Lourdes
11 juin, 2008sur le site il est possible d’agrandir l’image
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du site:
http://missel.free.fr/Sanctoral/11/10.php#morceaux
Saint Léon le Grand,
Pape et docteur de l’Eglise
Morceaux choisis
Toute parole de l’Ecriture-Sainte nous convie finalement à la joie dans le Seigneur.
Vous êtes greffés sur le Seigneur.
Il y a davantage dans l’âme de chaque fidèle que dans tout le firmament.
Quiconque reste étranger à la vérité n’est pas miséricordieux, quiconque ignore la bonté est incapable de justice.
Bénéfique compassion : nous sommes malades avec les malades, nous pleurons avec ceux qui pleurent.
L’obéissance adoucit le commandement.
Il faut user convenablement des créatures visibles, tout comme on utilise la terre, la mer, l’eau, les sources et les fleuves.
Pour le bon ordre : que chacun préfère les autres à soi ; que chacun respecte d’abord les intérêts des autres, avant les siens propres.
Il faut garder tête solide, au milieu de toutes les girouettes.
Chrétien, prends conscience de ta dignité. Rappelle-toi toujours de quel Corps tu es membre.
Devenu temple du Saint-Esprit par ton baptême, ne chasse pas un tel hôte de ton cœur par des actes coupables.
Les mystères s’accommodent au temps. Par contre, la foi que nous vivons ne saurait changer selon le temps.
Ne rendre à personne le mal pour le mal : voilà tout le secret de l’ascèse chrétienne.
Adultes, nous ne sommes pas invités à retourner aux jeux de l’enfance ni à ses débuts imparfaits. Il faut vivre comme il convient à l’âge mûr, quand on l’atteint.
Peu importe de savoir à partir de quelle nature (divine ou humaine) nous sommes au Christ ! En effet, l’unité de personne demeure intégralement. C’est donc intégralement le même qui est Fils de l’homme en raison de la chair et Fils de Dieu en raison de la divinité, possédée dans l’unité avec le Père.
Liez société avec : patriarches, prophètes, apôtres et martyrs.
Toute parole de l’Ecriture-Sainte nous convie finalement à la joie dans le Seigneur.
Vous êtes greffés sur le Seigneur.
Il y a davantage dans l’âme de chaque fidèle que dans tout le firmament.
Il y a des pièges dans l’abondance des riches, il y en a aussi dans la pauvreté. L’opulence rend hautain et vaniteux, le dénuement engendre l’aigreur et l’amertume.
Ne jugeons pas l’héritage (spécialement chrétien), sur l’indignité des héritiers.
Ceux qui ne résistent pas à leurs désirs dépravés perdent finalement la paix du cœur.
C’est une maxime fondamentale du christianisme ; les seules et véritables richesses consistent dans la pauvreté d’esprit : plus on est humble, plus on est grand.
du site:
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/gueranger/anneliturgique/pentecote/pentecote03/009.htm
Dom Guéranger
LE XI JUIN. SAINT BARNABE, APOTRE.
La promulgation de l’alliance nouvelle est | venue convier tous les peuples à prendre place au banquet du royaume de Dieu ; depuis lors, nous l’avons remarqué,l’Esprit sanctificateur produit les Saints, dans le cours des siècles, à des heures qui correspondent souvent aux desseins les plus profonds de l’éternelle Sagesse sur l’histoire des nations. Nous ne devons pas nous en étonner : les nations chrétiennes ayant comme nations leur rôle assigné dans l’avancement du règne de l’Homme-Dieu, cette vocation leur confère des devoirs et des droits supérieurs à la loi de nature ; l’ordre surnaturel les investit de toutes ses grandeurs, et l’Esprit-Saint préside par ses élus à leur développement comme h. leur naissance. C’est à bon droit que nous admirons dans l’histoire cette providence merveilleuse agissant, à leur insu quelquefois, parmi les peuples, dominant par l’influence cachée de la sainteté des petits et des humbles l’action des puissants qui semblent conduire toutes choses au gré de leur seule volonté. Mais, entre les Saints qui nous apparaissent comme le canal des grâces destinées aux nations, il en est que la reconnaissance universelle doit oublier moins que tous les autres : ce sont les Apôtres, placés comme fondement à la base de l’édifice
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social chrétien (1) dont l’Evangile est la force et la loi première. L’Eglise veille soigneusement à écarter de ses fils le danger d’un oubli si funeste; aucune saison liturgique n’est privée du souvenir de ces glorieux témoins du Christ. Mais depuis la consommation des mystères du salut, qui livra le monde aux conquêtes de leur zèle, leurs noms se pressent davantage encore sur les fastes sacrés ; chaque mois du Cycle emprunte son éclat, pour une part principale, au triomphe de quelqu’un d’entre eux. Le mois de juin, tout embrasé des feux récents de la Pentecôte, vit l’Esprit-Saint poser les premières assises de l’Eglise sur ses fondements prédestinés; il méritait l’honneur d’être choisi pour rappeler au monde les grands noms de Pierre et de Paul, qui résument les services et la gloire du collège entier des Apôtres. Pierre proclama l’admission des gentils à la grâce de l’Evangile; Paul fut déclaré leur Apôtre; mais, avant même d’avoir comme il convient rendu gloire à la puissante principauté de ces deux guides du peuple chrétien, l’hommage des nations s’adresse à bon droit en ce jour au guide de Paul lui-même dans les débuts de son apostolat, au fils de consolation (2) qui présenta le converti de Damas à l’Eglise éprouvée parles violences de Saul le persécuteur. Le 29 juin tirera sa splendeur de la confession simultanée des deux princes des Apôtres, unis à la mort comme dans leur vie (3). Honneur donc tout d’abord à celui qui noua dans l’origine cette union féconde, en conduisant au chef de l’Eglise naissante le futur docteur de la gentilité (4) ! Barnabé se présente à nous comme avant-coureur; la fête1. Eph. 11, 20.
— 2. Act. IV, 36. — 3. Ant. Oct. Ap. ad Bened. — 4. Act. IX, 27.
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que lui consacre l’Eglise, est le prélude des joies qui nous attendent à la fin de ce mois si riche en lumière et en fruits de sainteté.
Lisons son histoire, résumée,pour la plus grande partie, des Actes des Apôtres. Malgré sa brièveté, il est peu de récits plus glorieux dans le livre de la sainte Liturgie.l
évite.
Barnabé, lévite, ne en Chypre, et appelé aussi Joseph, fut destiné avec Paul à la prédication de l’Evangile de Jésus-Christ en qualité d’Apôtre des Gentils. Il avait vendu un champ qu’il possédait, et en avait apporté le prix aux Apôtres. Envoyé à Antioche pour y prêcher, il y rencontra un grand nombre de personnes déjà converties à la foi du Seigneur Christ, ce qui lui fut un motif de grande joie, et il multiplia ses exhortations pour les engager à persévérer dans la foi. Sa parole eut un grand succès, parce qu’il était regardé de tous comme un homme bon et rempli du Saint-Esprit.Il partit de l
à pour Tarse afin d’y chercher Paul, et vint avec lui à Antioche. Ils passèrent un an avec les fidèles qui composaient l’Eglise de cette ville, s’appliquant à leur inculquer les préceptes de la foi et de la vie chrétienne. Ce fut dans cette même ville que l’on commença à donner le nom de Chrétiens aux adorateurs de Jésus-Christ. Les disciples de Paul et de Barnabé secouraient de leurs aumônes les chrétiens de Judée et faisaient passer leurs largesses par les deux Apôtres. Ayant accompli cet office de charité, Paul et Barnabé revinrent à Antioche avec Jean surnommé Marc, qu’ils s’étaient adjoint.
Pendant que Paul et Barnabé servaient le Seigneur dans l’Eglise d’Antioche, jeûnant et priant avec les autres prophètes et docteurs, le Saint-Esprit dit : Séparez-moi Paul et Barnabé pour l’œuvre à laquelle je les ai destinés. Alors, avec des jeûnes et des prières, on leur imposa les mains et on les laissa partir. Ils allèrent à Séleucie, et de là en Chypre ; ils parcoururent en outre beaucoup de villes et de pays, prêchant l’Evangile avec un grand fruit pour ceux qui les écoutaient. Barnabé se sépara ensuite de Paul avec Jean surnommé Marc, et il revint en Chypre. Ce fut là que, vers la septième année de Néron, le trois des ides de juin, il unit la couronne du martyre à l’honneur de l’apostolat. Son corps fut retrouvé dans l’ile de Chypre sous l’empire de Zenon ; sur sa poitrine était une copie de l’évangile de saint Matthieu écrite de la main de Barnabé lui-même.Recevez,
ô Barnabé, l’hommage des nations reconnaissantes. Lévite fidèle, vous veilliez près du sanctuaire figuratif des siècles de l’attente, observant l’arrivée du Seigneur Dieu (1), jusqu’à ce que la véritable arche sainte, l’humanité du Sauveur, ayant paru dans Sion, vous vous rangeâtes près d’elle aussitôt pour la défendre et la servir. Elle venait rallier tous les peuples, leur donner la vraie manne, fonder avec tous un Testament nouveau ; elle demandait aux fils de l’ancienne alliance le sacrifice des privilèges qu’ils avaient eus au temps de l’égarement des nations. Membre de la tribu favorisée entre toutes, vous eûtes promptement fait l’abandon d’un titre périmé; allant plus loin que le précepte, on vous vit renoncer aux possessions mêmes que vous teniez de votre famille, et vous donner, vous et vos biens, à l’Eglise à peine née, persécutée, méconnue de la synagogue. Aussi l’Esprit-Saint, qu’on ne surpasse jamais en générosité, vous réserva-t-il l’insigne honneur de donner aux nations leur Apôtre. Saul, votre ami, aveuglé par les préjugés de la secte pharisienne, n’avait point suivi votre exemple; et les fidèles tremblaient à son seul nom, comme à celui du plus fougueux des persécuteurs. Mais votre intercession montait silencieusement pour lui de cette terre, et s’unissait dans le ciel à la prière d’Etienne pour son meurtrier. L’heure de la grâce sonna enfin ; vous fûtes le premier
1. Levit. VIII, 33.
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dans Jérusalem à connaître son triomphe, et il ne fallut rien moins que l’autorité de votre témoignage pour faire ouvrir au récent converti les portes de l’assemblée des croyants.
Devenu près de l’Eglise garant du Docteur des nations, il vous appartenait de le conduire en ses premiers travaux. Quelle gloire à vous d’avoir eu Paul pour compagnon ! S’il vous manqua d’avoir été mis au nombre des douze, votre autorité fut bien celle qui se rapprocha le plus de la leur. Délégué par eux à Antioche après le baptême de Cornélius,pour prendre en mains la conduite de l’évangélisation des gentils, vous vous adjoignîtes le nouvel ouvrier ; c’est alors que la parole du salut, passant par vos lèvres, produisit des conversions si nombreuses, qu’on donna pour la première fois aux fidèles le nom de chrétiens, qui les distinguait à la fois des païens et des Juifs. L’émancipation des nations était accomplie ; et Paul, aux yeux de tous et d’après le langage de l’Esprit-Saint lui-même, n’était encore que votre disciple et votre protégé (1), Aussi l’Esprit voulut-il que l’ordination solennelle qui le constituait Apôtre des gentils, vous fût commune avec lui. Vos voies, inséparables jusque-là et quelque temps encore, n’allaient pas tarder à se diviser pour le bien d’un plus grand nombre d’âmes. L’île de Chypre, fatalement abusée par le démon de la volupté durant les siècles de l’idolâtrie, reçut plus spécialement vos soins apostoliques ; elle vous avait donné le jour : vous lui rendîtes en échange votre sang et vos sueurs, portant partout sur son territoire la sainte et purifiante lumière du Fils de Dieu.Mais le feu de la Pentec
ôte qui brûlait en vous,
1. Act. XI, 3o; XII, 25 ; XIII, 1.
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sollicitait votre âme à des missions plus lointaines. C’est de vous-même qu’il était écrit, en même temps que de Paul : « Je t’ai établi pour être la lumière des nations et leur salut jusqu’aux extrémités de la terre (1). » L’Italie entendit votre douce parole qui répandait la joie sainte et la consolation du Paraclet; elle vit ce noble visage, dont la sereine majesté faisait croire aux pauvres païens qu’ils recevaient en votre personne le prince de leurs dieux, caché sous des traits humains (2). Bergame, Brescia, d’autres villes encore, Milan surtout, vous honorent comme leur père. Du haut de votre trône d’Apôtre, ô Barnabé, gardez en elles toujours la foi que vous y avez déposée ; plus heureuses que les cités de l’île de Chypre, elles sont jusqu’ici restées fidèles. Protégez l’Ordre utile à l’Eglise, qui se réclame de votre puissant patronage; que son apostolat continue le vôtre, et mérite jusqu’au dernier jour à ses membres l’estime dont les entourait saint Charles Borromée, votre glorieux successeur sur le siège de Milan. Enfin, ô père des nations, étendez votre sollicitude à la gentilité entière qui vous fut confiée par l’Esprit-Saint sans distinction de races ou de pays : qu’elle entre toute dans la voie de lumière si bien décrite par la Lettre précieuse qui porte votre nom béni (3); qu’elle soit pour Dieu le vrai temple dont celui de Moriah n’était que la figure (4).1. Act. XIII, 47. — 2. Ibid. XIV, 11. — 3. Ep. cathol. S. Barnab. ap. XIX. — 4. Ibid. XVI.
du site:
http://www.zenit.org/article-18180?l=french
Visite du pape en France : Invitation des évêques d’Ile de France
« Tous sont invités sans limitation de nombre »
ROME, Mercredi 11 juin 2008 (ZENIT.org) – « Dans la matinée du samedi 13, nous nous retrouverons autour du Saint-Père pour une messe solennelle sur l’esplanade des Invalides. Ce sera un grand moment de communion dans la foi. Tous sont invités sans limitation de nombre. Chacun peut venir avec sa paroisse, son mouvement ou individuellement », écrivent les évêques d’Ile-de-France dans un message que nous reprenons ci-dessous.
* * *
Le 4 Juin 2008
Chers Amis,
Le Pape Benoît XVI vient en France du vendredi 12 au lundi 15 septembre 2008. C’est un grand honneur pour notre pays, une grande joie pour nous tous catholiques.
Avant de se rendre à Lourdes, en cette année jubilaire des 150 ans des apparitions de Marie à Bernadette, le Pape passera deux jours à Paris.Au c
œur de notre région, nous pourrons le saluer, l’écouter, prier avec lui. Dès le vendredi 12, en fin d’après-midi, nous pourrons nous rassembler sur le trajet de la papamobile sur les quais face à Notre-Dame de Paris. Il sera possible d’y suivre le discours du pape au monde de la culture au Collège des Bernardins, de participer aux vêpres avec les prêtres, diacres, séminaristes, religieux et religieuses réunis dans la cathédrale et de recevoir le message de Benoît XVI aux jeunes à sa sortie de Notre-Dame.
Dans la matinée du samedi 13, nous nous retrouverons autour du Saint-Père pour une messe solennelle sur l’esplanade des Invalides. Ce sera un grand moment de communion dans la foi. Tous sont invités sans limitation de nombre. Chacun peut venir avec sa paroisse, son mouvement ou individuellement (accès possible par métro et R.E.R. ; renseignements : www.papeaparis.org, 01 45 49 67 12).Chers amis, pr
éparons-nous à accueillir le Pape. Nous confions le voyage et ses fruits à votre prière, à celle des communautés religieuses, des malades et des personnes âgées.
Vous souhaitant de goûter pendant cet été un peu de repos et de paix, nous demandons à Dieu de vous bénir.André Cardinal VINGT-TROIS, Archevêque de Paris
+ Michel SANTIER, Évêque de Créteil
+ Michel DUBOST, Évêque d’Evry-Corbeil-Essonnes
+ Albert-Marie de MONLÉON, Évêque de Meaux
+ Gérard DAUCOURT, Évêque de Nanterre
+ Jean-Yves RIOCREUX, Évêque de Pontoise
+ Olivier de BERRANGER, Évêque de Saint-Denis
+ Eric AUMONIER, Évêque de Versailles
+ Patrick LE GAL, Évêque aux Armées
http://www.kolbemission.org/flex/cm/pages/ServeBLOB.php/L/IT/IDPagina/303
celle-ci est Marie vierge du signe, il ressemble beaucoup à l’image que je m’ai, même si dans la mienne il y a l’illustration entière de Marie;
ce récit j’ai l’écrit pour mon Blog sur Saint Paul, puis, pour une fois, pour une belle chose, il me fait plaire de raconter ce rêve aussi à vous;
hier j’ai rêvé et dans le rêve j’ai vu écrit: « bénissez, et ne maudissez pas » (en italien naturellement), de manière claire, plusieurs fois, compris, que c’était un pas de Saint Paul, je l’ai compris dans le rêve, puis réveillée j’ai cherché dans la Lettre aux Éphésiens, j’ai, c’est-à-dire, pensé qu’il fût de cette lettre il était par contre de la Lettre aux Romains, Rm 12,14, il était de toute façon, de Saint Paul; comme autres fois dans la vie, il, l’apôtre; à moi il se présente ainsi, à l’improviste, inattendu, en me disant et quelque chose qui en me répète; je me suis demandée si il était un reproche pour choses que, je n’ai pas peut-être pardonné, mais puis, maintenant, j’il semble vraiment une invitation à bénir, bénir quand les choses ne me plaisent déjà pardonnées – au moins jusqu’à que le Seigneur ne m’aidera pas à le faire plusieurs parfaitement – bénir quand la dernière chose à te faire semble de bénir, bénir pour tous les petits événements quotidiens, bénir pour une belle promenade, mais aussi quand je vais au supermarché à faire un po’ de dépense, il y avait aujourd’hui beaucoup de gens et quelqu’un avait envie de se disputer, mais peut-être aujourd’hui il fait chaud et, à la fin, il en ne s’est rien fait parce qu’il y n’avait pas l’envie; bénir s’il y a chaleur étouffante comme aujourd’hui, bénir s’il pleut, bénir si, à l’ordinateur, je peux écrire des belles choses et aussi des choses stupide, bénir la vie comme le Seigneur me l’a donnée, avec les petites et grandes fatigues, avec les petites et grandes joies, pour un image pieuse que j’ai retrouvé et que j’avais perdu il s’agit d’une belle image de la Sainte Vierge du signe, si je trouve un semblable image sur internet la je mets; et je crois aussi, me pardonner même, ne pas justifier, il est Dieu qu’il justifie, mais pardonner, ou laisser que Dieu pardons et justifie, nous, je voudrais me m’entendre bonne dans la vie, faire bien les choses, on ne réussit pas, quelque chose, petite ou grande, ne va bien souvent, ils se font des choses, peut-être non plus mauvaises, mais un peu sans…penser, laisser que Dieu justifie, pardons, saufs;
a moi plaît internet peut-être parce que c’est un peu comme moi, un mélange de mauvaises choses, de choses stupides et de belles choses et unique; je suis ici, et près de moi il y a toutes mes choses, un peu de ma vie, que quelquefois il donne joie et quelquefois il fait mal; certainement pas plus dans l’attente de grandes choses, je ne les désire plus, de méga-événements, de méga-manifestations, je suis contente si en église, à la messe, j’en reste au milieu des autres et je me sens petite la splendide Basilique de Saint Clément avec beaucoup d’histoire, je suis contente de rester ici, à mon petit lieu, et pouvoir me lire, avec confort, les catéchèse du Pape, les Lettres de Paul, de me chercher quelques belle image à mettre sur le fond de l’ordinateur, d’apprendre de nouveau toujours quelque chose, de langue française par exemple, parce que je suis en train de traduire un écrit sur la prière en Saint Paul (NOTA), de m’entendre disciple du grand et cher Pape Benoît et, j’espère, disciple et fille de Saint Paul parce que, au moins lui, il a été il, pour premier, à venir me rencontre et, il m’enseigne, ainsi, que Dieu, pour premier, ouvre la porte du mystère pour venir rencontre à nous, pour venir dans notre maison;
NOTA: malheureusement je peux traduire bien du français à l’italien, mais je fais fatigue à l’italien au français parce que, quand j’étudiais, il y a longtemps, il s’étudiait la langue pour comprendre les autres, et pas pour se faire comprendre, maintenant il est différent, je n’ai jamais pu apprendre bien à traduire vers le Français;
du site:
http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&localTime=06/11/2008#
Saint Jérôme (347-420), prêtre, traducteur de la Bible, docteur de l’Église
Commentaire sur l’évangile de Marc, 9, 1-7
Le Christ, accomplissement de la Loi et des prophètes
Quand je lis l’Evangile et que j’y rencontre des témoignages tirés de la Loi ou des prophètes, je ne considère que le Christ. Si j’ai vu Moïse, si j’ai vu les prophètes, c’était seulement pour comprendre ce qu’ils disent du Christ. Quand un jour je serai entré dans la splendeur du Christ et que brillera à mes yeux sa lumière aussi éblouissante que le soleil, je ne pourrai plus voir la lumière d’une lampe. Si on allume une lampe en plein jour, éclairera-t-elle ? Quand le soleil se lève, la lumière de la lampe s’évanouit. De même, quand on jouit de la présence du Christ, la Loi et les prophètes disparaissent. Je n’enlève rien à la gloire de la Loi et des prophètes ; au contraire, je les loue d’être les annonciateurs du Christ. Car quand je lis la Loi et les prophètes, mon but n’est pas de m’en tenir à la Loi et aux prophètes, mais, par la Loi et les prophètes, d’arriver jusqu’au Christ.
du site:
http://www.vatican.va/news_services/or/or_fra/index.html
L’OSSERVATORE ROMANO
Edition hebdomadaire en langue française 10 juin 2008
Défendre la dignité de la personnepour ne pas capituler devant la faim
Lors du Sommet de la FAO sur la sécurité alimentaire,
Benoît XVI lance un appel à mondialiser la solidarité
L’amour de Dieu et du prochain
est au coeur de la vraie religion
Angelus du 8 juin 2008, place Saint-Pierre
Relançons la philosophie
pour mieux comprendre la modernité
Audience de Benoît XVI aux participants
au VI Symposium européen des professeurs universitaires
Mondialiser la solidarité
Audience de Benoît XVI au congrès international
promu par la Fondation « Centesimus annus pro Pontifice »
La doctrine et l’enseignement
de saint Grégoire le Grand
Allocution du Saint-Père au cours
de l’Audience générale du 4 juin 2008