L’ÉCOLE DE DIEU ET LA SAGESSE D’EN HAUT

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L’ÉCOLE DE DIEU ET LA SAGESSE D’EN HAUT

D’APRÈS UNE MÉDITATION

«Qui est sage et intelligent parmi vous? Que par une bonne conduite il montre ses œuvres avec la douceur de la sagesse… Mais la sagesse d’en haut est premièrement pure, ensuite paisible, modérée, traitable, pleine de miséricorde et de bons fruits, sans partialité, sans hypocrisie» (Jacques 3: 13, 17).
«Si quelqu’un de vous manque de sagesse, qu’il demande à Dieu qui donne à tous libéralement». «Tout ce qui nous est donné de bon et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières» (Jacques 1: 5, 17).
Dans l’épître de Jacques, nous apprenons comment les deux mondes, celui d’en haut et celui d’en bas, sont mis en opposition. Il s’agit de savoir quel monde nous privilégions dans notre vie quotidienne. Nous allons étudier ensemble sept points en rapport avec les passages cités.

1. L’école de Dieu
Le premier point est celui-ci: en tant que chrétiens, nous sommes à l’école de Dieu. Apprécions-nous ce privilège? Nous lisons dans Jacques 1: 2: «Estimez-le comme une parfaite joie, mes frères, quand vous serez en butte à diverses tentations». Sommes-nous contents lorsque des difficultés, des épreuves ou des souffrances nous atteignent? Nous pouvons l’être, car elles font partie du plan de Dieu à notre égard. On ne serait pas surpris d’entendre quelqu’un dire: Je n’aime pas être à l’école de Dieu, à cause des souffrances qu’elle comporte. Mais cette appréciation changerait si on comprenait que Dieu utilise les épreuves dans notre intérêt. Voici un verset remarquable qui correspond à cette pensée: «Nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu» (Romains 8: 28). Même si ce n’est pas le but que recherchent ceux qui agissent dans ces choses, Dieu permet qu’elles travaillent toutes pour le bien de ceux qui l’aiment.
Dieu, dans son école, a un but en vue, et l’instruction constitue le moyen de nous amener à ce but. Cela implique:
- l’enseignement, pour amener l’élève à faire des progrès;
- la discipline, afin de le former;
- les récompenses, pour un travail qui a été bien accompli.
Tous ces aspects de l’instruction sont utilisés afin de former un disciple bien équilibré, mûr et bien informé, qui connaîtra tous les principes et sera préparé pour mettre en pratique ce qui lui a été enseigné.
L’école de Dieu est destinée à ceux qui aiment Dieu. Cette affirmation peut sembler étrange, spécialement quand on a envie d’agir à sa tête; cependant, le croyant est toujours à l’école de Dieu et doit s’y soumettre. Vous souvenez-vous de ce que nous lisons au sujet de la bride et du mors dans le Psaume 32? Ce Psaume nous parle de la discipline comme faisant partie de l’école de Dieu. Encourageons-nous à étudier ce qu’on pourrait appeler les psaumes de sagesse, dont le Psaume 32 est le premier. A l’école de Dieu nous débutons en première année, pour progresser ensuite vers les autres années. Nous ne commençons pas au niveau de la dixième année! C’est ainsi que le Psaume 32 présente des sujets très fondamentaux, comme le pardon des péchés. On peut dire qu’une personne entre à l’école de Dieu dès le moment de son salut.
Nous aimerions signaler un autre point en rapport avec ce sujet. Dans Ésaïe 55: 8, nous lisons: «Mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies». A l’école de Dieu, nous devons non seulement apprendre certaines choses, mais nous devons aussi en «désapprendre» d’autres, parce que nous sommes entrés dans cette école avec nos propres idées. Dieu parle de ses pensées comme étant différentes des nôtres, et supérieures aux nôtres. C’est ce qu’une personne découvre à l’école de Dieu.
L’école de Dieu implique aussi la discipline. Peut-être n’aimons-nous pas trop ce mot, parce que dans notre esprit il a une connotation négative. Mais en réalité, la discipline est positive; elle a comme but de nous attirer. Dans certaines langues comme l’allemand et le néerlandais, la racine du mot discipline exprime la pensée d’attirer. En fait, la discipline consiste à nous attirer vers le Père des lumières, vers le Seigneur de gloire, vers la sagesse d’en haut, vers le Seigneur qui est le Maître de tout. Voilà ce qu’est le principe de discipline de Dieu. Cependant si nous suivons notre propre voie, Dieu devra parfois user envers nous de sévérité afin de nous débarrasser de ce qui nous entrave. Il doit nous arrêter, parfois nous contraindre, même s’il n’aime pas le faire. Le principe de Dieu est d’attirer; mais, à certains moments, il doit nous corriger ou nous punir. C’est ce qu’on appelle son gouvernement.
Un seul, celui dont Ésaïe 50 nous parle comme étant disciple à l’école de Dieu, n’a jamais eu besoin de correction. Il était un vrai Fils, un vrai disciple à l’école de Dieu; cependant, il n’a jamais eu besoin d’être discipliné. Combien il est merveilleux, à la différence de vous et moi qui avons besoin de correction. Nous sommes sous la discipline divine. D’une part, cela signifie que nous sommes des disciples, des imitateurs du Seigneur Jésus, et que nous sommes attirés vers une personne divine. D’autre part, cela implique l’idée de correction lorsque c’est nécessaire. En Hébreux 12, nous voyons que Dieu châtie ou discipline celui qu’il aime. La discipline sera appliquée par la main de Celui qui nous aime; elle fait partie de l’école de Dieu.

2. La sagesse et la formation des disciples à l’école de Dieu
La sagesse constitue le deuxième point. Au chapitre 28 de son livre, Job nous parle de la sagesse de Dieu qui peut être apprise. Il conclut ainsi: «La crainte du Seigneur, c’est là la sagesse, et se retirer du mal est l’intelligence».
En Jacques, il est beaucoup question de la sagesse. Premièrement, au chapitre 1 (verset 5), nous lisons que nous avons besoin de sagesse, et que nous pouvons sans hésitation aller à Dieu, car il donne libéralement. Si nous demandons la sagesse à notre Père, il nous la donnera sans nous faire de reproches. Les ressources de Dieu ne sont-elles pas illimitées?
Maintenant, qu’est-ce que la sagesse? Comme nous le découvrons dans le livre des Proverbes, c’est la connaissance mise en pratique de la bonne manière et au moment opportun. Avoir une certaine compréhension des principes de Dieu, c’est déjà d’un grand prix. Mais combien plus de mettre en pratique les pensées de Dieu! Cela exige une vraie dépendance, se traduisant par une vie de prière. C’est pourquoi nous devons aller vers le Seigneur et lui demander de la sagesse afin de savoir que faire dans chaque cas particulier, et au bon moment. Voilà ce qu’est la sagesse. Le sermon sur la montagne, en Matthieu 5 à 7, peut être placé à côté de l’épître de Jacques. Le Seigneur y donne beaucoup de directives à ses disciples. En les considérant de près, nous pouvons voir combien les enseignements du Seigneur sont pratiques. On peut lire aussi les livres des Proverbes et des Psaumes. Dans ces livres sur la sagesse, nous apprenons des choses très pratiques.
Ce dont Jacques veut nous entretenir, c’est la sagesse d’en haut. Bien entendu il parle de ce que nous voyons réalisé dans la vie du Seigneur Jésus.
Nous pouvons rattacher à cette sagesse le besoin des disciples d’être formés. La condition de disciple est une façon de vivre qui répond pratiquement à la sagesse de Dieu. A l’école de Dieu, il y a des apprentis et des élèves qui mettent ces enseignements en pratique en imitant le Seigneur Jésus. Un disciple est toujours en même temps un apprenti. Ceci nous amène au troisième point.

3. Qui enseigne à l’école de Dieu?
C’est notre Seigneur bien-aimé! Mais souvenons-nous que durant sa vie sur la terre il a été continuellement à l’écoute de son Père, «comme ceux qu’on enseigne» (Ésaïe 50: 4).
Après une période de formation plus ou moins longue, il peut nous arriver de penser que nous avons appris suffisamment de choses. Alors, nous commençons à compter sur nous-mêmes, plutôt que d’écouter la voix de Dieu. De même, nous pensons être capables d’indiquer aux autres ce qu’ils ont à faire en oubliant que nous-mêmes, à l’école de Dieu, nous sommes constamment des apprentis. Nous continuerons notre apprentissage, même à l’âge de quatre-vingts ou quatre-vingt-dix ans; à l’école de Dieu, nous apprendrons sans cesse de nouvelles leçons. Nous ne finirons jamais d’apprendre et, jusqu’à notre enlèvement, nous serons toujours des apprentis ayant à mettre en pratique ce que nous avons appris. L’accord entre l’écoute et la pratique nous ouvre des portes pour enseigner les autres; en effet, grâce à cette méthode d’apprentissage de nos leçons, nous pouvons communiquer avec les autres. C’est ainsi que le Seigneur pourra nous utiliser.
Un autre verset nous vient à l’esprit. Lorsque le Seigneur dit: «Venez à moi» (Matthieu 11: 28), pensons-nous qu’il s’agit seulement du message de l’évangile? Nous sommes tous tenus de répondre au Seigneur lorsqu’il nous invite: «Venez à moi»; et cela dans toute situation où nous pourrions nous trouver. Il est si important de retenir cette pensée! Jésus nous a dit de venir à lui pour recevoir tout ce dont nous avons besoin. Il faut aller à lui avec tous nos fardeaux; or même les enfants et les jeunes gens ont parfois des fardeaux très lourds.
Le Maître ajoute quelque chose à cette invitation. Il dit: «Prenez mon joug sur vous». Sommes-nous disposés à prendre son joug sur nos épaules? Pour cela, il faut nous identifier à un Maître qui est rejeté dans ce monde! Il faut nous souvenir à chaque moment que nous sommes associés à un Seigneur rejeté (voir le contexte de Matthieu 11 et 12). Mais quelle bénédiction lorsque nous prenons son joug!
Que signifie prendre son joug? Tout comme Christ était soumis à la volonté de Dieu, nous devons aussi être soumis à cette volonté. Il ne faut pas penser que cette soumission soit exigée de certaines personnes seulement: c’est le devoir de tous les croyants. Nous apprenons cette vérité à l’école de Dieu. Nous avons de grands privilèges, et de ce fait de grandes responsabilités. De plus, c’est là que nous rencontrons un compagnon merveilleux, celui même qui dit: «Prenez mon joug sur vous». Ceci laisse supposer qu’il porte ce joug avec nous; il est un vrai compagnon. C’est lorsque nous sommes soumis à la volonté de Dieu que Jésus nous dit: tu es mon frère et ma sœur et ma mère. C’est à celui qui fait la volonté de Dieu et qui prend ce joug sur lui que le Maître dit: tu es mon ami.
Quelles sont les normes à l’école de Dieu? Il suffit au disciple qu’il soit comme son maître; il suffit que l’esclave soit comme son seigneur. Cette mesure est-elle trop élevée? C’est ce que notre Seigneur et Maître a en vue pour ses disciples (Matthieu 10: 24).
Puis il ajoute: «Apprenez de moi, car je suis débonnaire et humble de cœur» (11: 29). La soumission et la douceur sont donc la seule bonne attitude. Sommes-nous par exemple facilement offensés? Nous pouvons nous offenser devant un frère ou une sœur qui dit quelque chose qui n’est pas tout à fait correct, ou bien nous pouvons faire quelque chose qui offense quelqu’un d’autre. Cette attitude n’est pas de la douceur, car cette dernière n’offense pas ni ne s’offense. C’est ce que nous apprenons à l’école de Dieu en compagnie de ce merveilleux Compagnon et Maître.

4. Le Maître est notre modèle
Le Seigneur Jésus ne nous dit pas seulement ce que nous devons faire. Il est ce que nous devons être; il est ce qu’il dit. Il le déclare en Jean 8: 25. Ainsi, il est l’expression vivante de ses enseignements. A cet égard, nous ne répondons pas toujours à son attente. En Jacques 1, nous sommes exhortés à ne pas seulement écouter la parole, mais aussi à la mettre en pratique. Hélas! nous écoutons plus volontiers que nous ne mettons en pratique. Le Seigneur Jésus a mis en pratique les choses qu’il a enseignées; et il nous enseigne d’une manière qui nous donne envie de le suivre. C’est ainsi qu’il est notre modèle.
Nous aimons relier cela avec Jacques 3: 11, où il est fait mention de la fontaine d’eau. C’est lorsque nous recherchons la compagnie du Seigneur Jésus, la véritable source, que nous pouvons être comme ces fontaines qui font jaillir de l’eau douce. C’est lorsque nous savons tirer des leçons de son exemple. Jacques utilise aussi l’image d’un arbre produisant des fruits. C’est lorsque nous demeurons en sa compagnie que nous produisons les bons fruits. Le Psaume 1 et Jérémie 17 nous montrent cela en termes admirables.

5. Progrès et maturité d’esprit
Le travail de Jacques consistait à aider ses frères dans leur croissance vers la maturité spirituelle. Un grand nombre de nos problèmes viennent du fait que nous manquons de maturité spirituelle. Peut-être avons-nous acquis une bonne connaissance intellectuelle, mais nous ne l’avons pas mise en pratique. Ceci constitue une forme d’immaturité; de même, les contestations, les combats et les critiques sont toutes des formes d’immaturité spirituelle. Notre divin Maître doit alors poursuivre notre formation dans une autre classe de son école.
Jacques oppose un monde à un autre monde:
- Premièrement, quant aux origines. Nous appartenons soit au monde de Dieu, au Père des lumières, au Seigneur de gloire, et à la sagesse d’en haut, soit au monde de Satan en tant que sujets.
- En second lieu, dans les manifestations pratiques. D’un côté pureté, douceur, modération, miséricorde, impartialité, droiture; de l’autre jalousie, amertume, querelle, mensonge.
- En troisième lieu, dans les résultats quant à la croissance spirituelle et à la maturité.
La croissance implique des étapes douloureuses. Quelques passages nous aideront à comprendre le processus de purification nécessaire. En Malachie 3, nous voyons le Seigneur assis en tant qu’affineur d’or ou d’argent; il veut purifier les métaux précieux, en retirer les éléments impurs, jusqu’à ce qu’il puisse voir son propre visage se réfléchir dans l’or ou l’argent.
C’est ce qui se produit à l’école de Dieu. Le Seigneur s’y occupe de nous, afin de nous aider à croître. Ensuite, il doit enlever les obstacles, de même que les éléments impurs qui sont mélangés avec le métal précieux. La période d’épreuve et de purification fait partie de l’école de Dieu.
L’épreuve mentionnée dans Jacques 1 nous montre que c’est du bon matériel qui est traité, mais qu’en même temps c’est un exercice douloureux, puisque les éléments impurs doivent être retirés. Par exemple, l’entêtement et l’arrogance doivent être jugés. Pour cela, une attitude de vraie repentance est nécessaire. Le Seigneur lui-même retire graduellement ces éléments négatifs; il le fait avec une sagesse et un soin divins, n’oubliant jamais le but qu’il a en vue: notre croissance.
Ce travail d’affinage et de purification est nécessaire pour notre croissance, et les épreuves et les tribulations sont les moyens que Dieu utilise pour cela.
Bien que ces épreuves ne soient pas agréables, leur résultat a une grande valeur. Le Seigneur ne sera pas satisfait tant que ce but glorieux ne sera pas atteint. C’est ainsi qu’il nous mène vers la maturité.

6. Christ reproduit dans la vie des siens
Nous voici au sixième point, à savoir le résultat final du processus de formation et de purification. L’objectif visé n’est pas seulement la croissance en elle-même — ce qui est très important — mais surtout que le Christ lui-même soit reproduit en nous. Le Seigneur veut se manifester lui-même en vous et en moi. Il est rejeté dans ce monde, mais il désire utiliser les croyants pour l’y manifester. C’est ainsi que nous pourrons être ses témoins et ses disciples. Nous manifesterons sa personne et la sagesse d’en haut dans ses merveilleux aspects. Les sept aspects de la sagesse d’en haut (3: 17) sont opposés à ceux de la sagesse diabolique (versets 15, 16). En les comparant, nous pouvons discerner des origines différentes, des actions différentes et des résultats différents. Le but final que Dieu, le Père des lumières, se propose pour nous, c’est que son caractère soit reproduit en vous et en moi. Vous vous dites chrétien? Bien! Dieu dit: Je veux voir Christ en toi, rien d’autre. C’est cette ressemblance que le Saint Esprit opère (voir Galates 5: 22; Philippiens 4: 8). Il produira ces fruits: Christ en vous et en moi. Il y aura des résultats envers Dieu, envers les hommes, et aussi un changement envers soi-même.

7. Qui est sage?
Pourquoi la sagesse est-elle si importante? Tandis que nous arrivons au terme de la dispensation actuelle, Dieu se cherche des hommes sages pour cette période finale. Mentionnons le cas de Daniel et de ses amis, qui furent sages à une époque de grands changements et d’épreuves. Pensons également au résidu juif futur: il aura acquis une sagesse spéciale à l’école de Dieu. Mais actuellement, c’est à nous d’apprendre la sagesse à cette école. Considérons ici quatre passages:
«Qui est sage prendra garde à ces choses, et comprendra les bontés de l’Éternel» (Psaumes 107: 43). Dans ce psaume, la sagesse est basée sur la rédemption, et elle s’acquiert par la soumission aux voies de Dieu.
«Qui est l’homme sage? qu’il comprenne cela» (Jérémie 9: 12). Il s’agit de comprendre les relations de Dieu avec son propre peuple qu’il juge. Le prophète était non seulement bien enseigné, mais aussi soumis aux pensées de Dieu.
«Qui est sage? il comprendra ces choses; et intelligent? il les connaîtra; car les voies de l’Éternel sont droites, et les justes y marcheront» (Osée 14: 9). Qui prendra ces choses à cœur?
«Qui est sage et intelligent parmi vous?» (Jacques 3: 13). Ces versets nous situent à la fin de l’économie juive (avant la destruction du temple). C’est une illustration de la dispensation actuelle.
Tandis que nous arrivons à la fin de la période chrétienne, beaucoup de sagesse est nécessaire afin de connaître les voies de Dieu et de marcher dans ses sentiers. Il en sera de même de ceux qui auront à subir la grande tribulation: «Ici est la sagesse» (Apocalypse 13: 18).
Jacques encourage ses lecteurs à bien connaître la sagesse de Dieu; elle est indispensable à ceux qui vivent actuellement. Les situations sont variées et les problèmes deviennent de plus en plus difficiles. Souvent nous ne savons plus que faire. Alors, qui est sage parmi nous? Apprenons à l’école de Dieu. Nous vivons dans une période très sombre, mais plus nous étudierons à l’école de Dieu, plus nous ressemblerons à notre Seigneur, et mieux nous brillerons pour lui.
Le Père des lumières désire que nous brillions comme des lumières. Aujourd’hui plus que jamais il est important de fixer notre attention sur le Seigneur. Il est le Soleil. Puissions-nous refléter sa lumière dans la sombre nuit où nous vivons! Qu’il nous aide à le réaliser!

Alfred E. Bouter

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