Archive pour le 5 mai, 2011

Marie-Immaculée Conception

5 mai, 2011

Marie-Immaculée Conception dans images sacrée

http://www.santiebeati.it/

Les béatitudes sont un auto-portrait de Jésus, selon le card. Barbarin

5 mai, 2011

du site:

http://www.cardinalrating.com/cardinal_9__article_9064.htm

Les béatitudes sont un auto-portrait de Jésus, selon le card. Barbarin

Jul 30, 2009

Pèlerinage des étudiants français en Terre Sainte

ROME, Dimanche 26 juillet 2009 (ZENIT.org) – Vendredi dernier a eu lieu la première célébration commune du pèlerinage des étudiants français en Terre Sainte : une liturgie de la Parole célébrée sur les bords du lac de Tibériade, au coucher du soleil, avec une catéchèse du cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon.
La seconde étape pour les étudiants dans leur cheminement du désert à Jérusalem leur proposait en effet de s’arrêter au bord du Lac de Tibériade, pour réfléchir autour du thème : « venez à moi, vous tous qui avez soif ». En accueillant les étudiants, le cardinal Barbarin les a invités à prier en communion avec leurs frères pèlerins malades. En effet, une petite épidémie de salmonelles a frappé le groupe des pèlerins, mais elle est désormais sous contrôle.
Puis le cardinal a évoqué le lieu particulier où se déroulait la célébration (le lac de Tibériade), rappelant que le Christ et les premiers disciples avaient vécu ici. C’est d’ailleurs ces évocations qui ont illustré les premiers tableaux d’un récit évangélique mis en scène. Jésus Christ arrivant au bord du lac, rencontrant Pierre, mais aussi la samaritaine, Zachée, l’aveugle de Jéricho, sont autant de figures et de scènes bibliques qui ont introduit la lecture du texte de la pêche miraculeuse (Lc 5,1-11). A la fin de cette lecture, un temps de médiation guidée a été proposé, pour permettre d’intérioriser cette parole.
Face à la rive ouest du lac, où la ville de Tibériade et d’autres lieux étaient visibles, c’est l’évangile des Béatitudes (Mt 5,1-11) qui a été proclamé aux jeunes rassemblés sur la plage. Le cardinal Barbarin a alors donné une catéchèse sur ce thème, indiquant que ce texte était « l’auto-portrait de Jésus », ou encore « le trésor de l’évangile ». Il a commencé par poser la question de la clé pour comprendre tout l’évangile, « tout ce qui s’est passé au bord de ce lac, (…) tout ce qu’il [Jésus] a fait par ici ». Cette clé, c’est, selon lui, les Béatitudes, qui sont comme « la perle que l’on trouve dans le champ de l’évangile ». En effet, selon le prélat, « Jésus explique lui-même ce qu’il fait » tout au long de l’évangile. Et dans la foulée, il a invité les jeunes à apprendre les béatitudes par coeur.
Le cardinal Barbarin a mis les béatitudes en parallèle avec les sept dernières paroles du Christ, telles que les rapporte l’évangile de St Jean, invitant là encore les jeunes à se les approprier. Pour le primat des Gaules, les béatitudes sont « le porche d’entrée dans l’Evangile » tandis que les sept dernières paroles du Christ sont « le porche d’entrée dans le royaume ». Et de citer l’exemple de Jésus en croix, qui parle au bon larron et ne le considère pas en condamné à mort, comme le font les hommes, mais qui voit Dieu lui ouvrir les portes du Royaume ; ce qui, selon l’évêque de Lyon, rappelle la sixième béatitude : « Heureux les coeurs purs, il verront Dieu ».
Dans une seconde partie de sa catéchèse, le cardinal a décrit les béatitudes comme un « phare extraordinaire » de toute la Révélation. « Avec les béatitudes, puisque ça vient de Jésus qui est le coeur de la Révélation, vous avez une porte d’entrée dans toute la bible » a-t-il expliqué. Elles « décrivent le visage de Jésus », aidant à comprendre pourquoi il agit, ce qu’il fait. Jésus est celui qui applique toutes les béatitudes : avec la femme adultère, il est miséricordieux,… Partant dans une véritable exhortation, il a élargi le contexte : Pierre, qui renie Jésus et pleure en se rendant compte de son péché est, selon le cardinal Barbarin, un vrai coeur pur. Et le cardinal a élargi encore le champ d’application aux saints : saint François d’Assise était un vrai pauvre, Mère Térésa miséricordieuse, et en sainte Thérèse de l’enfant Jésus, dont il disait affectueusement qu’elle était « un peu folle celle là » parce qu’elle « voulait être tout », on trouve la 4ème béatitude, car elle est « affamée et assoiffée de la justice pour le monde entier ». Aujourd’hui encore, selon l’archevêque de Lyon, « les béatitudes éclairent la vie de l’Eglise », car elles sont vécues par de nombreux témoins.
Dans une dernière partie de sa catéchèse, le cardinal a voulu s’inspirer de la manière orientale de recevoir le texte d’évangile qu’il venait de commenter. Les orthodoxes chantent en effet le refrain « dans ton royaume, souviens toi de nous » entre les béatitudes, ce qui est, selon le cardinal Barbarin, « la bonne manière, la bonne attitude pour comprendre les béatitudes », car ainsi on se met « à la place du criminel ». Cette « attitude spirituelle » provoque le cadeau de Dieu qui nous offre sa grâce. « Essayez d’avoir assez de science pour savoir quelle est la grâce qui vous a été faite. Une découverte qui se fait dans le silence pour le cardinal Barbarin, et une découverte qui engage car elle implique pour les chrétiens de partager cette grâce : « votre grâce, c’est votre mission (…) c’est dans les béatitudes qu’on trouve sa vocation », a-t-il conclu.
Après les prières universelles, les prénoms des participants ont été scandés, comme en une longue litanie, et durant ce temps les pèlerins étaient invités à aller voir l’un des évêques présents pour se voir remettre une image représentant le Christ en Gloire avec le texte « Confiance, lève-toi, il t’appelle ! ». Pour les jeunes présents, comme le déclare Christelle, c’était un temps d’émotion intense : « on sent depuis le début de la célébration que l’Esprit Saint est là… Nous sommes tous émus, chacun à notre façon, et en entendant notre prénom, nous sentons encore plus l’Esprit Saint en nous ». Franck déclare quant à lui ressentir « un appel », et il poursuit en disant : « je ne savais pas que j’allais vivre ça en venant en Terre Sainte… Je suis fier d’être catholique ».
C’est avec le chant thème du pèlerinage, « Allons à la source, Jésus nous appelle » que la célébration s’est achevée. « C’est une belle célébration, j’ai aimé les chants et l’ambiance. Le cardinal m’a fait réfléchir sur le fait qu’il fallait qu’on s’approprie ce texte, qu’il fallait qu’on choisisse une béatitude pour nous même », déclarait Sixtine, étudiante en école de commerce dans la région parisienne, à l’issue de cette veillée de prière. Une liturgie qui s’est conclue par le partage d’un dîner festif entre les pèlerins, mais qui laissera des traces chez les jeunes, comme Claire, jeune étudiante de 18 ans, qui se déclare « surprise, parce que les béatitudes, j’en avais très peu entendu parler, et apparemment c’est le fondement de la foi, ce qui peut permettre de comprendre et de répondre à beaucoup de nos questions, donc à partir d’aujourd’hui je vais m’y pencher sérieusement pour essayer de percer quelques mystères auxquels je n’ai pas encore de réponse ».   

AUDIENCE GÉNÉRALE DU 4 MAI : LA PRIÈRE CHRÉTIENNE

5 mai, 2011

du site:

http://www.zenit.org/article-27795?l=french

AUDIENCE GÉNÉRALE DU 4 MAI : LA PRIÈRE CHRÉTIENNE

Texte intégral

ROME, Mercredi 4 mai 2011 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous le texte intégral de la catéchèse prononcée par le pape Benoît XVI, ce mercredi, au cours de l’audience générale, sur la Place Saint-Pierre, au Vatican.
Chers frères et sœurs,
Aujourd’hui, je voudrais entamer une nouvelle série de catéchèses. Après les catéchèses sur les Pères de l’Eglise, sur les grands théologiens du Moyen-Age, sur les grandes figures de femmes, je voudrais à présent choisir un thème qui nous tient tous très à cœur : le thème de la prière, de manière spécifique la prière chrétienne, la prière que nous a enseignée Jésus et que continue à nous enseigner l’Eglise. C’est en Jésus en effet que l’homme devient capable de s’approcher de Dieu avec la profondeur et l’intimité du rapport de paternité et de filiation. Avec les premiers disciples, avec une humble confiance, nous nous adressons alors au Maître et nous Lui demandons : « Seigneur, enseigne-nous à prier » (Lc 11, 1).
Lors des prochaines catéchèses, en nous approchant de la Sainte Ecriture, de la grande tradition des Pères de l’Eglise, des Maîtres de spiritualité, de la Liturgie, nous voulons apprendre à vivre encore plus intensément notre relation avec le Seigneur, dans une sorte d’« école de prière ». Nous savons bien, en effet, que la prière ne doit pas être considérée comme allant de soi : il faut apprendre à prier, comme en acquérant toujours à nouveau cet art ; même ceux qui ont bien avancé dans la vie spirituelle sentent toujours le besoin de se mettre à l’école de Jésus pour apprendre à prier avec authenticité. Nous recevons la première leçon du Seigneur à travers Son exemple. Les Evangiles nous décrivent Jésus en dialogue intime et constant avec le Père : c’est une communion profonde de celui qui est venu dans le monde non pour faire sa volonté, mais celle du Père qui l’a envoyé pour le salut de l’homme.
Dans cette première catéchèse, comme introduction, je voudrais proposer quelques exemples de prière présents dans les cultures antiques, pour relever comment, pratiquement toujours et partout celles-ci se sont adressées à Dieu.
Je commence par l’ancienne Egypte, par exemple. Ici, un homme aveugle, demandant à la divinité de lui rendre la vue, atteste quelque chose d’universellement humain, qui est la pure et simple prière de requête de la part de qui se trouve dans la souffrance, cet homme prie : « Mon cœur désire te voir… Toi qui m’as fait voir les ténèbres, crée pour moi la lumière. Fais que je te voie ! Penche sur moi ton visage aimé » (A. Barucq – F. Daumas, Hymnes et prières de l’Egypte ancienne, Paris 1980). Fais que je te voie ; c’est là le cœur de la prière !
Dans les religions de la Mésopotamie dominait un sentiment de culpabilité mystérieux et paralysant, mais sans qu’il soit privé pour autant de l’espérance de rachat et de libération de la part de Dieu. Ainsi pouvons-nous apprécier cette supplication de la part d’un croyant de ces anciens cultes, qui résonne ainsi : « O Dieu qui es indulgent même pour la faute la plus grave, absous mon péché…. Regarde Seigneur, ton esclave épuisé, et souffle sur lui ta brise : sans attendre pardonne-lui. Allège ta sévère punition. Libéré de mes liens, fais que je recommence à respirer ; brise mes chaînes, défaits mes liens » (M.-J. Seux, Hymnes et prières aux Dieux de Babylone et d’Assyrie, Paris 1976). Autant d’expressions qui démontrent comment l’homme, dans sa recherche de Dieu, a eu l’intuition, même confusément, d’un côté, de sa faute, de l’autre de l’aspect de la miséricorde et de la bonté divine.
Au sein de la religion païenne, dans la Grèce antique, on assiste à une évolution très significative : les prières, tout en continuant d’invoquer l’aide divine pour obtenir la faveur céleste dans toutes les circonstances de la vie quotidienne et pour obtenir des bénéfices matériels, s’orientent progressivement vers les requêtes les plus désintéressées, qui permettent à l’homme croyant d’approfondir sa relation avec Dieu et de devenir meilleur. Par exemple, le grand philosophe Platon cite une prière de son maître, Socrate, considéré à juste titre comme l’un des fondateurs de la pensée occidentale. Socrate priait ainsi : « … Donnez-moi la beauté intérieure de l’âme ! Quant à l’extérieur, je me contente de celui que j’ai, pourvu qu’il ne soit pas en contradiction avec l’intérieur, que le sage me paraisse riche, et que j’aie seulement autant d’or qu’un sage peut en supporter, et en employer » (Œuvres I. Phèdre 279c). Il voudrait avant tout avoir une beauté intérieure et être sage, et non pas riche d’argent.
Dans ces superbes chefs-d’œuvre de la littérature de tous les temps que sont les tragédies grecques, aujourd’hui encore, après vingt-cinq siècles, lues, méditées et représentées, sont contenues des prières qui expriment le désir de connaître Dieu et d’adorer sa majesté. L’une de celles-ci dit : « Ô toi qui donnes le mouvement à la terre, et qui en même temps résides en elle, qui que tu sois, Jupiter, impénétrable à la vue des mortels, nécessité de la nature, ou intelligence des hommes, je te rends hommage ; car, par des voies secrètes, tu gouvernes toutes les choses humaines selon la justice » (Euripide, Les Troyennes, 884-886). Dieu demeure un peu vague et toutefois, l’homme connaît ce Dieu inconnu et prie celui qui guide les destinées de la terre.
Chez les Romains également, qui constituèrent ce grand Empire dans lequel naquit et se diffusa en grande partie le christianisme des origines, la prière, même si elle est associée à une conception utilitariste et fondamentalement liée à la demande de protection divine sur la vie de la communauté civile, s’ouvre parfois à des invocations admirables en raison de la ferveur de la piété personnelle, qui se transforme en louange et en action de grâces. En est témoin un auteur de l’Afrique romaine du IIe siècle après Jésus Christ, Apulée. Dans ses écrits, il manifeste l’insatisfaction de ses contemporains à l’égard de la religion traditionnelle et le désir d’un rapport plus authentique avec Dieu. Dans son chef-d’œuvre intitulé Les métamorphoses, un croyant s’adresse à une divinité féminine par ces paroles : « Divinité sainte, source éternelle de salut, protectrice adorable des mortels, qui leur prodigues dans leurs maux l’affection d’une tendre mère ; pas un jour, pas une nuit, pas un moment ne s’écoule qui ne soit marqué par un de tes bienfaits » (Apulée de Madaure, Métamorphoses, XI, 25).
Pendant la même période, l’empereur Marc-Aurèle – qui était un philosophe qui réfléchissait sur la condition humaine – affirme la nécessité de prier pour établir une coopération fructueuse entre action divine et action humaine. Il écrit dans ses Pensées : « Qui te dit que les dieux ne nous aident pas également en ce qui dépend de nous ? Commence donc à les prier et tu verras » (Dictionnaire de Spiritualité XII/2, col. 2213). Ce conseil de l’empereur philosophe a été effectivement mis en pratique par d’innombrables générations d’hommes avant le Christ, démontrant ainsi que la vie humaine sans la prière, qui ouvre notre existence au mystère de Dieu, devient privée de sens et de référence. En effet, dans chaque prière s’exprime toujours la vérité de la créature humaine, qui d’une part fait l’expérience de la faiblesse et de l’indigence, et demande donc de l’aide au Ciel, et de l’autre est dotée d’une dignité extraordinaire, car, en se préparant à accueillir la Révélation divine, elle se découvre capable d’entrer en communion avec Dieu.
Chers amis, dans ces exemples de prières des différentes époques et civilisations apparaît la conscience que l’être humain a de sa condition de créature et de sa dépendance d’un Autre qui lui est supérieur et source de tout bien. L’homme de tous les temps prie car il ne peut faire à moins de se demander quel est le sens de son existence, qui reste obscur et décourageant, s’il n’est pas mis en relation avec le mystère de Dieu et de son dessein sur le monde. La vie humaine est un mélange de bien et de mal, de souffrance imméritée et de joie et de beauté, qui nous pousse spontanément et irrésistiblement à demander à Dieu cette lumière et cette force qui puisse nous secourir sur la terre et ouvrir une espérance qui aille au-delà des frontières de la mort. Les religions païennes demeurent une invocation qui, de la terre, attend une parole du Ciel. L’un des derniers grands philosophes païens, qui vécut à une époque déjà pleinement chrétienne Proclus de Constantinople, donne voix à cette attente, en disant : « Inconnaissable, personne ne te contient. Tout ce que nous pensons t’appartient. Nos maux et nos biens sont en toi, chacune de nos aspirations dépend de toi, ô Ineffable, que nos âmes sentent présent, en t’élevant un hymne de silence » (Hymni, éd. E. Vogt, Wiesbaden 1957, in Preghiere dell’umanità, op. cit. p. 61).
Dans les exemples de prière des différentes cultures, que nous avons pris en considération, nous pouvons voir un témoignage de la dimension religieuse et du désir de Dieu inscrit dans le cœur de chaque homme, qui trouvent leur accomplissement et leur pleine expression dans l’ancien et dans le Nouveau Testament. La Révélation, en effet, purifie et porte à sa plénitude l’aspiration originelle de l’homme à Dieu, en lui offrant, dans la prière, la possibilité d’une relation plus profonde avec le père céleste.
Au début de notre chemin dans l’« école de la prière » nous voulons alors demander au Seigneur qu’il illumine notre esprit et notre cœur pour que la relation avec Lui dans la prière soit toujours plus intense, affectueuse et constante. Encore une fois, nous lui disons : « Seigneur, apprends-nous à prier » (Lc 11, 1).
A l’issue de l’audience générale le pape a résumé sa catéchèse en différentes langues et salué les pèlerins. Voici ce qu’il a dit en français :
Chers frères et sœurs,
Je voudrais commencer aujourd’hui une nouvelle série de catéchèses, consacrée au thème de la prière, celle que Jésus nous a enseignée et que l’Eglise continue à nous enseigner. C’est en Jésus que l’homme devient capable de s’approcher de Dieu, dans une relation profonde et intime. Nous chercherons à vivre plus intensément notre relation au Seigneur, dans une sorte d’Ecole de la prière. Car nous savons bien que la prière ne va pas de soi, il faut apprendre à prier de manière authentique en nous mettant à l’école de Jésus. Dans les anciennes cultures, toujours et partout, les hommes se sont adressés à Dieu. Nous y trouvons la conscience que l’être humain a de sa condition de créature et de sa dépendance d’un Autre qui lui est supérieur et source de tout bien. L’homme de tous les temps prie parce qu’il se demande quel est le sens de son existence. Les exemples de prière de ces cultures anciennes sont un témoignage de la dimension religieuse et du désir de Dieu inscrits dans le cœur de l’homme. La Révélation biblique purifie et porte à sa plénitude cet élan de l’homme vers Dieu, en lui offrant, dans la prière, la possibilité d’une relation plus profonde avec le Père céleste. Avec les premiers disciples, nous disons avec confiance : « Seigneur apprends-nous à prier » (Lc 11, 1).
Je suis heureux de vous accueillir, chers pèlerins francophones. Je salue en particulier les enfants de l’école grecque orthodoxe Oreokastron, de Thessalonique, et les pèlerins de République centrafricaine. Que votre pèlerinage à Rome vous aide à découvrir ou à redécouvrir la nécessité de la prière dans votre vie. Avec ma Bénédiction apostolique !

Traduction : Zenit