. Ce jour-là, d’une manière qu’elle n’expliquera jamais, la soif de Jésus d’aimer et sa soif pour les âmes prit possession de son cœur et le désir de satisfaire cette soif devint la motivation de sa vie. Au cours des semaines et des mois suivants, Jésus lui révéla, par des locutions intérieures et des visions, le désir de son cœur d’avoir“des victimes d’amour”, qui “diffuseraient son amour sur les âmes.” Il la suppliait “Viens, sois ma lumière”. “Je ne peux y aller seul.” Il lui révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin d’être ignoré d’eux et son immense désir d’être aimé par eux. Il demanda à Mère Teresa d’établir une communauté religieuse, les Missionnaires de la Charité, dédiée au service des plus pauvres d’entre les pauvres. Presque deux ans d’épreuves et de discernement passèrent avant que Mère Teresa ne reçoive la permission de commencer. Le 17 août 1948, elle se revêtit pour la première fois de son sari blanc, bordé de bleu et passa les portes de son couvent bien-aimé de Lorette pour entrer dans le monde des pauvres.
Après un stage de courte durée chez les Sœurs de la Mission Médicale à Patna, Mère Teresa retourna à Calcutta et trouva un logement temporaire chez les Petites Sœurs des Pauvres. Le 21 décembre, elle alla pour la première fois dans les bidonvilles. Elle visita quelques familles, lava les plaies de plusieurs enfants, prit soin d’un vieil homme malade allongé dans la rue et d’une femme tuberculeuse mourant de faim. Elle commençait chaque journée en communion avec Jésus dans l’Eucharistie et puis elle sortait, le chapelet à la main, pour le trouver et le servir dans“les rejetés, les mal-aimés, les négligés.” Après quelques mois, ses anciennes élèves la rejoignèrent une par une.
Le 7 octobre 1950, la nouvelle congrégation des Missionnaires de la Charité était officiellement établie dans l’Archidiocèse de Calcutta. Au début des années 60, Mère Teresa commença à envoyer ses sœurs dans d’autres régions de l’Inde. L’approbation accordée par le Pape Paul VI en février 1965 l’encouragea à ouvrir une maison au Venezuela. Ce fut bientôt suivi par des fondations à Rome et en Tanzanie et finalement, sur tous les continents. Commençant en 1980 et continuant à travers les années 90, Mère Teresa ouvrit des maisons dans presque tous les pays communistes, y compris l’ancienne Union Soviétique, l’Albanie et Cuba.
Afin de mieux répondre aux besoins physiques aussi bien que spirituels des pauvres, Mère Teresa fonda Les Frères Missionnaires de la Charité en 1963, en 1976 la branche contemplative des sœurs, en 1979 les Frères Contemplatifs, et en 1984 les Pères Missionnaires de la Charité. Cependant son inspiration n’était pas limitée à ceux qui avaient une vocation religieuse. Elle forma les Coopérateurs de Mère Teresa et les Coopérateurs Malades et Souffrants, personnes de fois et nationalités différentes avec qui elle partageait son esprit de prière, de simplicité, de sacrifice et son apostolat pour les humbles travaux d’amour.Cet esprit inspira plus tard les Laïques Missionnaires de la Charité. En réponse aux demandes de beaucoup de prêtres, en 1981 Mère Teresa commença aussi le mouvement Corpus Christi pour les prêtres, traçantun “petit chemin de sainteté” pour ceux qui désirent partager son charisme et son esprit.
Durant ces années de croissance rapide, le monde commença à tourner son regard vers Mère Teresa et le travail qu’elle avait commencé. Elle reçut de nombreux prix pour honorer son travail, en commençant par le prix indien Padmashri en 1962 et le Prix Nobel de la Paix en 1979, alors que les médias, avec un intérêt grandissant, commençaient à suivre ses activités. Elle reçut tout cela “pour la gloire de Dieu et au nom des pauvres”.
L’ensemble de la vie et de l’œuvre de Mère Teresa témoignent de la joie d’aimer, de la grandeur et dignité de chaque être humain, de la valeur de chaque petite chose faite avec foi et avec amour, et, par-dessus tout, de l’amitié avec Dieu. Mais il y avait un autre côté héroïque de cette grande femme qui fut révélé seulement après sa mort. Cachée aux yeux de tous, cachée même à ses plus proches, sa vie intérieure fut marquée par l’expérience d’un sentiment profond, douloureux et constant d’être séparée de Dieu, même rejetée par lui, accompagné d’un désir toujours croissant de son amour. Elle appela son expérience intérieure, “l’obscurité”. La “ nuit douloureuse ” de son âme qui débuta à peu près au moment où elle commençait son travail pour les pauvres et qui continua jusqu’à la fin de sa vie, conduisit Mère Teresa à une union toujours plus profonde avec Dieu. A travers cette obscurité, elle participa mystiquement à la soif de Jésus dans son désir d’amour douloureux et ardent, et elle partagea la désolation intérieure des pauvres.
Durant les dernières années de sa vie, malgré des problèmes de santé de plus en plus sérieux, Mère Teresa continua à gouverner sa congrégation et à répondre aux besoins des pauvres et de l’Eglise. En 1997, les sœurs de Mère Teresa étaient au nombre d’environ 4000 et étaient établies dans 610 fondations réparties dans 123 pays du monde. En mars 1997, elle bénit la nouvelle supérieure générale des Missionnaires de la Charité récemment élu et elle effectua encore un voyage à l’étranger. Après avoir rencontré le Pape Jean Paul II pour la dernière fois, elle rentra à Calcutta et passa ses dernières semaines à recevoir des visiteurs et à enseigner es sœurs. Le 5 septembre fut le dernier jour de la vie terrestre de Mère Teresa. Elle reçut du gouvernement de l’Inde les honneurs de funérailles officielles et son corps fut enterré dans la Maison Mère des Missionnaires de la Charité. Sa tombe devint rapidement un lieu de pèlerinage et de prière pour les gens de toutes fois, riches et pauvres. Mère Teresa laissa le testament d’une foi inébranlable, d’un espoir invincible et d’une charité extraordinaire. Sa réponse à la cause de Jésus, “Viens sois ma lumière”, fit d’elle une Missionnaire de la Charité, une “mère pour les pauvres”, un symbole de compassion pour le monde et un témoignage vivant de la soif d’amour de Dieu.
Moins de deux ans après sa mort, dû à la réputation de sainteté largement répandue de Mère Teresa et au rapport des faveurs reçues, le Pape Jean Paul II permit l’ouverture de sa cause de canonisation. Le 20 décembre 2002, il approuva les décrets de ses vertus héroïques et miracles.
ROSH HASHANA 2013, LES RITES DU NOUVEL AN JUIF
4 septembre, 2013http://suite101.fr/article/rosh-hashana-2011-les-rites-du-nouvel-an-juif-a13410
ROSH HASHANA 2013, LES RITES DU NOUVEL AN JUIF
En 2013, le Nouvel An juif débute le 4 septembre. Retour sur les célébrations, traditions et rites de la nouvelle année dans le judaïsme.
Le premier et deuxième jour du mois de Tichri, septième mois du calendrier hébraïque, est célébré le Nouvel An juif ou Rosh Hashana, également appelé « fête des trompettes » : le Shofar, corne de bélier, sonne dès la prière du matin à la synagogue, en souvenir de l’épisode biblique au cours duquel Abraham sacrifia un animal à la place de son fils Isaac. Il pourra sonner près de cent fois, les sons longs alternant avec les sons courts, évoquant les sanglots du repentir pour les uns, la mise en alerte, la « convocation » pour les autres.
Que signifie le Nouvel An juif ?
Passage à la nouvelle année, Rosh Hashana est aussi le jour du jugement de la Création et du couronnement de Dieu comme Roi de l’Univers. Il s’agit d’une fête plus solennelle que joyeuse qui ouvrira, en septembre 2013, l’an 5774 du calendrier hébraïque.
Le 4 septembre au soir, un premier « Seder » ou repas cacher, véritable festin dans les communautés sépharades, marquera le début des festivités du Nouvel An. Un deuxième repas en marquera la fin le lendemain. Le troisième jour est en principe un jour de jeûne. Les deux premiers jours sont des jours chômés pour les communautés juives, qui se consacrent exclusivement à cette célébration afin de se souhaiter la bonne année (Shana Tova) dans le respect des rites.
Selon la tradition, de grands événements se sont produits à Rosh Hashana : la création du monde, la naissance des patriarches Abraham, Isaac, Jacob, les destructions du Temple, la conception d’enfants issus de femmes stériles de la Bible, la libération de Joseph des prisons égyptiennes, la fin du travail forcé des Hébreux sous le joug des Egyptiens… et un jour le Jugement Dernier, et la résurrection des morts.
Loin de la Saint-Sylvestre, une fête grave et solennelle
Les communautés sont invitées, à l’occasion de la nouvelle année, à faire le bilan de l’année écoulée, et à faire pénitence dans l’attente de Yom Kipour, le « Grand Pardon », célébré dix jours plus tard : dix jours pour les « moyens », la catégorie de personnes se situant entre les justes et les mécréants, pour faire le point sur leurs actions, reconnaître leurs torts et prendre de nouvelles résolutions pour l’année qui commence !
Les cérémonies à la synagogue sont empreintes de solennité et se déroulent sous le signe du blanc, symbole de pureté : les étoffes enveloppant les rouleaux de la Torah, la tenture de l’armoire sainte et du pupitre sont blanches. Un fidèle sonnera le shofar à plusieurs reprises, afin d’éveiller les consciences et de les inviter au repentir. Les poèmes spécialement composés et prières liturgiques sont d’une grande richesse.
Plus populaire, la cérémonie du Tashlikh : on vide ses poches dans un cours d’eau le premier jour de la fête en fin d’après-midi, comme pour se délester de ses péchés et de ses fautes au fond de la mer. On peut aussi, à titre symbolique, secouer son mouchoir au-dessus de l’eau ou y jeter une pierre.
Les autres noms du Nouvel An
Entre célébration de la nouvelle année et repentance, les fêtes du Nouvel An empruntent aussi d’autres noms : « Yom Terou’a », ou Jour de la Sonnerie, en référence au Shofar, dont la solennité appelle à l’introspection et au bilan de ses actions. « Yom HaDin » ou Jour du Jugement, car la repentance de l’humanité prépare au pardon du Créateur, Yom Kipour, célébré 10 jours plus tard. Puis, « Yom HaZikaron » ou Jour du souvenir du sacrifice avorté d’Abraham.
Enfin, « Rosh Hashana », littéralement «Tête de l’année ».
Le repas, ou Seder
Un grand festin marque le début des célébrations du Nouvel An. A chacun des mets cacher, sa bénédiction, car tous proviennent de la terre, de l’arbre, ou sont d’origine animale. Il est d’usage de commencer le repas par des légumes et fruits nouveaux, comme les dattes de l’année, pour marquer le début d’un nouveau cycle. Le miel est présent à table, pour adoucir l’année à venir. On sert des pommes, éventuellement trempées dans le miel, pour que la famille bénéficie d’une année paisible (il s’agit du seul rite alimentaire obligatoire dans les communautés ashkénazes) . Pour la prospérité, grenades et pois sont associés au menu. On bénit une tête de poisson, qui inscrit Israël en « tête des nations ».Selon les régions et diasporas, d’autres aliments entrent dans la composition du repas, coing, citrouille, jujube, citronnelle, épinards, blettes, poireaux… et graines de sésame qui enroberont les pommes au miel.
Le repas s’accompagne de bénédictions dont celle de Chéhé’Héyanou, qui remercie le Créateur pour les fruits nouveaux que l’arbre procure, pour avoir permis à chacun de naître et vivre jusqu’à ce jour et pour quérir son aide pour continuer à croître sans péché.
1. ROCH HASHANA FÊTE DU NOUVEL AN JUIF, (2013, 4 Septembre) – LES NOMS DE LA FÊTE
4 septembre, 2013http://92.catholique.fr/faq/fetes_interreligieux.htm#Roch Hashana
1. ROCH HASHANA FÊTE DU NOUVEL AN JUIF, (2013, 4 Septembre)
LES NOMS DE LA FÊTE
Les différents noms manifestent les aspects de la fête : Début de l’année juive, Appel au repentir et Jour du jugement
1. Roche Hachana, Rosh ha-shana Roch ha-Chanah, Nouvel an juif, Début de l’année juive (littéralement Tête de l’année)
2. Yom Terouah, Yom Teroua (« Jour de la sonnerie du shofar »), Zikhron Terouah (« Souvenir de la sonnerie du shofar »), fête des trompettes
3. Yom Hadîn (Jour du Jugement).
Signification de Roch Hashana : Fête du nouvel an juif
Roch Hashana est une des fêtes juives. C’ est le début de l’année civile juive, le jour du nouvel an juif. Alors que d’après la Torah, l’année commence en Nissan mois de la fête de la Pâque, la tradition juive considère ce jour comme le début de la nouvelle année. Il s’agit d’une fête qui avec ce nom et ces rites n’a jamais existé pendant tout le temps de l’Ancien Testament. Roch Hashana se célèbre le 1er et le deuxième jour du premier mois de l’année civile, celui de tichri.
Le début de l’année juive célèbre l’anniversaire de la création et plus précisément de la création de l’homme. La fête du nouvel an juif dure 2 jours qui sont chômés. On n’y fait aucun travail et on se consacre à la convocation divine.
Célébration de Roch Hashana : Repas rituel de la fête du nouvel an juif
La fête du nouvel an juif débute une nouvelle étape dans la vie de chacun et pour l’ensemble du peuple. Il s’accompagne d’un rituel (sédèr ) qui met en scène des symboles de réussite, de joie et de douceur pour la nouvelle année. On souhaite « une bonne année » . Le début de l’année juive comporte des repas festifs. Les festivités du nouvel an juif débutent donc la veille au soir par un festin. La fête du nouvel an juif se célèbre au cours d’un repas rituel. On mange des pommes et du miel. Dans les communautés Sépharade un véritable banquet est organisé. Mais le troisième jour est un jour de jeûne.
Signification de Roch Hashana : Jour du jugement
Roch Hashana est aussi le jour du jugement Yom Hadîn . Le début de l’année juive est l’occasion de faire le bilan de l’année écoulée et de réfléchir à l’orientation de sa vie. Le début de l’année juive conduit aux 10 jours de pénitence qui précèdent la fête de Yom Kippour. Rosh Hashana introduit une période de dix jours dits terribles, qui le séparent de Yom Kipour, au cours desquels le repentir peut influencer le Jugement.
Célébration de Roch Hashana : Appel du Shofar au repentir en vu du jugement
La prière du matin est marquée par l’appel du Shofar (choffar). Le Shofar est une corne de bélier qui sert de trompette et qui retentit pour réveiller les consciences endormies. Le Shofar est sonné les deux jours de Roch Hashana. La sonnerie du Shofar apelle les fidèles au repentir. Faire entendre à Roch Hachana le son de la Térou’ah, suggère que quelque chose de grave est en train de se passer. On appelle parfois cette journée » Fête des trompettes » La Térou’ah est un son opposé à celui de la Téki’ah, ce son long et simple, continu, exprimant la sérénité, la tranquillité et la joie.
Célébration de Roch Hashana : tout est revêtu de blanc
A la synagogue, tout est revêtu de blanc symbole de la pureté : l’armoire sainte, les rouleaux, les pupitres. Souvent les fidèles eux-mêmes s’habillent de blanc.
Date de la fête de Roch Hashana, Date du début de l’année juive
La date de la fête du nouvel an juif, la première des fêtes juives, n’est pas la même chaque année par ce que le calendrier hébraïque étant basé sur un cycle luni-solaire. La date du Nouvel an juif dans le calendrier grégorien varie, mais tombe toujours entre le 5 septembre et 5 octobre. – La date du nouvel an juif est celle de l’année civile le 1er et le deuxième jour du mois de tichri et non celle de l’année religieuse qui est en Nissan le mois de Pâque.