Archive pour le 20 septembre, 2009

SOUNDING THE SHOFAR (je lis le texte mais je ne suis pas apte à traduire)

20 septembre, 2009

SOUNDING THE SHOFAR (je lis le texte mais je ne suis pas apte à traduire) dans image sacré et texte jub_new_small

SOUNDING THE SHOFAR

This painting is an image of restoration.  The shofar would sound in ancient Israel at the time of the Jubilee. You can read about it in the Book of Leviticus, Chapter 25 in the Old Testament.  It was time for freedom for God’s people.  Sons and daughters came home, debts were forgiven, life was renewed. When the shofar was blown to begin the Jubilee, scriptures call it the joyful sound. As  love began to heal my wounds and make the darkness flee, I had a need to think in a new way.  I did not want to think the way the world had taught me. I did not want to be angry, bitter, vengeful, or rejected any longer.   I had never read the Bible before this time of my life.  I had been raised in a religion that discouraged anyone from looking into the contents of the Bible siting that it needed interpretation from Bible scholars.  What a laugh!  The Bible is for those who read it with childlike faith; for inside the covers of this marvelous book lies the key to the mysteries of life itself.  The book is a love letter from the One who created and designed us.  It is the story of God and Mankind.  Here I found the very treasures to heal my mind and help me to think a new way; to think the truth.  As I consumed its contents like a starving child, I began to have the power to live for the first time in my life.

http://www.jerusalemwalloflife.org/

Rosh Hashana, nouvel an juif entre gravité et douceur

20 septembre, 2009

du site:

http://www.jerusalem-religions.net/spip.php?article557

Rosh Hashana, nouvel an juif entre gravité et douceur 

par Jean-Marie Allafort

Le nouvel an juif – Rosh Hashana – marque le début de l’année 5770 selon le calendrier hébraïque. Cette fête, qui durant deux jours, est célébrée avec grande solennité dans toutes les communautés juives, a de multiples significations. Rosh Hashana marque le début de trois semaines de festivités. En Israël, c’est le mois où l’on compte le plus de jours fériés. En 2009, le nouvel an juif, qui tombe les 19 et 20 septembre, coïncide avec le dernier jour du Ramadan et le début des festivités de ’Id al-Fitr marquant la rupture du jeûne chez les musulmans. A Jérusalem, ce dernier vendredi du Ramadan rassemble une foule particulièrement importante sur l’Esplanade des Mosquées. En contrebas, les juifs sont aussi particulièrement nombreux à prier au Mur des lamentations en cette veille du Nouvel an juif.

Rosh Hashana marque le nouvel an juif, c’est un fait connu de beaucoup. Mais les choses sont plus compliquées que cette formulation laconique. D’une part, le Nouvel an est célébré durant non pas une journée, mais deux, à savoir les deux premiers jours du mois de Tishri. D’autre part, cette fête tombe au septième mois de l’année hébraïque selon le calendrier biblique. Ainsi, l’origine de la fête de Rosh Hashana se trouve dans la Bible (Lévitique 23, 23-25). Le texte sacré demande aux fils d’Israël de se reposer le premier jour du 7ème mois et de « faire une acclamation ». Car selon l’Ecriture, le premier mois de l’année est non pas celui de Tishri mais celui de Nissan qui a vu le miracle de la sortie d’Egypte, acte de naissance du peuple d’Israël. Les rabbins interpréteront la Bible en distinguant le début de l’année liturgique – le 1er du mois de Nissan – et celui de l’année civile – le 1er de Tishri- à partir duquel on calcule les années sabbatiques (tous les 7 ans) et les jubilés (chaque 49 ans). Peu à peu, seul Rosh Hashana sera véritablement fêté.

La Bible ne donne aucune explication sur le sens de « l’acclamation » qui est demandée au peuple ce jour-là. Mais les rabbins eux accordent à cette expression de multiples significations. Le mot « acclamation » (terouahen hébreu) peut renvoyer à la sonnerie du shofar – corne de bélier utilisée comme instrument à vent par les juifs au sein du Temple de Jérusalem. Entendre le shofar est devenu un commandement important de Rosh Hashana. Un fidèle sonne donc le shofar à plusieurs reprises pendant les offices de la fête à la synagogue. Le but de ce geste liturgique, explique les rabbins, est de briser les cœurs et de les remuer pour provoquer le repentir. En effet, Rosh Hashana est d’abord et avant tout le jour où Dieu juge le monde. Selon le Talmud, tous les hommes défilent un à un devant la Créateur comme les brebis défilent devant le berger. Au terme du jugement le sort de chaque individu est scellé pour l’année qui commence.

La tradition juive distingue trois catégories de personnes : les justes, les mécréants et les « moyens ». Pour cette dernière (vraisemblablement la plus nombreuse), un sursis est accordé. Ils ont dix jours jusqu’à Kippour – le Grand Pardon – pour faire pénitence et revenir dans le droit chemin. Pour cette raison, le nouvel an juif revêt un caractère grave. Rien à voir avec les festivités de la saint Sylvestre !

Pour quelle raison le jugement s’effectue-t-il à Rosh Hashana ? Selon les textes de la tradition juive, la création fut achevée au 1er jour de Tishri. Dieu décida en ce jour de diriger le monde avec justice. Il est ailleurs écrit dans le Talmud que c’est aussi ce jour-là qu’Adam fut jugé, qu’il se repentit et qu’il fut pardonné. Dieu aurait alors dit : « Que ce soit un signe pour tes enfants, de la même manière que toi, tu as été jugé et pardonné en ce jour, eux aussi seront jugés et pardonnés. »

Rosh Hashana est appelé également dans les sources juives « le jour du souvenir » : mémorial de la création, mémorial du jour où le premier homme fut jugé et gracié et jour où Dieu fait mémoire des œuvres de chacun. L’homme invite aussi Dieu à se souvenir de ses actions en faveur de son peuple, par amour pour lui. C’est une manière de Lui demander sa miséricorde. Ainsi le jour du jugement est adouci par le jour du souvenir et devrait même l’emporter sur lui.

Sur le plan rituel, la fête de Rosh Hashana est particulièrement riche. En dehors de la sonnerie du shofar à la synagogue qui est le commandement principal de la fête, notons la richesse des prières liturgiques et poèmes spécialement composés pour cette occasion. Une grande solennité règne durant les offices où les fidèles sont en principe habillés de blanc, symbole de l’humilité et la pureté. Le blanc rappelle qu’il est nécessaire de se purifier pour se rapprocher de Dieu. La tenture de l’armoire sainte, du pupitre et parfois même les étoffes enveloppants les rouleaux de la Torah sont eux aussi blancs.

Une autre coutume particulièrement populaire est la cérémonie du Tashlikh : le premier jour de la fête en fin d’après midi, les fidèles se rendent près d’un cours d’eau, d’un étang ou au bord de la mer pour y vider leurs poches. Par ce geste symbolique, ils veulent jeter leurs péchés dans la mer. Ils récitent alors le passage biblique de Michée 7, 18-20 : « De nouveau, il nous manifestera sa miséricorde, il piétinera nos péchés. Tu jetteras (tashlikh) toutes leurs fautes au fond de la mer. »

Comme pour les autres fêtes juives, de nombreuses traditions se sont développées au cours des siècles autour de la table familiale. Chaque communauté a ses propres rites, usages et spécialités culinaires. La coutume plus populaire aujourd’hui consiste à tremper de la pomme dans du miel, en demandant à Dieu d’accorder une année de bienfaits et de douceur et en se souhaitant une « bonne et douce année ».

vendredi 18 septembre 2009

Un test d’ « évaluation sacerdotale »

20 septembre, 2009

du site:

http://www.zenit.org/article-22029?l=french

Un test d’ « évaluation sacerdotale »

Proposé par l’évêque de Palencia, Mgr José Ignacio Munilla

ROME, Vendredi 17 septembre 2009 (ZENIT.org) – A l’occasion de l’année sacerdotale convoquée par Benoît XVI, Mgr José Ignacio Munilla, évêque de Palencia (Espagne), a proposé un test d’ « évaluation sacerdotale » destiné à évaluer notre appréciation des prêtres.

« Certains ont pu penser à tort qu’une année jubilaire sacerdotale est une question interne au milieu clérical. Loin de là ! », reconnaît l’évêque.

« En réalité – ajoute-t-il -, lorsque quelqu’un s’approche d’un prêtre avec un authentique désir de rencontrer Dieu, il contribue à son insu à la fidélité de ce prêtre et à la promotion des vocations sacerdotales ».

« Estimons-nous le sacerdoce et aimons-nous nos prêtres ? », s’interroge le prélat. Pour répondre à cette question, « avec une pointe d’humour », n’excluant pas une certaine profondeur, l’évêque propose cette auto-évaluation

1. As-tu prié récemment pour ton curé, pour ton évêque ou pour le pape ?

a. J’ignore jusqu’à leur nom.

b. A la messe on demande généralement de prier pour eux, et je m’associe à cette demande

c. Je le fais tous les jours pendant ma prière personnelle.

2. T’es-tu déjà confessé à un prêtre, confiant qu’il peut t’aider dans tes problèmes ?

a. Chacun doit régler ses problèmes.

b. « Deux avis valent mieux qu’un ». Il est toujours bon d’écouter et de recevoir les conseils de quelqu’un qui peut nous aider.

c. La meilleure aide que j’ai reçue d’un prêtre a été quand ses conseils étaient associés au pardon de Dieu dans le sacrement de Pénitence.

3. Lorsque tu as entendu tes amis faire des commentaires anticléricaux…

a. J’ai suivi le mouvement, pour ne pas me trouver dans une position incommode.

b. J’ai fait le sourd, comme si mon esprit était ailleurs.

c. J’ai dit ce que je pensais, en témoignant de ma foi

4. Dans un prêtre je vois…

a. Une « relique » du passé.

b. Un « professionnel » de la religion.

c. Un ministre de Dieu ; « un autre Christ » parmi nous.

5. Combien de fois as-tu invité le curé chez toi ?

a. Le curé, on ne l’appelle que quand quelqu’un est décédé.

b. Quand ma grand-mère est avec nous, il lui apporte habituellement la communion.

c. Plusieurs fois… J’étais aux anges quand il a raconté à table l’histoire de sa vocation.

6. Quand tu entends un prêtre prêcher…

a. Je l’écoute en fonction de son talent oratoire.

b. Je l’écoute si le sujet de son homélie est intéressant.

c. Je vois en lui un instrument par lequel Dieu me parle.

7. Quand une quête est faite en faveur des séminaires…

a. « Les curés » sont toujours en train de vous solliciter.

b. Nous sommes sollicités pour tellement de choses ! Une de plus!

c. Je collabore volontiers, parce que je pense qu’aucune vocation ne devrait être contrariée par manque de moyens financiers.

8. Quand je vois un vieux prêtre dans l’Eglise ou dans la rue…

a. Il me vient à l’esprit que l’Eglise périclite.

b. L’important est qu’il expédie la messe rapidement.

c. Je rends grâces à Dieu pour sa fidélité et pour tout le bien qu’il a pu faire.

9. Quand je vois un prêtre jeune à l’autel…

a. Je me méfie de son inexpérience. Que va-t-il bien pouvoir me dire ?

b. Je l’observe pour voir comment il va faire, et je le « note ».

c. Je rends gloire à Dieu pour sa vocation et le recommande intensément.

10. Quelle serait ta réaction si ton fils t’annonçait qu’il veut être prêtre ?

a. Je lui demanderais s’il n’est pas devenu fou, et lui rappellerais que nous avons un nom à maintenir.

b. Je lui demanderais de bien y réfléchir et de commencer par faire une carrière universitaire.

c. J’éprouverais l’une des plus grandes joies de ma vie, et je le soutiendrais pleinement.

11. Est-ce que tu as déjà fait envisager à un enfant, adolescent ou jeune la possibilité d’être prêtre plus tard ?

a. Je ne veux pas avoir d’histoires. A chacun sa vie.

b. Je suis d’avis que toutes les vocations sont estimables, même différentes de la nôtre.

c. Oui j’ai en tête quelqu’un de concret, et je prie pour lui… Un de ces jours, « je le lui glisserai ».

12.- Que penses-tu de l’expression du Saint curé d’Ars : « Le prêtre est l’amour du Cœur de Jésus » ?

a. Cela me paraît un spiritualisme désincarné.

b. Je pense que l’expression ne peut s’appliquer qu’à un saint curé.

c. je crois que l’expression est exacte, même s’ils « portent ce trésor en des vases d’argile » (2 Co 4, 7).

Evaluons tes réponses:

      Si la lettre « a » figure dans la majorité de tes réponses…, que ce test soit parvenu entre tes mains me surprend ; mais je remercie Dieu qu’il en ait été ainsi, pour pouvoir te dire en tant que prêtre, que Dieu t’aime à la folie et qu’il attend de toi une réponse d’amour.

     Si à la majorité des questions tu as répondu par la lettre « b », j’aimerais te dire que tu ne profites pas des trésors que Dieu t’offre par l’intermédiaire du sacerdoce.

     Mais si la lettre « c » est la tienne… alors je te dis de ne pas cesser de prier Dieu pour la sanctification des prêtres et pour l’augmentation des vocations sacerdotales, car je suis absolument sûr que, toi, Dieu va t’écouter.

Traduit de l’espagnol par E. de Lavigne

bonne nuit

20 septembre, 2009

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. limonium_vulgare_10fc
http://www.floralimages.co.uk/index2.htm