Saint Praxède de Rome Vierge et martyre
traduction (très difficile) du site:
http://www.santiebeati.it/dettaglio/63850
Saint Praxède de Rome Vierge et martyre
mémoire facultative 21 Juillet II sec.
Elle fut victime avec la sœur Pudenziana (fêtée le 19 mai) des persécutions. Elle repose dans la basilique romaine qui porte son nom ensemble à autres martyres. Etymologie : Prassede = celle qui agit, en tant que le grec Emblème : Lys, Palmier Martyrologie Romain : À Rome, commémoration de saint Praxède, sous le nom duquel fut dédié à Dieu une église sur le col Esquilin. Son nom jumelé à celle de S. Pudenziana martyre romaine sa sœur, figure dans les itinéraires dont du sec. VII il résulte qu’ils était vénérez du pèperins dans le cimetière de Priscilla sur Salarie. En outre elles sont mentionnées dans le ` »Kalendarium Vaticanum » ‘de la Basilique de s. Pietro du XII siècle, Pudenziana au 19 mai et Praxède sa sœur le 21 Juillet. Leur vie est recomptée en `Leggendari’ ou `Passionari’ romain, ils furent composée autour du V-VI sec. à emploie des clercs et des moines pour leur fournir les des prières pour les Bureaux religieux, pour pieuses lectures ; le `Passionari’ des récits des vies et des souffrances des saints martyres, se répandirent largement dans les milieux religieux du Haut et Bas Moyen âge.
Le `Geste’ des les deux saintes martyres, recomptent, que « Pastore » (en prêtre), prêtre de Rome, écrit à Timothée disciple de s. Paul, qui Pudente, ami des Apôtres , après les mortes de ses parents et de femme Savinella, avait transformé sa maison dans une église avec l’aide des mêmes Paster (en prêtre). Ensuite Pudente meurt en laissant quatre fils, deux hommes: Timoteo et Novato et deux femmmess Pudenziana et Praxède. Les deux femmes avec l’accord du prêtre Pastore et du papa Pio I (140-155), construisent un baptistère dans l’église fondée du père, en convertissant et en administrant le baptême aux nombreux domestiques et à beaucoup à de païennes, le pape visite souvent l’église (titulus) et les fidèles, en célébrant la Messe pour leurs intentions. Pudenziana (Potentiana) meurt à l’âge de seize ans, peut-être martyre et est enterrée prés du père Pudente, dans le cimetière de Priscilla, sur Salarie. Après un certain temps, même le frère Novato on tombe malade et avant de mourir il offre ses biens à Prassede, à Pastero et au papa Pio I. Le récit poursuit avec une lettre envoyée en tant que les trois susdits l’autre frère Timothée, pour lui demander d’approuver la donation reçue. Timothée, qui évidemment était lointain, répond affirmativement, en les laissant libres d’employer les biens de famille. Alors Praxède demande au papa Pio I, d’édifier une église dans terme de Novato (évidemment de sa propriété) `en vico Patricius’, Le Pape consent en l’intitulant à bienheureux Vierge Pudenziana (Potentiana), en outre érige une autre église `en vico Lateranus’ en l’intitulant à bienheureux Vierge Praxède, probablement un saint homonyme. Deux ans après elle éclate une autre persécution et Praxède il cache dans son église (titulus) beaucoup de chrétiens ; l’empereur Antonino Pio (138-161) informé, en arrête et condamnation à mort beaucoup d’eux, compris le prêtre Semetrius ; Praxède pendant la nuit pourvoit à leur sépulture dans le cimetière de Priscilla, mais beaucoup peinée pour ces évènements, obtient de la mourir martyre même quelque jour après. Le prêtre Pastere l’enterre même près du père Pudente et à la sœur Pudenziana. Le récit du `Gesta’ des deux saints est plein de fantaisie, œuvre sans autre d’un mois ou pio clerc du V-VI siècle. Leur existence de toute façon est certaine, parce qu’elles sont mentionnées dans beaucoup d’anciens codes. Le 20 janvier 817 le papa Pascal fit transférer les corps de 2300 martyres des catacombe ou cimetières, à l’intérieur de la ville, pour le préserver des dévastations et du sacrilège qui se sont vérifiés déjà pendant les invasions des Longobarde ; le relique elles furent distribuées dans les diverses églises de Rome. Ces de s. Pudenziana dans l’église de s. Pudente son père et ces de Praxède dans l’église de s. Prassede que selon quelques spécialistes pas était la même personne. Le corps de s. Pudenziana (Potentiana) vint translate soit dans le 1586, qu’en 1710, lorsque elle fut restaurée l’église ensuite à elle intitulée, sous l’autel majeur ; du IV siècle jusqu’à tout VI siècle l’église il portait le nom du fondateur Pudente (Ecclesiae Pudentiana) ; du VII siècle l’église changea d’abord le nom en « Ecclesiae S. Potentianae » et ensuite du 1600 à aujourd’hui exclusivement en église de S. Pudenziana, en transférant ainsi les intitulation du nom du père à cette de la fille. En ce qui concerne le relique de s. Praxède, même elles reposent dans l’église qui porte son nom, ensemble à celà de la sœur et d’autres martyres, ramassées en quatre anciens sarcophage dans crypte. La célébration liturgique est restée divisée : s. Praxède au 21 Juillet et s. Pudenziana le 19 mai. Une des plus anciennes représentation des deux saintes sœurs est à fresque du IX siècle retrouvé en 1891 dans l’église Pudenziana, qui les représente ensemble à s. Pierre, en outre se voit ensemble à la Madonna dans une peinture murale au fond de crypte de l’église de saint Praxède, comme aussi dans la grandiose mosaïque de la cuvette absidale de la même église, offert de Pape Pascal I. De toute façon les deux églises suis concentré d’œuvres d’art auquel on a dédié des artistes de chaque temps, pour rendre hommage aux deux saintes sœurs romaines, témoins de l’héroïcité des chrétiens des premiers siècles.
Auteur : Antonio Borrelli
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