Archive pour le 17 décembre, 2008

L’arbre de Jesse (Mt 1,1-17) evangile d’aujourd’hui…

17 décembre, 2008

L'arbre de Jesse (Mt 1,1-17) evangile d'aujourd'hui... dans images sacrée 14%20ENLUMINURE%20WITTERT%20L%20ARBRE%20DE%20JESSE

http://www.artbible.net/3JC/-Mat-01,01-Genealogy,Tree,Arbre/slides/14%20ENLUMINURE%20WITTERT%20L%20ARBRE%20DE%20JESSE.html

l’explication de « l’Arbre de Jesse » je l’ai trové seulement en anglais, (je j’ai lis par Google traducteur), su le site:

http://www.cresourcei.org/jesse.html

Document des évêques de France sur le travail le dimanche

17 décembre, 2008

du site:

http://www.zenit.org/article-19645?l=french

Document des évêques de France sur le travail le dimanche

« Le dimanche au risque de la vie actuelle »

ROME, Mardi 16 décembre 2008 (ZENIT.org) – A l’occasion du projet de loi français sur le travail le dimanche, rappelons que les évêques de France ont publié un document intitulé : « Le dimanche au risque de la vie actuelle ».

En février 2008, le Conseil pour les questions familiales et sociales de la Conférence des évêques de France consacrait en effet un numéro de la revue « Documents Episcopat » sur le travail dominical et l’importance des enjeux en cause. 

Ce document, intitulé « Le dimanche au risque de la vie actuelle » a été rédigé par Mgr Jean-Charles Descubes, archevêque de Rouen et président de ce Conseil, Mgr Michel Guyard, évêque du Havre et membre de ce même Conseil, et M. Jacques Arènes, psychanalyste.

Ce texte est organisé en trois chapitres :

« Le respect du repos du dimanche »,

« Signification chrétienne du dimanche »

et « Précieux loisirs ».

Il donne en particulier les raisons théologiques, anthropologiques et sociales qui rendent ce repos hebdomadaire indispensable à tous.

On peut télécharger ce « Document Episcopat » sur « Le dimanche au risque de la société actuelle » depuis le site de la conférence des évêques de France (CEF).

Le site en propose aussi une synthèse que voici :

1 – Le dimanche, temps de retrouvailles et d’équilibre

L’Eglise souhaite bien sûr que les chrétiens puissent célébrer, chaque dimanche, la résurrection du Seigneur.

Ce texte indique également que, grâce au repos dominical, « chacun dispose du temps pour se reposer, vivre en famille, rencontrer les autres, avoir une vie sociale et bénéficier des diverses propositions culturelles, sportives, etc., qui lui sont offertes.

Le dimanche laisse à chacun le choix de son emploi du temps (…) : il est en cela un espace de liberté et de détente, au contraire de la semaine.

Le dimanche permet de se donner un équilibre de vie souvent mis à mal par le rythme de la semaine. »

Ce document souligne aussi que « l’économie et le travail ne sont pas le dernier mot d’une vie sociale ».

Le dimanche est « le temps des retrouvailles entre générations, adultes, jeunes et enfants quelles que soient leurs activités (école, études, entreprises privées ou publiques, etc.). Il permet de libérer un espace pour le jeu et la conversation entre les hommes ».

2 – Faire passer les lois du commerce avant la dimension conviviale, familiale et spirituelle

« D’autre part, préviennent les auteurs, si le dimanche devient un jour comme les autres, on est en droit de penser que des pressions s’exerceront sur le personnel en particulier dans les conditions d’embauche, que les avantages salariaux consentis actuellement disparaîtront progressivement à moins que l’on ait recours à des emplois à temps partiel continuant à renforcer les situations de précarité de bien des familles. »

« Dès lors, élargir l’ouverture des magasins le dimanche reviendrait à banaliser ce jour et à faire passer les lois du commerce avant la dimension conviviale, familiale et spirituelle de l’existence. Il n’y aurait plus de jour de congé hebdomadaire commun. Ceci accentuerait l’atomisation de la société française » souligne le Conseil pour les questions familiales et sociales de la Conférence des évêques de France.

bonne nuit

17 décembre, 2008

 

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc.

http://www.freefotohunter.com/tools/previewer.aspx?FileName=../images/categorie/Flowers-Fiori/W502.JPG&W=640&H=480&C=80

Rupert de Deutz: « Dans ta postérité seront bénies toutes les nations de la terre » (Gn 28,14)

17 décembre, 2008

du site:

http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&localTime=12/17/2008#

Rupert de Deutz (vers 1075-1130), moine bénédictin
De Divinis Officiis, 3, 18 (trad. de Lubac, Catholicisme, p. 333)

« Dans ta postérité seront bénies toutes les nations de la terre » (Gn 28,14)

On nous lit la généalogie du Christ dans saint Matthieu. Cet usage, traditionnel dans la sainte Église, n’est pas sans de beaux et mystérieux motifs. Car en vérité, cette lecture nous présente l’échelle que Jacob a vu de nuit, pendant son sommeil (Gn 28,11s). Tout en haut de cette échelle, qui par son sommet touchait les cieux, le Seigneur est apparu à Jacob, appuyé sur elle, et lui a promis l’héritage de la terre… Or, nous le savons, « tout leur arrivait de manière symbolique » (1Co 10,11). Que préfigurait donc cette échelle sinon la lignée d’où Jésus Christ devait naître, lignée que le saint évangéliste, d’une bouche divine, a fait monter de telle sorte qu’elle aboutit au Christ en passant par Joseph ? À ce Joseph, le Seigneur, petit enfant, est appuyé. Par la « Porte du ciel » (Gn 28,17)…, c’est à dire par la Bienheureuse Vierge, notre Seigneur, fait pour nous petit enfant, sort en vagissant… En son sommeil, Jacob a entendu le Seigneur lui dire : « Dans ta postérité seront bénies toutes les nations de la terre », et maintenant ce fait est accompli dans la naissance du Christ.

C’est bien ce que l’évangéliste avait en vue, lorsqu’il insérait nommément dans sa généalogie Rahab la prostituée et Ruth la Moabite ; car il voyait bien que le Christ n’est pas venu dans la chair pour les juifs seulement, mais aussi pour les païens, lui qui a daigné recevoir des aïeules prises parmi ces païens. Venus donc des deux peuples, les juifs et les païens, comme des deux côtés de l’échelle, les pères anciens, placés aux différents degrés, soutiennent le Christ Seigneur qui sort du haut des cieux. Et tous les saints anges descendent et montent le long de cette échelle, et tous les élus sont pris d’abord dans le mouvement de descente, pour recevoir humblement la foi en l’incarnation du Seigneur, et sont ensuite élevés afin de contempler la gloire de sa divinité.