Archive pour le 27 juin, 2008

Saint Cyrille d’Alexandrie

27 juin, 2008

Saint Cyrille d'Alexandrie dans images sacrée

http://santiebeati.it/

Saint Cyrille d’Alexandrie – 27 juin

27 juin, 2008

du site:

http://missel.free.fr/calendrier.php?mois=6&annee=2008

27 juin

Saint Cyrille d’Alexandrie

Biographie

Alexandrie s’était signalée par sa lutte en faveur de l’orthodoxie. Les successeurs d’Athanase furent fidèles à cette mission doctrinale, mais cherchèrent en même temps à affirmer l’autorité du siège, et si possible à régenter l’Orient chrétien. Cette rivalité avait pris corps dans l’opposition entre Théophile et Jean Chrysostome. L’occasion avait paru bonne pour imposer l’autorité d’Alexandrie à Constantinople et à Antioche. Au synode du Chêne, où Théophile fit déposer Jean Chrysostome, il était accompagné de son neveu, Cyrille, qui devait lui succéder.

Pendant soixante ans la même famille gouverne l’Église d’Égypte. Cyrille, dévoué à son oncle, est plus prédestiné à l’ambition qu’à la sainteté. Théophile avait veillé à sa formation religieuse et théologique, mais sa culture profane n’est pas très étendue, il préfére la tradition à la philosophie. Il a passé sans doute quelque temps parmi les moines, mais il est moins fait pour la solitude que pour le gouvernement. Isidore de Péluse lui reproche de porter dans son cœur le bruit et la confusion des villes.A la mort deTh

éophile (412), Cyrille lui succède pour plus de trente ans. Il a hérité des qualités et des défauts de son oncle : orthodoxie et vie privée irréprochables, mais aussi ambitions et ressentiments. C’est ainsi qu’il refuse, malgré les interventions romaines, d’inscrire sur les diptyques (liste des évêques) le nom de Jean Chrysostome. Le réintégrer, avait-il dit, serait replacer Judas dans le collège apostolique.

Cependant, Cyrille, homme d’étude, soucieux de cerner la doctrine de l’Écriture et de la tradition, connaissait mieux la théologie que Théophile. La controverse nestorienne partage son activité littéraire en deux périodes, la première, jusqu’en 428, est consacrée à l’exégèse et à la polémique contre les ariens ; la seconde, jusqu’à sa mort, est occupée à réfuter le nestorianisme.La production ex

égétique de Cyrille est considérable. Elle occupe dans l’édition de Migne six volumes in-quarto. Ce n’est pas la meilleure partie de son œuvre, ni la plus originale.

L’évêque d’Alexandrie est fidèle à la tradition théologique de sa ville, illustrée par Athanase surtout, par Didyme l’Aveugle aussi, dont il tait le nom, parce qu’il avait été laïc et disciple d’Origène. Il n’est pas assez nuancé pour faire justice à Origène qu’il réprouve pour avoir imité les bavardages des Grecs. Par contre il s’oppose à l’école d’Antioche sans essayer de la comprendre ni de s’enrichir de sa méthode. Il a la rancune tenace.Les grandes

œuvres théologiques de Cyrille sont polémiques. Là il est pleinement lui-même. Il aime réfuter et flaire l’hérésie. Ses premiers écrits sont dirigés contre les ariens. Tous ses ouvrages théologiques sont écrits contre quelqu’un. Il ne sait pas ce qu’est le dialogue, encore moins découvrir la part de vérité chez l’adversaire. Il est responsable de la réputation que l’histoire fait à Théodoret de Cyr.

Il a composé plus tard une volumineuse apologie : Pour la sainte religion des chrétiens contre les livres de l’impie Julien. Ce qui laisse entendre que le paganisme restait virulent en Égypte jusqu’au Vème siècle. Le plus clair de l’œuvre théologique de Cyrille est consacré à la réfutation des thèses nestoriennes et à démontrer l’unité dans le Christ.Tenace, appliqu

é, il se soucie d’exposer les mystères de la foi avec précision et netteté. Si la pensée est ferme, le style est monotone, prolixe. Il s’exprime avec plus d’emphase que d’élégance. Il s’éloigne des grands classiques et ouvre l’ère de la scolastique byzantine.

Cyrille est à la fois théologien et homme d’action. Il est plus un chef qu’un pasteur. Il aime la lutte, où il fait preuve du même esprit redoutable que dans ses affirmations doctrinales. Il est combatif de nature. Il a besoin d’adversaires comme l’orateur a besoin de public pour être pleinement lui-même. Ce sera le secret de ses réussites, la justification qu’il donne à ses procédés.

Pourquoi lire saint Paul ?

27 juin, 2008

sur: CROIRE.COM… 

un site que pense à Saint Paul, à lire: 

 

http://www.croire.com/article/index.jsp?docId=2340204&rubId=48500 

 

 

Pourquoi lire saint Paul ? 

 

Découvrir l’auteur des épîtres, c’est possible ! 

 

« Car je suis le plus petit des apôtres, moi qui ne suis pas digne d’être appelé apôtre parce que j’ai persécuté l’Eglise de Dieu. 

Mais ce que je suis, je le dois à la grâce de Dieu et sa grâce à mon égard n’a pas été vaine » Première Epître aux Corinthiens 

 

 

Architecte du christianisme, missionnaire et épistolier inlassable, comment parler de Saint Paul sans passion ? Au cours de périples épuisants dans toutes les grandes villes d’Asie Mineure et de Grèce, Paul n’a eu de cesse de propager la bonne nouvelle de la résurrection de Jésus, mort crucifié à Jérusalem. Ce Jésus, qu’il n’a pas connu, il s’est totalement mis à son service. Sa joie ? L ‘annoncer et vivre pour lui. Son rêve ? Souffrir et mourir pour lui…Toute son existence sera marquée par le désir immense d’annoncer le Christ aux incroyants. Il le fera avec audace et courage, trouvant les mots qu’il fallait pour expliquer et convaincre. Paul avait le feu des convertis et un amour profond du mystère chrétien. Avec lui, l’évangile s’est propagé comme une traînée de poudre. 

 Le persécuteur des chrétiens 

 

Paul en est né à Tarse, ville située au sud de l’actuelle Turquie, au début de l’ère chrétienne. Elevé dans un strict judaïsme, élève du grand rabbin Gamaliel auquel sa famille l’a envoyé à Jérusalem, Paul est aussi un excellent théologien. Il est intelligent et cultivé. Quand il apparaît dans le récit des Actes des Apôtres, il a 30 ans. Les persécutions contre ceux qui affirment que Jésus, leur chef, aurait ressuscité après avoir été crucifié, commencent. Paul se montre un ennemi acharné des premiers chrétiens. Il participe à la lapidation d’Etienne, un disciple de ce Jésus ( Actes des Ap7, 22) Les jours suivants il poursuit les autres disciples de Jésus : « allant de maison en maison, il arrachait hommes et femmes et les jetait en prison »(Ac 8, 3) 

 

 La conversion de Paul 

 

Mais la destinée de Paul va être bouleversée. Alors qu’il s’apprête à anéantir les derniers amis de Jésus, advient un événement qui le marquera à vie. Sur la route de Damas, il est ébloui par une lumière venue du ciel, saisi par une voix, violemment jeté à terre : « Paul, Paul, pourquoi me persécutes-tu ? » A plusieurs reprises, Paul parlera de cet épisode, au cours duquel il « voit » la gloire du Seigneur ressuscité . Aveugle, il est relevé par ses compagnons, conduit chez un chrétien du nom d’Ananie. La, il reste « trois jours sans boire ni manger » (Act 9, 9) avant d’être baptisé , d’entrer dans la communauté chrétienne et …de retrouver la vue. Sa vie change d’un coup : le Christ devient son maître ! 

 

l’étude continue sur le site

 

bonne nuit

27 juin, 2008

bonne  nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc.
http://www.flickr.com/

il y a ces jours très chaud et pas seul à Rome, donc je peu faire de photo seulement proche  à ma maison, je ne suis pas distant du Parc de « Colle Oppio »,  il est plutôt le  jardin plus porche à moi, c’est donc  un des plusieurs photo du Colisée, mais que je suis là-bas et fais un promenade  je me sens heureux,

« Jésus étendit la main et le toucha »

27 juin, 2008

du site: 

http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&localTime=06/27/2008#

Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Soeurs Missionnaires de la Charité
A Simple Path (trad. Un Chemin tout simple, Plon Mame 1995,p.81)

« Jésus étendit la main et le toucha »

De nos jours, la plus terrible maladie en Occident n’est pas la tuberculose ou la lèpre, c’est de se sentir indésirable, pas aimé et abandonné. Nous savons soigner les maladies du corps par la médecine, mais le seul remède à la solitude, au désarroi et au désespoir, c’est l’amour. Beaucoup de gens meurent dans le monde faute d’un morceau de pain, mais il en meurt bien davantage faute d’un peu d’amour. La pauvreté en Occident est une autre sorte de pauvreté ; ce n’est pas seulement une pauvreté de solitude, mais aussi de spiritualité. Il existe une faim d’amour comme il existe une faim de Dieu.

J’ai tout remis entre tes mains

27 juin, 2008

du site:

http://catho60.cef.fr/priere/intentions/prieresdiverses.htm

J’ai tout remis entre

tes mains …

J’ai tout remis entre tes mains :
ce qui m’accable et qui me peine,
ce qui m’angoisse et qui me gêne,
et le souci du lendemain.
J’ai tout remis entre tes mains.

J’ai tout remis entre tes mains :
le lourd fardeau traîné naguère,
ce que je pleure, ce que j’espère,
et le pourquoi de mon destin.
J’ai tout remis entre tes mains.

J’ai tout remis entre tes mains :
que ce soit la joie, la tristesse,
la pauvreté ou la richesse,
et tout ce qu’à ce jour j’ai craint.
J’ai tout remis entre tes mains.

J’ai tout remis entre tes mains :
que ce soit la mort ou la vie,
la santé ou la maladie,
le commencement ou la fin.
J’ai tout remis entre tes mains.

J’ai tout remis entre tes mains !