Archive pour le 19 mai, 2008

Celestino V – Pape

19 mai, 2008

Celestino V - Pape dans images sacrée

 http://santiebeati.it/

traduction mienne Embarasse du texte du site « Santi, Beati e Testimoni » lien au- dessus:

Pape Célestin V – Pape 

 

19 mai – Commun Isernia, 1215 – Rovva de Fumone (Frosinone), 19 mai 1296 (Pape – du 29/08/1294 au 13/12/1294) Pietro de Morrone,  prêtre, mena de la vie érémitique. Il donna de la vie à l’ordre des « Frères de l’Esprit Saint » (dénommés ensuite « Celestini »), approuvé Urbain d’IV, et fonda varies des ermitage. Élu papa presque à l’âge du quatre-vingt, après deux ans de conclave, prises le nom de Celestino V et, homme saint et pieux, se trouva de front à des intérêts politiques et économiques et à des ingérences même de Carlo d’Angiò. Qui s’est aperçu des manœuvres liées à sa personne, renonça à la charge, en mourant peu après en isolation forcé dans le château de Fumone. Sentence sévèrement Donner comme « qui pour lâcheté fit le grand refuse », aujourd’hui on parle d’lui comme d’un homme d’extraordinaire foi et de force d’esprit, exemple héroïque d’humilité et de bon sens. Patronage : Isernia Etymologie : Celestino = venu du ciel, du latin 

18 Le temple de Dieu [Éph. 2:22 ; 1 Cor. 3:16, 17 ; Exode 15 — Les croyants ensemble, une habitation de Dieu par l’Esprit]

19 mai, 2008

du site: 

http://www.bibliquest.org/

18 Le temple de Dieu [Éph. 2:22 ; 1 Cor. 3:16, 17 ; Exode 15 — Les croyants ensemble, une habitation de Dieu par l’Esprit]

«En qui, vous aussi, vous êtes édifiés ensemble, pour être une habitation de Dieu par lEsprit» (Éph. 2:22).

«Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu et que lEsprit de Dieu habite en vous ? Si quelquun corrompt le temple de Dieu, Dieu le détruira, car le temple de Dieu est saint, et tels vous êtes» (1 Cor. 3:16, 17).

Nous avons vu dans le chapitre précédent que, le jour de la Pentecôte, le Saint Esprit a baptisé les croyants en un seul corps, le corps de Christ dont le Seigneur glorifié dans le ciel est la tête (Éph. 1:20-23). Dans les versets cités ci-dessus, nous trouvons une autre vérité : Les croyants forment ensemble le temple de Dieu : une habitation de Dieu par lEsprit.Il ne faut pas s

éparer ces vérités lune de lautre. Ce sont deux côtés dune seule et même chose. Toutes deux soccupent de lassemblée, mais la considèrent de côtés différents (voir par exemple Éph. 1:22 : «Lassemblée, qui est son corps» et 1 Tim. 3:15 : «La maison de Dieu, qui est lassemblée du Dieu vivant»). Comme nous lavons déjà dit, le christianisme est caractérisé par le double fait quil a au ciel un Seigneur glorifié et que le Saint Esprit habite sur la terre. Le corps de Christ présente surtout notre communion avec Christ Lui-même, comme tête de lassemblée dans le ciel. Toutefois le Saint Esprit ne considère pas lassemblée seulement de cette manière, mais aussi comme habitation de Dieu par lEsprit. Et cest ce quelle est comme habitation du Saint Esprit sur la terre. Nous voyons ainsi la position actuelle de lassemblée sur la terre. Ces deux côtés de la vérité confirment que lassemblée nexistait pas avant le jour de la Pentecôte.

Il ny avait rien de tel que le corps de Christ ou que lhabitation de Dieu par lEsprit avant que le péché ait été jugé à la croix et que le Saint Esprit soit descendu sur la terre pour former lassemblée. Cela est dune importance pratique incommensurable pour le coeur qui a saisi ces vérités. Malheureusement beaucoup de croyants pensent que lassemblée a existé déjà avant le jour de la Pentecôte, et même depuis Adam. Si toutefois ils sondaient la parole de Dieu, ils verraient que cette pensée est erronée.L

’épître aux Éphésiens parle seulement à des chrétiens. Elle est adressée aux «fidèles dans le Christ Jésus». Et le Saint Esprit veut justement prouver que le système juif a été mis de côté et que quelque chose de nouveau a été introduit à sa place. La croix de Christ a montré que lhomme était mort dans ses fautes et dans ses péchés ; là, il ny avait pas de différence entre Juifs et nations. Si tout est grâce, il ne peut pas y avoir de privilèges naturels. Une distinction, basée sur des privilèges terrestres, ne peut alors pas subsister. Cest pourquoi il est dit que par sa mort Christ a aboli la séparation et que tous ceux qui croient dentre les nations ont été approchés par son sang. Ils sont purifiés par son sang, réconciliés avec Dieu par sa croix ; il ny a plus aucune différence et ils sont constitués en lui en un nouvel homme, en assemblée, quelle soit considérée comme corps de Christ ou comme habitation de Dieu par lEsprit. Dans le fondement sur lequel lassemblée est construite on ne peut plus trouver de différence entre Juifs et païens, bien que Dieu lait lui-même instituée dans les jours précédents et lait confirmée.

Certes nous trouvons lassemblée dans divers types de lAncien Testament, par exemple comme l’épouse en Ève (cf. Éph. 5:31, 32) et comme temple de Dieu. Mais la vérité même concernant lassemblée, lEkklesia, n’était pas révélée. C’était un mystère qui na été révélé que par les apôtres et prophètes du Nouveau Testament (Éph. 3:5). Et nous ne trouvons pas une seule allusion à lassemblée, comme corps de Christ, unie à sa tête céleste.Les ap

ôtres et prophètes ont posé le fondement. Nous voyons par Éph. 3:5 quil sagit des prophètes du Nouveau Testament et non pas de lAncien Testament. Dailleurs les termes mêmes excluent cette interprétation. Les apôtres sont nommés dabord, et ils sont vus avec les prophètes, comme un groupe. Il ny a quun article pour les deux, comme en grec.

Quand ce fondement a-t-il été posé ? Lorsque lhomme a péché ? Non, quatre mille ans plus tard, lorsque Christ est venu, est mort pour le péché, est ressuscité dentre les morts puis est monté au ciel. En Éph. 2:21 nous lisons que «tout l’édifice, bien ajusté ensemble, croît pour être un temple saint dans le Seigneur». Un jour, l’édifice sera achevé dans la gloire, lorsque, sur la nouvelle terre, lhabitation de Dieu sera avec les hommes (Apoc. 21:3). Ce nest toutefois pas seulement un édifice à venir. Cest aussi la maison de Dieu : «en qui, vous aussi, vous êtes édifiés ensemble, pour être une habitation de Dieu par lEsprit» ; «Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu ?»É

ph. 2 place devant nous, dans les premiers versets, l’état entièrement corrompu de lhomme. Ensuite nous trouvons la rédemption et en vertu de celle-ci la précieuse vérité que Dieu veut habiter avec nous. Nous ne voyons nulle part dans les Saintes Écritures que Dieu habite avec les hommes, sinon après que la rédemption a été révélée. Il en est ainsi même dans les types de lAncien Testament. Dieu na habité ni avant ni après la chute avec Adam, Hénoc, Noé ou Abraham. N’étaient-ils pas des croyants, possédant la vie de Dieu ? Certes ! Et pourtant ce nest quen Ex. 15 quil est parlé dune habitation de Dieu avec les hommes. Dès le chap. 25 de lExode, nous trouvons comment la tente est dressée. Ce nest quaprès que la rédemption a été complètement révélée quil a pu être parlé, en vertu de cette oeuvre, dune «habitation de Dieu» sur la terre. Et en fait, nous navons nulle part dans lAncien Testament une image aussi complète de la rédemption que dans les chap. 12 à 15 de lExode.

Dans les premiers chapitres de lExode, nous trouvons, comme en Éph. 2, le triste état du peuple. Ensuite nous avons le juste jugement de Dieu et le sang sur les poteaux des portes, qui met à labri du jugement. Puis au chap. 14 nous voyons le passage de la mer Rouge, dans laquelle le Pharaon et son armée furent détruits, tandis quIsraël, sauvé, atteignait lautre rive, délivré de ses ennemis. Tout cela est une image de la mort et de la résurrection. À ce moment seulement le peuple est délivré ; cest pourquoi aussi ce nest qualors quil est parlé de rédemption. L’Écriture Sainte ne dit pas dune personne, quelle est sauvée ou quelle possède le salut, quand elle est convertie et a ainsi la vie de Dieu. Ce nest que lorsquelle connaît laffranchissement en Christ (tel quil est présenté dans les Romains du chap. 5:12 au chap. 8 compris), quelle peut dire avec toute certitude quelle est morte et ressuscitée avec Christ, quelle est sauvée. Et ce nest quavec des hommes sauvés que Dieu peut habiter. De lautre côté de la mer Rouge, Israël, à la fois à labri du jugement de Dieu et libéré de l’Égypte, put chanter le cantique de la délivrance. Pour la première fois il est alors parlé, dans la Bible, de chanter, pour la première fois aussi il est parlé de délivrance, pour la première fois il est fait mention dune habitation de Dieu et pour la première fois la sainteté de Dieu est présentée. Ce sont des choses très importantes et pleines de signification. Lhabitation «de Dieu par lEsprit» est fondée sur la rédemption, et la sainteté de Dieu est en rapport très étroit avec Son temple ici-bas «un temple saint dans le Seigneur» (Éph. 2:21), «car le temple de Dieu est saint» (1 Cor. 3:17). Et quest-ce qui fait de lassemblée un temple de Dieu ? La présence du Saint Esprit seule.Ce ne sont pas seulement des r

évélations, mais des faits, qui nous invitent sérieusement à la sainteté. Le christianisme ne consiste pas seulement en principes (dogmes), mais en faits. Et ces faits forment la base de la doctrine. Il sagit dune Personne, dun homme qui vécut réellement, naquit ici-bas, fut manifesté dans ce monde, qui mourut, ressuscita et monta au ciel. Et cette Personne na pas seulement fait connaître la vérité, mais elle est elle-même la vérité. Et maintenant que le Seigneur est au ciel, une autre vraie Personne divine, le Saint Esprit, est descendu sur la terre, et il est la puissance par laquelle on apprend à connaître le Seigneur glorifié. Est-ce une réalité vivante pour nous ? ou seulement une connaissance ? Par exemple, dans nos réunions, sur qui nos yeux sont-ils dirigés ? sur des frères ou sur Christ par le Saint Esprit, cette Personne divine qui est au milieu de nous ? Sommes-nous conscients de la signification inestimable de ce fait ?

Ce nest pas notre foi, ou la possession de la vie de Dieu qui nous constitue en assemblée de Dieu. Les saints de lAncien Testament les possédaient aussi. Mais seule la présence du Saint Esprit fait de nous le temple de Dieu (1 Cor. 3:16). Que des hommes, qui ne possédaient pas la vie de Dieu, sy soient introduits naltère pas cette vérité. Il est triste que, du fait de notre si faible capacité de discernement, des hommes qui ne sont pas nés de nouveau, ont été reçus dans lassemblée. Toutefois le fait demeure que Dieu habite dans Sa maison, et cest une consolation glorieuse pour nous qui vivons dans un temps de ruine. Nous pouvons compter que le Saint Esprit habite encore aujourdhui au milieu de nous.Il en r

ésulte dautre part une grande responsabilité. Elle est placée devant nos yeux en 1 Cor. 3. Le fondement de la maison a été posé, mais nous devons édifier dessus. Et comment construisons-nous ? On peut le faire avec de lor, de largent et des pierres précieuses, matériaux pouvant supporter le jugement de Dieu. Mais on peut bâtir avec du bois, du foin, du chaume, qui tous seront détruits par le jugement. Oui, même le temple de Dieu, qui est saint, peut être corrompu.

Ne devons-nous pas reconnaître avec humiliation, que cela est arrivé ? Est-ce que le fondement, Jésus Christ lui-même (1 Cor. 3:11) na pas été attaqué, démantelé, réduit en ruine ? Des doctrines attentatoires à sa Personne et à son oeuvre surgissent dans lassemblée. Nous trouvons le résultat dans lesquisse prophétique, donnée par lapôtre Paul dans sa dernière épître (2 Tim. 2). Il parle de personnes qui se sont écartées de la vérité. «Toutefois le solide fondement de Dieu demeure, ayant ce sceau : Le Seigneur connaît ceux qui sont siens, et : Quil se retire de liniquité, quiconque prononce le nom du Seigneur. Or, dans une grande maison, il ny a pas seulement des vases dor et dargent, mais aussi de bois et de terre ; et les uns à honneur, les autres à déshonneur. Si donc quelquun se purifie de ceux-ci, il sera un vase à honneur, sanctifié, utile au maître, préparé pour toute bonne oeuvre».

Tel est l’état qui caractérise l’époque actuelle. Nous avons une grande maison, avec des vases à honneur et dautres à déshonneur. Et que doit faire celui qui invoque le nom du Seigneur ? Il doit se retirer de liniquité et se séparer des vases à déshonneur pour être un vase à honneur, utile au maître, préparé pour toute bonne oeuvre. Il ne peut pas renier la confession de Son nom, car ce serait abandonner la seule position sur la terre qui est bonne. Mais nous avons à nous séparer de tout ce qui est en contradiction avec Sa volonté. Rester en communion avec un mal connu est la même chose que dire que Christ a communion avec Bélial. Peu importe quil sagisse dun mal moral ou doctrinal. Parfois aussi par indifférence on nie la présence du Saint Esprit dans lassemblée, ou on empêche son action. Si des personnes invoquent le nom du Seigneur et le lient avec le péché, ce sont des vases à déshonneur dont le croyant est tenu de se séparer. Cest un principe chrétien établi et fondamental quil ny a aucune circonstance autorisant un croyant à avoir communion avec quelque chose de contraire à la volonté de Dieu. Nous sommes certes appelés à user de patience, mais jamais à l’égard du mal. Et ce nest pas limportance du mal, mais le support intentionnel dun mal manifeste qui nuit au caractère du temple de Dieu et le détruit.

Voyage du pape à Savone et à Gênes : Angélus du 18 mai

19 mai, 2008

du site:
http://www.zenit.org/article-17990?l=french

Voyage du pape à Savone et à Gênes : Angélus du 18 mai

Texte intégral

ROME, Dimanche 18 mai 2008 (ZENIT.org

) – Nous publions ci-dessous le texte de la méditation que le pape Benoît XVI a prononcée avant la prière de l’Angélus, dimanche 18 mai, à Gênes, dans le cadre de sa visite pastorale dans le nord de l’Italie, à Savone et Gênes.

AVANT L’ANGELUS

Chers frères et sœurs !

Au cœur de ma visite pastorale à Gênes nous voici arrivés à l’heure du traditionnel rendez-vous dominical de l’Angélus, et mes pensées retournent naturellement au Sanctuaire de Notre-Dame de la Garde, où j’ai prié ce matin. Votre illustre concitoyen, le pape Benoît XV, se rendit plusieurs fois en pèlerinage dans cet oasis de montagne, et il fit placer une reproduction de la précieuse statue de la Vierge de la Garde dans les jardins du Vatican. Et, comme le fit mon vénéré prédécesseur Jean-Paul II lors de son premier pèlerinage apostolique à Gênes, j’ai moi aussi voulu entamer ma visite pastorale par un hommage à la céleste Mère de Dieu, qui, du haut du Mont Figogna, veille sur la ville et sur tous ses habitants. La tradition raconte que lors de sa premi

ère apparition à Benedetto Pareto qui était inquiet car il ne savait pas comment répondre à l’invitation de construire une église en ce lieu si éloigné de la ville, la Vierge déclara : « Aie confiance en moi ! Tu ne manqueras pas de moyens. Avec mon aide, tout sera facile. Garde seulement une volonté ferme ! ». « Aie confiance en moi ! », nous répète Marie aujourd’hui. Nous lui adressons les paroles confiantes d’une ancienne prière très chère à la tradition populaire, qu’aujourd’hui nous faisons nôtres : « Souviens-toi, O Vierge Marie, que l’on n’a jamais entendu que quelqu’un t’ait invoquée comme patronne, ait imploré ton aide, demandé ta protection, et ait été abandonné ». C’est avec cette certitude que nous invoquons l’assistance maternelle de Notre-Dame de la Garde sur votre communauté diocésaine, sur vos pasteurs, les personnes consacrées, les fidèles laïcs : les jeunes, les familles, les personnes âgées. Nous Lui demandons de veiller en particulier sur les malades et tous ceux qui souffrent, et de faire fructifier les initiatives missionnaires en cours, pour porter à tous l’annonce de l’Evangile. Nous confions ensemble toute la ville à Marie, avec sa population variée, ses activités culturelles, sociales et économiques ; les problèmes et les défis de notre époque, et l’engagement de ceux qui coopèrent au bien commun.

Mon regard s’étend à présent sur toute la Ligurie, parsemée d’églises et de sanctuaires mariaux placés comme une couronne entre la mer et les montagnes. Avec vous, je remercie Dieu pour la foi solide et persévérante des générations passées qui, au fil des siècles, ont écrit des pages mémorables de sainteté et de civilisation humaine. La Ligurie, et Gênes en particulier, est depuis toujours une terre ouverte sur la Méditerranée et sur le monde entier : combien de missionnaires sont partis de ce port pour les Amériques et pour d’autres terres lointaines ! Combien de personnes, pauvres en biens matériels peut-être mais riches en foi et en valeurs humaines et spirituelles qu’elles ont ensuite greffées dans les lieux de destination, ont émigré d’ici vers d’autres pays ! Continue, Marie, Etoile de la mer, à briller sur Gênes ; continue Marie, Etoile de l’espérance, à guider les habitants de Gênes sur leur chemin, spécialement les nouvelles générations, afin qu’avec ton aide, elles maintiennent le cap sur la mer souvent agitée de la vie.

APRES L’ANGELUS

Je voudrais maintenant rappeler un événement important qui s’ouvrira demain à Dublin : la Conférence diplomatique sur les bombes à sous-munitions convoquée dans le but d’élaborer une Convention qui interdise ces engins mortels. Je forme le vœu que grâce à la responsabilité de tous les participants, on puisse arriver à obtenir un instrument international fort et crédible : il est en effet nécessaire de remédier aux erreurs du passé et d’éviter qu’elles se reproduisent à l’avenir. J’accompagne par la prière les victimes des bombes à sous-munitions et leurs familles, ainsi que ceux qui participeront à cette Conférence, en leur présentant mes meilleurs vœux de succès.

Je salue à nouveau les jeunes et toutes les personnes présentes. Merci ! Bon dimanche !

Traduction réalisée par Zenit

bonne nuit

19 mai, 2008

bonne nuit dans image belle glacier-wrangell-st-elias-718686-ga

Glacier, Wrangell-St. Elias National Park, Alaska, 2003
Photograph by Frans Lanting

Streams of ice flow together like rivers, forming glacier complexes that cover hundreds—sometimes thousands—of square miles in Wrangell-St. Elias National Park. Covering more than 13 million acres (5.2 million hectares), Wrangell-St. Elias is the largest national park in the U.S. Nearly six Yellowstones could fit within its borders.

(Photo shot on assignment for, but not published in, « Alaska’s Giant of Ice and Stone, » March 2003, National Geographic magazine)

http://photography.nationalgeographic.com/photography/photo-of-the-day/glacier-wrangell-st-elias.html

« Viens au secours de mon peu de foi »

19 mai, 2008

du site: 

http://www.levangileauquotidien.org/www/main.php?language=FR&localTime=05/19/2008#

Hermas (2ème siècle)
Le Pasteur (trad. coll. Icthus, v.1, p. 168)

« Viens au secours de mon peu de foi »

Chasse de ton âme le doute, n’hésite jamais à adresser à Dieu ta prière, en te disant : « Comment pourrais-je prier, comment pourrais-je être exaucé, après avoir tant offensé Dieu ? » Ne raisonne pas ainsi ; mais tourne-toi de tout ton coeur vers le Seigneur, et prie-le avec une pleine confiance. Tu connaîtras alors l’étendue de sa miséricorde ; tu verras que, loin de t’abandonner, il comblera les désirs de ton coeur. Car Dieu n’est pas comme les hommes qui gardent le souvenir du mal ; chez lui, pas de ressentiment, mais une tendre compassion envers ses créatures. Purifie donc ton coeur de toutes les vanités du monde, du mal et du péché…, et prie le Seigneur. Tu obtiendras tout…, si ta prière est faite avec une entière confiance.

Mais si le doute se glisse dans ton coeur, aucune de tes demandes ne sera exaucée. Ceux qui doutent de Dieu sont des âmes doubles ; ils n’obtiennent rien de ce qu’ils demandent… Quiconque doute, à moins de se convertir, sera difficilement exaucé et sauvé. Purifie donc ton âme du doute, revêts-toi de la foi, car elle est puissante, et crois fermement que Dieu exaucera toutes tes demandes. Et s’il arrive qu’il tarde un peu à exaucer ta prière, ne retombe pas dans le doute pour n’avoir pas obtenu tout de suite ce que tu demandes ; ce retard est pour te faire grandir dans la foi. Ne cesse donc pas de demander ce que tu désires… Garde-toi du doute : il est pernicieux et insensé, il déracine la foi chez beaucoup, même chez ceux qui étaient très fermes… La foi est forte et puissante ; elle promet tout et elle réussit en tout ; le doute, faute de confiance, échoue en tout.

Le pape écrit une prière à Marie pour les catholiques de Chine

19 mai, 2008

du site:

http://www.zenit.org/article-17986?l=french

 

 Le pape écrit une prière à Marie pour les catholiques de Chine

 

ROME, Vendredi 16 mai 2008 (ZENIT.org) – La salle de presse du Saint-Siège publie ce vendredi la « Prière du Pape à Notre-Dame de Sheshan », écrite par Benoît XVI pour la Journée de prière pour l’Eglise de Chine, qui aura lieu samedi prochain 24 mai. 

Le pape adresse sa prière à la Vierge de Sheshan, un célèbre sanctuaire marial situé près de Shanghai. Il demande à Marie de soutenir « l’engagement de tous ceux qui, en Chine, au milieu des difficultés quotidiennes, continuent à croire, à espérer, à aimer, afin qu’ils ne craignent jamais de parler de Jésus au monde et du monde à Jésus »

A la demande du pape, la prière sera récitée dans le monde entier le 24 mai, mémoire liturgique de la Marie, Aides des Chrétiens, vénérée avec une grande dévotion au sanctuaire marial de Sheshan. Dans sa Lettre du 27 mai 2007 aux catholiques de Chine, Benoît XVI demandait en effet que le 24 mai soit une journée de prière pour l’Eglise en Chine. 

Au cours de cette journée, les catholiques du monde entier – en particulier ceux qui sont d’origine chinoise – écrivait le pape dans sa lettre « feront preuve de leur fraternelle solidarité et de leur sollicitude pour vous, demandant au Seigneur de l’histoire le don de la persévérance dans le témoignage, sûrs que vos souffrances passées et présentes pour le saint Nom de Jésus, et votre intrépide loyauté à son Vicaire sur la terre seront récompensées, même si parfois tout peut sembler être un triste échec »

* * * 

Nous publions ci-dessous le texte de la prière de Benoît XVI à Notre-Dame de Sheshan. 

Vierge très sainte, Mère du Verbe incarné et notre Mère, 

vénérée dans le sanctuaire de Sheshan sous le vocable d’«Aide des Chrétiens»

toi vers qui toute l’Église qui est en Chine regarde avec une profonde affection, 

nous venons aujourd’hui devant toi pour implorer ta protection. 

Tourne ton regard vers le peuple de Dieu et guide-le avec une sollicitude maternelle 

sur les chemins de la vérité et de l’amour, afin qu’il soit en toute circonstance 

un ferment de cohabitation harmonieuse entre tous les citoyens. 

Par ton «oui» docile prononcé à Nazareth, tu as permis 

au Fils éternel de Dieu de prendre chair dans ton sein virginal 

et d’engager ainsi dans l’histoire l’œuvre de la Rédemption, 

à laquelle tu as coopéré par la suite avec un dévouement empressé

acceptant que l’épée de douleur transperce ton âme, 

jusqu’à l’heure suprême de la Croix, quand, sur le Calvaire, tu restas 

debout auprès de ton Fils, qui mourait pour que l’homme vive. 

Depuis lors, tu es devenue, de manière nouvelle, Mère 

de tous ceux qui accueillent dans la foi ton Fils Jésus 

et qui acceptent de le suivre en prenant sa Croix sur leurs épaules. 

Mère de l’espérance, qui, dans l’obscurité du Samedi-Saint, 

avec une confiance inébranlable, est allée au devant du matin de Pâques, 

donne à tes fils la capacité de discerner en toute situation, 

même la plus obscure, les signes de la présence aimante de Dieu. 

Notre-Dame de Sheshan, soutiens l’engagement de tous ceux qui, en Chine, 

au milieu des difficultés quotidiennes, continuent à croire, à espérer, à aimer, 

afin qu’ils ne craignent jamais de parler de Jésus au monde et du monde à Jésus. 

Dans la statue qui domine le Sanctuaire, tu élèves ton Fils, 

le présentant au monde avec les bras grands ouverts en un geste d’amour. 

Aide les catholiques à être toujours des témoins crédibles de cet amour, 

les maintenant unis au roc qui est Pierre, sur lequel est construite l’Église. 

Mère de la Chine et de l’Asie, prie pour nous maintenant et toujours. Amen !