Archive pour le 6 mars, 2012

Transport de l’arche de l’alliance à Jerusalem, relief sur bois dans la Cathédrale d’Udine

6 mars, 2012

Transport de l'arche de l'alliance à Jerusalem, relief sur bois dans la Cathédrale d'Udine dans images sacrée trasportodellarca

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A PROPOS D’UN LIVRE SUR L’EUCHARISTIE, PAR LE CARD. CAÑIZARES

6 mars, 2012

http://www.zenit.org/article-30309?l=french

A PROPOS D’UN LIVRE SUR L’EUCHARISTIE, PAR LE CARD. CAÑIZARES

« La concélébration eucharistique. Du symbole à la réalité », de Mgr Derville

ROME, lundi 5 mars 2012 (ZENIT.org) – « La concélébration eucharistique. Du symbole à la réalité » : c’est le titre du livre de Mgr Guillaume Derville, publié chez Wilson & Lafleur (dans la collection « Gratianus », 120 pages), et présenté ce 5 mars à Rome, à l’Université pontificale de la Sainte-Croix, par le cardinal Antonio Cañizares, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements.
Le cardinal espagnol a écrit la préface : il estime que ce livre contribuera « à la promotion de la liturgie souhaitée par Benoît XVI selon la rénovation voulue par le Concile Vatican II».
Dans sa présentation de ce 5 mars, le cardinal ajoute : « Je suis sûr que ce livre contribuera à ce que l’Année de la Foi soit « une occasion propice pour intensifier la célébration de la foi dans la liturgie, et en particulier dans l’Eucharistie ».
Mgr Derville est directeur spirituel central de la Prélature personnelle de la Sainte-Croix et de l’Opus Dei.
Intervention de S. Ém. Rév.me le Cardinal Antonio Cañizares
À l’occasion de la présentation du livre de Mgr Guillaume Derville
La concélébration eucharistique. Du symbole à la réalité (Wilson & Lafleur)
Université Pontificale de la Sainte-Croix
5 mars 2012
« Jésus prend avec lui Pierre, Jacques et Jean, et les emmène, eux seuls, à l’écart sur une haute montagne. Et il fut transfiguré devant eux. Ses vêtements devinrent resplendissants, d’une blancheur telle que personne sur terre ne peut obtenir une blancheur pareille. Élie leur apparut avec Moïse, et ils s’entretenaient avec Jésus. Pierre alors prend la parole et dit à Jésus : – Rabbi, il est heureux que nous soyons ici ! Dressons donc trois tentes : une pour toi, une pour Moïse et une pour Élie » (Mc 9, 2-5).
Hier, deuxième dimanche de Carême, la liturgie proclamait les paroles que je viens de lire.  Des mots qui, à mon avis, peuvent servir d’introduction à cette présentation du livre de Mgr Guillaume Derville, publié chez Wilson & Lafleur dans la collection Gratianus, La concélébration eucharistique. Du symbole à la réalité.
Lorsqu’on évoque le récit de la transfiguration, il y a des mots qui viennent spontanément  à l’esprit : gloire, éclat, beauté.  Ils s’appliquent directement à la liturgie. Comme le rappelle Benoît XVI, la liturgie est intrinsèquement liée à la beauté. En effet, « la beauté véritable est l’amour de Dieu, qui s’est définitivement révélé à nous dans le mystère Pascal. »
L’expression “mystère Pascal”  résume le noyau essentiel du processus de la Rédemption, sommet de l’œuvre de Jésus-Christ. De même, la liturgie possède comme contenu spécifique cette « œuvre » de Jésus, car en elle s’actualise l’œuvre de notre Rédemption.  Aussi la liturgie, qui fait partie du mystère Pascal, est-elle « expression très haute de la gloire de Dieu et elle constitue, en un sens, le Ciel qui vient sur la terre. Le mémorial du sacrifice rédempteur porte en lui-même les traits de la beauté de Jésus dont Pierre, Jacques et Jean ont donné témoignage quand le Maître, en marche vers Jérusalem, voulut être transfiguré devant eux (cf. Mc 9, 2). Par conséquent, la beauté n’est pas un facteur décoratif de l’action liturgique ; elle en est plutôt un élément constitutif, en tant qu’elle est un attribut de Dieu lui-même et de sa révélation. Tout cela doit nous rendre conscients de l’attention que nous devons avoir afin que l’action liturgique resplendisse selon sa nature propre ».
Je voudrais fixer mon attention sur les dernières paroles du texte cité précédemment car, à mon avis, elles introduisent un sujet délicat qui est, en même temps, le centre de l’étude de Mgr Derville. Lisons-les  à nouveau : « La beauté n’est pas un facteur décoratif de l’action liturgique ; elle en est plutôt un élément constitutif, en tant qu’elle est un attribut de Dieu lui-même et de sa révélation. Tout cela doit nous rendre conscients de l’attention que nous devons avoir afin que l’action liturgique resplendisse selon sa nature propre ».
La liturgie, et à l’intérieur de celle-ci la concélébration, sera belle lorsqu’elle sera vraie et authentique, lorsque sa nature propre resplendira en elle. Dans cette optique se situe la question soulevée par le Souverain Pontife à l’égard des grandes concélébrations : « Selon moi, je dois dire, cela reste un problème, parce que la communion concrète dans la célébration est fondamentale et donc je ne pense pas que la réponse définitive ait vraiment été trouvée. J’ai également soulevé cette question lors du dernier Synode, qui n’a toutefois pas trouvé de réponse. J’ai fait poser une autre question, sur la concélébration en masse:  parce que si, par exemple, mille prêtres concélèbrent, on ne sait pas si subsiste encore la structure voulue par le Seigneur».
 Ce qui est crucial, ici, c’est de maintenir « la structure voulue par le Seigneur », parce que la liturgie est un don de Dieu. Elle n’est pas fabriquée par l’homme. Elle n’est pas à notre libre disposition. De fait, « par son commandement « Faites cela en mémoire de moi » (Lc 22, 19; 1 Co 11, 25), il nous demande de correspondre à son offrande et de la représenter sacramentellement. Par ces paroles, le Seigneur exprime donc, pour ainsi dire, le désir que son Église, née de son sacrifice, accueille ce don, développant, sous la conduite de l’Esprit Saint, la forme liturgique du Sacrement ».
 C’est pourquoi « nous devons apprendre à comprendre la structure de la Liturgie et la raison pour laquelle elle est organisée ainsi. La Liturgie s’est développée à travers deux millénaires, et même après la Réforme, elle n’est pas devenue quelque chose d’élaboré seulement par une poignée de liturgistes. Elle s’inscrit toujours dans la continuation de cette croissance permanente de l’adoration et de l’annonce. Ainsi, il est très important, pour pouvoir être  au diapason, de comprendre cette structure, qui s’est développée dans le temps, et d’entrer ainsi avec notre mens dans la vox de l’Église ».
L’étude approfondie de Mgr Derville va dans cette direction. Elle nous aide à nous mettre à l’écoute du Concile Vatican II dont les textes, aux dires du bienheureux Jean Paul II, « ne perdent rien de leur valeur ni de leur éclat. Il est nécessaire qu’ils soient lus de manière appropriée, qu’ils soient connus et assimilés, comme des textes qualifiés et normatifs du Magistère, à l’intérieur de la Tradition de l’Église ».
Le Concile a en effet décidé d’étendre la faculté de concélébrer selon deux principes : il s’agit d’une manière de célébrer la Sainte Messe qui manifeste de manière appropriée l’unité du sacerdoce et, d’autre part, elle a été utilisée jusqu’à présent dans l’Église tant en Orient qu’en Occident. De ce fait, comme le signalait encore la Constitution Sacrosanctum Concilium, la concélébration faisait partie de ces rites qu’il convenait de rétablir « selon l’ancienne norme des saints Pères ».
Dans cette optique il est important de s’intéresser, ne serait-ce que brièvement, à l’histoire de la concélébration. L’exposition historique, un résumé succinct comme le dit modestement Mgr Derville, suffit à nous faire entrevoir des zones d’ombre, qui mettent en lumière l’absence de données définitives sur la célébration eucharistique dans les premiers temps de l’Église. En même temps, mais sans se laisser entraîner par un « archéologisme » naïf, il apporte suffisamment d’arguments pour pouvoir affirmer que la concélébration, dans la tradition authentique de l’Église, qu’elle soit orientale ou occidentale, est un rite extraordinaire, solennel et public, ordinairement présidé par l’Evêque ou par son délégué, entouré de son presbyterium et de toute la communauté des fidèles. D’autre part, la concélébration quotidienne, en usage dans les Églises orientales, au cours de laquelle concélèbrent exclusivement des prêtres, ainsi que la concélébration pour ainsi dire « privée » à la place des Messes célébrées individuellement ou « more privato », ne font pas partie de la tradition liturgique latine.
En outre, je pense que les explications de l’auteur sont pleinement satisfaisantes lorsqu’il développe les raisons évoquées par le Concile pour étendre la pratique de la concélébration. Il s’agissait d’augmenter, de façon modérée, la faculté de concélébrer, comme il ressort de la lecture les textes du Concile. Il est en effet tout à fait logique qu’il en soit ainsi, puisque la concélébration n’a pas pour but de résoudre des problèmes logistiques ou d’organisation, mais plutôt de rendre présent le mystère Pascal, par la manifestation de l’unité du sacerdoce, qui naît de l’Eucharistie. Comme nous avons dit précédemment, , la beauté de la concélébration implique sa célébration dans la vérité. Sa force significative dépend ainsi de ce que l’on vive et respecte les exigences inscrites dans la concélébration même.
Un nombre trop élevé de concélébrants masque un aspect essentiel de la concélébration. Le fait qu’il soit quasiment impossible de synchroniser les paroles et les gestes non réservés exclusivement au célébrant principal, l’éloignement de l’autel et des offrandes, le manque d’ornements pour certains concélébrants, l’absence d’harmonie dans les couleurs et dans les formes, tout cela peut éclipser la manifestation de l’unité du sacerdoce. Et nous ne pouvons manquer de rappeler que c’est précisément la manifestation de cette unité qui a justifié l’augmentation des possibilités de concélébrer.
Déjà en 1965, le Cardinal Lercaro, alors président du Consilium ad exsequendam Constitutionem de sacra liturgia, adressait une lettre aux Présidents des Conférences Épiscopales, afin de les prévenir de ce danger : considérer la concélébration comme un moyen de surmonter des difficultés pratiques. Il rappelait qu’il pouvait être opportun de la promouvoir dans le cas où elle favoriserait la piété des fidèles et celle des prêtres.
Je voudrais aborder ce dernier point très brièvement. Comme l’affirme Benoît XVI : « je recommande aux prêtres, avec les Pères du Synode, la célébration quotidienne de la Messe, même sans la participation de fidèles. Cette recommandation correspond avant tout à la valeur objectivement infinie de chaque célébration eucharistique ; elle en tire ensuite motif pour une efficacité spirituelle particulière, parce que, si elle est vécue avec attention et avec foi, la Messe est formatrice dans le sens le plus profond du terme, en tant qu’elle promeut la conformation au Christ et qu’elle affermit le prêtre dans sa vocation ».
Pour tout prêtre, la célébration de la Sainte Messe est la raison de son existence. C’est et ce doit être une rencontre très personnelle avec le Seigneur et avec son œuvre rédemptrice. En même temps, tout prêtre, pendant la célébration eucharistique, est le Christ lui-même présent dans l’Église comme Tête de son corps. Il agit également au nom de toute l’Église, « lorsqu’il présente à Dieu la prière de l’Église et surtout lorsqu’il offre le sacrifice eucharistique ». Face à la merveille qu’est le don eucharistique, qui transforme et configure au Christ, on ne peut qu’avoir une attitude de stupeur, de reconnaissance et d’obéissance.
L’auteur nous aide à comprendre cette admirable réalité plus clairement et profondément. En même temps ce livre nous rappelle qu’à côté de la concélébration, il existe aussi la possibilité de célébrer seul ou de participer à l’Eucharistie comme prêtre, sans toutefois concélébrer. Il s’agit, dans chaque cas, d’entrer dans la liturgie, de chercher la solution qui permette d’établir plus facilement un dialogue avec le Seigneur, tout en respectant la structure même de la liturgie. Nous nous trouvons ici face aux limites d’un « droit à concélébrer ou pas », qui doit respecter le droit des fidèles de participer à une liturgie où l’ars celebrandi rende possible leur actuosa participatio. Nous touchons là des questions en rapport avec la justice. De fait, l’auteur ne manque pas de faire mention du Code de Droit Canonique.
Il ne me reste plus qu’à remercier Mgr Derville ainsi que les maisons d’édition Palabra et Wilson & Lafleur pour ce livre que j’ai la joie de présenter aujourd’hui. Je pense qu’il donne l’exemple d’une juste herméneutique du Concile Vatican II. « Il s’agit de lire les changements voulus par le Concile à l’intérieur de l’unité qui caractérise le développement historique du rite lui-même, sans introduire de ruptures artificielles ». Ce livre constitue une aide et un encouragement face à la tâche que le Saint Père a récemment rappelé à la Congrégation que je préside : « qu’elle se consacre principalement à donner une nouvelle impulsion à la promotion de la sainte liturgie dans l’Église, selon le renouveau voulu par le Concile Vatican II, à partir de la Constitution Sacrosanctum Concilium ». Je suis sûr que ce livre contribuera à ce que l’Année de la Foi soit « une occasion propice pour intensifier la célébration de la foi dans la liturgie, et en particulier dans l’Eucharistie ».

Antonio Card. Cañizares Llovera
Préfet de la Congrégation pour le Culte Divin
et la Discipline des Sacrements

Le Carême : histoire et symbolique

6 mars, 2012

http://www.bealiban.com/Le-Careme-histoire-et-symbolique.html

Le Carême : histoire et symbolique

Le Carême : d’où nous vient-il ? Les quarante jours, temps symbolique d’une grande richesse spirituelle

Chaque année, l’Eglise, dans sa sagesse, nous propose de vivre un temps de préparation aux fêtes pascales. Cette tradition remonte aux origines de l’Eglise.
Bref historique
Déjà dans les tout premiers siècles, on prenait un temps de jeûne pour se préparer à la seule fête importante pour les premiers chrétiens : la Pâque. C’est à partir du IV siècle qu’on compte 40 jours de préparation dans le jeûne et la prière. Ce sont les conciles de Nicée en 325 et celui de Laodicée en 365 qui institue les 4O jours de jeûne avant la Pâque dans les Eglises d’Orient ; Rome ne l’adoptera que 3 siècles plus tard.

Etymologie
De fait le mot « carême » nous vient de l’expression latine « quadragesima dies » : le quarantième jour, avant la Pâque.

Symbolique
Quarante est un nombre hautement symbolique. On sait l’importance du symbolisme des nombres dans les cultures antiques et la culture biblique se situe tout à fait dans cette tradition. Faisons un petit parcours.
Dans les cultures antiques
Le nombre 40 symbolise la période de retour sur soi qui doit précéder tout changement profond.
On sait que le pharaon n’était enterré que 40 jours après sa mort car ce temps était consacré à la préparation de son grand voyage.
Le nombre 40 revient très fréquemment dans les rites concernant le culte des ancêtres.
Les 40 jours qui suivent le décès sont considérés comme délai nécessaire à la séparation définitive des 3 composants de l’être : corps , âme et esprit.

Dans la Bible
La 4ème lettre de l’alphabet hébraïque daleth dont la valeur numérique est 4 signifie « la porte » : le moment où l’on pose la main sur la clenche de la porte et l’on se retourne pour estimer le chemin accompli et à accomplir. On sait l’importance symbolique de la porte qui ouvre et ferme les espaces !
40 jours, c’est la durée du déluge : les eaux tombent durant 40 jours et 40 nuits, nous dit le texte de la Genèse. [1]
40 ans : c’est la durée du séjour du peuple hébreu dans le désert. Au désert les Israélites construisent la tente de la Rencontre (avec Dieu !) [2]  : lieu où Moïse écoute Sa Parole.
Durant ces 40 ans Dieu entoure les Israélites de soins [3].
40 jours, c’est la durée du séjour de Moïse sur le mont Sinaï, là où Dieu lui fait le don de la loi [4] .
Moïse intercède et fait pénitence 40 jours pour que le Seigneur épargne la vie au peuple [5] .
40 ans, c’est la durée des royaume de David et de Salomon [6] .
40 jours, c’est encore la durée du voyage du prophète Elie, qui marche, après avoir été nourri miraculeusement, jusqu’au mont Carmel pour entendre la voix de Dieu dans la brise légère [7] .
« 40 jours à la destruction de Ninive » prêchait Jonas pour inciter à la conversion. [8]
40 jours c’est encore la durée du séjour de Jésus au désert au lendemain de son baptême. Pendant 40 jours, nous dit l’Evangile, Jésus a prié et jeûné au désert avant que le diable ne vienne le soumettre à la tentation [9] . Jésus, après sa Résurrection enseigne ses disciple pendant 40 jours jusqu’à son Ascension [10].

Conclusion
Que conclure de tout cela ? Dans la Bible, 40 c’est le symbole de l’épreuve qui nous prépare à rencontrer Dieu. Et c’est aussi le temps où Dieu prend soin de son peuple de ses enfants ; Il les nourrit et les instruit. Temps qui purifie le cœur, qui le prépare à vivre une étape importante : l’alliance entre Dieu et l’humanité scellée après le déluge, l’entrée dans la terre promise, le don de la loi, la rencontre avec Dieu, l’annonce de la Bonne Nouvelle pour Jésus.
40 jours, ce sera pour nous aussi le temps pour nous laisser conduire au désert, nous laisser instruire par le Seigneur dans l’épreuve comme dans l’expérience de l’amour paternel de Dieu. Laissons-nous guider par l’Esprit pour revenir et redevenir les enfants du Père et accompagner le Christ jusqu’au don total de lui- même, le temps d’une préparation à l’expérience fondamentale de la mort et de la résurrection que nous allons vivre avec le Christ dans le mystère de Pâques.

Notes:
[1] Gn 7,17 : Il y eut le déluge pendant 40 jours sur la terre ; les eaux grossirent et soulevèrent l’arche, qui fut élevée au-dessus de la terre.
[2] Ac 7, 44:Nos pères au désert avaient la Tente du Témoignage, ainsi qu’en avait disposé.
[3] Ac 13,18 : Le Dieu de ce peuple, le Dieu d’Israël élut nos pères et fit grandir ce peuple durant son exil en terre d’Egypte. Puis, en déployant la force de son bras, il les en fit sortir 18 et, durant 40 ans environ, il les entoura de soins au désert.
[4] Ex 24,18 : 18 Moïse entra au milieu de la nuée, et il monta sur la montagne. Moïse demeura sur la montagne quarante jours et quarante nuits.
[5] (Dt 9,25) :25 Je me prosternai devant Yahvé, je me prosternai quarante jours et quarante nuits, parce que Yahvé avait dit qu’il voulait vous détruire.
[6] 1R 2,11 Le temps que David régna sur Israël fut de quarante ans ; 1R 11,42 42 Salomon régna quarante ans à Jérusalem sur tout Israël.
[7] 1R 19,8 :8 Il se leva, mangea et but ; et avec la force que lui donna cette nourriture, il marcha quarante jours et quarante nuits jusqu’à la montagne de Dieu, à Horeb.
[8] Jo 3,4 : 4 Jonas pénétra dans la ville ; il y fit une journée de marche. Il prêcha en ces termes : « Encore 40 jours, et Ninive sera detruite ».
[9] Mc 1, 12-13 : 12 Aussitôt, l’Esprit poussa Jésus dans le désert, 13 où il passa quarante jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages, et les anges le servaient.
[10] Ac 1,3 : 3 Après qu’il eut souffert, il leur apparut vivant, et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant des choses qui concernent le royaume de Dieu.