Don Gnocchi, les sommets de la charité (traduction d’italien Google)
du site:
Le prêtre « de la montagne, dont les travaux de la souffrance des enfants a marqué l’histoire de la guerre, sera béatifié le 25 Octobre. La célébration de la cathédrale de Milan
Don Gnocchi, les sommets de la charité
Stefano Zurlo, ilsussidiario.net, Jeudi, Septembre 10, 2009
« … Témoin de la mort de l’Homme, le piétinement sur la glace empiété sur la Russie. Retourne à la maison déterminés à porter sur l’épaule la douleur des enfants innocents blessés ou abandonnés. C’est le génie du christianisme: tourner la mort en vie, le désespoir en l’espoir, la barbarie à la civilisation … »
Le béatifié le Octobre 25, mais restera dans un créneau bien inconfortable. Don Carlo Gnocchi n’était pas une image pieuse, le cas échéant, à sa manière, sur le côté de la charité, l’un des protagonistes du miracle italien. Travailleur gai, optimiste, dur, avec la positivité dans Lombard depuis l’époque des Lumières tisse le ciel et la terre, et associe les idéaux de l’âme avec les besoins du corps.
L’histoire de Don Carlo est donc celle d’un prêtre courageux, brave, presque téméraire qui découvre qu’il ait une vocation particulière, l’un pour mutilatini, et tout miser sur cette intuition. Paradoxalement, les années de guerre sont celles dans lesquelles le couple d’idée avec la dernière des dernières victimes, les petites et innocentes de la haine, les enfants ont sauté sur des bombes et des restes explosifs de guerre. Eh bien, que Charles est un compteur de chemin, allez à la guerre comme aumônier de la Montagne, dit presque tout le conflit irrémédiable mal, témoin de la mort d’hommes et de l’Homme, foulant la glace empiété sur la Russie. Retour à la maison mais pas repliée sur elle-même, mais a décidé de porter sur ses épaules la douleur de ces enfants innocents blessés, humiliés et abandonnés à leur sort. C’est le génie du christianisme: tourner la mort en vie, le désespoir en espoir, la barbarie à la civilisation. Ou si vous préférez, de construire sur la douleur, où tous les autres pensent qu’il n’y a plus rien à faire. Comment avez-Christ sur la croix.
Le reste est l’histoire des œuvres miraculeuses créé plus de frénésie peu plus de dix ans, de 1945 à 1956, lorsque Don Carlo meurt prématurément. Evangile Son raisonnement est simple: mutilatini a été enlevé beaucoup, beaucoup doit être renvoyé. L’important est de ne pas donner à un organisme de bienfaisance à l’ancienne, entre paternalisme et clinquants. Non, nous ne voulons plus. Médecine. Réhabilitation. Étude. Jeux. La perspective de la création de tant de familles et de revenir dans la société. Jamais, jamais, désolé pour eux-mêmes et la malédiction. Don Carlo est devenu père pour tant d’enfants malheureux et l’expression n’a pas de la rhétorique à des centaines d’enfants qui avaient été stationnés, souvent issus de familles pauvres, à l’école.
Il les suit, un par un, pour aller à battre leur poitrine dans les grandes familles de la classe Ambrosiana-Orient, de par leur tisse un réseau dense de relations politiques qui mènent à Rome, Andreotti et De Gasperi. Avec eux va en audience par le pape Pie XII, le pape, l’évêque qui ferait que, répondre avec fermeté polie: Votre Sainteté, je vous remercie, mais si je pars avec mes enfants, je serais encore plus heureux. »
La vocation est devenu une mission. L’aumônier sera un grand homme. En d’autres termes, un saint. Anticonformiste jusqu’au dernier jour. Dies don de la cornée avec un geste d’amour et de liberté qui va au-delà des interdictions de la loi, qui à l’époque interdisait la transplantation, et les doutes des théologiens moralistes divisés sur ce point. Il est passé. Après tout, l’avant. Dans le ciel. Mais fermement sur le terrain, où ses oeuvres après sa mort, ont prospéré.
Lors de ses funérailles dans la cathédrale, le cardinal Montini, le futur Paul VI, il appelle à une mutilatino microphone qui invente les très beaux sermons: «Bonjour, tout d’abord j’ai appelé Don Carlo, La parole est à San Carlo. Sont dans une centaine de milliers à applaudir.
Nous espérons que la béatification pousser les Milanais et les Italiens pour enlever la poussière de l’image de Don Carlo Gnocchi.
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