Visitation of Mary
30 mai, 2008Visitation of Mary Images of Religious and Theological Iconography Vanderbilt University, Divinity Library Nashville,
http://www.artbible.net/3JC/-Luk-01,39_Mary%20visits%20Elizabeth_La%20visitation/index.html
Visitation of Mary Images of Religious and Theological Iconography Vanderbilt University, Divinity Library Nashville,
http://www.artbible.net/3JC/-Luk-01,39_Mary%20visits%20Elizabeth_La%20visitation/index.html
j’ai mis un nouveaux « Pages », avec le lien à un site, sur : L’institution de la fête liturgique du Sacré-Coeur de Jésus :
http://gabriellaroma.unblog.fr/sacre-coeur-de-jesus-institution-de-la-fete-liturgique-lien/
du site Zenith:
La Visitation, « première procession eucharistique » de l’histoire
ROME, Mardi 31 mai 2005 (ZENIT.org) – Pour le pape Benoît XVI, la Visitation de Marie à Elisabeth a constitué en quelque sorte la « première procession eucharistique » de l’histoire.
Benoît XVI s’est rendu à la grotte de Lourdes du Vatican ce mardi soir en la fête de la Visitation de la Vierge Marie, au terme de la prière du chapelet dans les jardins du Vatican, sous la conduite de Mgr Angelo Comastri, et promue par le vicariat de la Cité du Vatican.
« La Vierge Marie nous accompagne chaque jour dans notre prière, disait le pape. Dans cette année spéciale de l’eucharistie que nous sommes en train de vivre, Marie nous aide surtout à découvrir toujours davantage le grand sacrement de l’eucharistie. Dans sa dernière encyclique – Ecclesia de Eucharistia – le bien-aimé pape Jean-Paul II nous l’a présentée comme la “femme eucharistique” dans toute sa vie (cf. n. 53). “Femme eucharistique” en profondeur, à partir de son attitude intérieure, à partir de l’Annonciation, lorsqu’elle s’est offerte elle-même pour l’Incarnation du Verbe de Dieu, jusqu’à la Croix et la Résurrection ; “femme eucharistique” dans le temps après la Pentecôte, lorsqu’elle a reçu le sacrement du Corps qu’elle avait conçu et porté en son sein ».
A propos du mystère de la Visitation, le pape expliquait : « Marie, qui porte en son sein Jésus à peine conçu, se rend chez sa vieille cousine Elisabeth que tous disaient stérile et qui en était au contraire au sixième mois d’une grossesse donnée par Dieu (cf. Luc 1, 36). C’est une jeune fille, mais elle n’a pas peur, parce que Dieu est avec elle, en elle. D’une certaine façon, nous pouvons dire que son voyage a été – il nous plaît de le souligner en cette année de l’Eucharistie – la “première procession eucharistique” de l’histoire ».Et de pr
éciser : « Tabernacle vivant du Dieu fait chair, Marie est l’Arche d’Alliance dans laquelle le Seigneur a visité et racheté son Peuple. La présence de Jésus la remplit de l’Esprit Saint. Lorsqu’elle entre dans la maison d’Elisabeth, sa salutation déborde de grâce : Jean tressaille de joie dans le sein de sa mère, comme s’il sentait la venue de Celui qu’il devra un jour annoncer à Israël. Les fils exultent, exultent les mères. Cette rencontre envahie par la joie de l’Esprit trouve son expression dans le cantique du Magnificat ».
Le pape concluait : « N’est-ce pas là la joie de l’Eglise qui accueille sans cesse le Christ dans la sainte eucharistie et l’apporte au monde avec le témoignage de sa charité active, imprégnée de foi et d’espérance ? Oui, accueillir Jésus et l’apporter aux autres, telle est la vraie joie du chrétien ! Chers frères et soeurs, suivons et imitons Marie, âme profondément eucharistique, et toute notre vie deviendra un Magnificat (cf. Ecclesia de Eucaristia, 58). Que ce soit la grâce que nous demandons ce soir ensemble à la Vierge Très Sainte, en conclusion de ce mois de mai. A vous tous ma bénédiction ».
je voulais mettre quelque chose sur la musique sacrée, mais pour l’instant j’ai trouvé seulement ceci, du site:
http://www.zenit.org/article-17825?l=french
Entre musique et espérance, une « parenté mystérieuse
Concert au Vatican
ROME, Vendredi 25 avril 2008 (ZENIT.org) – Il existe, entre musique et espérance, une « parenté mystérieuse et profonde », a fait observer Benoît XVI, jeudi soir, à l’issue d’un concert en son honneur au Vatican.
Le pape a assisté à un concert offert à l’occasion du 3e anniversaire de son pontificat, par le président de la République italienne, Giorgio Napolitano, en compagnie de son frère, Mgr Georg Ratzinger, mais aussi de différentes autorités ecclésiastiques, comme le président de la conférence épiscopale italienne, le cardinal Angelo Bagnasco, archevêque de Gênes, en la salle Paul VI du Vatican (cf. Zenit du 23 avril 2008). Benoît XVI a en effet inauguré son pontificat le 24 avril 2005.
« Il y a une parenté mystérieuse et profonde entre musique et espérance, ente chant et vie éternelle », a déclaré le pape à l’issue du concert.
« Les interprétations magistrales que nous avons entendues nous rappellent, en outre, la valeur et l’importance universelle du patrimoine artistique pour construire le monde selon des projets de justice et de solidarité, en mettant en valeur au service de l’homme les expressions multiformes de la culture mondiale, » a fait observer Benoît XVI.
Benoît XVI a salué le talent des jeunes musiciens de l’orchestre Verdi de Milan qui sont aussi engagés pour soulager, par la musique, les situations de souffrance dans les hôpitaux et dans les prisons.
Le pape a dit avoir particulièrement apprécié le choix des œuvres exécutées, notammment le « Chant du destin » de Brahms, et la VIIe symphonie de Beethoven.
« Il me plaît de souligner, disait le pape, comment la musique de Brahms a enrichi d’une confiance religieuse ce « Chant du destin » de Hölderlin. Ce fait introduit à la considération de la valeur spirituelle de l’art musical, appelé de façon singulière à infuser l’espérance dans l’esprit humain, si marqué et souvent blessé par la condition terrestre. Merci, Monsieur le Président, pour cet acte de déférence et de sollicitude, que j’ai accueilli avec plaisir. J’y vois en outre un nouveau signe de cette affection que le peuple italien nourrit envers le pape ».
Pour sa part, le président Giorgio Napolitano, a salué le récent message du pape à l’ONU en disant : « Sainteté, permettez-moi de vous dire combien votre message adressé au monde depuis la haute tribune des Nations Unies, sur les droits humains comme expression de la justice, sur la personne humaine comme sujet de ces droits, et sur la promotion des droits humains comme stratégie la plus efficace pour éliminer les inégalités et pour accroître la sécurité, a suscité en nous des sentiments de vivante consonnance ».
Anita S. Bourdin
du site:
http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&localTime=05/30/2008#
Sainte Gertrude d’Helfta (1256-1301), moniale bénédictine
Les Exercices, 7 (trad. SC 127, p. 285 rev.)
« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau »
Toi qui as fait pour moi de si grandes et si belles choses que tu m’as obligée à ton service pour toujours, que te rendrai-je pour tant de bienfaits ? Quelles louanges et quelles actions de grâces pourrais-je t’offrir, même si je m’y dépensais mille fois ? Que suis-je moi, pauvre créature, en comparaison de toi, toi ma rédemption abondante ? Donc, mon âme que tu as rachetée, je te l’offrirai tout entière, je te ferai hommage de l’amour de mon coeur. Oui, transporte ma vie en toi, emporte-moi tout entière en toi et, m’enfermant en toi, fais que je ne sois qu’une même chose avec toi.
Ô Amour, ton ardeur divine m’a ouvert le coeur très doux de mon Jésus. Ô coeur source de douceur, coeur débordant de bonté, coeur surabondant de charité, coeur d’où coule goutte à goutte la bienveillance, coeur plein de miséricorde…, coeur très cher, je te prie d’absorber mon coeur tout entier en toi. Perle très chère de mon coeur, invite-moi à tes festins qui donnent la vie ; verse pour moi les vins de ta consolation…afin que la ruine de mon esprit soit remplie de ta charité divine, et que l’abondance de ton amour supplée à la pauvreté et à la misère de mon âme.
Ô coeur aimé par-dessus tout…, aie pitié de moi. Je t’en supplie, que la douceur de ta charité rende le courage à mon coeur. De grâce, que les entrailles de ta miséricorde s’émeuvent en ma faveur, car hélas, mes démérites sont nombreux, mes mérites sont nuls. Mon Jésus, que le mérite de ta mort précieuse, qui seul a eu le pouvoir d’acquitter la dette universelle, me remette tout ce que j’ai fait de mal…; qu’il m’attire à toi si puissamment que, transformée totalement par la force de ton amour divin, je trouve grâce à tes yeux… Et donne-moi, ô cher Jésus, de t’aimer, toi seul en toutes choses et par-dessus toutes choses, de m’attacher à toi avec ferveur, d’espérer en toi, et de ne mettre à mon espérance aucune limite.