Archive pour le 15 septembre, 2008

Notre Dame des Douleurs

15 septembre, 2008

Notre Dame des Douleurs dans images sacrée

http://santiebeati.it/

le « Stabat Mater » histoire et textes, litin et français

15 septembre, 2008

du site:

http://missel.free.fr/calendrier.php?mois=9&annee=2008

Stabat mater, histoire

L’auteur présumé, mais probable, du Stabat Mater est un assez curieux personnage surtout connu pour cent deux petits poèmes en dialecte ombrien, rythmés comme des chansons, tour à tour doctrinaux, hagiographiques, liturgiques et mystiques, encore que les plus célèbres sont des satires terribles.

Jacome de’ Benedetti, que nous connaissons généralement sous le nom de Jacopone de Todi, naquit, vers 1236, d’une bonne famille bourgeoise de Todi, dans la province ombrienne de Pérouse, où, après de solides études de droit à l’université de Bologne, il remplit avec succès les fonctions de procureur légal et notarial.

La tradition veut qu’il mena une vie frivole et bien peu chrétienne jusqu’à ce que sa jeune épouse, la belle Vanna di Bernardino di Guidone, issue de la famille des puissants comtes de Coldimezzo, mourût écrasée sous le plancher d’une salle de bal (1268). Veuf inconsolable qui avait trouvé un cilice sur le corps de sa femme, il resta dans le siècle où, après avoir distribué ses biens aux pauvres, il vécut en pénitent pendant dix ans. Incroyablement original, il se plaisait, par toutes sortes de farces grossières, à dénoncer les vanités du monde ; en même temps, il prêchait au petit peuple des campagnes pour l’éveiller aux merveilles de l’amour de Dieu : 0 Amour, Amour divin, Amour qui n’est pas aimé ! D’abord admis dans le Tiers-Ordre franciscain, il finit par être accepté comme frère convers par le gardien du couvent des Franciscains de San Fortunato, de Todi (1278), mais, malgré ses désirs, il dut, par obéissance, accepter l’ordination sacerdotale.

Lorsque le pape Boniface VIII revint, au profit des Franciscains conventuels, sur les privilèges que son prédécesseur, Célestin V, avait accordé aux Franciscains spirituels, Jacopone de Todi se lança dans la bataille avec toute l’ardeur que l’on imagine. Les Franciscains spirituels, rejetant tous les autres textes, fussent-ils pontificaux, entendaient rester fidèles à la première règle de saint François d’Assise et à son testament dans une intégrale pauvreté ; il étaient opposés à la vie conventuelle des villes au profit d’une vie érémitique dans la nature et rejetaient les études au profit de l’humilité : Paris a détruit Assise, écrivit Jacopone de Todi. En 1294, Célestin V sépara les Spirituels de l’Ordre franciscain et leur permit de former une congrégation nouvelle, appelée les pauvres ermites du pape Célestin, qu’il mit sous la protection du cardinal Napoléon Orsini et de l’abbé général des Célestins. Lorsque que Célestin eut abdiqué (1294), son successeur, Boniface VIII, abolit ses prescriptions et, les Spirituels, privés d’existence légale, entrèrent d’autant mieux en opposition avec le Pape que leur cardinal protecteur en était l’ennemi ; Jacopone de Todi signa le manifeste des cardinaux Colonna qui exigeaient la déposition de Boniface VIII dont ils contestaient la légitimité (10 mai 1297). Jacopone de Todi fit tant et si bien, par des vers fougueux et irrévérencieux, que Boniface VIII, l’ayant en son pouvoir après la prise de Palestrina, le fit enfermer dans un cachot et l’excommunia pour qu’il fût privé des sacrements (septembre 1298). Un jour, dit-on, que Boniface VIII visitant ses prisons lui demanda : Quand sortiras-tu de là ? Jacopone répondit : Quand tu me remplaceras ! Jacopone eut beau faire amende honorable dans des vers admirables d’humilité, il ne fut libéré qu’après la mort du terrible pontife (1303) ; il fut l’objet de la sollicitude des Clarisses de San Lorenzo a Collazzone, près de Todi, où il mourut saintement le jour de Noël 1306. Longtemps après, en 1433, son corps fut transporté au couvent des Franciscains de San Fortunato qui, en 1596, le placèrent dans leur crypte avec l’inscription suivante : Reliques du bienheureux Jacopone de Benedictis, de Todi, frère de l’ordre des Mineurs. Sa folie pour le Christ fut une ruse inédite pour piper le monde et ravir le ciel.

Stabat Mater latin-français

Stabat Mater dolorosa
Juxta Crucem lacrimosa
Dum pendebat Filius.

Debout, la Mère douloureuse
Serrait la Croix, la malheureuse,
Où son pauvre enfant pendait.

Cujus animam gementem,
Contristatam et dolentem,
Pertransivit gladius.

Et dans son âme gémissante,
Inconsolable, défaillante,
Un glaive aigu s’enfonçait.

O quam tristis et afflicta
Fuit illa benedicta
Mater Unigeniti !

Ah ! qu’elle est triste et désolée,
La Mère entre toutes comblée !
Il était le Premier-Né !

Quae moerebat et dolebat
Pia Mater, dum videbat
Nati poenas inclyti.

Elle pleure, pleure, la Mère,
Pieusement qui considère
Son enfant assassiné.

Quis est homo qui non fleret,
Matrem Christi si videret
In tanto supplicio ?

Qui pourrait retenir ses pleurs
A voir la Mère du Seigneur
Endurer un tel Calvaire ?

Quis non posset contristari,
Christi Matrem contemplari
Dolentem cum Filio ?

Qui peut, sans se sentir contrit,
Regarder près de Jésus-Christ
Pleurer tristement sa Mère ?

Pro peccatis suae gentis,
Vidit Jesum in tormentis,
Et flagellis subditum.

Pour les péchés de sa nation,
Elle le voit, dans sa Passion,
Sous les cinglantes lanières.

Vidit suum dulcem natum
Moriendo desolatum,
Dum emisit spiritum.

Elle voit son petit garçon
Qui meurt dans un grand abandon
Et remet son âme à son Père.

Eia Mater, fons amoris,
Me sentire vim doloris
Fac, ut tecum lugeam.

Pour que je pleure avec toi,
Mère, source d’amour, fais-moi
Ressentir ta peine amère !

Fac, ut ardeat cor meum
In amando Christum Deum,
Ut sibi complaceam.

Fais qu’en mon coeur brûle un grand feu,
L’amour de Jésus-Christ mon Dieu,
Pour que je puisse lui plaire !

Sancta Mater, istud agas,
Crucifixi fige plagas
Cordi meo valide.

Exauce-moi, ô sainte Mère,
Et plante les clous du Calvaire
Dans mon coeur, profondément !

Tui nati vulnerati,
Tam dignati pro me pati,
Poenas mecum divide.

Pour moi ton Fils, couvert de plaies,
A voulu tout souffrir ! Que j’aie
Une part de ses tourments !

Fac me tecum pie flere,
Crucifixo condolore,
Donec ego vixero.

Que je pleure en bon fils avec toi,
Que je souffre avec lui sur la Croix
Tant que durera ma vie !

Juxta Crucem tecum stare,
Et me tibi sociare
In planctu desidero.

Je veux contre la Croix rester
Debout près de toi, et pleurer
Ton fils en ta compagnie !

Virgo virginum proeclara,
Mihi jam non sis amara,
Fac me tecum plangere.

O Vierge, entre les vierges claire,
Pour moi ne sois plus si amère :
Fais que je pleure avec toi !

Fac, ut portem Christi mortem,
Passionis fac consortem,
Et plagas recolere.

Fais que me marque son supplice,
Qu’à sa Passion je compatisse,
Que je m’applique à sa Croix !

Fac me plagis vulnerari,
Fac me Cruce inebriari,
Et cruore Filii.

Fais que ses blessures me blessent,
Que je goûte à la Croix l’ivresse
Et le sang de ton enfant !

Flammis ne urar succensus,
Per te, Virgo, sim defensus
In die judicii.

Pour que j’échappe aux vives flammes,
Prends ma défense, ô notre Dame,
Au grand jour du jugement !

Christe, cum sit hinc exire,
Da per Matrem me venire
Ad palmam victoriae.

Jésus, quand il faudra partir,
Puisse ta Mère m’obtenir
La palme de la victoire.

Quando corpus morietur,
Fac, ut animae donetur
Paridisi gloria.

Et quand mon corps aura souffert,
Fais qu’à mon âme soit ouvert
Le beau paradis de gloire !

du site Vatican: Voyage apostolique en France de Pape Benoît

15 septembre, 2008

du site:

http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/travels/2008/index_francia_fr.htm

 

Voyage apostolique
en France à
l’occasion du 150e anniversaire
des apparitions de Lourdes
(12-15 septembre 2008)
15 septembre 2008: Messe de Notre-Dame des Douleurs (Lourdes, )
[Allemand, Anglais, Espagnol, Français, Italien]

14 septembre 2008: Messe de la fête de l’Exaltation de la Sainte Croix (Lourdes)
[Anglais, Espagnol, Français, Italien]

13 septembre 2008: Procession aux flambeaux sur l’Esplanade du Rosaire (Lourdes)
[Anglais, Espagnol, Français, Italien]

13 septembre 2008: Messe sur l’Esplanade des Invalides (Paris)
[Anglais, Espagnol, Français, Italien]

12 septembre 2008: Célébration des vêpres avec le clergé, les religieuses et religieux, les séminaristes et les diacres en la cathédrale Notre-Dame (Paris)
[Anglais, Espagnol, Français, Italien]

Cardinal Tarcisio Bertone : « La laïcité positive doit maintenant passer dans les faits »

15 septembre, 2008

du site: 

http://www.cardinalrating.com/cardinal_12__article_7453.htm

« La laïcité positive doit maintenant passer dans les faits »
Sept 14, 2008

À la veille de sa venue en France au côté de Benoît XVI, le secrétaire d’État du Saint-Siège a confié aux rédactions de « La Croix » et de « Pèlerin » son regard de plus proche collaborateur du pape sur l’Église de France et l’engagement des catholiques dans la société.

(La Croix, 09/09/2008) Pouvez-vous nous rappeler quels sont vos liens personnels avec la France ?

Cardinal Tarcisio Bertone : J’apprécie beaucoup la culture française. Le français est la première langue étrangère que j’ai étudiée. Dans ma vie de lycéen et d’étudiant à l’université, j’ai lu beaucoup d’ouvrages passionnants de grands auteurs français, comme Paul Claudel, François Mauriac, Maurice Nédoncelle et, bien sûr, en raison des cours de morale sociale et de morale internationale que je dispensais, j’ai particulièrement approfondi les publications de Jacques Maritain et de René Coste.

Quels sont les défis que les catholiques français doivent relever prioritairement ?
L’Église, en France, par son enracinement historique profond dans la société, par son exigence missionnaire et intellectuelle, a toujours voulu être présente à l’ensemble des questions sociales et des lieux où les hommes vivent et travaillent : attention aux problèmes bioéthiques, à l’éducation et à la famille, à la vie dans les banlieues, à l’accueil et à l’intégration des populations immigrées, à la culture…

L’Église, en France, doit demeurer fidèle à cette tradition en continuant d’embrasser par son regard et par son engagement l’ensemble des réalités humaines. L’histoire de l’Église dans votre pays présente à cet égard des visages de sainteté très divers, qui attestent de son ouverture très large et permanente aux défis du monde, en même temps que de la grande fécondité sociale de l’Évangile.

La question de la laïcité a récemment suscité de nouveaux débats, d’abord lors du centenaire de la loi de séparation de l’Église et de l’État, puis en raison des propos tenus en décembre 2007 par le président de la République à Rome, lors de sa visite au Saint-Siège. Comment percevez-vous ce débat ?
La conception française de la laïcité a longtemps eu tendance à marginaliser la foi, la cantonnant au domaine privé. De son côté, l’Église, en France, qui a pourtant l’habitude d’être en dialogue avec les autres confessions religieuses et avec les autres familles de pensée présentes dans la société française, a souvent peiné à faire comprendre qu’elle ne parle ni n’agit à la manière d’un lobby qui cherche à faire avancer ses intérêts, mais qu’elle veut contribuer, par son expression, à la recherche du bien commun.

Heureusement, ces deux éléments ont un peu évolué au cours de ces dix dernières années. Le président Sarkozy en a ainsi donné la mesure lors de son discours au palais du Latran, quand il a parlé d’une laïcité « positive » qui reconnaisse l’importance et la valeur des religions.

Comment la situation doit-elle évoluer selon vous ?
Aujourd’hui, l’État est conduit à prendre en compte le fait que, malgré l’avancée de la sécularisation, beaucoup de citoyens ont une « vie spirituelle » qui a un retentissement dans la vie sociale, et qu’il n’est ni juste ni fécond que l’on veuille bâtir le bien commun en dehors de toute considération pour ce qui est, à la lumière du bon sens, une réalité sociale.

Si les mots ont une signification, la laïcité positive ne constitue pas une menace pour le principe de laïcité, ni même une rupture. Cela signifie seulement que cette laïcité n’est pas aveugle et qu’elle ne méconnaît pas le fait religieux. C’est une évolution qui la rend plus saine. Il faut maintenant que cette conception de la laïcité passe peu à peu dans les faits.

La société française est de plus en plus marquée par le pluralisme religieux. Comment l’Église doit-elle aborder ce nouveau contexte ?
En premier lieu, je rappellerai que la vie des chrétiens se détermine davantage à partir du Christ que du contexte historique ou social de l’Église, et je reprendrai volontiers les mots exprimés récemment par le cardinal Jean-Louis Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux : « Nous ne devons jamais faire preuve de timidité dans notre manière de croire et de vivre notre foi. »

Le dialogue interreligieux ne s’oppose ni ne se substitue au témoignage. Ce dialogue entre les grandes traditions religieuses, dont la logique profonde est celle de la charité, n’a pas pour finalité d’effacer les différences entre les croyants. Il obéit à une autre motivation : celle de découvrir, aidés les uns par les autres, la vérité sur Dieu, sur l’homme et sur sa mystérieuse destinée.

Sachant les fortes attentes autour du dialogue interreligieux et, en même temps, le désir actuel de beaucoup de chrétiens de s’y engager, je tiens à signaler qu’un document du Conseil pontifical est en préparation pour aider et stimuler les acteurs de ce dialogue.

Benoît XVI accomplit sa visite pastorale en France à l’occasion du 150e anniversaire des apparitions de la Vierge à Bernadette. Quelle place peuvent avoir un tel événement et un tel lieu dans la vie des croyants ?
À travers la vie de sainte Bernadette, nous découvrons comment le plus extraordinaire – recevoir la grâce de devenir la confidente de la Vierge Marie – se mêle à une vie humaine tout ordinaire. Grâce à elle, nous pouvons saisir de façon concrète comment l’alliance avec Dieu ne nous fait pas déserter l’histoire des hommes et ne dispense pas de porter tout le poids de la condition humaine, tout en la transfigurant par l’humilité de l’amour.

En raison de ma formation salésienne, je vis de façon intense la dévotion à la Vierge (1) et je suis très attaché à Lourdes, qui marque profondément le visage du catholicisme français. L’Église de France nourrit, en ce lieu, un lien filial singulier avec Marie, comme en témoignent la fréquentation très importante du sanctuaire et les grands pèlerinages – National, diocésains et internationaux – qui s’y déroulent chaque année.

Elle reste à l’écoute des événements de Lourdes, d’où elle tire une attention particulière aux petits, confidents privilégiés des secrets du Royaume, et une forme de courage qui ne se laisse pas effrayer par la pauvreté de ses moyens ou par des données sociologiques qui marquent un certain affaiblissement.

Au final, quelle image avez-vous de l’Église de France ?
Je pense qu’elle est toujours profondément habitée par la vertu d’espérance. Elle a appris de la Vierge Marie à croire que « rien n’est impossible à Dieu ». C’est, du reste, par ces traits que les communautés chrétiennes de votre pays, dans le contexte qui est le leur – une nation prospère et assez fortement sécularisée –, livrent désormais un témoignage singulier dans l’Église universelle

Notre Dame de Lourdes

15 septembre, 2008

Notre Dame de Lourdes dans images sacrée

http://santiebeati.it/

« A partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui »

15 septembre, 2008

 du site:

http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&localTime=09/15/2008#

Bienheureux Guerric d’Igny (vers 1080-1157), abbé cistercien
4ème Sermon pour l’Assomption (trad. cf. Pain de Cîteaux 8, p. 105 et SC 202, p. 459)

« A partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui »

Quand Jésus s’est mis à parcourir les villes et les villages pour annoncer la Bonne Nouvelle (Mt 9,35), Marie l’accompagnait, inséparablement attachée à ses pas, suspendue à ses lèvres dès qu’il ouvrait la bouche pour enseigner. A tel point que ni la tempête de la persécution ni l’horreur du supplice n’ont pu lui faire abandonner la compagnie de son Fils, l’enseignement de son Maître. « Près de la croix de Jésus se tenait Marie, sa mère ». Vraiment, elle est mère, celle qui n’abandonnait pas son Fils, même dans les terreurs de la mort. Comment aurait-elle pu être effrayée par la mort, elle dont « l’amour était fort comme la mort » (Ct 8,6) et même plus fort que la mort. Oui, elle se tenait debout près de la croix de Jésus et la douleur de cette croix la crucifiait dans son coeur elle aussi ; toutes les plaies dont elle voyait blessé le corps de son Fils étaient autant de glaives qui lui transperçaient l’âme (Lc 2,35). C’est donc à juste titre qu’elle est proclamée Mère ici et qu’un protecteur bien choisi est désigné pour prendre soin d’elle, car c’est ici surtout que se manifestent l’amour parfait de la mère à l’égard du Fils et la vraie humanité que le Fils avait reçue de sa mère…

Jésus « l’ayant aimée, il l’aima jusqu’à la fin » (Jn 13,1). Non seulement la fin de sa vie a été pour elle, mais aussi ses derniers mots : achevant pour ainsi dire de dicter son testament, Jésus a confié le soin de sa mère à son plus cher héritier… Pierre, pour sa part, a reçu l’Eglise, et Jean, Marie. Cette part revenait à Jean comme un signe de l’amour privilégié dont il était l’objet, mais aussi à cause de sa chasteté… Car il convenait que personne d’autre ne rende ses services à la mère du Seigneur que le disciple bien-aimé de son Fils… Et par cette disposition providentielle, le futur évangéliste pourrait s’entretenir familièrement de tout avec celle qui savait tout, elle qui, depuis le commencement, observait attentivement tout ce qui concernait son Fils, qui « conservait avec soin toutes ces choses et les méditait dans son coeur » (Lc 2,19).

le voyage du Pape en France

15 septembre, 2008

le voyage du Pape en France

demain, ou après demain, je mettrai le lien au site Vatican pour trouver tous le discours du Pape et autres site, peut-être le journal « Osservatore Romano » pour lire ou re-lire tous les discours, et dés que possible, les premiers commentaires et les approfondissements;

demain je mettrai le lien alla KTOTV comme suggéré indirectement dall’j'achève commente;

Gabriella