Archive pour janvier, 2008

bonne nuit

23 janvier, 2008

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. mh_Dsc13898

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Le Christ guérit la paralysie de nos membres et de nos coeurs

23 janvier, 2008

du site:

http://levangileauquotidien.org/

Saint Pierre Chrysologue (vers 406-450), évêque de Ravenne, docteur de l’Église
Homélie sur le mystère de l’Incarnation, 148 ; PL 52, 596 (trad. bréviaire rev.)

Le Christ guérit la paralysie de nos membres et de nos coeurs

L’incarnation du Christ n’est pas normale, c’est miraculeux ; ce n’est pas conforme à la raison, mais à la puissance divine ; cela vient du Créateur, non de la nature ; ce n’est pas commun, c’est unique ; c’est divin, non pas humain. Elle ne s’est pas faite par nécessité, mais par puissance… Elle a été mystère de foi, renouvellement et salut pour l’homme. Celui qui, sans être né, a formé l’homme avec de la glaise intacte (Gn 2,7), en naissant a fait un homme à partir d’un corps intact ; la main qui a daigné saisir de l’argile pour nous créer a daigné saisir aussi notre chair pour nous recréer…

Homme, pourquoi te méprises-tu tellement, alors que tu es si précieux pour Dieu ? Pourquoi, lorsque Dieu t’honore ainsi, te déshonores-tu à ce point ? Pourquoi cherches-tu comment tu as été fait et ne recherches-tu pas en vue de quoi tu es fait ? Est-ce que toute cette demeure du monde que tu vois n’a pas été faite pour toi ?…

Le Christ prend chair pour rendre toute son intégrité à la nature corrompue ; il assume la condition d’enfant, il accepte d’être nourri, il traverse des âges successifs afin de restaurer l’âge unique, parfait et durable qu’il avait lui-même créé. Il porte l’homme, pour que l’homme ne puisse plus tomber. Celui qu’il avait créé terrestre, il le rend céleste ; celui qui était animé par un esprit humain, il lui donne la vie d’un esprit divin. Et c’est ainsi qu’il l’élève tout entier jusqu’à Dieu, afin de ne rien laisser en lui de ce qui appartient au péché, à la mort, au labeur, à la douleur, à la terre. Voilà ce que nous apporte notre Seigneur Jésus Christ qui, étant Dieu, vit et règne avec le Père, dans l’unité du Saint Esprit, maintenant et toujours, et pour les siècles des siècles.

Le sermon sur la montagne

22 janvier, 2008

 Le sermon sur la montagne  dans images sacrée 15%20MAITRE%20CHRIST%20EXPLAINING%20THE%20DOCTRINE%20ON%20GOD%20S

The sermon on the mount / Le sermon sur la montagne / 15 MAITRE CHRIST EXPLAINING THE DOCTRINE ON GOD S  –

http://www.artbible.net/3JC/Mat0501_07_Sermon_Mount/index.htm
    

La puissance de la prière

22 janvier, 2008

du site:

http://www.vatican.va/spirit/documents/spirit_20020213_teresa-bambino-gesu_fr.html

La puissance de la prière

« Qu’elle est donc grande la puissance de la Prière! on dirait une reine ayant à chaque instant libre accès auprès du roi et pouvant obtenir tout ce qu’elle demande. Il n’est point nécessaire pour etre exaucée de lire dans un livre une belle formule composée pour la circonstance; s’il en était ainsi… hélas! que je serais à plaindre! … En dehors de l’office Divin que je suis bien indigne de réciter, je n’ai pas le courage de m’astreindre à chercher dans les livres de belles prières, cela me fait mal à la téte, il y en a tant!.. et puis elles sont toutes plus belles les unes que les autres… Je ne saurais les réciter toutes et ne sachant laquelle choisir, je fais comme les enfants qui ne savent pas lire, je dis tout simplement au Bon Dieu ce que je veux lui dire, sans faire de belles phrases et toujours Il me comprend… Pour moi la prière, c’est un élan du coeur, c’est un simple regard jeté vers le Ciel, c’est un cri de reconnaissance et d’amour au sein de l’épreuve comme au sein de la joie; enfin c’est quelque chose de grand, de surnaturel qui me dilate l’áme et m’unit à Jésus.

Je ne voudrais pas cependant, ma Mère bien-aimée, que vous croyiez que les prières faites en commun au choeur, ou dans les ermitages , je les récite sans dévotion. Au contraire j’aime beaucoup les prières communes car Jésus a promis de se trouver au milieu de ceux qui s’assemblent en son nom, je sens alors que la ferveur de mes soeurs supplée à la mienne, mais toute seule (j’ai honte de l’avouer) la récitation du chapelet me coute plus que de mettre un instrument de pénitence…Je sens que je le dis mal, j’ai beau m’efforcer de méditer les mystères du rosaire, je n’arrive pas à fixer mon esprit…Longtemps je me suis désolée de ce manque de dévotion qui m’étonnait, car j’aime tant la Sainte Vierge qu’il devrait m’etre facile de faire en son honneur des prières qui lui sont agréables. Maintenant je me désole moins, je pense que la Reine des Cieux étant ma Mère, elle doit voir ma bonne volonté et qu’elle s’en contente.« 

Prière

“O mon Dieu! Je vous demande pour moi et pour ceux qui me sont chers la grace d’accomplir parfaitement votre sainte volonté, d’accepter pour votre amour les joies et les peines de cette vie passegère afin que nous soyons un jour réunis dans les Cieux pour toute l’étenité.”

Ainsi soit-il.

(S. Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, Manuscrit C, Oeuvres Complètes, DDB- Cerf, Paris 1997, pp. 268-269; Id. Prières, p.968)

Préparé par la Pontificale Université du Latran

La Bible juive

22 janvier, 2008

du site: 

http://www.bible-service.net/site/016.html

La Bible juive

Dans sa préface à l’œuvre de son grand-père, l’éditeur grec du livre de ben Sira (appelé aussi Siracide ou Ecclésiastique) écrit ceci vers 130 av. J.-C. :  » Mon grand-père, qui s’était adonné par dessus tout à la lecture de la Loi, des Prophètes et des autres livres de nos pères, et qui y avait acquis une grande maîtrise, fut amené à écrire lui aussi sur l’instruction et la sagesse, afin que ceux qui aiment le savoir, s’étant familiarisés avec ces sujets, progressent encore davantage dans la vie selon la Loi. »

Cette préface à un livre que les rabbins vénèrent sans l’avoir retenu dans leur  »canon » nous renseigne sur le fait qu’au 2e siècle avant notre ère, il existait une répartition des saintes écritures en 3 recueils : la Loi (en hébreu  »Torah ») les Prophètes (en hébreu  »Neviim ») et les autres livres (ou Écrits, en hébreu  »Ketouvim »). Cette tripartition sera réaffirmée à la fin du 1er siècle lorsque des rabbins réunis dans la ville de Yavneh (Jamnia), à 40 kms à l’ouest de Jérusalem, fixeront la liste des livres  »inspirés » par Dieu.

La Loi ou Torah

comprend 5 livres nommés par le premier mot du livre :
- Berechit (Au commencement)
- Chemot (Les Noms)
- Wayiqra (Et il dit)
- Bamidbar (Dans le désert)
- Debarim (Les paroles)

Ces titres correspondent à Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome. La base de la relation d’alliance entre YaHWeH (Le Seigneur) et le peuple d’Israël y est consignée et mise sous l’autorité de Moïse. La Torah évoque la naissance du monde et du peuple et donne les commandements pour vivre.

Les Prophètes ou Neviim sont divisés en deux parties de 4 livres chacune :
- les 4  »prophètes premiers » : Josué, Juges, 1 et 2 Samuel, 1 et 2 Rois
- les 4  »prophètes derniers » : Isaïe, Jérémie, Ézéchiel, les Douze ; les Douze regroupe les livres de Osée, Joël, Amos, Abdias, Jonas, Michée, Nahum, Habacuc, Sophonie, Aggée, Zacharie, Malachie.

Tous ces livres, les premiers plus historiques, les derniers rapportant des paroles prophétiques, nous font suivre les infidélités du peuple au cours de l’histoire et les efforts des prophètes pour restaurer l’alliance.

Les Écrits ou Ketouvim comprennent 11 livres.
Au début, les Psaumes, les Proverbes et le livre de Job.
Ensuite, 5 livres poétiques lus lors des fêtes d’Israël : Ruth, Cantique des Cantiques, Qohélet, Lamentations, Esther.
Enfin 3 livres divers : Daniel, Esdras + Néhémie, 1 et 2 Chroniques.

Ils invitent à méditer, de manière multiforme, la relation d’alliance inscrite au cœur de l’existence.

La tradition rabbinique a désigné cet ensemble de 24 livres par les initiales des trois recueils : TNK (prononcer Tanakh).

France : 220 000 avortements par an et toujours « tabou » ?

22 janvier, 2008

21-01-2008, du site:

http://www.zenit.org/article-17088?l=french

France : 220 000 avortements par an et toujours « tabou » ?

« Sexualité, contraception, avortement », campagne en Ile de France

ROME, Lundi 21 janvier 2008 (ZENIT.org) – « 220 000 avortements par an en France et toujours « tabou » ? », interroge « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Jérôme Lejeune.

France Info recevait, vendredi 18 janvier, Maïté Albagly, secrétaire générale du « Planning familial », le jour du lancement de la nouvelle campagne en Ile de France : « Sexualité, contraception, avortement : un droit, mon choix, notre liberté » (cf. Synthèse de presse du 15/01/08). Pour Ma

ïté Albagly, l’avortement et la sexualité demeurent « tabous ». Ces sujets sont, d’après elle, victimes d’une « désinformation » et restent difficiles d’accès ; bien qu’une femme sur deux soit, au cours de sa vie, concernée par l’avortement. Pour elle, le chiffre des 220 000 avortements pratiqués chaque année en France « n’est pas énorme », puisqu’il est un « droit » acquis. « Ce qui est énorme, ce sont les grossesses non désirées », poursuit-elle.

Maïté Albagly explique ensuite que les médecins ne veulent plus pratiquer d’avortements parce qu’il y a un manque de reconnaissance et de visibilité pour cette profession et parce que le forfait IVG n’a pas été revalorisé depuis 12 ans. Ce manque de praticiens contraint les femmes qui veulent avorter à se rendre en Hollande et en Espagne notamment. Elle ajoute qu’en Espagne l’avortement est, en ce moment, « diabolisé ».La campagne

« Sexualité, contraception, avortement : un droit, mon choix, notre liberté » a pour but de « rendre visible » ces pratiques et de « déculpabiliser » les femmes. Maïté Albagly dit préférer le terme « avortement » à celui d’ « interruption volontaire de grossesse » que l’on a, selon elle, employé pour adoucir une réalité qui n’est pas un meurtre.

Rappelons que cette campagne est financée par le conseil régional d’Ile de France à hauteur de 300 000 euros. Pour Francine Bavay, vice-présidente du conseil régional d’Ile de France, chargée des questions de santé et à l’origine de cette campagne, cette démarche part d’un constat « de nécessité et d’urgence » : 50 centres d’avortements auraient fermé entre 1999 et 2005 et les délais de prise en charge seraient de trois semaines en moyenne (la Haute Autorité de la santé (HAS) recommandant cinq jours).Au cours de son intervention, Ma

ïté Albagly a d’ailleurs invité les autres présidents des conseils régionaux à faire preuve du même « courage » pour initier une telle campagne.

Plusieurs associations se sont élevées contre cette campagne qui « vend l’avortement comme un voyagiste ferait une promo pour les vacances de ski ».

Pour écouter l’intervention de Maïté Albagly sur France Info, cliquez ici.

© genethique.org

Chaque article présenté dans Gènéthique est une synthèse des articles de bioéthique parus dans la presse et dont les sources sont indiquées. Les opinions exprimées ne sont pas toujours cautionnées par la rédaction.

Source : France Info 18/01/08 – www.rtl.fr

18/01/08 – Le Figaro 19/01/08

22 janvier, 2008

http://www.google.it/webhp

bonne nuit

22 janvier, 2008

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. aroselittlewhiteawp4

Garden Party, Hybrid Tea Rose

http://www.geocities.com/TheTropics/Island/6801/mark/marks.html

« Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas l’homme pour le sabbat »

22 janvier, 2008

du site:

http://levangileauquotidien.org/

Pape Benoît XVI
Exhortation apostolique Sacramentum caritatis, 74 (trad. DC 2377, p. 333 © Libreria Editrice Vaticana)

« Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas l’homme pour le sabbat »

Il est particulièrement urgent à notre époque de rappeler que le dimanche, le Jour du Seigneur, est aussi le jour du repos par rapport au travail. Nous souhaitons vivement que cela soit reconnu comme tel par la société civile, de sorte qu’il soit possible d’être libre des activités du travail sans être pour autant pénalisé. En effet, les chrétiens, en relation avec la signification du sabbat dans la tradition juive, ont toujours vu également dans le Jour du Seigneur le jour du repos du labeur quotidien.

Cela a un sens précis, constituant une relativisation du travail, qui est ordonné à l’homme : le travail est pour l’homme et non l’homme pour le travail. Il est facile de comprendre la protection qui en découle pour l’homme lui-même, qui est ainsi émancipé d’une forme possible d’esclavage. Comme j’ai eu l’occasion de l’affirmer, « le travail est de première importance pour la réalisation de l’homme et pour le développement de la société, et c’est pourquoi il convient qu’il soit toujours organisé et accompli dans le plein respect de la dignité humaine et au service du bien commun. En même temps, il est indispensable que l’homme ne se laisse pas asservir par le travail, qu’il n’en fasse pas une idole, prétendant trouver en lui le sens ultime et définitif de la vie ». C’est dans le jour consacré à Dieu que l’homme comprend le sens de son existence ainsi que de son travail.

Sainte Agnès de Rome -Martyre (+ v. 304)

21 janvier, 2008

Sainte Agnès de Rome -Martyre (+ v. 304) dans images sacrée 

http://santiebeati.it/immagini/?mode=album&album=22350&dispsize=Original 

du site: 

http://nominis.cef.fr/

aujourd’hui 21.1.08: Sainte Agnès de Rome -Martyre (+ v. 304)


Il est certain qu’il y eût à Rome vers cette date, une fillette de treize ans qui mourut volontairement pour la foi en Jésus-Christ. La nouvelle s’en répandit très vite chez les chrétiens de l’Empire. On s’indigna de la cruauté des bourreaux, on s’apitoya sur la jeune victime, dont le nom se perdit au fur et mesure que la distance était lointaine de Rome. Et comme on ne savait pas exactement son som, elle est devenue « l’agneau » qui donne sa vie comme l’agneau de Dieu », d’où son nom d’Agnès. Elle devint une personnage légendaire, chacun imaginant le comment de sa mort. En Occident, on transmit la tradition qu’elle eût la tête coupée; en Orient, on dit qu’elle aurait été enfermée dans un lupanar où personne n’osa la toucher avant d’être brûlée vive. Quoi qu’il en soit des détails de son martyre, gardons présent à notre mémoire comme un exemple, ce fait historique qu’une jeune romaine de treize ans n’hésita pas à sacrifier la vie terrestre qui s’ouvrait à elle, pour se donner à la vie du Dieu qu’elle adorait. Saint Ambroise, évêque de Milan, dira d’elle qu’elle sût donner au Christ un double témoignage : celui de sa chasteté et celui de sa foi. (de virginitate. II. 5 à 9)

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