Archive pour le 21 juillet, 2008

Sainte Paxède de Rome

21 juillet, 2008

Sainte Paxède de Rome dans images sacrée

http://santiebeati.it/

Saint Praxède de Rome Vierge et martyre

21 juillet, 2008

traduction (très difficile) du site:

 

http://www.santiebeati.it/dettaglio/63850

Saint Praxède de Rome Vierge et martyre

mémoire facultative 21 Juillet II sec.

 

Elle fut victime avec la sœur Pudenziana (fêtée le 19 mai) des persécutions. Elle repose dans la basilique romaine qui porte son nom ensemble à autres martyres. Etymologie : Prassede = celle qui agit, en tant que le grec Emblème : Lys, Palmier Martyrologie Romain : À Rome, commémoration de saint Praxède, sous le nom duquel fut dédié à Dieu une église sur le col Esquilin. Son nom jumelé à celle de S. Pudenziana martyre romaine sa sœur, figure dans les itinéraires dont du sec. VII il résulte qu’ils était vénérez du pèperins dans le cimetière de Priscilla sur Salarie. En outre elles sont mentionnées dans le ` »Kalendarium Vaticanum » ‘de la Basilique de s. Pietro du XII siècle, Pudenziana au 19 mai et Praxède sa sœur le 21 Juillet. Leur vie est recomptée en `Leggendari’ ou `Passionari’ romain, ils furent composée autour du V-VI sec. à emploie des clercs et des moines pour leur fournir les des prières pour les Bureaux religieux, pour pieuses lectures ; le `Passionari’ des récits des vies et des souffrances des saints martyres, se répandirent largement dans les milieux religieux du Haut et Bas Moyen âge.

Le `Geste’ des les deux saintes martyres, recomptent, que « Pastore » (en prêtre), prêtre de Rome, écrit à Timothée disciple de s. Paul, qui Pudente, ami des Apôtres , après les mortes de ses parents et de femme Savinella, avait transformé sa maison dans une église avec l’aide des mêmes Paster (en prêtre). Ensuite Pudente meurt en laissant quatre fils, deux hommes: Timoteo et Novato et deux femmmess Pudenziana et Praxède. Les deux femmes avec l’accord du prêtre Pastore et du papa Pio I (140-155), construisent un baptistère dans l’église fondée du père, en convertissant et en administrant le baptême aux nombreux domestiques et à beaucoup à de païennes, le pape visite souvent l’église (titulus) et les fidèles, en célébrant la Messe pour leurs intentions. Pudenziana (Potentiana) meurt à l’âge de seize ans, peut-être martyre et est enterrée prés du père Pudente, dans le cimetière de Priscilla, sur Salarie. Après un certain temps, même le frère Novato on tombe malade et avant de mourir il offre ses biens à Prassede, à Pastero et au papa Pio I. Le récit poursuit avec une lettre envoyée en tant que les trois susdits l’autre frère Timothée, pour lui demander d’approuver la donation reçue. Timothée, qui évidemment était lointain, répond affirmativement, en les laissant libres d’employer les biens de famille. Alors Praxède demande au papa Pio I, d’édifier une église dans terme de Novato (évidemment de sa propriété) `en vico Patricius’, Le Pape consent en l’intitulant à bienheureux Vierge Pudenziana (Potentiana), en outre érige une autre église `en vico Lateranus’ en l’intitulant à bienheureux Vierge Praxède, probablement un saint homonyme. Deux ans après elle éclate une autre persécution et Praxède il cache dans son église (titulus) beaucoup de chrétiens ; l’empereur Antonino Pio (138-161) informé, en arrête et condamnation à mort beaucoup d’eux, compris le prêtre Semetrius ; Praxède pendant la nuit pourvoit à leur sépulture dans le cimetière de Priscilla, mais beaucoup peinée pour ces évènements, obtient de la mourir martyre même quelque jour après. Le prêtre Pastere l’enterre même près du père Pudente et à la sœur Pudenziana. Le récit du `Gesta’ des deux saints est plein de fantaisie, œuvre sans autre d’un mois ou pio clerc du V-VI siècle. Leur existence de toute façon est certaine, parce qu’elles sont mentionnées dans beaucoup d’anciens codes. Le 20 janvier 817 le papa Pascal fit transférer les corps de 2300 martyres des catacombe ou cimetières, à l’intérieur de la ville, pour le préserver des dévastations et du sacrilège qui se sont vérifiés déjà pendant les invasions des Longobarde ; le relique elles furent distribuées dans les diverses églises de Rome. Ces de s. Pudenziana dans l’église de s. Pudente son père et ces de Praxède dans l’église de s. Prassede que selon quelques spécialistes pas était la même personne. Le corps de s. Pudenziana (Potentiana) vint translate soit dans le 1586, qu’en 1710, lorsque elle fut restaurée l’église ensuite à elle intitulée, sous l’autel majeur ; du IV siècle jusqu’à tout VI siècle l’église il portait le nom du fondateur Pudente (Ecclesiae Pudentiana) ; du VII siècle l’église changea d’abord le nom en « Ecclesiae S. Potentianae » et ensuite du 1600 à aujourd’hui exclusivement en église de S. Pudenziana, en transférant ainsi les intitulation du nom du père à cette de la fille. En ce qui concerne le relique de s. Praxède, même elles reposent dans l’église qui porte son nom, ensemble à celà de la sœur et d’autres martyres, ramassées en quatre anciens sarcophage dans crypte. La célébration liturgique est restée divisée : s. Praxède au 21 Juillet et s. Pudenziana le 19 mai. Une des plus anciennes représentation des deux saintes sœurs est à fresque du IX siècle retrouvé en 1891 dans l’église Pudenziana, qui les représente ensemble à s. Pierre, en outre se voit ensemble à la Madonna dans une peinture murale au fond de crypte de l’église de saint Praxède, comme aussi dans la grandiose mosaïque de la cuvette absidale de la même église, offert de Pape Pascal I. De toute façon les deux églises suis concentré d’œuvres d’art auquel on a dédié des artistes de chaque temps, pour rendre hommage aux deux saintes sœurs romaines, témoins de l’héroïcité des chrétiens des premiers siècles.

Auteur : Antonio Borrelli

Jamais plus d’abus sexuels sur des mineurs

21 juillet, 2008

du site: 

http://www.zenit.org/article-18520?l=french

Jamais plus d’abus sexuels sur des mineurs

Entretien avec le président de la Conférence épiscopale australienne

ROME, Lundi 21 juillet 2008 (ZENIT.org) – Samedi dernier Benoît XVI a demandé pardon aux victimes d’abus sexuels commis par des membres du clergé en Australie, et confirmé la volonté de l’Eglise de prendre des mesures préventives pour combattre ces méfaits.

Mgr Philip Wilson, archevêque d’Adélaïde et président de la Conférence épiscopale australienne, a expliqué que l’Eglise a besoin d’un programme qui réponde non seulement à cette situation d’abus, mais qui permette d’éviter à tout jamais que de tels abus ne se répètent.

Dans cet entretien à ZENIT, l’archevêque indique quelles sont les mesures concrètes qui peuvent aider à surmonter la crise due aux scandales sexuels, et trace un bref bilan de la Journée mondiale de la Jeunesse.

ZENIT – Que pensez-vous de ce que Benoît XVI a dit sur la question des abus sexuels dans son discours au clergé australien ?

Mgr Wilson - Le Saint-Père, concernant les abus sexuels perpétrés en Australie par des prêtres ou religieux, a eu des paroles merveilleuses, celles d’un pasteur de l’Eglise.

Il a dit combien tout cela l’a peiné et souligné que des mesures devaient être prises, dans une attitude de compassion, en particulier à l’égard des victimes de ces abus. Il a également dit ce qu’il était nécessaire de faire pour garantir que cela n’arrive plus, réaffirmant la nécessité de trouver les moyens de protéger et de surveiller les enfants à l’intérieur de nos communautés.

ZENIT – Pourriez-vous nous dire brièvement ce qui a été fait et ce que l’Eglise en Australie pourrait encore faire par rapport à ce problème ?

Mgr Wilson - Je crois que tous travaillent durement pour trouver ce qu’il y a de mieux à faire pour répondre à cette situation, en s’efforçant d’aider les victimes, et de reconnaître la part de culpabilité

qui existe dans tout cela.Nous reconnaissons que certaines personnes, au sein de l’Eglise, ont commis des choses terribles et sont responsables. Nous devons r

épondre à ces faits d’une manière qui soit appropriée, mais également réaliste et authentique.

Se limiter à des excuses sans agir ne servirait à rien. Des pas concrets doivent être accomplis pour affronter ce problème, et en Australie nous avons été très fermes sur ce point. En effet, en 1996, nous avons mis sur pied un programme appelé « Towards Healing » (« Vers la guérison ») qui marche très bien.

Les victimes ont beaucoup à nous apporter à ce sujet, et le programme a été réadapté deux fois en fonction des observations qu’ils nous faisaient.

ZENIT – Comme vous l’avez déjà affirmé, ce secteur est un des secteurs où l’Eglise se donne le plus de mal…

Mgr Wilson - Cela fait longtemps que je m’occupe des divers points que le programme de l’Eglise devrait affronter pour faire face à des questions de ce type.

En premier lieu, nous devons suivre un programme qui permette d’agir sur les auteurs de ces abus afin qu’ils cessent leur acte, utilisant tous les pouvoirs dont l’Eglise dispose.

Deuxièmement, en présence de toute activité criminelle, il est nécessaire de pouvoir en référer directement aux autorités.

Troisièmement, nous devons être vraiment attentifs au moment de la sélection des personnes qui veulent accéder au sacerdoce ou à la vie religieuse, être sûrs de leur état psychologique ou physique, veiller à ce qu’elles soient prêtes à entreprendre la vie à laquelle elles se sentent appelées.

Enfin, comme a dit le Saint-Père, et je m’en félicite, nous devons faire tout notre possible en tant que communauté pour développer un meilleur système de protection pour les enfants. Ce qui veut dire que nous devons chercher tous les moyens qui puissent donner aux enfants le plus haut niveau de protection possible.

ZENIT – Après tant de scepticisme de la part des médias vis-à-vis de l’Eglise, dans quelle mesure la Journée mondiale des Jeunes est parvenue à briser ce préjugé ?

Mgr Wilson - Je ne suis pas certain de l’effet général produit, mais je pense que l’expérience de la Journée mondiale de la jeunesse, non seulement à Sydney mais dans d’autres régions d’Australie, a permis aux gens d’avoir une nouvelle vision de l’Eglise.

Souvent les gens pensent que l’Eglise n’a aucune relation vivante avec les jeunes, et ceci crée des difficultés, car nous vivons dans une culture qui n’encourage pas les personnes à croire ou à répondre à l’Eglise.Les faits nous disent que pr

ès de 500.000 jeunes sont venus du monde entier manifester explicitement leur foi ; qu’ils sont venus pour être guidés, non seulement par le pape, mais par leurs évêques aussi.

Dès leur arrivée, ils ont pris part à des programmes de formation fondés sur le divertissement mais aussi sur le spirituel. Il me semble que cela peut donner aujourd’hui une vision différente de la vie de l’Eglise.

ZENIT – Que doit faire l’Eglise en Australie après la Journée mondiale de la jeunesse ?

Mgr Wilson - Je ne pense pas que notre travail puisse se considérer fini. Nous devons expliquer qui nous sommes, pas seulement par la parole, mais à travers notre style de vie aussi.

Je pourrais tenir de longues conférences sur la théologie de l’Eglise et parler de la réalité de la « communio », qui reste quelque chose de bon et de puissant, mais sa valeur n’est rien par rapport à une expérience concrète de « communio ». C’est cela que nous devons faire. Nous devons apporter aux jeunes cette exp

érience de la communauté. Et la Journée mondiale de la jeunesse y est parvenue, comme j’ai pu le constater de près quand j’ai rendu visite à une paroisse de Sydney à l’occasion d’une catéchèse.

Quand je suis arrivé, tôt le matin, la communauté paroissiale était en train de donner généreusement à manger aux pèlerins, de s’occuper d’eux, ceci étant une manière de créer des liens entre eux. Puis, ils se sont réunis pour prier et ont eu une conversation avec moi, avant la messe et le déjeuner. Les jeunes étaient presque gênés devant tant de générosité et d’attentions.Cela arrive parfois quand vous allez quelque part et que l’on vous donne g

énéreusement à manger.

Ceci est la réelle expression de notre « communio » et hospitalité, qui consiste à présenter au monde notre mission.

Saint François avait raison de dire : prêchez sans cesse mais en n’utilisant que rarement les paroles. Car s’il est vrai que nous pouvons nous servir de paroles merveilleuses pour expliquer notre œuvre, l’impact que nous produisons n’est jamais celui d’une expérience directe de cet amour, vécu physiquement et de manière interactive.

Catherine Smibert

bonne nuit

21 juillet, 2008

bonne nuit dans Pape Benoit calycanthus_occidentalis_1209

Calycanthus occidentalis
Calycanthus family

http://www.floralimages.co.uk/index2.htm

Le signe de Jonas

21 juillet, 2008

du site: 

http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&ordo=&localTime=07/21/2008#

Saint Cyrille de Jérusalem (313-350), évêque de Jérusalem, docteur de l’Église
Catéchèse n° 20 / 2ème mystagogique (trad. SC 126, p.111s rev.)

Le signe de Jonas

Vous avez été conduits par la main à la piscine baptismale, comme le Christ de la croix à son tombeau qui est là devant vous [dans cette église du Saint Sépulcre]. Après avoir confessé votre foi au Père, au Fils et au Saint Esprit, vous avez été immergés trois fois dans l’eau et vous en avez émergé : c’était le symbole des trois jours du Christ au tombeau. De même que notre Sauveur a passé trois jours et trois nuits au coeur de la terre, de même vous aussi en sortant de l’eau après votre immersion, vous avez imité le Christ… Quand vous avez été immergés vous étiez dans la nuit, vous ne voyiez plus rien ; mais en sortant de l’eau vous vous trouviez comme en plein jour. Dans un même mouvement, vous mouriez et vous naissiez ; cette eau qui sauve a été à la fois votre tombe et votre mère…

Etrange paradoxe ! Nous ne sommes pas vraiment morts, nous n’avons pas été vraiment ensevelis, nous n’avons pas été vraiment crucifiés et ressuscités ; mais si notre imitation n’est qu’une image, le salut, lui, est une réalité. Le Christ a été réellement crucifié, réellement enseveli et véritablement il est ressuscité, et toute cette grâce nous est donnée afin que, participant à ses souffrances en les imitant, nous gagnions en réalité le salut. Quel immense amour des hommes ! Le Christ a reçu les clous sur ses mains pures, et il a souffert ; et à moi, sans souffrance et sans peine, il accorde par cette participation la grâce du salut…

Nous le savons bien : si le baptême nous purifie de nos péchés et nous donne l’Esprit Saint, il est aussi la réplique de la Passion du Christ. C’est pourquoi Paul proclame : « Ne le savez-vous pas : nous tous, qui avons été baptisés en Jésus Christ, c’est dans sa mort que nous avons été baptisés. Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême »… Tout ce que le Christ a enduré, c’est pour nous et pour notre salut, en réalité et non en apparence… Et nous, nous devenons participants à ses souffrances. C’est pourquoi Paul continue à proclamer : « Si nous sommes devenus un même être avec le Christ, par une mort qui ressemble à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection qui ressemblera à la sienne » (Rm 6,3-5).