Archive pour le 17 août, 2009

bonne nuit

17 août, 2009

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. Daphne%20bholua%20Jacqueline%20Postill%202007

http://www.mygarden.ws/jan07.htm

Saint Athanase : « Tu auras un trésor dans le ciel »

17 août, 2009

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20090817

Le lundi de la 20e semaine du temps ordinaire : Mt 19,16-22
Commentaire du jour
Saint Athanase (295-373), évêque d’Alexandrie, docteur de l’Église
La Vie de saint Antoine, père des moines, 2-4

« Tu auras un trésor dans le ciel »

      Après la mort de ses parents, alors qu’Antoine avait entre dix-huit et vingt ans…, un jour, il entre dans l’église au moment de la lecture de l’Évangile, et il entend le Seigneur qui disait à un riche : « Si tu veux être parfait, va, vends tout ce que tu possèdes et donne-le aux pauvres ; puis viens, suis-moi, et tu auras un trésor dans les cieux ». Antoine a eu l’impression que cette lecture avait été faite pour lui. Il est sorti aussitôt et a donné aux gens du village ses propriétés familiales. Après avoir vendu tous ses biens mobiliers, il a distribué aux pauvres tout l’argent qu’il en avait retiré, en ne mettant de côté qu’une petite part pour sa soeur.

      Une autre fois qu’il était entré à l’église, il a entendu le Seigneur dire dans l’Évangile : « Ne vous faites pas de souci pour demain » (Mt 6,34). Ne supportant plus d’avoir gardé quelque chose, il a distribué cela aussi aux plus pauvres. Il a confié sa soeur à des vierges connues et fidèles, qui vivaient ensemble dans une maison, pour y être éduquée. Et il s’est désormais consacré, près de sa maison, au labeur de la vie ascétique. Vigilant sur soi-même, il persévérait dans une vie austère…

      Il travaillait de ses mains, car il avait entendu cette parole : « Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus » (2Th 3,10). Il achetait son pain avec une part de ce qu’il gagnait et il distribuait le reste aux indigents. Il priait sans cesse, parce qu’il avait appris qu’il faut « prier sans relâche » (Lc 21,36) en privé. Il était si attentif à la lecture qu’il ne laissait rien perdre des Écritures mais en retenait tout ; dans la suite, sa mémoire pouvait remplacer les livres. Tous les habitants du village et les gens de bien qui le fréquentaient habituellement, en le voyant vivre ainsi, l’appelaient ami de Dieu. Les uns l’aimaient comme leur fils, et les autres comme leur frère.