Archive pour le 11 août, 2009

Tombeau de la Vierge Marie (Gethsémani,)

11 août, 2009

Tombeau de la Vierge Marie (Gethsémani,) dans Marie Vierge GoesVirgin

image du site le  »Custodie de Terre Sainte »:

http://198.62.75.1/www1/ofm/san/TSmary11.html

texte du site:

http://www.etudes-francaises.net/jerusalem/croisee_religieuse.htm#tombeau

Tombeau de la Vierge

Le Tombeau de la Vierge est situé à Gethsémani, sur le Mont des Oliviers. On l’appelle aussi l’église de l’Assomption. La tombe de la Vierge peut être vue dans une crypte assez profonde qui ressemble à la grotte de la Croix dans l’église du Saint-Sépulcre. Le Nouveau Testament ne dit rien de la mort de Marie. C’est Transitus Mariae, un ouvrage anonyme datant du 2e ou du 3e siècle, qui mentionne son enterrement dans une grotte de la vallée de Jehosaphat.

L’existence d’une église est attestée par des auteurs de la fin du 6e siècle. L’église est probablement détruite par les Perses en 614, et reconstruite par la suite puisqu’elle est décrite par Arculfe en 670.

Les Croisés trouvent les ruines laissées par le calife Al-Hakim en 1009. En 1130, les Bénédictins reconstruisent une double église, à l’emplacement probable de l’église byzantine. Les Chrétiens l’appellent l’église de l’Assomption, conformément à la croyance chrétienne qui veut que Marie soit montée au ciel.

En 1187, Saladin détruit partiellement léglise. Celle-ci est restaurée par les Franciscains au 14e siècle, puis reconstruite par l’Eglise grecque orthodoxe en 1757.

La façade et l’escalier monumental datent du début du 12e siècle. On voit aussi la tombe de la Reine Mélisende, morte en 1161, et la niche où sont enterrés d’autres membres de la famille de Baudouin II. Un linteau médíéval surplombe la deuxième porte. Les murs de la grotte de Gethsémani ont été peints au 12e siècle. La superficie de la grotte est de 17 m x 9 m, avec une hauteur maximale de 3,5 m. Le sol était recouvert d’une mosaïque dont il ne subsiste que quelques vestiges.

La « Dormition » de la Vierge Marie

11 août, 2009

La

http://ihtis.wordpress.com/2008/08/23/perche-gli-ortodossi-venerano-la-madre-di-dio/

Dormition de la Mère de Dieu (15 aout) (Ortodoxie)

11 août, 2009

du site:

http://www.orthodoxworld.ru/fr/feasts/9/index.htm

GRANDES FÊTE LITURGIQUES (ORTODOXIE)

Dormition de la Mère de Dieu (15 aout)
 
 La troisième des grandes fêtes d’été est la commémoration de la mort de la Bienheureuse Vierge Marie, appelée en langage liturgique la  » Dormition  » de Notre-Dame. C’est, du point de vue liturgique, la plus importante des fêtes de la Vierge. Elle est précédée par un jeûne de deux semaines, le  » Carême de la Mère de Dieu « , analogue à celui qui précède la fête de Saint Pierre et Saint Paul ; ce carême commence le 1er août et dure jusqu’au 14 août inclus. La fête elle-même a lieu le 15 août.
Beaucoup de traits de cette fête sont empruntés à d’autres fêtes de la Vierge. Ainsi l’évangile de matines est celui qui relate la visite de Marie à Élisabeth (Lc 1, 39-56). L’épître (Ph 2, 5-11) et l’évangile (Lc 10, 38-43 – 11, 27-28) de la liturgie sont ceux que nous lisons le 8 septembre, le jour de la Nativité de Marie ; nous prions nos lecteurs de se reporter à ce que nous avons déjà dit de ces textes. On remarquera que les portions de l’Écriture lues le 15 août ne font aucune allusion à la mort de la Sainte Vierge. C’est dans les chants des vêpres et des matines qu’il faut chercher la signification particulière que l’Église attribue à la fête du 15 août.
Cette signification est double. Elle se trouve exactement exprimée dans cette phrase chantée aux vêpres :  » La source de vie est mise au sépulcre et son tombeau devient l’échelle du ciel « . La première partie de la phrase –  » la source de vie est mise au sépulcre  » – indique que nous commémorons la mort de la très sainte Vierge. Si nous célébrons pieusement, chaque année, les anniversaires de la mort du Précurseur, des apôtres et des martyrs, à plus forte raison célébrons-nous la mort de la Mère de Dieu, qui est aussi notre mère, et qui dépasse en sainteté et en gloire tous les élus. Mais la fête du 15 août est plus que la commémoraison de la mort de Marie. La deuxième partie de la phrase dit :  » … et son tombeau devient l’échelle du ciel « . La tombe de quiconque est mort dans le Christ est, d’une certaine manière, une échelle qui conduit au ciel. Cependant le cas de Marie est exceptionnel. Les textes liturgiques que nous chantons impliquent autre chose :  » Ouvrez larges vos portes et… accueillez la Mère de la lumière intarrissable… Car, en ce jour, le ciel ouvre son sein pour la recevoir… Les anges chantent ta très sainte Dormition… que nous fêtons avec foi… Que tout fils de la terre tressaille en esprit… et célébre dans la joie la vénérable Assomption de la Mère de Dieu « . On le voit, il ne s’agit pas seulement de la réception de l’âme de Marie dans le ciel. Quoique la fête du 15 août ne porte pas, dans le calendrier liturgique byzantin, le nom de fête de l’Assomption (comme c’est le cas dans l’Église latine), nos textes expriment la croyance en l’assomption corporelle de Marie. Selon cette croyance, le corps de Marie n’a pas connu la corruption qui suit la mort ; il n’est pas resté dans le tombeau ; Marie ressuscitée a été transportée au ciel par les anges (l’Assomption diffère de l’Ascension en ce que le Christ s’est élevé lui-même au ciel).
L’Assomption de Marie est située en dehors – et au-dessus – de l’histoire. La croyance en l’Assomption ne s’appuie ni sur un récit biblique, ni sur des témoignages historiques scientifiquement recevables. Elle n’a été l’objet d’aucune définition dogmatique. L’Église n’a, jusqu’ici, imposé à aucun fidèle d’affirmer le fait de l’Assomption corporelle de Marie. Mais, si l’affirmation (intérieure ou extérieure) n’est pas exigée par l’Église, on peut dire que la conscience orthodoxe considérerait la négation active de l’Assomption non seulement comme une témérité, mais comme un blasphème. D’ailleurs, comment nier un fait qui n’est susceptible d’aucune vérification historique ? La croyance en l’Assomption ne se fonde pas sur des preuves documentaires. La conscience catholique, éclairée par le Saint-Esprit, s’est peu-à-peu persuadée que, si  » le salaire du péché, c’est la mort (Rm 6,23) « , Marie a dû remporter sur la mort une victoire spéciale. Ainsi que Jésus (et toutes proportions gardées), elle a été glorifiée dans son corps. C’est cette glorification de la toute pure et toute sainte Mère de Dieu dans son âme et dans sa chair – et non point tel ou tel symbolisme matériel et telles ou telles circonstances historiques – qui constitue l’objet de la fête du 15 août.
L’Assomption est la fête, non seulement de Marie, mais de toute la nature humaine. Car, en Marie, la nature humaine a atteint sa fin. Une semaine après le début de l’année liturgique nous célébrons la naissance de la très Sainte Vierge. Deux semaines avant la fin de l’année liturgique, nous célébrons la mort et la glorification de Marie. Ainsi, associé et subordonné au cycle de la vie de Jésus, le cycle de la vie de Marie manifeste le destin et le développement d’une nature humaine entièrement fidèle à Dieu. Avec Marie, c’est le genre humain qui est emporté et reçu au ciel. Marie a des privilèges qui ne peuvent pas être les nôtres. Mais ce parfait épanouissement de la grâce en Marie, que nous admirons le 15 août, nous suggère quelle pourrait être la ligne de développement d’une âme qui s’appliquerait à faire fructifier en elle-même les grands dons reçus au cours de l’année liturgique, – le don de Noël, le don de Pâques, le don de la Pentecôte.

bonne nuit

11 août, 2009

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. dahlia_04-6
http://www.flowerpictures.net/blooming/pages/dahlia_04-6.htm

Sainte Faustine Kowalska: « Celui qui se fera petit comme cet enfant, c’est celui-là qui est le plus grand dans le Royaume des cieux »

11 août, 2009

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20090811

Commentaire du jour
Sainte Faustine Kowalska (1905-1938), religieuse
Petit Journal, § 244 (trad. Parole et Dialogue 2002, p. 128)

« Celui qui se fera petit comme cet enfant, c’est celui-là qui est le plus grand dans le Royaume des cieux »

      Ils ont déjà recommencé, les jours gris quotidiens. Les instants solennels de mes voeux perpétuels sont passés, mais cette grande grâce de Dieu demeure en mon âme. Je sens que je suis tout à Dieu, je sais que je suis son enfant, je sens que je suis tout entière propriété de Dieu. J’expérimente cela même de façon physique et sensible. Je suis parfaitement tranquille en tout, car je sais que c’est l’affaire de l’Epoux de penser à moi. Je me suis complètement oubliée moi-même.

      Ma confiance dans son Coeur très miséricordieux est sans bornes. Je lui suis continuellement unie. Je vois que c’est comme si Jésus ne pouvait pas être heureux sans moi, ni moi sans lui. Je comprends bien cependant qu’étant Dieu il est heureux en lui-même, et que pour son bonheur il n’a besoin d’absolument aucune créature, mais sa bonté le contraint à se donner à sa créature — et cela avec une inconcevable générosité.