Archive pour août, 2009

Prière pour ceux qui ne sont pas encore nés

3 août, 2009

du site:

http://www.portstnicolas.org/priere-pour-ceux-qui-ne-sont-pas.html

Prière pour ceux qui ne sont pas encore nés

Cette prière je l’ai écrite après avoir lu « Prayer for an unborn child » des « Knights of Gamma », groupe catholique d’Afrique du Sud.

Le premier paragraphe m’avait touchée ainsi qu’une ligne au sujet du « berceau » de l’enfant.

Mon Dieu,
toi qui as créé tous les êtres vivants et qui nous a donné, à nous aussi, le pouvoir de mettre au monde des vies nouvelles, viens au secours des enfants qui ne sont pas encore nés.

Des jeunes gens s’aiment… et la fille apprend qu’elle attend un enfant. Parce qu’il n’était pas désiré, en un mot, parce qu’il gênait, ses parents se sont débarrassés de lui… Et le ventre de la mère qui était son berceau est devenu son tombeau.

Mon Dieu, il y a des gens qui commettent des crimes affreux, qui tuent, qui violent et font parfois bien pire… ceux-là, on ne les tue pas. Ils ont droit à vivre pendant des années encore parce que les nations, dit-on, sont contre la peine de mort. Elles sont contre la peine de mort mais elles rendent l’avortement légal.

Un innocent qui veut vivre est assassiné et les nations ne protestent pas. Comment peut-on être pour et contre à la fois ? Je ne comprends pas. Non, mon Dieu, je ne comprends pas.

Mon Dieu, fais les gens prendre conscience qu’un enfant, ce n’est pas une tumeur, un cancer que l’on doit enlever; un enfant, même s’il n’est pas encore né, a droit à la vie, à sa vie.

Mon Dieu, fais ces mamans comprendre que leur enfant, même s’il n’est pas encore né, est un être vivant; que, si on ne l’entend pas qui appelle au secours, qui se débat, qui crie, c’est parce que, dans le ventre de sa mère, son cri est silencieux.

Non, je ne comprends pas, mon Dieu. non, je ne comprends pas.

Mais ce que je comprends, maman, ma maman à moi, c’est que je dois te dire merci. Si je suis en vie aujourd’hui, c’est parce, quand tu as appris que tu allais avoir un enfant, comme Ruth, tu as ri, comme Marie, tu as dit oui.

Merci de m’avoir donné le droit de naître à la vie, à ma vie. Merci, maman.

PAPE JEAN XXIII,A L’OCCASION DU CENTENAIRE DE LA MORT DE SAINT JEAN-BAPTISTE VIANNEY (LIEN)

3 août, 2009

du site:

http://www.arsnet.org/115-8.pdf

SACERDOTII NOSTRI PRIMORDIA

LETTRE ENCYCLIQUE
DE SA SAINTETÉ LE PAPE JEAN XXIII
A L’OCCASION DU CENTENAIRE DE LA MORT DE SAINT JEAN-BAPTISTE VIANNEY

bonne nuit

3 août, 2009

bonne nuit dans images sacrée Holy_Mary_border

Holy Mary

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Saint Romanos le Mélode: « Tous mangèrent à leur faim »

3 août, 2009

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20090803

Le lundi de la 18° semaine du temps ordinaire : Mt 14,13-21
Commentaire du jour
Saint Romanos le Mélode (?-v. 560), compositeur d’hymnes
Hymne 24, « La multiplication des pains » (trad. SC 114, p. 117s)

« Tous mangèrent à leur faim »

      En voyant que le jour courait vers le couchant, les apôtres du Rédempteur se hâtèrent d’aller le trouver en s’écriant : « Maître, le jour a baissé, tout ce peuple est consumé par le jeûne ; or l’endroit est désert, tu le sais. Renvoie-les avant que vienne le soir, pour qu’ils aillent acheter du pain dans les villages. Car ces gens-là ne sont pas capables de jeûner comme nous, à qui tu as donné la force parce que tu es le pain céleste d’immortalité.

      « Tu es, par ta nature, le grand sauveur du monde, et tu as enseigné à tous la connaissance ; en nourrissant le peuple avec des paroles de vérité, tu as guidé les hommes vers le chemin du salut en leur donnant de connaître la justice. Ils ont nourri spirituellement leurs âmes, mais maintenant ils ont besoin de prendre soin de leurs corps… Renvoie-les, car nous sommes très inquiets… Tu as enseigné la compassion pour tous à tes disciples et apôtres, car tu es le pain céleste d’immortalité…»

      Quand le Christ a entendu ces paroles, il répondit : « Vous vous trompez, ne sachant pas que je suis le Créateur du monde. Mais je veille sur le monde ; je sais bien de quoi ces gens-là ont besoin, je vois bien le désert et le soleil qui s’est couché, mais c’est moi qui ai fixé au soleil sa course. Je connais l’épuisement de la foule qui est là, je sais ce que je vais faire pour elle. Je remédierai moi-même à la faim, car je suis le pain céleste d’immortalité…

      « Vous pensez : ‘ Qui nourrira cette foule dans le désert ? ‘ Eh bien, sachez clairement qui je suis, amis : c’est moi qui ai nourri Israël dans le désert et qui leur ai donné un pain du ciel. J’ai fait sortir l’eau du rocher dans un lieu aride, et en plus de tout cela je leur ai procuré des cailles à profusion, car je suis le pain céleste d’immortalité…»

      Multiplie ainsi en nous tous, Sauveur, la multitude de tes miséricordes, et de même que tu as rassasié la multitude dans le désert par ta sagesse et l’as nourrie par ta puissance, rassasie-nous tous de la justice, en nous raffermissant dans la foi, Seigneur. Nourris-nous tous, Compatissant ; donne-nous ta grâce et le pardon de nos fautes…, puisque tu es le seul Christ, le seul miséricordieux, pain céleste d’immortalité.

bonne nuit

2 août, 2009

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. w

Alaska

http://www.melindawebster.com/alaska06/

Guigues le Chartreux: « Donne-nous de ce pain-là, toujours »

2 août, 2009

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20090802

Dix-huitième dimanche du temps ordinaire : Jn 6,24-35
Commentaire du jour
Guigues le Chartreux (?-1188), prieur de la Grande Chartreuse
Méditation 10 (trad. SC 163, p. 181 rev.)

« Donne-nous de ce pain-là, toujours »

      Le pain de l’âme, c’est le Christ, « le pain vivant qui est descendu du ciel » (Jn 6,51) et qui nourrit les siens, maintenant par la foi, dans le monde futur par la vision. Car le Christ habite en toi par la foi, et la foi dans le Christ, c’est le Christ dans ton coeur (Ep 3,17). Dans la mesure où tu crois dans le Christ, dans cette mesure tu le possèdes.

      Et le Christ est en vérité un seul pain, « car il y a un seul Seigneur, une seule foi » (Ep 4,5) pour tous les croyants, bien que les uns reçoivent plus, les autres moins du don de la même foi… Comme la vérité est une, une seule foi dans la vérité unique conduit et nourrit tous les croyants, et « un seul et même Esprit distribue à chacun ses dons, selon sa volonté » (1Co, 12,11).

      Nous vivons donc tous du même pain et chacun d’entre nous reçoit sa portion ; et cependant le Christ est tout entier pour tous, sauf pour ceux qui déchirent l’unité… Dans ce don que j’ai reçu, je possède tout le Christ et le Christ me possède tout entier, comme le membre qui appartient à tout le corps possède en retour le corps tout entier. Cette portion de foi que tu as reçue en partage est donc comme le petit morceau de pain qui est dans ta bouche. Mais si tu ne médites pas fréquemment et pieusement ce que tu crois, si tu ne le mâches pas, pour ainsi dire, en le triturant et le retournant avec les dents, c’est-à-dire avec les sens de ton esprit, il ne franchira pas la gorge, c’est-à-dire qu’il ne parviendra pas jusqu’à ton intelligence. En effet, comment pourrais-tu comprendre ce que tu médites rarement et avec négligence, surtout s’il s’agit d’une chose ténue et invisible ?… Que par la méditation, donc, « la Loi du Seigneur soit toujours dans ta bouche » (Ex 13,9) pour que naisse en toi la bonne intelligence. Par la bonne compréhension, la nourriture spirituelle passe dans ton coeur, pour que tu ne négliges pas ce que tu as compris mais le recueille avec amour.

LA MANNE ET LES CAILLES, 1 LECTURE DE DIMANCHE 2 AGOSTO

1 août, 2009

LA MANNE ET LES CAILLES, 1 LECTURE DE DIMANCHE 2 AGOSTO dans images sacrée 20%20FUCIKOVA%20LA%20MANNE%20ET%20LES%20CAILLES

http://www.artbible.net/1T/Exo1601_Manna_Quails/pages/20%20FUCIKOVA%20LA%20MANNE%20ET%20LES%20CAILLES.htm

Le pardon d’Assisi, La Porziuncola,

1 août, 2009

Le pardon d'Assisi, La Porziuncola,  dans images sacrée

http://www.santiebeati.it/

Le pardon d’Assisi, le texte est en italien, mais les images sont très belle

1 août, 2009

Le pardon d'Assisi, le texte est en italien, mais les images sont très belle dans image sacré et texte Porziuncola05

Il Perdono di Assisi

IMMAGINI E TESTO

http://www.tanogabo.it/religione/il_perdono_di_assisi.htm

Le grand pardon d’Assise, le 2 août

1 août, 2009

du site:

http://www.ofm-canada.org/fra/spiritualite/pardon.htm

Le grand pardon d’Assise, le 2 août

L’une des belles traditions franciscaines, qui fait partie de l’héritage, est celle de l’indulgence de la Portioncule, le 2 août. Cette tradition, remontant à l’an 1216, du vivant même de saint François, a son point de départ dans une toute petite chapelle d’Assise, Sainte-Marie-des-Anges, et possède l’incroyable pouvoir de nous faire entrer dans l’expérience du grand pardon donné par Dieu en toute gratuité.

L’histoire de cette Indulgence plénière
L’histoire du choix de la chapelle Sainte-Marie-de-la-Portioncule remonte à une histoire d’expulsion de la masure de Rivo-Torto. L’évêque n’avait rien à offrir à François, ni les chanoines de Saint-Rufin. François fut tiré d’embarras par les Bénédictins du mont Subasio, qui louèrent la petite chapelle aux frères moyennant une boîte de quelques kilos de poissons chaque année. Portioncule désigne une petite portion de terrain. C’est là que les premiers frères autour de François accentuèrent la dimension contemplative de leur vie : Depuis longtemps, ce lieu portait le nom prédestiné de Portioncule, non sans un dessein spécial de la Providence, car il devait échoir à des hommes qui désireraient ne rien posséder au monde. C’est ici que le Très-Haut nous a multipliés. C’est ici que la lumière de sa sagesse a éclairé le cœur de ses pauvres, ici que le feu de son amour a embrasé nos volontés. Ici que celui qui priera d’un cœur fervent obtiendra ce qu’il demande (1 Celano, 106).

À l’été 1216, le Pape Innocent III meurt à Pérouse. Deux jours après, le 18 juillet, est élu Honorius III, un vieillard malade qui donnait largement aux pauvres et avait une belle parenté spirituelle avec saint François. Quelques jours plus tard, le Petit Pauvre se rendit saluer le nouveau Pape avec frère Masseo, et lui adresser une demande : la même remise plénière des péchés que venait d’accorder le concile de Latran aux croisés de Terre Sainte. Cette indulgence était aussi accordée par extension à ceux qui, ne pouvant partir, soutenaient l’expédition de leurs aumônes. François revendiquait le droit des pauvres, en demandant qu’il n’y ait aucun sou ou oblation à débourser.

Très Saint-Père, dit François, il y a quelque temps je vous ai réparé une église en l’honneur de la Vierge mère du Christ. Je supplie d’y mettre, à l’occasion de sa dédicace, une indulgence sans oblation, c’est-à-dire l’offrande d’une somme proportionnée à la fortune de celui qui obtenait l’indulgence.

- Et de combien d’années veux-tu cette indulgence? dit Honorius sans s’apercevoir que tacitement il accordait déjà le premier point.

- Très Saint-Père, répondit François, ce ne sont pas des années que je demande à Votre Sainteté, mais ce sont des âmes. Je désirerais que tout homme qui entre dans cette église en se repentant de ses péchés, qui s’en est confessé et en a obtenu l’absolution, fût délié de toute faute et de tout châtiment depuis le jour de son baptême jusqu’au jour et à l’heure où il est entré dans cette église.

- Ce n’est pas la coutume de la curie romaine, répondit le Pape, d’accorder une pareille indulgence.

- Seigneur, répliqua François, ce que je demande, ce n’est pas moi qui vous le demande, mais celui de la part de qui je viens, le Seigneur Jésus-Christ.

Et cette fois le pape répondit aussitôt : Oui, je t’accorde cette indulgence.

Cet entretien avait pour témoins plusieurs cardinaux qui jusqu’alors avaient gardé le silence. Ils crurent que le nouvel élu manquait de connaissances en administration et lui dirent : Mais, Seigneur, si vous accordez à cet homme une pareille indulgence, vous détruisez celle de la croisade, et celle des sanctuaires apostoliques perdra toute valeur.

- Nous la lui avons donnée et octroyée, dit Honorius, nous ne pouvons revenir sur ce qui est fait ; mais nous la modifierons de façon à ce qu’elle ne s’étende qu’à un jour naturel. Dès maintenant, nous accordons que quiconque viendra et entrera dans cette église, bien repentant et après s’être confessé, soit absous de toute peine et de toute coulpe ; et nous voulons que cette indulgence soit valable chaque année, à perpétuité, seulement pendant une journée à partir des premières vêpres jusqu’aux vêpres du lendemain.

François était au comble de la joie et s’en allait sans attestation écrite, quand le pape le rappela pour lui dire de se munir de lettres patentes. François n’en voulut pas : Dieu saura bien lui-même mettre son œuvre en lumière.

Roland Bonenfant , ofm

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