Archive pour le 12 janvier, 2009
Prière à Saint Paul (1)
12 janvier, 2009du site:
http://www.anneesaintpaul.fr/kt/prieres_saintpaul.pdf
PROPOSITIONS DE PRIERES
Prière à Saint Paul (1)
A la suite de Paul,
Nous te rendons grâce, Dieu notre Père.
Par le baptême, tu nous sauves,
tu fais de nous des vivants
avec Jésus ressuscité.
Nous te rendons grâce pour l’Eglise :
Elle est le corps dont nous sommes les membres.
Nous te rendons grâce pour ton Esprit :
Qu’il porte en nous beaucoup de fruits,
pour que nous soyons des témoins de Jésus
à l’école, à la maison,
au milieu des autres,
partout où nous vivons.
Prière à Marie: Fleur du ciel
12 janvier, 2009du site:
http://users.skynet.be/prier/textes/PR0047.HTM
PRIÈRE À MARIE
Fleur du ciel
Auteur : Leconte de Lisle
Ah ! de sa tige d’or quand cette Fleur du ciel
Tomba pour embaumer les vallons d’Israël,
Que les vents étaient doux qui passaient dans les nues !
Tu vis naître, ô Saron, des roses inconnues !
Tes palmiers, ô Gadès, émus d’un souffle pur,
Bercèrent, rajeunis, leurs palmes dans l’azur !
Ton cèdre, ô vieux Liban, noir d’une ombre profonde,
Croyant qu’il revoyait les premiers jours du monde,
Salua le soleil qui brilla sur Eden !
Le parfum oublié de l’antique jardin,
Comme un cher souvenir et comme une promesse,
Des enfants de l’exil adoucit la tristesse,
Et de célestes voix, en chants harmonieux,
Dirent ton nom, Marie, à l’univers joyeux.
Terre ! oublie en un jour ton antique détresse !
O Cieux ! comme les mers, palpitez d’allégresse !
La Vierge bienheureuse est née au sein de Dieu !
Elle vole, aux clartés de l’arc-en-ciel en feu,
La Colombe qui porte à l’arche du refuge
Le rameau d’olivier qui survit au déluge !
Le mystique rosier va parfumer les airs !
L’Etoile matinale illumine les mers !
Saluez, bénissez, créatures sans nombre,
Celle que le Très-Haut doit couvrir de son ombre,
Et qui devra porter, vierge, en ses flancs bénis,
Le Dieu qui précéda les siècles infinis !
Le Temps Ordinaire: En suivant l’évangile de l’année liturgique
12 janvier, 2009du site:
http://www.bibel.lu/spip.php?rubrique148
LE TEMPS ORDINAIRES
En suivant l’évangile de l’année liturgique
Depuis la réforme liturgique de Vatican II, nous sommes invités à lire chaque année un des trois Évangiles synoptiques (Mt – Mc – Lc).
Pour ce faire, les Dimanches Ordinaires nous offrent une lecture presque continue de l’Evangile de l’année. Pendant les Temps forts et les fêtes liturgiques (Avent-Noël ; Carême-Pâque-Pentecôte), le texte lu comme Évangile est, autant que possible, emprunté à l’Evangéliste de l’année.
L’année liturgique ne commence pas avec l’année civile mais avec le premier Dimanche de l’Avent. Après le premier temps fort (Avent-Noël) viennent une première série de Dimanches du Temps ordinaire. Vient alors le deuxième Temps fort (Carême-Pâques-Pentecôte), et enfin la suite des Dimanches du Temps ordinaire.
Bible et liturgie
Pour chaque dimanche de l’année, trois lectures sont prévues : la première est tirée de l’Ancien Testament ; la seconde est un passage d’une lettre apostolique (principalement de Paul) ; la troisième est l’Evangile du dimanche et c’est ce dernier qui donne la tonalité à la liturgie du jour.
Pendant les dimanches du Temps ordinaire, un Évangile (Mt – Mc – Lc) est pris en lecture continue et chaque fois, la péricope retenue est “préparée” par un texte choisi dans l’Ancien Testament. La deuxième lecture forme également une lecture continue dans un cycle qui s’étend sur les trois années (A-B-C).
A cause de cette construction de la liturgie, il n’y a donc habituellement pas de lien entre la deuxième lecture et les deux autres. Mais il y a un lien voulu entre le texte de l’Evangile et le passage de l’Ancien Testament qui a été choisi comme première lecture.
Pendant les Temps forts de la liturgie, le choix des textes obéit à d’autres critères. En simplifiant, on dira que pour le Temps de l’Avent et pour les Fêtes, les trois textes des lectures sont choisis autour d’un thème (il est donc possible de trouver une unité entre les trois lectures). Au contraire, pendant le Carême, les textes de l’ Ancien Testament, d’une part, et les Évangiles, d’autres part, forment chacun une catéchèse distincte et complète (en conséquence, il n’y a pas ici de lien évident entre l’Evangile et le texte de l’Ancien Testament).
La démarche proposée
Les pistes de travail de ce dossier concernent directement les textes de l’Evangile selon s. Matthieu. Nous en avons choisi une quinzaine allant de l’Avent à la fin de l’année liturgique. Mais il est évident que l’on peut aussi remettre les textes dans l’ordre de l’Evangile de Mt. Chaque fois que cela nous a semblé possible, nous avons signalé à la fin de l’étude un regard vers le texte de l’Ancien Testament (et parfois aussi de la deuxième lecture).
Conseils pratiques
Il est important de lire ces textes, non dans votre missel, mais dans votre Bible, où vous trouverez le contexte du passage choisi pour la liturgie, ainsi que des notes et des références marginales qui éclaireront ce texte et vous aideront dans votre étude. Pour les textes des Évangiles de Mc et Lc (années B et C), n’oubliez pas de consulter le texte de Mt, chaque fois qu’il est parallèle, car c’est en Mt que vous trouverez habituellement les notes et les références marginales qui ne sont pas particulières aux textes de Mc ou et Lc. Par ailleurs, la comparaison synoptique (entre les textes de Mt-Mc-Lc)), chaque fois qu’elle est possible, est une aide importante pour la lecture d’un texte.
bonne nuit
12 janvier, 2009Concile Vatican II : « Les temps sont accomplis, le Règne de Dieu est tout proche. »
12 janvier, 2009du site:
http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&ordo=&localTime=01/12/2009#
Concile Vatican II
Constitution dogmatique sur l’Eglise dans le monde de ce temps « Gaudium et spes », § 41, 45
« Les temps sont accomplis, le Règne de Dieu est tout proche. »
L’homme moderne est en marche vers un développement plus complet de sa personnalité, vers une découverte et une affirmation toujours croissantes de ses droits. L’Église, pour sa part, qui a reçu la mission de manifester le mystère de Dieu, de ce Dieu qui est la fin ultime de l’homme, révèle en même temps à l’homme le sens de sa propre existence, c’est-à-dire sa vérité essentielle.
L’Église sait parfaitement que Dieu seul, dont elle est la servante, répond aux plus profonds désirs du coeur humain que jamais ne rassasient pleinement les nourritures terrestres. Elle sait aussi que l’homme, sans cesse sollicité par l’Esprit de Dieu, ne sera jamais tout à fait indifférent au problème religieux, comme le prouvent non seulement l’expérience des siècles passés, mais de multiples témoignages de notre temps.
L’homme voudra toujours connaître, ne serait-ce que confusément, la signification de sa vie, de ses activités et de sa mort. Ces problèmes, la présence même de l’Église les lui rappelle. Or Dieu seul, qui a créé l’homme à son image et l’a racheté du péché, peut répondre à ces questions en plénitude. Il le fait par la révélation dans son Fils, qui s’est fait homme. Quiconque suit le Christ, homme parfait, devient lui-même plus homme…
Car le Verbe de Dieu, par qui tout a été fait, s’est lui-même fait chair, afin que, homme parfait, il sauve tous les hommes et récapitule toutes choses en lui. Le Seigneur est le terme de l’histoire humaine, le point vers lequel convergent les désirs de l’histoire et de la civilisation, le centre du genre humain, la joie de tous les coeurs et la plénitude de leurs aspirations.