Archive pour le 16 avril, 2012

Anniversaire de Pape Benoît 85 ans – est-ce que nous voulons faire ensemble il, voeux au Pape?

16 avril, 2012

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BENEDICTION URBI ET ORBI 2012

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Anniversaire de Pape Benoît  85 ans 

est-ce que nous voulons faire ensemble il, voeux au Pape?

prions nous le Seigneur pour Pape Benoît, que j’appellerais le Pape du savoir et de la tendresse;
prions nous le Seigneur, pour que Pape Benoît, que puisse vivre ces derniers ans dans la tendresse de Dieu, enveloppé de sa lumière et de son amour. 
prions, parce que ces derniers ans de sa vie soient ceux d’un savoir et d’une grande sagesse de plus en plus  plus profonde;
prions parce pour son ministère de Berger de l’Église Universelle, puissent être plein de plus en plus de cette richesse intérieure qui se révèle toujours dans sa prière, dans son enseignement dans ses oeuvres;
prions parce que son enseignement se dilate et j’enrichisse le monde entier;
prions parce que le Seigneur lui maintienne la santé, mais s’il devait tomber en maladie aussi celle-ci soit pleine de la prière et de la lumière de la miséricorde;

16 avril: Sainte Bernadette Soubirous

16 avril, 2012

http://nominis.cef.fr/

16 AVRIL – MEMOIRE FACOLTATIVE

Sainte Bernadette Soubirous

jeune fille à la quelle la Vierge Marie apparut (+ 1879)

Fille aînée d’une famille de meunier que l’arrivée des moulins à vapeur jettera dans une extrême pauvreté, Bernadette Soubirous est accueillie en janvier 1858 à l’Hospice de Lourdes, dirigé par les Sœurs de la Charité de Nevers, pour y apprendre à lire et à écrire afin de préparer sa première communion. En février 1858, alors qu’elle ramassait du bois avec deux autres petites filles, la Vierge Marie lui apparaît au creux du rocher de Massabielle, près de Lourdes. Dix huit Apparitions auront ainsi lieu entre février et juillet 1858. Chargée de transmettre le message de la Vierge Marie, et non de le faire croire, Bernadette résistera aux accusations multiples de ses contemporains. En juillet 1866, voulant réaliser son désir de vie religieuse, elle entre chez les Sœurs de la Charité de Nevers à Saint-Gildard, Maison-Mère de la Congrégation. Elle y mène une vie humble et cachée. Bien que de plus en plus malade, elle remplit avec amour les tâches qui lui sont confiées. Elle meurt le 16 avril 1879. Elle est béatifiée le 14 juin 1925 puis canonisée le 8 décembre 1933. Son corps, retrouvé intact, repose depuis 1925 dans une châsse en verre dans la Chapelle. Chaque année, venant du monde entier, des milliers de pèlerins et de visiteurs se rendent à Nevers pour accueillir le message de Bernadette.
- Sainte Bernadette Soubirous (1844-1879) De santé fragile, mais entourée de l’amour des siens et d’une foi solide, cette adolescente de quatorze ans rencontra la Vierge à dix-huit reprises à la grotte de Massabielle. Figures de sainteté – site de l’Eglise catholique en France
- « Bernadette Soubirous naquit au moulin de Boly, au pied du château fort de Lourdes le 7 janvier 1844, de François Soubirous, meunier, et de Louise Castérot. Elle avait 14 ans quand l’Immaculée l’appellera à être sa confidente et sa messagère, en février 1858. Elle rentrait alors de Bartrès, où elle avait passé quatre mois chez sa nourrice. Elle habitait alors avec ses parents, ses frères et sœur dans une profonde misère au Cachot.
Elle était simple et de santé fragile, mais pleine de bon sens et de joie de vivre. Elle désirait plus que tout faire sa première communion. Le 11 février 1858, alors qu’elle était partie chercher du bois avec sa sœur et une voisine près du rocher de Massabielle, dans la partie supérieure de la grotte, lui apparaît une belle Dame vêtue de blanc. Jusqu’au 16 juillet, 18 apparitions. Le sommet de toutes: le jeudi 25 mars, fête de l’Annonciation où la Vierge Marie se présenta à elle comme étant ‘l’Immaculée Conception’.
Sainte Bernadette devint célèbre, on parla de miracles… Mais la petite bigourdane choisit de se retirer du monde. Elle partit pour Nevers où elle vivra avec ses sœurs dans l’humilité et la prière, la souffrance aussi, loin de Lourdes et de la grotte de Massabielle. Elle mourut le 16 avril 1879 et fut canonisée en 1933. » (diocèse de Tarbes et Lourdes – les saints du diocèse)
Sainte Bernadette (Lourdes 1844 – Nevers 1879) … En juillet 1866, voulant réaliser son désir de vie religieuse, elle entre chez les Soeurs de la Charité de Nevers à Saint-Gildard, Maison-Mère de la Congrégation. Elle y mène une vie humble et cachée. Bien que de plus en plus malade, elle remplit avec amour les tâches qui lui sont confiées. Elle meurt le 16 avril 1879.
(diocèse de Nevers)
Le site de l’Espace Bernadette à Nevers
À Nevers, en 1879, sainte Bernadette Soubirous, vierge. Née à Lourdes d’une famille très pauvre, elle ressentit, toute jeune fille, la présence de la Vierge Marie immaculée dans la grotte de Massabielle, et par la suite, ayant pris l’habit de religieuse, elle mena à Nevers une vie humble et cachée.

REGINA COELI DU DIMANCHE 15 AVRIL 2012

16 avril, 2012

http://www.zenit.org/article-30582?l=french

REGINA COELI DU DIMANCHE 15 AVRIL 2012

IIe dimanche de Pâques, fête de la Miséricorde divine

ROME, dimanche 15 avril 2012 (ZENIT.org) –  «  La célébration du Jour du Seigneur est une preuve très forte de la Résurrection du Christ », a déclaré Benoît XVI, avant la prière du Regina Coeli, en ce IIe dimanche de Pâques, fête de la Miséricorde divine. 
De la fenêtre de son bureau qui donne place Saint-Pierre, et en présence de milliers de pèlerins et fidèles, le pape a commenté l’Evangile de ce dimanche, relatant l’apparition du Christ ressuscité à ses disciples et à Thomas.
A la veille de son 85e anniversaire – lundi 16 avril – et du 7e anniversaire de son élection – jeudi, 19 avril -  Benoît XVI a également invité les catholiques à prier pour sa mission.

Paroles de Benoît XVI en italien avant le Regina Coeli :
Chers frères et sœurs,
Chaque année, en célébrant Pâques, nous revivons l’expérience des premiers disciples de Jésus, l’expérience de la rencontre avec le Ressuscité : l’Evangile de Jean raconte qu’ils le virent apparaître au milieu d’eux, dans le Cénacle,  au soir du jour de sa résurrection, « premier jour de la semaine », et puis « huit jours plus tard » (cf. Jn 20,19.26). Ce jour, auquel sera ensuite donné le nom de « Dimanche », est le jour de l’assemblée, de la communauté chrétienne qui se réunit pour célébrer son culte, c’est-à-dire l’Eucharistie, un culte inédit, diffèrent de celui que célèbrent les juifs le samedi. La célébration du Jour du Seigneur est en effet une preuve très forte de la Résurrection du Christ, car seul un évènement extraordinaire et bouleversant pouvait inciter les chrétiens à adopter un autre culte que celui du sabbat juif.
Hier comme aujourd’hui, le culte chrétien  n’est pas qu’une commémoration d’événements passés, ni une expérience mystique, intime, particulière, mais une rencontre essentielle avec le Seigneur, qui vit dans la dimension de Dieu, au-delà du temps et de l’espace, tout en se rendant toujours réellement présent au sein de la communauté, qui nous parle dans les Saintes Ecritures et rompt ensuite pour nous le Pain de la vie éternelle. Ces signes nous permettent de vivre l’expérience que les disciples ont vécue, c’est-à-dire voir Jésus mais sans le reconnaître ; toucher son corps, un corps vrai, mais délivré de tout lien terrestre.
Ce que rapporte l’Evangile est très important, à savoir le fait que lors de ses deux apparitions aux Apôtres réunis au Cénacle Jésus les a salués en disant plusieurs fois «  la Paix soit avec vous ! » (Jn 20,19.21.26). Cette formule traditionnelle, par laquelle on souhaite « shalom », la paix, prend ici un nouvel aspect: elle devient le don de cette paix que seul Jésus peut donner, car fruit de sa victoire radicale sur le mal. La « paix » que Jésus offre à ses amis est le fruit de l’amour  de Dieu qui l’a conduit à mourir sur la croix, à verser tout son sang, tel un Agneau humble et docile, « plein de grâce et de vérité » (Jn 1,14).
Voilà pourquoi le bienheureux Jean-Paul II a voulu consacrer ce dimanche après Pâques  à la Miséricorde divine, avec une icône bien précise: celle du côté transpercé du Christ, d’où jaillirent sang et eau, selon le témoignage oculaire de l’apôtre Jean (cf. Jn 19, 34-37). Mais Jésus est désormais ressuscité, et de Lui vivant jaillissent les Sacrements  de Pâques, le Baptême et l’Eucharistie: qui s’en approche avec foi reçoit le don de la vie éternelle.
Chers frères et sœurs, accueillons le don de la paix que nous offre Jésus ressuscité, laissons nos cœurs être remplis de sa miséricorde! De cette façon, par la puissance de l’Esprit Saint,  l’Esprit qui a ressuscité le Christ d’entre les morts, nous pouvons nous aussi porter aux autres ces dons de Pâques. Que la très Sainte Vierge Marie, Mère de Miséricorde, l’obtienne pour nous.

Paroles de Benoît XVI après le Regina Coeli
(En italien)
Chers frères et sœurs,
Je souhaite avant tout saluer les pèlerins qui ont participé à la sainte messe présidée par le cardinal vicaire Agostino Vallini, en l’église Santo Spirito in Sassia, lieu privilégié du culte de la Miséricorde divine, où l’on vénère aussi tout spécialement sainte Faustine Kowalska et le bienheureux Jean-Paul II. Je souhaite à tous d’être des témoins de l’amour miséricordieux du Christ. Merci de votre présence!
(En français)
Je suis heureux de vous saluer, chers pèlerins de langue française, en ce deuxième dimanche de Pâques où nous célébrons également la fête de la Miséricorde divine. Le temps pascal nous invite, à la suite de la première communauté chrétienne, à exprimer notre confiance et notre joie d’être baptisés. Jésus nous invite à ne pas être incrédules, comme Thomas, mais croyants.
N’ayons pas peur, ayons l’audace de témoigner de notre foi ! Jeudi prochain, à l’occasion du septième anniversaire de mon élection au Siège de Pierre, je vous demande de prier pour moi, pour que le Seigneur me donne la force d’accomplir la mission qu’il m’a confiée ! Que la Vierge Marie, Mère des croyants, nous aide à vivre dans la joie de Pâques !
(En polonais)
Je salue cordialement tous les Polonais et de façon particulière les participants des célébrations liturgiques du Dimanche de la Miséricorde divine au sanctuaire de Lagiewniki. C’est là que le bienheureux Jean-Paul II a dit, il y a dix ans: « Il faut transmettre au monde ce feu de la miséricorde. Dans la miséricorde de Dieu, le monde trouvera la paix et l’homme le bonheur ! Je confie cette tâche … à tous les dévots de la Miséricorde divine ». Fidèles à cette exhortation, annonçons au monde le message de Jésus miséricordieux et soyons ses témoins. Je vous bénis de tout cœur ».