Archive pour le 19 mai, 2009

Les anges

19 mai, 2009

Les anges dans images sacrée angels

http://renaissanceguy.wordpress.com/category/religion/christianity/worshp/

Les anges dans nos campagnes: Ce que dit la foi catholique de ces créatures

19 mai, 2009

du site:

http://catholique-montauban.cef.fr/actualites/les-anges-dans-nos-campagnes

Les anges dans nos campagnes par Mgr Bernard Ginoux

Ce que dit la foi catholique de ces créatures
 
Depuis quelques années, ils sont revenus en force ces chérubins joufflus La fête de Noël en fait apparaître partout. Nous les retrouvons dans les évangiles, nous les chantons, nous les plaçons dans nos crèches…. Que dit la foi catholique sur ces « créatures du monde invisible » ?
  
« Je crois en Dieu, créateur du monde visible et invisible »

Chaque fois que l’Eglise Catholique affirme sa foi, son CREDO, elle dit qu’Elle croit en Dieu « créateur du monde visible et invisible ».

Le monde visible n’échappe pas à notre perception et, pour une partie de l’humanité, surtout ceux qui s’affirment rationalistes, il est le seul à être réel : « je crois ce que je peux voir » disent-ils. La réalité ne serait que dans ce qui est perceptible par le sens, saisi par la raison et observable par la technique scientifique. Toute révélation surnaturelle est niée.

En revanche la présence de ces créatures du monde invisible est attestée dans de nombreuses religions. Les anges sont liés essentiellement au monothéisme : le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. Dès la Genèse, les « anges » apparaissent, ils sont ces « esprits divins » porteurs de lumière, entourant Dieu pour le servir et chargés de l’ordre cosmique. Libres, ils pourront se détacher de Dieu. Dans la Bible, ils sont parfois appelés « Fils de Dieu » et leur nombre est considérable. « Des myriades de myriades, des milliers de milliers » dit l’Apocalypse (5, 11) La foi chrétienne nous les montre PROCHES de notre vie : « chaque fidèle a à ses côtés un ange comme protecteur et pasteur pour le conduire à la vie » (St Basile). Le Catéchisme de l’Eglise Catholique prend à son compte cette affirmation de la foi  (n°335-336).

La chute originelle et les anges

La tradition juive explique la révolte de Lucifer, le Prince de la Milice Céleste, le porte-lumière, contre Dieu par son refus de la création de l’homme. L’orgueil de LUCIFER et des anges qui l’ont suivi serait la cause de sa chute : l’être humain est créé à l’image de DIEU et à sa ressemblance , alors, l’ange « mauvais »  combat cette créature . Il s’exclut du plan divin : il passe de la lumière aux ténèbres et ces « mauvais anges » seront les « diviseurs » entre Dieu et l’homme : le « diabolos » (en grec), le Diable, le Démon.

La tradition chrétienne, à la suite de l’Evangile, maintient que les anges déchus se sont détournés de Dieu et veulent en détourner l’homme.

Que font les anges ?

St Augustin écrit : « ANGE désigne la fonction non pas la nature.

                        d’après ce qu’il est c’est un ESPRIT

                        d’après ce qu’il fait c’est un ANGE »

(Catéchisme de l’Eglise Catholique n°329-330) et le Catéchisme continue :

de tout leur être les anges sont les serviteurs et messagers de Dieu. Le mot grec « ANGELLOS » qui a donné ANGE signifie en effet « MESSAGER ». Parce que les anges « contemplent constamment la face de mon Père qui est aux cieux » (St Matthieu 18,10)

Ils sont « Messagers du Seigneur

               Invisibles porteurs de ses ordres

               Attentifs au son de sa parole…

               Serviteurs qui exécutent ses désirs ». Psaume 102 versets 20-21.

Immortels, ils ont une personnalité propre, une volonté propre, une intelligence propre et ils reflètent la gloire de Dieu.

La Bible nous renseigne sur leur rôle.  La  vie du Christ les voit à l’œuvre.

L’archange Gabriel annonce à Marie la naissance de Jésus. Les anges annoncent aux bergers dans la nuit de Béthléem « un Sauveur vous est né » et leur chant de louange retentit autour de l’étable

Ils protègent la Sainte famille menacée par Hérode. Ils servent Jésus au désert, ils le soutiennent dans son agonie. Ils se tiennent auprès du tombeau vide : c’est l’ange du Seigneur dans l’évangile de St Matthieu (28,2) qui fait rouler la pierre du tombeau et s’assied dessus. Dans l’évangile de St Luc deux hommes éblouissants de lumière annoncent aux femmes qui cherchent Jésus : « Il n’est pas ici. Il est ressuscité ». Ils accompagnent la prédication des Apôtres et comme le rapporte le récit des Actes 12,7 l’Ange du Seigneur délivre Pierre dans sa prison (cf le thème de St Pierre-aux-liens). Enfin ils seront là « quand le Christ reviendra dans sa gloire ». Il faut bien entendu noter que les anges révoltés, les démons, ont eux aussi leur action dans le monde.

Dieu ne détruit pas ses créatures et Satan et ses anges peuvent mettre à l’épreuve la foi des hommes), comme l’homme-Jésus lui-même a été éprouvé. Mais l’homme peut toujours trouver la force de résister au mal : la grâce ne fait pas défaut si notre cœur l’accueille dans la confiance.

            En résumé, nous garderons à l’esprit que les anges sont au service de Dieu et des hommes pour nous permettre de vivre dans la fidélité, nous assister dans le combat spirituel (« l’ange de Dieu combat pour nous ») et, aussi, dans notre dernière heure (prières pour la Bonne Mort » ou encore « : que les anges te conduisent en Paradis »…)

Les anges dans la liturgie

« Je te chante en présence des anges » (Psaume 137,2)

Il y ont une place permanente car la liturgie (c’est-à-dire le service de Dieu) est bien le propre des anges.

Chaque préface rappelle la louange incessante que l’Eglise céleste, les anges et tous les saints, chantent au Dieu trois fois saint.

Et la première prière eucharistique fait dire au célébrant : « Que [cette offrande] soit portée par ton ange en présence de ta gloire sur ton autel céleste ». L’Eucharistie comme anticipation de la gloire céleste unit le monde visible et invisible et donc elle se célèbre en présence des anges. Ceux-ci sont honorés par deux fêtes :

-          les archanges Michel, Raphaël et Gabriel sont fêtés le 29 septembre,

-          les saints anges gardiens le 2 octobre.

Une hiérarchie des anges ?

St Paul (1Corinthiens 15, 24) évoque les dominations, les puissances, les principautés mais n’établit pas une  hiérarchie définie. L’Ancien Testament, comme l’Apocalypse distingue diverses catégories d’esprits célestes : Il y aurait neuf classes d’anges subordonnées les unes aux autres : les  SERAPHINS, CHERUBINS, TRONES , PUISSANCES … etc… noms que l’on retrouve dans la préface de la messe, mais la foi chrétienne ne s’attarde pas à ces subtiles distinctions .Elle garde cependant les noms des archanges Michel, Raphaël et Gabriel.

Conclusion

De cette approche rapide, nous pourrons donc retenir que l’existence des anges est un article de la foi catholique.

            Les prier et leur donner une place dans notre vie de foi est légitime.

Invoquer le secours de notre ange gardien est une juste prudence.

Il reste cependant difficile d’adhérer aux débordements fantaisistes de beaucoup d’approches contemporaines où l’on se préoccupe du pouvoir des anges et de leur influence bénéfique en oubliant qu’il n ‘y a qu’un Seul Sauveur, le Christ vrai Dieu et vrai homme. Les anges n’en sont que les messagers. Toute la liturgie de Noël nous le rappelle.

2 mots : Alliance, Ange

19 mai, 2009

du site:

http://www.bible-service.net/site/444.html

2 mots : Alliance, Ange

Alliance
Le mot hébreu berit désigne un accord, un pacte entre deux chefs ou deux rois, partenaires égaux ou non. Un suzerain peut imposer à son vassal un « traité de vassalité ». La berit est donc un acte juridique et politique qui impose des devoirs et garantit des droits à chacun. Dans la Bible, l’alliance est la relation que Dieu établit avec le peuple qu’il a choisi ou avec certains de ses représentants. Elle est établie à son initiative : « Vous êtes mon peuple et je suis votre Dieu ». Berit a été traduit en grec par diathèkè : l’acte par lequel quelqu’un dispose librement de ses biens, puis en latin par testamentum, testament, parce que l’inégalité entre les partenaires a été fortement ressentie.

Avant l’exil
Les prophètes appellent à vivre dans la fidélité à l’alliance du Sinaï. Tout Israël s’était engagé librement à respecter la loi contenue dans le Code de l’alliance, qui concerne tant la vie religieuse que la vie sociale (Ex 20,22 à 23,19) : « Moïse prit le livre de l’alliance, il en fit la lecture au peuple qui déclara : Tout ce que le Seigneur a dit, nous le ferons et nous y obéirons » (Ex 24,7). Le rite d’alliance consiste en une aspersion de l’autel et du peuple avec le sang d’animaux sacrifiés, pour montrer qu’une même vie unit désormais Dieu et son peuple. Cette alliance assure l’identité d’Israël et en fait un peuple de frères. La fidélité est récompensée par la bénédiction*, la vie, tandis que l’infidélité est sanctionnée par la malédiction, la mort. S’il y a rupture des liens d’alliance, c’est toujours du fait des hommes (Jr 11,10). Et lorsque Dieu se met en colère contre son peuple, il souffre de cette rupture (Os 11,8-9). Avec la destruction du temple et de Jérusalem en 587, la rupture de l’alliance est évidente et paraît définitive.

Depuis l’exil
Les prêtres de Jérusalem comprennent que l’alliance ne doit plus reposer sur la fidélité du peuple, jamais durable, mais seulement sur Dieu, toujours fidèle. Au lieu d’être bilatérale et conditionnelle, l’alliance est maintenant unilatérale et inconditionnelle : Dieu seul s’engage, et pour toujours. Telles sont les deux alliances qui, d’après l’Histoire sacerdotale, précèdent l’alliance avec Moïse, qui devient la troisième. Dans la première, établie avec Noé pour tous les humains (et les animaux), Dieu demande de ne pas verser le sang et, si on mange de la viande, de ne pas en consommer le sang (Gn 9,4-5). L’arc-en-ciel, apparu après le déluge, rend visible la promesse de Dieu. La deuxième alliance est scellée avec Abraham et sa descendance (Gn 17,2.4). Seule condition imposée : la circoncision (des Juifs, puis des Musulmans) pour signifier leur appartenance à Dieu (Gn 17,10).

La nouvelle alliance
Jérémie annonce une « nouvelle alliance » , non plus seulement extérieure, comme un règlement, mais intérieure, comme une relation personnelle et réciproque : « Je mettrai ma loi au fond de leur être et je l’écrirai sur leur cœur » (Jr 31,31-34). Pour Ézéchiel, Dieu doit donner à son peuple « un cœur nouveau, un esprit nouveau » (Ez 35,26-27).

Cela préfigure merveilleusement bien l’alliance nouvelle réalisée par le Christ : « Cette coupe est la nouvelle alliance dans mon sang, versé pour vous » (Lc 22,20). Alliance définitive et gratuite, fondée sur l’amour inconditionnel du Christ. Chaque repas* eucharistique célèbre cette alliance renouvelée ouverte à tous les hommes. Quoi qu’il puisse arriver, « l’alliance nouvelle et éternelle » nous est acquise.

Ange
Le mot hébreu malak désigne un messager ou un ambassadeur (Gn 32,4-7) ; de même en grec angelos (et en latin angelus), d’où « ange ». Voir aussi le mot ‘évangile’ : ev-angelion : heureux message. Ce sens profane peut aussi désigner des messagers divins : un prophète (Is 44,25), un prêtre (Ml 2,7), le Serviteur de Dieu (Is 42,19) ou même les vents (Ps 104,4).

L’Ange du Seigneur
Certains récits parlent de « l’Ange du Seigneur » (Gn 16,7) : il s’agit alors, non pas d’un messager parmi d’autres, mais de Dieu lui-même qui se manifeste sous une forme visible pour venir parler à quelqu’un (Jg 13,3). L’expression permet de préserver la transcendance divine que l’homme ne peut voir. Pourtant cet envoyé parle comme le Seigneur, à la première personne (Gn 22,15-18). Dans les trois voyageurs qu’Abraham accueille à Mambré (Gn 18,2), la suite du rcit laisse entendre qu’il s’agit du Seigneur lui-même, qui parle à Abraham (v.22), accompagné de deux anges qui vont trouver Loth à Sodome (Gn 19,1).

Anges, chérubins et séraphins
Les messagers font partie de la cour céleste : ils ont pour fonction de chanter la gloire* de Dieu (Ps 103,20), mais aussi de porter des messages aux humains, d’interpréter leurs visions (Dn 8,15-16), et enfin de présenter à Dieu les prières des hommes (Tb 12,12). Dans les derniers siècles avant J.C., trois anges sont nommés : Michel et Gabriel dans le livre de Daniel (10,13 et 8,21-23) et Raphaël dans le livre de Tobit (Tb 5,4-5 et 12,15). D’autres noms désignent ces êtres célestes : « l’armée du Seigneur » (Jos 5,14), d’où le nom de Dieu* Sabaoth ; les « saints » (Ps 89,6) ; les « chérubins » (Gn 3,24), des taureaux ailés à tête humaine ; les « séraphins » (Is 6,2), des brûlants ou serpents venimeux. Dans le livre de Job ils sont appelés « fils de Dieu » au sens où ils lui appartiennent. Parmi eux, un messager a pour fonction d’inspecter les humains et d’accuser les coupables : c’est le satan, l’accusateur, l’adversaire dans un procès (Jb 1,6). Quelques rares textes parlent d’êtres célestes maléfiques (1 R 22,22 ; Za 3,1 ; voir Satan*)

Dans le Nouveau Testament
On retrouve ces messagers : Gabriel à l’Annonciation (Lc 1,26), une armée céleste à la naissance de Jésus (Lc 2,13), des anges au service de Jésus après les tentations au désert (Mt 4,11), un ange qui le réconforte au jardin des Oliviers (Lc 22,43), celui ou ceux qui parlent aux femmes dans le tombeau ouvert (Lc 24,4). De même dans les Actes des Apôtres (5,19 ; 12,7, etc.). L’Apocalypse fait de Michel et de son armée céleste un acteur important lors du combat final contre le Dragon, Satan (Ap 12,7). La seule définition biblique des anges se trouve dans l’épître aux Hébreux : « Ne sont-ils pas tous des esprits remplissant des fonctions et envoyés en service pour le bien de ceux qui doivent recevoir en héritage le salut ? » (He 1,14)

Le symbole de Nicée-Constantinople affirme indirectement l’existence des anges : « Je crois en un seul Dieu, créateur du ciel et de la terre, de l’univers visible et invisible ». La foi de l’Église affirme que Dieu a créé ces êtres spirituels invisibles à qui il a donné la liberté de choix, comme à l’homme. Les anges déchus, à la suite de Satan, ont refusé de servir Dieu et sont devenus des forces de destruction, destinées à l’anéantissement final.

bonne nuit

19 mai, 2009

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. 04-yellowstone-castle-geyser

Castle Geyser

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Saint Cyrille de Jérusalem : « C’est l’Esprit qui vivifie » (2Co 3,6)

19 mai, 2009

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20090519

Le mardi de la 6e semaine de Pâques : Jn 16,5-11
Commentaire du jour
Saint Cyrille de Jérusalem (313-350), évêque de Jérusalem et docteur de l’Eglise
Catéchèse baptismale n° 16 (trad. bréviaire)

« C’est l’Esprit qui vivifie » (2Co 3,6)

      « « L’eau que je lui donnerai deviendra en lui source jaillissante pour la vie éternelle » (Jn 4,14). C’est une eau toute nouvelle, vivante et jaillissante, jaillissant pour ceux qui en sont dignes. Pour quelle raison le don de l’Esprit est-il appelé une « eau » ? C’est parce que l’eau est à la base de tout ; parce que l’eau produit la végétation et la vie ; parce que l’eau descend du ciel sous forme de pluie ; parce que, tombant sous une seule forme, elle agit pourtant de façon multiforme… Elle est différente dans le palmier, différente dans la vigne, elle se fait toute à tous. Elle n’a qu’une seule manière d’être, et elle n’est pas différente d’elle-même. La pluie ne se transforme pas quand elle descend ici ou là mais, en s’adaptant à la constitution des êtres qui la reçoivent, elle produit en chacun ce qui lui convient.

      L’Esprit Saint agit ainsi. Il a beau être un, simple et indivisible, « il distribue ses dons à chacun, selon sa volonté » (1Co 12,11). De même que le bois sec, associé à l’eau, produit des bourgeons, de même l’âme qui vivait dans le péché, mais que la pénitence rend capable de recevoir le Saint Esprit, porte des fruits de justice. Bien que l’Esprit soit simple, c’est lui, sur l’ordre de Dieu et au nom du Christ, qui anime de nombreuses vertus.

      Il emploie la langue de celui-ci au service de la sagesse ; il éclaire par la prophétie l’âme de celui-là ; il donne à un autre le pouvoir de chasser les démons ; à un autre encore celui d’interpréter les divines Écritures. Il fortifie la chasteté de l’un, il enseigne à un autre l’art de l’aumône, il enseigne à celui-ci le jeûne et l’ascèse, à un autre il enseigne à mépriser les intérêts du corps, il prépare un autre encore au martyre. Différent chez les différents hommes, il n’est pas différent de lui-même, ainsi qu’il est écrit : « Chacun reçoit le don de manifester l’Esprit en vue du bien de tous » (1Co 12,7).

par André VINGT-TROIS: Sainte Marie, Notre-Dame de la Prière

19 mai, 2009

du site:

http://www.ilebouchard.com/prieres/priere_mgr.htm

Sainte Marie, Notre-Dame de la Prière

Tu as accueilli dans la foi le message de l’ange Gabriel
et tu es devenue la Mère de Jésus, le Fils Unique de Dieu,
Apprends-nous à prier pour grandir dans la foi.

A la Visitation, tu as exulté de joie par le Magnificat,
Apprends-nous à rendre grâce à Dieu.

A Cana, tu as prié le Christ
pour qu’Il donne le vin des noces,
Apprends-nous à intercéder pour nos frères.

Debout au pied de la Croix,
tu as souffert avec Jésus par amour pour les pécheurs,
Apprends-nous à accueillir la miséricorde du Père.

A la Pentecôte, tu priais avec les Apôtres
quand ils ont reçu la plénitude de l’Esprit-Saint,
Apprends-nous à demander l’Esprit pour témoigner de l’Evangile.

Tu es la Mère de l’Eglise et la Protectrice des Familles,
Veille sur chacune de nos familles,
Apprends-nous à nous aimer avec fidélité.

Tu es la Mère de l’humanité et la Patronne de la France,
ouvre notre pays aux dimensions universelles de l’amour de Dieu.
Apprends-nous à servir avec générosité.

O Marie conçue sans péché,
priez pour nous qui avons recours à vous !
Notre-Dame de la Prière, apprenez-nous à prier !

Le 8 décembre 1999
André VINGT-TROIS, Archevêque de Tours