Archive pour le 31 juillet, 2010

dimanche

31 juillet, 2010

dimanche dans images sacrée

http://www.santiebeati.it/

La clé du bonheur (prière)

31 juillet, 2010

du site:

http://www.bonheurpourtous.com/botext/cledub.html

La clé du bonheur

Aujourd’hui je t’offre la clé du bonheur.
C’est une clé que tu avais peut-être perdue ou oubliée ?
Quoi qu’il en soit, j’aimerais que tu l’acceptes.
Je te la donne en toute sincérité, avec tout mon coeur.
Il y a peut-être longtemps
que tu t’empêches de faire des choses qui feraient ton bonheur.
Tu as peut-être mis de côté cette idée de partir en voyage,
de prendre un cours quelconque,
de t’acheter des nouveaux vêtements,
de changer de voiture etc.
Enfin, de te faire plaisir.

Je sais que plusieurs raisons
ont pu t’empêcher de passer à l’action
pour obtenir ou faire ce que tu désires.
Cela peut être la peur de ne pas être à la hauteur,
la peur qu’il t’arrive quelque chose de désagréable,
la peur de manquer d’argent, la peur d’être jugé etc.
Quelles que soient tes peurs, savais tu qu’elles existent pour t’aider ?

Les peurs existent pour être dépassées, pour te faire grandir.
A chaque fois que tu te laisses contrôler par une peur,
tu n’es plus en contact avec ton pouvoir.
En faisant confiance davantage à la vie (en passant à l’action)
et en te rappelant que tout ce qui t’arrive
n’est qu’expériences pour apprendre,
tu deviendras de plus en plus conscient
que tu as ce grand pouvoir de t’apporter
tout ce que tu as besoin pour être heureux.
Personne n’est responsable de ton bonheur, sauf toi.

Commence par des petits bonheurs et dis-toi que tu y as droit.
Tout le monde doit dépasser ses peurs.
Réalise qu’au fond, tu n’as rien à perdre
et que cette expérience te mènera vers de plus grandes réalisations.
Commence dès maintenant en accomplissant des petites actions.
Tôt ou tard, selon la loi de la manifestation,
tu atteindras ton but. Sois patient !

Savais-tu que :
« Que tu fasses ce que tu aimes pour ton propre plaisir
ou que tu fasses ce que tu n’aimes pas par peur de déplaire,
il y aura toujours quelqu’un qui critiquera quelque part.
Alors pourquoi ne pas faire ce que tu aimes dès maintenant ? »

Aussi, ne place jamais quelqu’un sur un piédestal.
Cette personne à le même pouvoir que toi. N’envie personne.
Ce qui la rend heureuse n’est pas nécessairement ce qui te rendrait heureux.
La clé est d’aller chercher toi-même ce que toi tu as vraiment envie.

Chaque jour est un jour nouveau.
Pourquoi ne pas faire de ce jour celui où tu as commencé à te rendre heureux ?
Ouvre tes ailes et dirige toi vers ce qui te tient à coeur.

Ceci est la clé du bonheur. Ne la garde pas pour toi.
Plusieurs personnes que tu connais aimeraient aussi obtenir cette clé.
Offre la leur en tout sincérité
et commence à semer le bonheur autour de toi.
Attrape la clé du bonheur et envoie la à tous ceux que tu connais.

Je te souhaite sincèrement tout le bonheur que tu veux !

Claude d’Astous, http://www.centredeveil.com

Homélie: 1er août 2010 – 18e dimanche du Temps Ordinaire

31 juillet, 2010

du site:

http://www.homelies.fr/homelie,18e.dimanche.du.temps.ordinaire,2861.html

1er août 2010 – 18e dimanche du Temps Ordinaire

Famille de saint Joseph Août 2010   

Homélie-Messe  

« Vanité des vanités, tout est vanité » : cette sentence désabusée du roi Qohélet est devenue proverbiale. Pour se convaincre de sa sagesse, il suffit de porter un regard lucide sur les événements de ce monde : que d’injustices ! Que d’énergies englouties dans des projets éphémères ; que d’espoirs de prospérité légitimes détruits scandaleusement !
L’épisode présenté dans l’Évangile est une application directe de ce qui choque notre sage : « Un homme s’est donné de la peine ; et voilà qu’il doit laisser son bien à quelqu’un qui ne s’est donné aucune peine ». Ce dernier – le bénéficiaire du travail d’un autre – trouve même le moyen de se disputer avec son frère, en refusant de partager avec lui le don gratuit qui leur est fait à tous deux. Non seulement celui qui a amassé l’héritage ne jouit pas du fruit de son travail, mais en raison de leur « âpreté au gain », ses héritiers n’en profitent pas davantage : ils s’entredéchirent plutôt !
Celui qui se sent lésé élève la voix : « Maître, dis à mon frère de partager avec moi notre héritage ». La démarche peut nous surprendre, mais il était normal dans le monde juif de l’époque, de consulter un « rabbi » pour résoudre ce genre de litige. Pourtant Jésus le repousse vivement : « Homme – le terme est omis dans la traduction liturgique, mais il signifie qu’au-delà de cette rencontre particulière, c’est à tout homme que Jésus s’adresse – qui m’a établi pour faire vos partages ? » – sous entendu « les partages de vos biens terrestres ». Rompant avec la tradition rabbinique, Jésus refuse d’entrer dans la résolution du différent, argumentant que « la vie d’un homme, fût-il dans l’abondance, ne dépend pas de ses richesses », car la jouissance de la vie véritable ne saurait découler de la possession de biens éphémères. Le seul problème de succession qui compte porte sur notre véritable héritage, auquel nous avons accès en devenant par la foi, cohéritier avec Jésus de la vie éternelle (cf. Rm 8, 17).
Nous nous acheminons ainsi vers l’interrogation que nous pose la liturgie de ce jour : à quoi notre cœur s’attache-t-il ? Vers quoi tendons-nous ? Quel sens donnons-nous à notre vie à travers nos choix quotidiens ?
Le problème de l’homme riche que Jésus met en scène n’est pas d’avoir amassé des richesses, mais de s’être coupé du réel. Il s’est en effet construit un monde imaginaire où il se trouve seul avec lui-même, dans un illusoire dialogue sans interlocuteur, puisque c’est à son « âme » qu’il s’adresse. Or que nous le voulions ou non, nous nous inscrivons dans une réalité organique qui englobe toute l’humanité, appelée à devenir le Corps du Christ, la Famille de Dieu. Cet homme désire « se reposer », sans autre souci que de « jouir de l’existence » dans une vie centrée sur le « boire » et le « manger », c’est-à-dire la satisfaction égoïste de ses besoins. Hélas, le réveil de ce songe sera douloureux : « cette nuit même on te redemande ta vie ! » Au lieu de « s’enrichir aux yeux de Dieu » en partageant ici-bas ses biens avec ceux qui en ont besoin, il va se trouver pauvre et nu dans l’au-delà, tandis que d’autres jouiront de ce qu’il aura amassé dans ses greniers.
En ne vivant que pour lui-même, sans souci ni de Dieu ni des autres, ce pauvre homme est devenu « fou », c’est-à-dire insensé, n’ayant pas su interpréter le sens des richesses que Dieu lui confiait.
Cet insensé, c’est nous, chaque fois que, perdant de vue notre destinée de gloire, nous vivons ici-bas en n’ayant d’autre horizon que la satisfaction de nos désirs et de nos envies. Dans la seconde lecture, Saint Paul nous aide vigoureusement à vérifier où nous en sommes de la gestion de notre vie : si nous nous adonnons « à la débauche ou à l’impureté », si nous cédons « aux passions, aux désirs mauvais, et à l’appétit de jouissance », il est clair que nous n’avons pas encore réalisé la « vanité » des plaisirs de ce monde. Aussi longtemps que nous demeurons prisonniers de nos fantasmes, nous « ne recevrons pas en héritage le Royaume de Dieu », auquel nous ne pouvons accéder qu’en adoptant le comportement de l’homme nouveau, celui que le Père « refait toujours neuf à l’image de son Fils pour nous conduire à la vraie connaissance » de son dessein (cf. 2nd lect.).
Ceci ne signifie pas pour autant que ce monde constituerait un piège satanique : entre l’idolâtrie et la diabolisation des biens éphémères, Saint Paul nous enseigne une voie médiane, qui consiste à rechercher « les réalités d’en haut », tout en poursuivant notre pèlerinage ici-bas. La conclusion de la deuxième lecture est éloquente à cet égard : pour ceux qui orientent leur vie vers le Royaume qui vient, « iI n’y a plus de Grec et de Juif, plus d’esclave, d’homme libre, il n’y a que le Christ : en tous, il est tout ». L’unité finale de l’humanité est anticipée par le disciple, et détermine dès à présent son comportement, en particulier le souci de ses frères. Par contre celui qui s’attache à des futilités, dresse autour de lui les barrières de l’avarice et de l’envie, qui conduisent aux divisions et à la violence. C’est bien ce que confirme l’épisode de ces deux frères, qui au lieu de s’accorder en bonne intelligence par respect pour la mémoire de leur père et dans l’intérêt de leurs familles, viennent demander à Jésus de consacrer leur division.
L’Eglise nous invite à mettre à profit ce temps estival pour vérifier notre degré de liberté face aux sollicitations de ce monde. Parvenons-nous à conduire nos activités dans l’Esprit de l’Évangile, ou sommes-nous aliénés par les pseudo-besoins créés par une économie de marché qui envahit tous les domaines de notre vie quotidienne ?
La prière du psaume de ce jour peut nous aider dans ce travail de conversion : « Apprends-nous la vraie mesure de nos jours : que nos cœurs pénètrent la sagesse ». Le souvenir de l’échéance inévitable qui nous attend au terme de cette courte vie, est sans aucun doute un moyen efficace pour « nous débarrasser des agissements de l’homme ancien » (2nd lect.).

« Oui Seigneur : « apprends-nous la vraie mesure de nos jours », afin que faisant un bon usage des biens qui passent, nous puissions dès à présent et pour toujours, nous attacher aux biens qui ne passeront pas. »

Père Joseph-Marie
 

Même si elle souffre, l’Eglise est joyeuse et jeune, a affirmé Benoît XVI

31 juillet, 2010

du site:

http://www.zenit.org/article-25113?l=french

Même si elle souffre, l’Eglise est joyeuse et jeune, a affirmé Benoît XVI

Projection d’un film sur son pontificat par la radio bavaroise

ROME, Vendredi 30 juillet 2010 (ZENIT.org) – Même si elle souffre, l’Eglise est une Eglise joyeuse et jeune, car la foi procure la joie.

C’est ce qu’a affirmé Benoît XVI après la projection, hier, à Castel Gandolfo, d’un film sur les 5 ans de son pontificat.

« Je ne peux que remercier la radio bavaroise pour ce voyage spirituel extraordinaire qu’elle nous a permis de revivre », a dit le pape

Benoît XVI a affirmé que revoir certains moments de son pontificat a été pour lui « personnellement très émouvant ». Il a notamment cité le moment où « le Seigneur place le service pétrinien sur (ses) épaules », « un poids que personne ne pourrait porter seul, avec ses propres forces » mais qu’il peut porter « uniquement parce que le Seigneur nous porte et (le) porte ».

Le pape a expliqué qu’il a vu dans ce film « la richesse de la vie de l’Eglise, la multiplicité des cultures, des charismes, des dons divers qui vivent dans l’Eglise et comment, dans cette multiplicité et grande diversité vit toujours la même et unique Eglise ».

Il a ajouté que « le primat pétrinien a le mandat de rendre visible et concrète l’unité, dans la multiplicité historique, concrète, dans l’unité du présent, du passé, du futur et de l’éternel ».

« Nous avons vu que l’Eglise est aussi aujourd’hui, malgré tout, même si elle souffre, comme nous le savons, une Eglise joyeuse. Ce n’est pas une Eglise vieillie. Nous avons vu que l’Eglise est jeune et que la foi procure la joie », a ajouté le pape.

« C’est pour cette raison que j’ai trouvé très intéressante et belle l’idée de tout insérer dans le cadre de la neuvième symphonie de Beethoven, de ‘l’hymne à la joie’ qui montre que derrière toute l’histoire il y a la joie de notre rédemption », a précisé Benoît XVI.

Le pape a dit avoir également apprécié « le fait que le film finisse par la visite à la Mère de Dieu qui nous enseigne l’humilité, l’obéissance et la joie que Dieu est avec nous ».

Benoît XVI a chaleureusement remercié les personnes qui ont contribué à la réalisation de ce film, et en particulier le professeur Gerhard Fuchs, qui en est le producteur et Michael Mandlik, qui en est l’auteur et le réalisateur. « Que Dieu vous le rende ! » s’est-il exclamé, en allemand.

bonne nuit

31 juillet, 2010

bonne nuit dans images sacrée centranthus_ruber_7f5

Red Valerian

http://www.floralimages.co.uk/index2.htm

Saint Pierre Damien : Précurseur par sa vie et par sa mort

31 juillet, 2010

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20100731

Le samedi de la 17e semaine du temps ordinaire : Mt 14,1-12
Commentaire du jour
Saint Pierre Damien (1007-1072), ermite puis évêque, docteur de l’Église
Sermons 24-25

Précurseur par sa vie et par sa mort

            Précurseur du Christ, Jean l’a été par sa naissance, par sa prédication, par son baptême et par sa mort… Peut-on trouver une seule vertu, un seul genre de sainteté, que le Précurseur n’ait possédé au plus haut degré ? Parmi les saints ermites, lequel s’est jamais imposé cette règle de n’avoir pour nourriture que du miel sauvage ou ce mets immangeable : des sauterelles ! Certains renoncent au monde et fuient les hommes pour vivre saintement, mais Jean n’est encore qu’un enfant…quand il s’enfonce dans le désert et choisit résolument d’habiter dans la solitude. Il a renoncé à succéder à son père dans la charge de prêtre, afin de pouvoir annoncer en toute liberté le Prêtre véritable et souverain. Les prophètes ont prédit à l’avance la venue du Sauveur, les apôtres et les autres enseignants de l’Eglise attestent que cette venue a réellement eu lieu, mais Jean le montre présent parmi les hommes. Beaucoup ont gardé la virginité et n’ont pas souillé la blancheur de leur vêtement (cf Ap 14,4), mais Jean renonce à toute compagnie humaine afin d’arracher les convoitises de la chair jusqu’à leurs racines, et, plein de ferveur spirituelle, il habite parmi les bêtes sauvages.

            Jean préside même au sein du chœur écarlate des martyrs, comme leur maître à tous : il a combattu vaillamment pour la vérité, et il est mort pour elle. Il est devenu le chef de tous ceux qui combattent pour le Christ, et, le premier de tous, il est allé planter au ciel l’étendard triomphal du martyre.