Archive pour le 17 février, 2010

les Cendres

17 février, 2010

les Cendres dans images sacrée ash
http://www.graffitiblog.it/?m=200902

Qu’est-ce que le Carême ?

17 février, 2010

du site:

http://www.eglise.catholique.fr/foi-et-vie-chretienne/la-celebration-de-la-foi/les-grandes-fetes-chretiennes/paques/careme/quest-ce-que-le-careme-.html

Qu’est-ce que le Carême ? 
 
Le Carême est le temps de préparation à la fête de Pâques, cœur de la foi chrétienne, qui célèbre la résurrection du Christ.

Le Carême commence le Mercredi des cendres – mercredi 17 février 2010 – et s’achève le Samedi saint au soir, veille de Pâques – samedi 3 avril 2010.

La Semaine sainte – dernière semaine de Carême – qui commence avec le dimanche des Rameaux, commémore la Cène, la Passion et la mort du Christ sur la Croix. Le Samedi saint au soir et le dimanche de Pâques, les chrétiens célèbrent la résurrection du Christ.

Le Carême est un temps de pénitence, entre le mercredi des Cendres et Pâques.

Symbole de pénitence dans le rite de l’imposition des cendres.

Fête chrétienne qui commémore l’entrée de Jésus à Jérusalem.

Centre de la foi et de l’espérance chrétienne.

Semaine qui précède la Pâque chrétienne.

Un temps de conversion
La durée du Carême – quarante jours sans compter les dimanches – fait en particulier référence aux quarante années passées au désert par le peuple d’Israël entre sa sortie d’Égypte et son entrée en terre promise ; elle renvoie aussi aux quarante jours passés par le Christ au désert (Matthieu 4, 1-11) entre son baptême et le début de sa vie publique. Ce chiffre de quarante symbolise les temps de préparation à de nouveaux commencements.

Le Carême, temps de conversion, repose sur la prière, la pénitence et le partage. La pénitence n’est pas une fin en soi, mais la recherche d’une plus grande disponibilité intérieure. Le partage peut prendre différentes formes, notamment celle du don.
 
Fait entrer le nouveau baptisé dans la communauté de l’Église.

Le Carême est un temps de pénitence, entre le mercredi des Cendres et Pâques.

Conversion de l’esprit et du coeur. Sacrement qui permet de recevoir le pardon des péchés.

Le Mercredi des cendres, premier jour du Carême
Le Mercredi des cendres, premier jour du Carême, est marqué par l’imposition des cendres : le prêtre dépose un peu de cendres sur le front de chaque fidèle, en signe de la fragilité de l’homme, mais aussi de l’espérance en la miséricorde de Dieu.

Tout en le marquant, le prêtre dit au fidèle : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle ». L’évangile de ce jour est un passage de saint Matthieu – chapitre 6, versets 1 à 6 et 16 à 18 – qui incite les fidèles à prier et agir, non pas de manière orgueilleuse et ostentatoire, mais dans le secret de leur cœur :
« Quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que te donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais en secret (…)
Quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret (…) Quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement du Père qui est présent dans le secret ».

bonne nuit

17 février, 2010

bonne nuit dans commentaire à la Sacrée Écriture pour le jour courant anole-lizard--norops

http://www.naturephoto-cz.com/reptiles-amphibians-fishes.html

Saint Léon le Grand : « C’est maintenant le jour favorable, c’est maintenant le jour du salut » (2Co 6, 2)

17 février, 2010

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20100217

Le mercredi des Cendres : Mt 6,1-6#Mt 6,16-18
Commentaire du jour
Saint Léon le Grand (?-v. 461), pape et docteur de l’Église
Quatrième sermon pour le Carême, 1-2 (trad. SC 49 bis, p. 101 rev.)

« C’est maintenant le jour favorable, c’est maintenant le jour du salut » (2Co 6, 2)

      « Voici maintenant le jour du salut ! » Certes, il n’est pas de saison qui ne soit pleine des dons divins ; la grâce de Dieu nous ménage en tout temps l’accès à sa miséricorde. Pourtant, c’est maintenant que tous les coeurs doivent être stimulés avec plus d’ardeur à leur avancement spirituel et animés de plus de confiance, car le jour où nous avons été rachetés nous invite, par son retour, à toutes les oeuvres spirituelles. Ainsi célébrerons-nous, le corps et l’âme purifiés, le mystère qui l’emporte sur tous les autres : le sacrement de la Pâque du Seigneur.

      De tels mystères exigeraient un effort spirituel sans défaillance…, en sorte que nous demeurions toujours sous le regard de Dieu, tels que devrait nous trouver la fête de Pâques. Mais cette force spirituelle n’est le fait que d’un petit nombre d’hommes ; pour nous au milieu des activités de cette vie, par la faiblesse de la chair, le zèle se détend… Pour rendre la pureté à nos âmes, le Seigneur a donc prévu le remède d’un entraînement de quarante jours, au cours desquels les fautes des autres temps puissent être rachetées par les bonnes oeuvres et consumées par les saints jeûnes… Prenons donc soin d’obéir au commandement de l’apôtre Paul : « Purifiez-vous de toute souillure de la chair et de l’esprit » (2Co 7,1).

      Mais que notre manière de vivre soit en accord avec notre abstinence. Le tout du jeûne n’est pas dans la seule abstention de nourriture ; il n’y a aucun profit à soustraire les aliments au corps si le coeur ne se détourne pas de l’injustice, si la langue ne s’abstient pas de la calomnie… Ce temps, c’est celui de la douceur, de la patience, de la paix…; aujourd’hui, que l’âme forte s’habitue à pardonner les injustices, à compter pour rien les affronts, à oublier les injures… Mais que la retenue spirituelle ne soit pas triste ; qu’elle soit sainte. Qu’on n’entende pas le murmure des plaintes, car à ceux qui vivent ainsi la consolation des joies saintes ne manqueront jamais.